Site en reconstruction

Bienvenue sur le site personnel de Richard Heim

… L’aventure se poursuit ici…

Chers amis, chers clients, chers lecteurs,

Les présentes pages prennent la relève de mon site Orange(*1) qui lui-même a pris la suite de mon site professionnel(*2). À l’instar de ces deux médias, elles ont vocation à vous donner un aperçu – sans concession(*3) – de ma lecture de notre monde contemporain et de ses nombreuses et fâcheuses incidences sur nous et sur notre santé tant physique que mentale.

(*1) : « Pages perso Orange » ouvertes en septembre 2020. Service définitivement arrêté par l’hébergeur en ce début septembre 2023, me forçant de la sorte à une nouvelle migration. Ceci est historiquement mon quatrième site Internet.
(*2) : Site professionnel clos depuis septembre 2020. L’Internet non plus n’est pas un long fleuve tranquille… cf. infra.
(*4) : Celles et ceux qui me connaissent savent que s’il est une langue que je ne parle pas, c’est bien la langue de bois. Mes interlocuteurs savent que j’ai la pensée et la parole libres et que je ne suis pas coutumier de déroger à cette saine attitude.

Maintenant que je maîtrise à peu près ce gestionnaire de contenu, je reprendrai quelques écrits précédents et y coucherai épisodiquement le fruit de mes réflexions en gestation.

À bientôt !

« La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir. »
Nicolas de Condorcet (1743–1794), Girondin victime de la Terreur

SOMMAIRE

  • Non, je ne suis pas mort du couillonavirus, et pas plus de la covid, du moins pas à ce jour malgré mon refus catégorique de la testomania – les « tests » infaillibles, le rituel (l’épreuve !) du tire-morve – et de la vaxxinomania – les « doses » salvatrices à l’abonnement desquelles je ne risque aucunement de succomber. Et, soit dit entre nous, l’on meurt d’ailleurs beaucoup plus souvent de tout à fait autre chose (dont le défaut ou le renoncement de soins, l’euthanasie forcée ou les « injections » – quasi obligatoires – censées nous protéger… par exemple) que réellement du sars-cov2, qui n’est, au final, qu’un tout petit joueur erratique et facétieux, coupable idéal accusé de tous les crimes et notamment de génocide et d’économicide (≠ écocide) !
    Cependant, l’ahurissante et tyrannique mise sous verrou du pays par les usurpateurs publics en réponse à l’« épidémie » pas plus meurtrière que la grippe saisonnière – despotisme cumulé aux graves dangers sociétaux et environnementaux – m’a conduit à titre personnel et professionnel à prendre dès le printemps 2020 des mesures conservatoires drastiques dont vous trouverez des échos dans les pages « Sécession ».
  • Sur cette même thématique ultra sécuritaire folle, la page « Corona circus » vous livre mon appréciation de la situation ubuesque que nous traversons et subissons peu ou prou. [Page à reconstruire]
  • La page « Manifs citoyennes » récapitule les principales motivations de la plupart de celles et ceux qui, courageusement « battent le pavé » (pour reprendre une expression ministérielle) – tous les samedis depuis le mois de juillet 2021 jusqu’en juin 2022 – pour dénoncer la dictature sanitaire, s’opposer aux enfumages covidistes et réclamer le retour à l’État de droit.
  • Les pages « Defecat » (EurêkakaDu plaisir d’emmerder à la volupté de faire chier – Petite déclinaison scatologique) relèvent d’une réponse de circonstance au caca présidentiel, une réplique viscérale à l’emmerdeur public n°1, mister Vaxxine ; la page « À l’emmerdeur » (Nos quatre vérités) s’adressant directement à l’intéressé.
  • Les pages « Con-Science » – littéralement avec science au sens connaissance, cognition, sagesse, et aussi concaténation de Conscience et Science en référence au célèbre Science sans conscience… (cf. Rabelais) – reprennent quelques thématiques développées antérieurement qui me tiennent particulièrement à cœur. Elles dénoncent également la puissante illusion démocratique qui maintient les populations sous le joug de l’ultra-classe hégémonique.
  • Le « Blog » traite de quelques sujets de l’actualité du moment en esquissant quelques pistes de réflexion.
  • Ainsi la page l’article « Santé globale »… qui retrace en quelques mots notre place au sein du Vivant, notre espace sur Terre et dans l’Univers ainsi que le lien intime, profond, unissant la santé de notre environnement et notre santé personnelle. Ou encore l’article « Non au projet de loi Protéger la santé ! » (2023-2024).
  • La page « Complotisme » définit brièvement ma conception de cette insulte phare – si commode à asséner – dont la propagande mondialiste totalitaire use et abuse – notamment par le biais de nudges, psy-ops et l’inversion accusatoire – pour disqualifier d’emblée toute pensée critique et couper court à tout débat démocratique. [Page à reconstruire]
  • Afin que vous disposiez d’un peu plus d’information sur ses prises de position et ses motivations, la page « Qui je suis » vous éclairera – je l’espère – quelque peu sur l’auteur de ces lignes ici passablement bougonnes – et pour cause !
  • Sur la page « Références », vous trouverez des précisions ou des liens (adresses) vers des sites internet sources.
  • Enfin, la page « Contact » vous permet, au besoin, de me laisser un message écrit.

Nota bene :

  • Ces écrits n’engagent que moi.
  • Aucune de ces pages n’a prétention à l’objectivité. Aucune n’a vocation à une quelconque exhaustivité. Ces écrits retracent simplement mon humble vécu, ma vision personnelle – à ma petite échelle – des choses et des évènements.
  • Les sous-menus sont présentés dans l’ordre préférentiel de lecture, bien qu’ils soient autonomes les uns par rapport aux autres.
  • Notons aussi que par choix délibéré, ces pages n’ont aucune vocation à être ou à devenir une galerie photos ou vidéos.
  • Aucune page, aucune phrase, aucun mot, aucune lettre même de ce site n’a été écrit par une « intelligence artificielle »(*)… D’ailleurs, et même si cela paraît totalement dérisoire, pour ne pas participer, même passivement, à alimenter et enrichir cette dernière, je compte limiter à dessein le contenu de ces pages au minimum.
  • Ce site est en constante évolution – tout comme moi.

(*) : À propos d’intelligence artificielle… Il arrive que celle qu’utilise le moteur de recherche Qwant pour me “résumer” (comme par ex. elle le fit ce 08/05/25), outre le fait que la liste affichée des moyens de transport desservant mon (ex) cabinet s’avère totalement fantaisiste, prenne également – curieusement ! – la peine de souligner ce qui suit :
Remarque importante : Selon les données disponibles, Monsieur Richard Heim a « été radié depuis le 31 décembre 2007, ce qui indique qu’il ne pratique plus en tant que professionnel de santé à cette date ».
Je précise à l’attention de cette intelligence soi-disant hautement supérieure (qui ne fait que reproduire les biais de ses développeurs) que la radiation dont il est question ci-dessus concerne uniquement ma désinscription volontaire, fin décembre 2007, du
Régime Social des Indépendants (R.S.I., pour les connaisseurs) n’en pouvant plus de subir son incurie chronique. RSI, ou, plus justement, Régime Social Incompétent/Indécent, tant cet organisme public, pour ceux qui le connaisse, constituait des années durant – et constitue peut-être encore – un véritable fléau institutionnel, une calamité pour tout travailleur indépendant qui a eu le malheur de s’y inscrire. Notez donc que j’ai quitté cette épave pour une solution alternative légale plus avenante et que j’ai exercé en tant que naturopathe – une profession honorable quoi qu’en puissent dire les stipendiés de Big Pharma – jusqu’au coup d’État faussement sanitaire contre lequel je suis d’emblée entré en résistance totale (cf. la page « Rideau ! »).

« Toutes les sociétés sont soumises à la même loi : quand elles ont cessé de vivre de leur raison d’être,
et que l’idée qui les a fait naître leur est devenue étrangère, alors elles se démolissent de leurs propres mains. »
(Synésios de Cyrène) (v. 370–v. 414)

L’Internet n’est pas un long fleuve tranquille

Un monde de fakes… institutionnalisés

Un monde Potemkine comme jamais

Bienvenus dans le « Truman Show » !
Bienvenus au Casino planétaire !

Welcome in the Matrix / in the Metaverse !

Welcome to Paradise !

L’Internet non plus n’est pas un long fleuve tranquille. C’est même un océan qui rétrécit de jour en jour sous la poussée inexorable de la censure mondialiste. Même en Occident, le web n’est plus ni libre ni ouvert. En vérité il l’est même de moins en moins. En conséquence des nombreuses lois liberticides décrétées (brimant impitoyablement les libertés d’opinion, d’expression, etc.) – le fake a si bon dos ! merci le fake ! –, Internet n’offre plus qu’une vitrine factice, une illusion de choix : le conforme à la doxa globaliste. Le reste est pernicieusement masqué, éliminé, banni, anéanti. La censure opère à deux niveaux distincts : chez l’hébergeur de contenus et dans les algorithmes de recherche. C’est ainsi, par ex., qu’à titre personnel, je suis totalement invisibilisé par Google depuis la fin 2023. Une amnésie organisée et très sélective, en somme. Notons que c’est également ainsi que l’Histoire subrepticement se réécrit (id. 1984) par je ne sais quel génie ou quelle magie. Le cyber ressemble de plus en plus à notre bonne vieille télé d’antan. Retour à une combinaison oscillant, selon les époques et les pays, entre l’ORTF et la Pravda ! Faudra-t-il prochainement ressusciter les anciens postes à transistors (TSF), ressortir les vieilles C.B., faire appel aux pigeons voyageurs, se perfectionner en encre sympathique, revenir aux diligences postales ou faire tourner sous le manteau nos ronéotypes de naguère… pour déjouer les censures ?
Plus que jamais – et comme je l’affirme depuis des décennies –, bienvenus dans le « Truman Show » – Un big, very big Truman Show! Bienvenus dans le Mondopoly !… À moins que, comme les Simpsons, nous ne soyons durablement piégés à Springfield… ou alors que, comme Phil Connors (le présentateur météo chargé de couvrir le traditionnel jour de la marmotte à Punxsutawney), nous ne soyons prisonniers d’une bulle spatio-temporelle, englués – et pour un long moment – dans un Jour sans fin. Les « Sims » peuvent dormir tranquilles, leurs Maîtres continuent de consciencieusement veiller sur eux.
In any case… Welcome to Paradise,
ladies and gentlemen! Enjoy your stay, friends and folks!

Priorité au fond plutôt qu'à la forme

Ni vidéos ni tutos
Ce qui flatte l’œil ne réjouit pas forcément le cœur ou les neurones.
Dès mes premières lignes cyber – rédigées voici plus de vingt ans – j’ai toujours donné la priorité au fond plutôt qu’à la forme. Par conséquent, il faut, un minimum au moins, aimer lire. À l’heure où la vidéo (processus passif et plus lent) est reine et où la lecture (processus actif et plus rapide)(*) rebute de plus en plus et compte tout logiquement de moins en moins d’adeptes, c’est un pari risqué. Et pour couronner le tout, mon écriture, peu lisse, pas vraiment fluide, bien que pas spécialement compliquée ou heurtée – mais plutôt syncopée –, n’est pas des plus faciles à lire.
(*) : Sans même compter les énormes volumes de stockage et de capacités de débit (énergivores !) que réclame la vidéo. À ce propos, de par son contenu riche en texte, sobre en images et excluant les vidéos, ce site est optimisé en termes d’espace disque et donc de consommation d’énergie.

La religion de l’œil – Iconorrhée universelle
Allons-nous bientôt revenir aux rébus d’antan, à l’écriture-image, aux alignements de pictogrammes, aux idéogrammes, aux hiéroglyphes, alors même que l’écriture alphabétique constitue un apport majeur de notre évolution culturelle et civilisationnelle ? En effet, l’omniprésence des photos, des vidéos, des films, de la télévision, etc. cumulés au langage exponentiel de la pictographie et des icones – profanes, en remplacement des icônes saintes d’autrefois – semblerait le suggérer. Déjà nous lisons et écrivons considérablement moins bien que nos grands-parents. Mais comment diable saurait-il en aller autrement à force de ne regarder quasiment plus que des images – fussent-elles animées et sonorisées ? Nous perdons ainsi des pans entiers – pour ne pas dire une large part – des acquis de notre civilisation patiemment développés au fil des siècles et des millénaires. (:-((
L’expérience prouve que la richesse et les subtilités du langage résident habituellement dans l’écrit, la forme écrite (livres…). Pas dans les communications verbales (conversations orales) (hormis le non-verbal…).
Je partage l’idée que la décadence d’une société débute volontiers par une déliquescence de sa langue, autant parlée qu’écrite.

À ce sujet… Parlerons-nous encore le français – langue d’une extraordinaire richesse et aux nuances infinies – dans vingt ou trente ans ? J’en doute lorsque je vois le rythme effarant auquel tout s’anglicise, s’américanise, se monétise, se businnesise, se mondialise au pays de Molière, en la patrie de Rousseau, Chateaubriand, Hugo et de tant d’autres génies éternels de la littérature et de la poésie de langue française ! Le jour viendra où nous aurons oublié jusqu’à notre langue, jusqu’à nos racines, notre nom, notre adresse… notre vocation, notre mission, notre destinée.
Le déluge de jargonnement franglais,
le raz de marée d’américanismes et d’anglicismes ne font d’ailleurs qu’attester non seulement de la totale soumission de notre économie nationale face à l’hégémonie mondialo-capitaliste d’outre-Atlantique mais témoignent également du complet étouffement de la culture française et de son remplacement progressif par la sous-sous « culture » – burger-soda-GAFAM… – que cette domination yankee intrinsèquement véhicule comme son ombre funeste. Face à cet envahissement mortifère, j’en appelle au ressaisissement des peuples, à la résistance culturelle des nations !
Pardonnez-moi ce dernier constat pénible et abrupt : il me semble hélas que notre mondialisation galopante, non seulement ravage la nature tout en générant des montagnes de déchets, mais que de plus, en produisant des générations d’illettrés – pour ne pas dire carrément d’analphabètes voire de décérébrés –, en fabriquant des dizaines de millions de clones bipèdes, elle a pour effet aussi de corroder substantiellement les esprits, les cœurs et les consciences. Renforçant ainsi d’autant plus la spirale infernale. C’est un choc amer.

En raison de cette primauté basique du contenu, vous ne trouverez donc ici, par exemple, ni éclatants effets de style hauts en formes avec profusion de couleurs, ni vidéos évocatrices ou jolies animations suggestives, ni davantage – et fussent-ils savants – de grands effets de voix, de jambes ou de manches.
Mon seul recours consiste en un fidèle et usé – mais intarissable et incontournable – dictionnaire de français(*).
(*) : J’en aurai bien usé deux ou trois depuis mon premier contact, à l’âge de 6 ans, avec la langue française – langue qui m’aura plus ou moins apprivoisé ou que j’aurai plus ou moins amadouée, je ne saurai trop dire dans quel sens l’acclimatation s’est opérée.
D’autre part, je privilégie invariablement les vues transversales, les analyses obliques, les approches multidimensionnelles, matricielles, tangentielles, celles qui décloisonnent les savoirs et offrent des perspectives plus inhabituelles, des angles plus insolites, des horizons plus larges – du moins je l’espère et m’y efforce.

« Fais de ta pensée un empire. »
(Richard Francis Burton) (1821–1890)

Un nouveau pas de côté – Danse avec la vie

En conséquence de la suspension – volontaire, délibérée – de mes consultations, mon site internet professionnel est clos depuis septembre 2020. N’ayant pas supporté le confinement – ou plutôt, CONfinement(*1) –, et moins encore le soi-disant « déCONfinement » – sans même évoquer et attendre le reCONfinement –, il s’est fait la belle – tout comme la malle –, soucieux de fuir au plus vite l’ancien monde en voie de délabrement avancé – pour ne pas dire d’effondrement patent. Sans l’ombre de la moindre attestation dérogatoire et faisant fi de tout masque, gel hydroalcoolique, distanciation sociale, geste-barrière, ou pass nazitaire, il a pris la clé des champs, galvanisé par un regain de passion pour l’aventure en terre inconnue, les chemins de traverse, les sentiers – et secrets – buissonniers. Pour l’amour immodéré du grand large, des espaces ouverts, de l’air pur et vivifiant… Et puis aussi irrésistiblement mû par un attrait inné pour les hautes latitudes, celles qui tempêtent, hurlent, rugissent, saisissent, secouent, soulèvent, sculptent, décapent, polissent, blutent. Soit ces énergies de fond, ces lames traversières, ces dynamiques fondamentales, radicales, qui façonnent les joyaux bruts que nous sommes tous et toutes, qui nous réalisent, qui nous révèlent déjà à nous-mêmes, et, possiblement, aux autres.

Envolés, donc, les écrits de mon précédent site web. Éparpillées ses gloses. Disséminées ses graphorrhées. Égarées ses verbigérations. Évanouies comme des cendres. Fondues comme neige au soleil. Définitivement. Perdues dans la nuit de l’oubli. Déconfiné(e)s pour l’éternité… – Et plus, si affinités…
Pour celles et ceux à qui ces pages manqueraient, j’envisage l’éventualité d’en reprendre ici progressivement quelques extraits, une sélection d’articles – inévitablement contingentée de manière drastique – parmi les nombreux textes (originaux) que j’y avais, au fil de ces vingt dernières années, publiés.
Pour vous donner un aperçu du volume de son contenu, mon ancien site internet équivalait à un livre de 1 100 pages(*2) (sans compter les illustrations et avec le standard de 250 mots par page). Vous l’auriez difficilement lu en une soirée, eusse-t-elle été une longue et studieuse veillée d’hiver.
(*1) : « CONfinement » ici orthographié spécialement en référence à l’écrivain Guillaume Basquin (cf. L’histoire splendide).
(*2) : 1 100 pages de réflexions et de pérégrinations. Un recueil d’informations, d’anecdotes, de pensées, de conseils, de témoignages. Une chronique dans laquelle je confiais mes interrogations, mes doutes, mes craintes et aussi mes espoirs. Un petit bout de chemin effectué ensemble à refaire le monde. À raconter ses beautés, ses malheurs et aussi ses – évitables – laideurs. À deviser de mille et une choses, graves ou légères, utiles ou futiles, de fortune et d’infortune, au gré des
évènements rencontrés et des circonstances traversées.
Il est dit que les mots, comme les papillons, se métamorphosent. Comme eux, comme les flocons de neige, comme les graines-aigrettes de dent-de-lion, ils batifolent, pérégrinent, voltigent, volettent, virevoltent, tournoient, dansent en larges volutes, s’assemblent, se désassemblent, se recombinent, évoluent, se transmutent… puis renaissent… avant de s’évader à nouveau. Alors adieu les amis ! Bon voyage ! Portez-vous bien !

Céans, il en ira autrement. Forcément, car…

Et puisque le format est ici fortement réduit, techniquement resserré au plus strict XXS, j’adapterai en conséquence le texte en l’élaguant du “superflu”, en l’allégeant de l’“accessoire”, en l’expurgeant des illustrations. Bref… promis ! je le readerdigesterai à l’extrême et me concentrerai sur le seul cœur de l’essentiel de l’actualité de ces toutes dernières années. Mais, hélas, le moins que l’on puisse dire c’est que les nouvelles du monde ne sont guère réjouissantes – du moins une part significative de celles qui me parviennent malgré mes filtres de protection – et l’humeur de ces pages, las, s’en trouve inéluctablement affectée.

Life is a pure flame.

Ordre de lecture des pages / paragraphes

Les paragraphes sont conçus comme unités autonomes. Ils peuvent être lus dans le désordre – ou même isolément – sans significativement nuire à la compréhension d’ensemble – même s’il y a une certaine progression logique au fil des lignes et des pages.
Grâce à l’incroyable plasticité permise par l’informatique – étayée par la technologie électronique –, ce texte n’est pas figé, du moins pas totalement. Comme leur auteur, ces pages sont en réflexion, en mouvement, en perpétuel devenir. Elles vivent, respirent, bourgeonnent, buissonnent, se renouvellent, se recentrent, évoluent, s’élaborent, s’enrichissent au fil du temps, au gré des évènements rencontrés et des circonstances traversées. 

Liberté et souveraineté

Le parti de la libre-pensée

Rien au monde ne m’importe plus que ma liberté et ma souveraineté personnelle – comme bien évidemment la vôtre et celle de tous les autres. Ainsi, je refuse catégoriquement de me faire dicter – par qui que ce soit et de quelque façon que ce soit – mes idées ou de me faire imposer ce que je dois penser, dire ou faire. – Et en creux, ce que je ne dois pas penser, pas dire ou pas faire(*)… Je dénie formellement à quiconque le droit de décider à ma place de ce qui est bon ou mauvais pour moi… Et j’imagine qu’il en va de même pour vous.
(*) : À ce propos notamment, dans ma vie, j’ai résisté et donné du fil à retordre à plus d’un(e).

En retour, si les constats formulés sur ces pages – c’est-à-dire mon réel vécu – ne correspondaient pas à votre réalité, ou à votre vérité à vous – ce qui est ou serait votre droit le plus absolu –, ce sont du moins les miennes. Merci donc de les recevoir comme telles.
Permettez-moi toutefois de relever à cet égard que ces évidences corroborent celles de nombreux autres citoyens révoltés comme moi par notre propension si commune – semblant décidément infinie ! – à consentir sans bornes, à succomber, à n’importe quel prix et sans retenue aucune, à l’appel de l’amour – que dis-je ?! – à l’irrésistible passion, au bonheur, à l’ivresse… de la servitude volontaire – un leitmotiv de ces pages.

Ni vérité, ni science, ni même laïcité

Je ne me réclame d’aucune académie, ne me revendique d’aucune obédience, d’aucune confrérie, d’aucune école

À titre personnel, je ne revendique ni vérité, ni singularité, ni science, ni même laïcité. Je ne prétends à aucune originalité – fondamentale, du moins –, et ces pages, composées de bric et de broc, sont même truffées de galimatias, de lieux communs, pavées d’évidences, constellées de banalités. Soit, mais ils sont exprimés selon ma sensibilité, de mon point de vue et avec « mes » mots.
Ma seule ambition, ma seule finalité est d’insister sur des faits trop souvent/longtemps négligés ou trop vite oubliés, de souligner des vérités dérangeantes, de pointer et surtout mettre en perspective des réalités méritant, nécessitant, de notre part – pour notre bénéfice personnel et celui de notre environnement – une attention notoirement plus soutenue.
Fondamentalement, au-delà des informations formelles, factuelles présentées ici, mon intention première vise davantage à susciter le questionnement, inciter à la réflexion, laisser place à la méditation, qu’à apporter des réponses toutes faites, toutes prêtes, toutes cuites – prêtes à gober.
Passez vos opinions au crible de votre raison et de votre cœur et forgez-vous vos propres idées.
« À vos risques et périls », selon la formule d’avertissement consacrée et bien connue…
Attention ! Textes non conformes à la doxa ambiante

Ayez l’audace de penser par vous-mêmes, comme nous l’exhorte Arthur Schopenhauer (1788–1860)

Les gens qui pensent comme tout le monde sont des gens qui ne pensent pas.
« À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez. »
(Mark Twain) (1835–1910)
J’ajouterai simplement, qu’a contrario, si vous êtes seul(e) à penser une chose, bien évidemment, questionnez-vous pareillement.
Ayez question à tout.
Ne jugez pas péremptoirement. Ne préjugez pas. Ne présumez pas. Réfléchissez !
Pensez par vous-même. Sans oublier de penser avec comme contre vous-même.

Citations

Je suis très conscient d’abuser des citations, formules, maximes, sentences – glanées ci et là au gré de mes lectures et non pas tirées pour l’occasion de quelque compilation, même opportune – et avec plaisir et reconnaissance les partage ici avec vous. Permettez-moi toutefois de souligner, pour éviter tout malentendu, que ces citations – essentiellement ajoutées a posteriori – viennent seulement illustrer mon propos, et aucunement le construire ou le formater.
Si ces dictons, ces préceptes, ces aphorismes, ces morceaux d’anthologie illuminent ces pages de leur pertinence intemporelle, les étayent, les renforcent telle une fonction fractale, ces fragments d’éternité, cette quintessence de sapience, ces rayons de nectar spirituel, ces hommages rendus y figurent non pas par exhibition culturelle, mais parce que ces devises représentent – tout au moins à mes yeux – de sagaces et salutaires lumières parfois venues du fond des âges pour éclairer nos temps incertains, instruire et baliser nos horizons flottants. De précieux sésames, de brillants condensés d’expériences de vie, une part de la quintessence de l’humanité, de fabuleux raccourcis de pensées, de merveilleux, flamboyants éclats de philosophie, d’inestimables pierres angulaires pour l’esprit, de providentielles pépites et précieuses perles de sagesse… pour enrichir notre réflexion et fortifier notre être. Une substantielle valeur ajoutée, en somme. Les plus pressés d’entre les surfeurs pourraient d’ailleurs se contenter de leur seule lecture.

Propriété intellectuelle

Il n’est peut-être pas tout à fait inutile de relever / rappeler / qu’en vertu du code de la propriété intellectuelle, toute reproduction, même partielle, de ces pages exige l’accord écrit préalable de leur auteur – ou tout au moins la mention de son nom en cas de citation – sous peine de poursuites judiciaires.

Même en accès libre et gratuit, l’œuvre d’autrui ne m’appartient pas et n’est donc pas destinée à être recopiée et passée pour mienne. Je me dois de notifier que j’ai toujours abhorré le copiage, exécré le pompage et présente en conséquence une aversion marquée pour les « auteurs » pompeurs et plagiaires, quels qu’ils soient – fussent-ils même artificiellement très intelligents. Les présentes pages ne constituent probablement – sûrement même – qu’une succession ininterrompue de bavardages, qu’une soporifique litanie de verbalismes, qu’une stérile accumulation de poncifs, de lieux communs et de platitudes. Certes. Mais voilà, ce sont les miens et je tiens à ce qu’ils le restent.

« Ici s’arrête le monde, dit l’aveugle ayant touché le mur. »
(Proverbe grec)

Gratitude

Je vous remercie chaleureusement pour l’intérêt que vous portez à ce site et du bon accueil que vous réservez à ces pages. C’est bien grâce à vous qu’elles continuent d’apparaître en tête de liste des « moteurs de recherche » – à part Google, depuis peu (12/2023), étant banni pour irrévérence et complotisme faut-il croire.
Me positionnant naturellement par moi-même, je n’ai, à ce jour, jamais fait appel au moindre service de référencement ou d’optimisation – ni gratuit (si d’aventure cela existait) ni payant – pour commercialement / artificiellement figurer en haut du classement.
Mille mercis !

Cordialement / Courtoisement
Bon vent ! Buen camino !
Un citoyen du Monde
Un chercheur de vérité

Richard Heim

Une vie simple et des pensées nobles
… voilà le sage précepte d’un vieux dicton indien.

« En moi, trois trésors que je garde et chéris.
Le premier est amour
Le deuxième est frugalité
Le troisième est humilité »
(Un antique sage chinois)

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