Politique sans éthique,
Science sans conscience
Commerce sans morale…
Nb : Les pages de cet onglet sont spécialement corrélées, imbriquées, intriquées.
« Un pour tous, tous pourris ! »
(Coluche) (1944–1986)
AU BONHEUR DES BONIMENTEURS
De la fiction démocratique – Les élections, immense marché de dupes
Théâtrocratie (cf. Platon)
Du grand guignol – Le Théâtre de marionnettes
La « démocratie des demeurés »
Formidables élections chocolat
Ou comment la puissante illusion démocratique maintient les populations sous le joug de l’ultra-classe hégémonique
Quelques mots sur LE TRUCAGE UNIVERSEL
Les élections : une grosse blague !!
L’arnaque du « vote »
Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu sers.
Enculages rituels avec ou sans votre consentement… mais bon, enculages quand même !
De la propagande des urnes – Du savant art de bourrer les crânes comme de bourrer les urnes
De la goualante du politichien – Les forts en gueule – Les maîtres démagogues – Les virtuoses de la Comédie – Les grands brasseurs d’air – Les champions des moulinets
Une dictature… constitutionnelle ET euro-technocratique
Par définition même, que vous le vouliez ou non, que vous soyiez d’accord ou pas, L’ÉLECTION EST ANTIDÉMOCRATIQUE… puisqu’en retour de leur expression elle prive automatiquement les citoyens de leur souveraineté (blanc-seing accordé sans AUCUNE garantie de probité).
Si peu de Français – ou d’Européens… – le savent – ou le perçoivent clairement, surtout pas ceux qui affirment mordicus le contraire… –, et pourtant nous vivons dans une immense prison politique à ciel ouvert, prisonniers impuissants que nous sommes de notre corpus législatif – spécialement constitutionnel… auquel se surajoute le carcan européen ! Des jougs qui nous étouffent tous les jours un peu plus.
On ne ment jamais tant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse, déclarait en fin connaisseur des affaires politiques et militaires, Georges Clemenceau.
La démocratie institutionnelle : une parodie de démocratie, la dictature de la “majorité” (en vérité, une infime minorité très agissante)
Le théâtre – la tragicomédie – politicard(e), théâtre des collusions et des crimes, théâtre de boulevard tout autant que de cour… théâtre total, pur spectacle – Pas un pour relever l’autre
Les très officiels Jeux du cirque. Un déni de démocratie. Un immense jeu de dupes, une gigantesque farce, un vaste et grossier simulacre de “démocratie”… où le peuple – dans « le secret de l’isoloir » (son inconscience) ! – fait tout juste office de simple figuration. La participation, en chute libre, en atteste pleinement…
Dans ces circonstances fâcheuses est-il si étonnant que l’idée selon laquelle « la démocratie est une perte de temps » – et d’argent ! – recueille un consensus grandissant chez les hauts dirigeants politiques… ? Quand oseront-ils enfin le reconnaître officiellement ?
Servir… ou se servir ?
Don Quichotte, au secours !!
« La démocratie repose sur l’existence d’une solide hiérarchie ; il faut à l’oligarchie de gros arrivistes, une troupe ardente de bas-officiers qui ne cesse de travailler dans l’intérêt de ses chefs et qui retire peu de profit matériel de son activité ; il faut tenir en haleine cette sorte de petite noblesse, en lui prodiguant des marques de sympathie, en excitant chez elle des sentiments d’honneur, en lui parlant un langage idéaliste. La grandeur du pays, la domination des forces naturelles par la science, la marche de l’humanité vers la lumière, voilà les balivernes qui se retrouvent à tout instant chez nous, dans les discours des orateurs démocratiques. » (George Sorel) (1847–1922)
En politique, rien n’arrive par hasard.
(Franklin Delano Roosevelt) (1882–1945)
La république des copains, des coquins et des larbins
L’État, la République, c’est moi !! braille le tyran. Vive la démocrassie !! Garantie pour les puissants – la race supérieure, les êtres élus – d’accroître plus encore leur pouvoir et de perpétuer leur empire.
Les sophistes de la Gueuse – La « démocratie parlementaire » : une blague, une supercherie, une imposture, une mystification, une cabale institutionnelle… Soit rien de plus qu’une nouvelle féodalité !
Le terrain de jeu de prédilection des bonimenteurs ; les élections, une religion, une tradition, une coutume, une distraction, un divertissement servant de caution démocratique à un système politique qui ne l’est, en réalité, pas même pour deux sous. Mais voilà, le folklore, la kermesse, les foires à l’andouille et aux neuneus, la grand-messe ripoublicaine, son résident, ses sinistres du culte, ses prélats, ses célébrants, ses officiants, ses combinards, ses baillis et ses sénéchaux, ses banquets, ses servants et serviteurs, ses prétendants, le cortège de leurs aréopages et de leurs cours, son cérémonial, sa liturgie, ses homélies, ses sermons, ses troncs et ses étrons, ses ouailles, ses dévots, ses bigots, ses reporteurs empressés, ses couvertures merdiatiques, l’éclat des projecteurs, le tapage, le tohu-bohu, la récréation festive, l’esbroufe qui les accompagnent… impressionnent et illusionnent toujours autant les benêts, et davantage encore lorsqu’ils sont en foule. Et c’est bien là l’essentiel recherché par les organisateurs. Ne manquent plus que la buvette, les saucisses-frites et la fanfare – la zizique, ses zartistes et ses flonflons – pour rallier, rassembler, fédérer tout ce beau monde, bras dessus, bras dessous, poussant la chansonnette (…), une bonne bière à la main, sous la même bannière affriolante : Plus on est de fous, plus on rit ! Constatons.
E in avanti, il circo!!
« Les hommes politiques sont marrants. Encore que je ne pense pas qu’ils nous feront un jour autant marrer qu’ils nous emmerdent. »
(Coluche) (1944–1986)
Cynisme, malhonnêteté, collusion et corruption endémiques aux plus hauts niveaux
Un cruel atavisme, le mensonge dans les gènes
De l’oppression et de la traitrise des prostitués de la ripoublique – Des zélites [copains] comme cochons
Les bourreaux des Français, les fossoyeurs de la France
Les chevaux de Troie modernes – Une caste de parasites sans vergogne menant grand train aux crochets de la population, à commencer par les classes laborieuses. – On comprend qu’ils puissent à bon escient pérorer et se gausser à volonté de l’idiotie de leurs administrés. – Merci, la nuée de pigeons !! Merci, le troupeau de moutons !! Merci, le cheptel de bêtas !!
De juteuses prébendes – Gouvernance ininterrompue du double parti unique pour la fortune insolente de ses actionnaires
Un guignol (aux ordres) chasse l’autre. Pour qui roulent, en vérité, nos politichiens ? S’il est une chose qui les qualifie unanimement, c’est leur propension infinie à la traitrise. À force de prendre les Français pour des gens-bons, des idiots, des demeurés, il finira par y avoir aux scrutins davantage de candidats que de votants ! Lorsque la consultation est libre et régulière, le taux d’abstention est l’étalon-or de la marque démocratique. Il reflète le niveau d’adhésion de la population au système politique – et son corollaire : son degré de rejet.
Nos politichiens sachant mieux que nous que les « élections » (jeux à somme négative ou nulle, plus est pipés à la base) ne sont qu’un moyen de diviser, de fracturer, d’opposer le peuple (cf. le diviseur) et ils en jouent avec maestria ; d’où l’utilité des partis politicards (qui partitionnent) et de leurs chefs guignolots (qui guignolent… les électeurs en se vendant à l’encan). Une mascarade bien ordonnancée, une singerie rituelle, un opium orthodoxe. La véritable opposition aux gouvernants ne se trouve pas dans les hémicycles mais dans la rue.
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient, me direz-vous. Et puis, il est bien connu que les promesses font le bonheur des fous, n’est-ce pas ?
Les idiots utiles du faire-valoir pseudo démocratique
Peu de nos concitoyens se rendent comptent qu’ils vivent à demeure dans une prison politique tant leurs sens sont brouillés et leur conscience anesthésiée. À maints égards une geôle à ciel ouvert dont semble s’accommoder une large majorité de la population. Tout est bon pour blouser, pigeonner, couillonner le gogo. Des dés pipés dès l’entame, un processus électoral biaisé de bout en bout. Sans même détailler les nombreuses mal-inscriptions… Entre mode de scrutin, présélection – cooptation – des candidats, visibilité médiatique manipulée, enfumage des foules, sondages falsifiés, démagogie crasse, jobardise des nigauds, découpage électoral, magouilles et ratatouilles politicardes, portes-tournantes, élus marionnettes-girouettes, contrôle et domestication des oppositions, fausse dissidence, immunité judiciaire révoltante et impunité scélérate organisée des dirigeants (une blanchisserie parfaite !), opportunités de “fraudes au compteur” massives(*1), etc., le Père noël électoral dispose de beaux jours devant lui ! Parions que les faiseurs de rois continueront longtemps encore d’étroitement chaperonner l’opinion publique et de régenter le monde en faisant et défaisant princes et monarques à leur guise. Selon l’éternel triptyque séduction/élection/trahison, gageons que le manège infernal continuera son bonhomme de chemin – et le piège d’engluer inlassablement le peuple – tellement tout fonctionne en full automatic. D’autant que le décompte des bulletins blancs et nuls ainsi que la “subtilité” du quorum donnent quitus aux médiocres et aux malfrats. Au besoin, en l’état actuel, les prédateurs mondialistes, les serviteurs du totalitarisme, les politocards cyniques qui dirigent ce pays sont fort capables de rendre le vote obligatoire – rappelant en cela les injections plandémiques – mais la tambouille consultative, la sélection des postulants, les promesses foireuses, les programmes bidons, les campagnes promotionnelles, les cadeaux bonux, les trucages, bidouillages et magouillages, l’ineptie du vote utile, des consignes de vote – OPA en règle sur le corps électoral –, l’inanité du vote frontiste (!)(*2) se poursuivront selon des modalités inchangées. Pure forme pour cacher un fond pourrave jusqu’à l’os. L’insane course à l’échalote persistera. La pantalonnade perdurera. Et cette fois-ci avec le soutien forcé – la complicité imposée, cocasse, perverse – de la populace. Loufoque ! Vaudevillesque ! Scandaleux ! Débile ! Abject !
… « So what? / Et après… ?! » – Comprenez : « cause toujours, imbécile ! », « ferme ta gueule et obéis !! » ponctué d’un doigt/bras d’honneur large comme notre hexagone – Combien de siècles… Combien de millénaires encore ??!
Faites vos jeux à la Française des Gueux ! dégoise, campagne après campagne, la Triche Électorale. Une association de malfaiteurs digne du Groland, rubrique Farces & Attrapes.
(*1) : Tripatouillage des procurations, dépouillement, décompte et agrégation des résultats [la plage horaire 18h00-21h00 s’avère toujours fatidique pour la démocratie !], et surtout essor des scandaleuses « machines à voter » – machines à tricher, machines à frauder, machines à truquer –, boites noires à berner les veaux, la voie royale vers le bidonnage numérique.
(*2) : Le club des Castors, le cartel des barragistes, le bouclier anti-démocratique, la sottise instrumentalisée du barrage prétendument “républicain” ! Le summum du foutage de gueule – du cynisme – est atteint lorsque le gros de la classe politichienne, outrageusement outrée (sic !) à l’issue d’un premier tour perdu, en vient à piteusement appeler au « front républicain », à l’« union sacrée » pour « faire barrage » contre un autre parti présent aux mêmes élections… parti concurrent certes, mais faisant intégralement partie du système lui aussi ! Absolument pathétique !! Quelle démocratie ?? Quelle démocrassie !!
Ah ! tant que la sousoupe est bonne, l’« union sacrée » e(s)t l’obscénité de la comédie des désistements.
« Il faut toujours prendre en considération l’avis des imbéciles, car ils sont majoritaires. »
(Léon Tolstoï) (1828–1910)
Les élections, fabrique de tyrans… le bureau de vote, antichambre de despotes.
Ils sont « démocrates » comme les hyènes, les vautours ou les chacals sont végétariens
Le collège des élus mafiosi – Des permis pour opprimer – D’inadmissibles blancs-seings – J’y suis, j’y reste !
Choisir son oppresseur ou choisir son émancipation – D’élus à… maîtres il n’y a qu’un tout petit pas si vite franchi.
Vice manifeste du consentement
L’élection se montrant en réalité – par essence même – anti-démocratique (partout les preuves abondent !), la SEULE procédure respectueuse de la volonté populaire se trouve être le tirage au sort (pour tous les mandats électifs publics) accompagné d’un contrôle étroit et strict à tous les niveaux. Pas étonnant que les voleurs de pouvoir s’y opposent de toutes leurs forces, de toute leur duplicité, de tout leur cynisme.
La démocratie ne se réduit certainement pas au seul droit de vote (plus est sur la base de candidats soigneusement présélectionnés, adoubés par l’oligarchie). Un système politique donnant les pleins pouvoirs et permettant à des (soi-disant) « représentants » de faire ce qu’ils veulent une fois élus – sans avoir le moindre compte à rendre à leurs électeurs et ne pouvant être révoqués – et qui par ailleurs interdit aux citoyens d’organiser des référendums à volonté ne peut en toute logique pas être qualifié de « démocratique ». « Tout homme tend à aller jusqu’au bout de son pouvoir », ne l’oublions pas (cf. Thucydide). Donc déléguer sans sûreté et sans restrictions son pouvoir revient tout bonnement à confier à demeure sa souveraineté à des mafieux. L’abstentionniste lui au moins ne se rend pas complice de la fraude électorale institutionnalisée dans laquelle le système essaie à tout prix de le maintenir.
En résumé, rien ne sert de voter… sauf à entretenir la mystification générale. Que vous votiez ou que vous ne votiez pas, que vous votiez pour l’un ou que vous votiez pour l’autre, que vous votiez pour ou que vous votiez contre, que vous votiez du pied droit ou que vous votiez du pied gauche, que vous votiez comme on vous dit de voter ou que vous votiez comme on vous dit de ne pas voter, que vous votiez comptant ou que vous votiez pas content, que vous votiez avec illusion ou que vous votiez sans illusion… vous laisserez toujours d’autres décider à votre place. Cornélien ! Consolons-nous donc comme nous pouvons : le moindre mal consiste certainement à boycotter le grand carnaval électoral, en vérité, le seul, le vrai, l’authentique barrage au foutage de gueule(*). Et à largement manifester son refus de souscrire au canular national, à généreusement afficher son refus de participer à la bananerie républicaine. Tout en renvoyant les cyniques moralisateurs à leurs stupides leçons d’incivisme, tout en les laissant à leurs débiles admonestations. Faire et laisser dire. Le toupet des sots est sans borne.
Voter, c’est renforcer le système. Le boycotter, c’est l’affaiblir.
(*) : L’inique foutage de gueule du club des Castors et son – prétendu – « front républicain », « bouclier démocratique », « union sacrée »… Cf. supra.
Le parti d’en rire comme le parti d’en pleurer n’en ont pas fini avec le parti affairiste et le parti d’en jouir par nature rivés au Pouvoir !!
Du grand guignol donc ! De purs votes-spectacles. L’illusion démocratique continue d’égarer encore et encore les foules. Élection – et pas seulement abstention –, piège à cons. Élisée Reclus avait parfaitement raison : « Voter, c’est abdiquer ». C’est céder tous ses droits. C’est renoncer. Veauter, c’est capituler.
Si voter changeait quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit. Vous connaissez sans doute la remarque d’Emma Goldman reprise par Coluche.
A voté ! A fauté !!
À quand l’apposition sur tous les bulletins de vote de la mention – obligatoire – « Voter est dangereux pour votre avenir » ?
La grève des urnes vous sauvera !
« Les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera,
ni pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons,
l’électeur [cet « inexprimable imbécile »] nomme son boucher et choisit son bourgeois. »
(Octave Mirbeau) (1848–1917)
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Petit aparté sur les nouvelles dénominations des partis politiques…
Des privatisations éhontées
Que ce soit « Les Écologistes » (ex « Europe Écologie–Les Verts » (EELV)) ou bien « Les Républicains » (anciennement UMP…), et maintenant au tour des OPA « En Marche » ! « Renaissance » ! « Horizons », etc., je ne conçois pas que l’on puisse s’approprier, préempter, privatiser ainsi des mots/substantif aussi communs pour désigner des partis politiques !
Mais, tant que nous y sommes, pourquoi diable ! n’optent-ils pas pour, par exemple… le « Parti d’en haut », le « Parti d’en bas », le « Parti de Zéro », le « Parti à pied », le « Parti en java », le « Parti pas parti », le « Parti de Cartes », le « Parti de Plaisir », le « Parti du décor », le « Parti à la chasse », le « Parti à la pêche », le « Parti dans la lune », le « Parti de rien », le « Parti dans tous les sens », le « Parti à la course à l’échalote », le « Parti en vrille », le « Parti Unique », le « Parti pour rien », le « Parti Total », le « Parti Vaudeville », le « parti du Père Noël », le « Parti sans laisser d’adresse », le « Parti des Winners », le « Parti des Loosers », le parti « En arrière toute ! », le « Parti Comique », le « Parti sans illusions », le « Parti des illusions perdues », le « Parti du bistrot », le « Parti fini », le parti « d’En Jouir », le parti « d’En Rire », le parti « d’En Chier », le parti « d’En Pleurer », le « Parti trop fort », le « Parti fable », le « Parti en avance », le « Parti s’asseoir », le « Parti Pris », le parti « Juge & parti(e) », le « Parti en reconnaissance » – à ne pas confondre svp avec le « Parti en mal de reconnaissance » –, le « Parti critique », le « Parti de la ville », le « Parti de la campagne », le « Parti de la patrie », le « Parti de la partie », le « Parti-san(s) », le « Parti ric-rac », le « Parti se coucher », le parti « Mon Kiki », le « Parti dans un fou rire », le « Parti lié », le « Parti Croupion », le « Parti à point/poings », le « Parti Caméléon », le parti « Tirer parti », le parti « Clés sous la Porte », le « Parti de poker », le « Parti en Javelle », le « Parti à cheval », le « Parti Inutile », le « Parti des Amis de Pinocchio », le « Parti en sucette », le parti « Pas de vague ! », le « Parti remis », le « Parti en c……. », le « Parti carré », le « Parti trop tôt », le « Parti trop tard », le « Parti c’est raté ! », le « Parti des Précieux ridicules », le « Parti du bazar », le « Parti je ne sais où », le parti « Demi-tour ! », le « Parti pour toujours », le « Parti à maille », le « Parti des meubles », le « Parti sans culotte », le parti « En déconfiture », le « Parti au Ciel », le « Parti en Enfer », le « Parti Au diable », le « Parti de la Triche », le « Parti des Enfoirés », le « Parti des enculés » – et son pendant jumeau – le « Parti des enculeurs », le « Parti-cule », le « Parti en douce », le « Parti triste », le parti de « La France Rance », le « Parti sans parti », le « Parti sans laisser de traces », le « Parti du Racket », le « Parti Libre », le « Parti Iel », le « Parti en présence », le « Parti-cipe » – on fait c’qu’on peut, hein ! –, le « Parti du sérail », le parti des « Amis de Vados », le « Parti de l’Étranger », le parti « On fonce droit dans le mur », le « Parti du Grisbi », le parti « IA-IA », le parti « Il était une fois dans l’Ouest »… etc, etc…
Et bien sûr encore les très classiques partis… des « Guignols », des « Tartufes », des « Pékins », des « Démagogues », des « Bonimenteurs », des « M’enfoutistes », des « Soumis », des « Filous », des « Foireux », des « Branquignols », des « Nouilles », des « Donneurs de leçons », des « Magouilleurs », des « Menteurs », des « Fraudeurs », des « Kleptomanes », des « Canailles », des « Escrocs », des « Barbouzes », des « Pyromanes », des « Félons », des « Cocufiés », des « Grouillots », des « Rupins », des « Fouteurs de merde », des « Pourris », des « Crabes », des « Mafieux », des « Salauds », des « Liquidateurs », des « Fossoyeurs »… etc, etc, etc…
– Nb : toute proposition ressemblant à des partis existants serait purement fortuite. –
Partis tous estampillés « 200 % républicains, juré, craché ! », bien évidemment ! – Le champ lexical est si vaste ! – Appellations pourtant tellement plus réalistes – et pas délibérément aux antipodes de la vérité –, qui n’empêcheraient en rien les alliances – de préférence secrètes – entre partis et qui auraient accessoirement le mérite de définitivement déclasser le jeu des « Sept familles », de le rendre ringard une fois pour toute… Et puis ce serait tellement plus original. Après tout, il existe bien un « Parti Pirate », non ?!… Et depuis peu, même un mouvement des Gueux (#Gueux), si ! si !
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« Les noms mêmes des quatre ministères qui nous dirigent font ressortir une sorte d’impudence dans le renversement délibéré des faits. Le ministère de la Paix s’occupe de la guerre, celui de la Vérité, des mensonges, celui de l’Amour, de la torture, celui de l’Abondance, de la famine. Ces contradictions ne sont pas accidentelles, elles ne résultent pas non plus d’une hypocrisie ordinaire, elles sont des exercices délibérés de double pensée. » (1984, George Orwell) (1903–1950)
Trêve de blabla…
Petit florilège pour la route…
« Les lois inutiles affaiblissent les nécessaires. »
(Montesquieu) (1689–1755)
« Il ne faut point faire par les lois ce que l’on peut faire par les mœurs. »
(Montesquieu) (1689–1755)
« Toute opinion est indifférente aux ambitieux, pourvu qu’ils gouvernent. »
(Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre) (1737–1814)
« Tout peuple qui ne consent pas librement aux lois sous lesquelles il vit est esclave. »
(Abbé Claude Fauchet) (1744–1793)
(Guillotiné sous la Terreur révolutionnaire)
« À Paris, les hommes sont des systèmes ; en province, les systèmes deviennent des hommes. »
(Honoré de Balzac) (1799–1850)
« La sagesse du législateur est de suivre le philosophe. »
(Victor Hugo) (1802–1885)
« Ce budget contrôlé par des aveugles est voté par des muets. »
(Victor Hugo) (1802–1885)
« La loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts,
de mendier dans les rues et de voler du pain. »
(Anatole France) (1844–1924)
« C’est l’instinct de l’abus de pouvoir qui fait songer si passionnément au pouvoir.
Le pouvoir sans l’abus perd le charme. »
(Paul Valéry) (1871–1945)
« Le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin. (…)
Le pouvoir a pour objet le pouvoir. »
(George Orwell) (1903–1950)
« La société politique contemporaine : une machine à désespérer les hommes. »
(Albert Camus) (1913–1960)
« Un ministre, ça ne se vend pas ! Ça s’achète parfois ! »
(Raymond Devos) (1922–2006)
« La France va mieux, oui, non pas mieux que l’année dernière, mais mieux que l’année prochaine. »
(Coluche) (1944–1986)
« Le plus dur pour les hommes politiques, c’est d’avoir la mémoire qu’il faut
pour se souvenir de ce qu’il ne faut pas dire. »
(Coluche) (1944–1986)
« Ça fait beaucoup marrer les gens de voir qu’on peut se moquer de la politique,
alors que, dans l’ensemble, c’est surtout la politique qui se moque de nous. »
(Coluche) (1944–1986)
« Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… »
(Georges Wolinski) (1934–2015)
« En dehors du français, il y a une seule langue nationale que la Constitution tolère : la langue de bois ! »
(Vincent Roca)
« Nous ne vivons donc ni en démocratie, ni dans un régime mixte au sens de la tradition républicaniste,
mais dans des régimes de plus en plus nettement oligarchiques. (…)
L’élection sous couvert de souveraineté populaire, fournit un nouvel habillage aux dominants de toujours. »
(Denis Collin)
(…)
« Gouverne-toi bien (toi-même) pour bien gouverner le monde. »
(Sagesse populaire)
* * *
Cf. aussi la page Indécences illibérales
La bien-pensance ne se limite hélas pas aux seules élections, elle est omniprésente dans nos sociétés et nous poursuit toute notre vie durant…
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