Article en reconstruction…
Pour une médecine respectueuse de l'Homme et de la Nature
Il vaut mieux prévenir que guérir – Et traiter prioritairement les causes plutôt que de se contenter de pallier aux seuls symptômes
Halte à la dictature médico-scientiste ! Stop au totalitarisme pétrochimique !
Une approche différente de la santé, de la maladie, du bien-être… et plus largement, de la vie.
Politique de la santé… ou bien… Économie de la maladie ?
Assurance santé… ou bien… Assurance maladie… ?
Médecine libre… ou… Médecine des cartels ?
Médecine libérale… ou… Médecine industrielle ?
Médecine indépendante… ou… Médecine des brevets et des protocoles ?
Médecine humaine… ou… Médecine “bovine” ?
Médecine individualisée… ou… Médecine de masse ?
Médecine éthique… ou… Médecine cybernétique ?
Médecine intégrative… ou Médecine excommunicatrice ?
Thérapeutiques ciblées personnalisées… ou… Protocoles aveugles massifiés ?
Réseau pour soigner… ou… Machine à empoisonner ?
…
La culture du tout-curatif, la stratégie du bourrin ?
Un cheval de remède ?!
Droit à la santé… ou… Droit à la médicalisation ?
Deux médecines, deux visions, deux pratiques… deux mondes
Ès maladie… ou… Ès santé ?
Pouvoir librement choisir sa médecine ou se voir perpétuellement imposer la pétrochimie institutionnelle ? Acteur de sa santé… ou victime de sa maladie ? Responsabilisation ou déresponsabilisation ? Autonomie ou dépendance ? Enfant ou adulte ? Souverain ou esclave-cobaye ?
Soigner la maladie ou bichonner la santé ? Renforcer le terrain biologique ou systématiquement suppléer chaque faiblesse par une béquille synthétique ? Fortifier les organismes ou les mettre sous cloche pour les protéger des microbes ? Traiter les symptômes ou remédier à leurs causes ? S’engager enfin dans une réelle et ambitieuse prévention sanitaire ou bien continuer de créer une pléthore de troubles pour ensuite tenter – avec une débauche de moyens et un succès tout relatif et aléatoire – de les corriger ?
Quelle prévention favoriser ? La prévention primaire ou la prévention secondaire ? (…)
Le système de santé est-il au service des individus ou au service des lobbies pétro-chimico-pharmaceutiques et des puissances financières ?
Médoc à gogo. Soyez malades, prenez bien vos cachetons… et taisez-vous ! À chaque trouble sa petite pilule miracle. À chaque bobo son contre-bobo. À chaque gêne sa drogue. À chaque drogue son revers. À chaque revers sa médication. À chaque médication son interaction. À chaque effet indésirable traité ses effets indésirables induits. À chaque affection (-pathie) sa chimiothérapie. À chaque misère son cache-misère. À chaque souci, son sédatif. À chaque émotion sa camisole chimique. À chaque agent infectieux son vaccin… Etc., etc.
Le bénéficiaire réel de la maladie, c’est l’industrie. Le vrai bénéficiaire de la bonne santé, c’est l’individu… Ce qui en ce cas profite, au final, à la société tout entière.
En France, depuis 1950, la consommation de médicaments a été multipliée par… 350. Quel fulgurant, quel fantastique, quel fabuleux progrès !! Chaque jour, 500 tonnes de produits chimiques pharmaceutiques sont fabriquées et vendues dans notre pays. Du point de vue statistique, il y a de bonnes chances que vous en soyez, occasionnellement au moins, consommateurs. Par ailleurs, rien que les erreurs et accidents médicaux causeraient tous les ans, en France, la mort de 30.000 à 50.000 de nos concitoyens (soit l’équivalent de deux ou trois crashs d’avions de ligne toutes les semaines) et entraîneraient plus de 130.000 hospitalisations pour les seuls hôpitaux publics. Et pt’êt’ ben un ou deux chouïa d’plus. Les USA et le Canada dénombrent quant à eux plus de 100 000 (200 000 ?) décès/an par intoxication médicamenteuse (soit la 3e cause de mortalité). Vaut-il mieux être tué par le remède ou succomber à la maladie ? Les modernistes opteront d’emblée pour le remède, c’est plus classe, moins ringard.
Comment en sommes-nous arrivés là ?!… Bien entendu que les médicaments sauvent des vies – encore heureux, c’est une évidence ! Mais à titre personnel, le cas échéant, je préférerai sans hésiter faire partie des rescapés et non des tués ! Et vous ?… Il semblerait bien, comme le résume avec brio Yves Rasir (revue Néosanté) que « moins de médecine éloigne du médecin » !
LE CURATIF NE POURRA JAMAIS REMPLACER LE PRÉVENTIF
La santé coûte beaucoup moins chère que la maladie
« La santé dépend plus des précautions que des médecins. »
(Jacques-Bénigne Bossuet) (1627–1704)
Quelle médecine promouvoir ?
Les médecines de la santé ou bien la sempiternelle, exclusive, hégémonique médecine de la maladie ? Les médecines réellement préventives ou la médecine se revendiquant « prédictive » ? La médecine statistique ou la médecine singularisée ? La médecine « fondée sur les preuves » – l’épreuve – ou les médecines fondées sur les résultats ? Les médecines naturelles ou l’unique médecine médicamenteuse ? La médecine des laboratoires pharmaceutiques ou les médecines de la nature ? Les médecines du bon sens et de l’évidence ou seulement la médecine des protocoles ? Les médecines causalistes ou la monopolistique médecine palliative (anti-symptomatique) ? La médecine du traitement ou les médecines de la santé ? La médecine commerce ou la médecine soin ? La médecine du corps-machine, du patient-objet ou les médecines de l’individu multi-dimensionnel, de l’homme-être ? Les médecines humanistes ou l’écrasante techno-médecine déshumanisée ? Les médecines du monde ou la médecine scolastique affidée à la haute finance ? Les médecines indépendantes ou la médecine dépendante ? La médecine addictive, aliénante ou les médecines autonomisantes ? La médecine-prothèse ou la médecine adaptative ? La médecine pétrochimique ou les médecines écologiques ? Les médecines holistiques (globalistes, traitant le corps et l’esprit…) ou la seule médecine organique, organiciste, matérialiste ?
Le choix s’avère des plus élémentaires : ou bien résolument investir dans sa santé… ou bien grassement rétribuer sa maladie.
Les problèmes de santé sont en réalité, à la base, très souvent des questions essentiellement politiques.
Et pas seulement ce que l’on appelle communément « politique de la santé ». Non. De la politique au sens large, radical et noble du terme, c’est-à-dire de l’organisation, du gouvernement et de l’administration de la Cité dans sa globalité.
Ne pas réaliser cela, c’est passer à côté de la solution. Se pose alors une autre question cruciale : les autorités politiques veulent-elles vraiment résoudre nos problèmes de société, comme elles le prétendent ? Veulent-elles vraiment la santé, la prospérité et le bien-être des populations, comme elles l’affirment ? Tudieu ! En ce cas comment expliquer, par exemple, qu’une masse si colossale de substances toxiques soit épandue à travers tout le globe ?… Que partout la misère explose ?… Ou encore que quasiment tous les monopoles aient été démantelés, ces dernières décennies, sauf, bizarrement, celui de la « santé » ? Pourtant, un monopole reste un monopole, qu’il soit public ou privé. Dans cette configuration, les usagers se retrouvent, à leur corps défendant, prisonniers du système, les services, les prestataires et les prix leur étant, au fond, sous un simulacre de choix, totalement imposés. Prodigieux traits de modernité aux yeux des progressistes, semble-t-il.
Sachant que les mêmes causes produisent (quasi) invariablement les mêmes effets, et compte tenu tant de nos comportements individuels que de notre organisation sociétale, le « trou » de l’Assurance Maladie ne sera pas de si tôt comblé, ni notre santé collective restaurée. Que nous soyons satisfaits ou pas, d’accord ou pas, par la hausse continuelle des cotisations sociales grevant les salaires, du Ticket modérateur, des déremboursements, des tarifs des Complémentaires santé privées (« mutuelles ») et des autres contributions fiscales associées, nous payons individuellement et collectivement un énorme tribut à la maladie, à ceux qui l’organisent, et surtout – surtout – à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, éhontément en profitent. Et cela durera ainsi tant que le système sera globalement davantage intéressé à la maladie qu’à la santé.
LA MEILLEURE DES MÉDECINES, C’EST LA PRÉVENTION
LA MEILLEURE DES MÉDECINES, C’EST L’ALLIANCE DE TOUTES LES MÉDECINES
NE DIT-ON PAS QUE TOUT PART D’UN BON DIAGNOSTIC… ?
Traiter le mal à la racine
La santé serait-elle – elle aussi – un droit sans devoir(s) ? Ne serait-elle pas en passe de devenir un vrai luxe ? Pays… ou mât de cocagne ?
Nous devons avant tout – et massivement – AGIR SUR LES CAUSES PROFONDES des malaises de notre monde pour espérer alléger le fardeau de nos malheurs et sortir du cercle vicieux de notre dégénérescence. Et non jouer à l’autruche ou bien nous contenter de poser de-ci de-là quelques vieux sparadraps usés et méphitiques, qui plus est, sur une jambe de bois grandement vermoulue, un organisme gravement intoxiqué et une conscience sévèrement chloroformée.
« Les hommes s’affligent des effets mais s’accommodent des causes. »(*)
(Jacques-Bénigne Bossuet) (1627–1704)
(*) : Et si ingénument, si promptement, si obstinément, si merveilleusement !!
Santé intégrale
La santé est au-delà des pilules, des vaxxins et des gadgets
Il y a mille et une façons de concevoir la santé ou d’appréhender la maladie. À chacun ses idées, à chacun ses croyances, à chacun son interprétation.
Essai d’approche panoramique, ces pages esquissent ma vision globale de ces vastes thématiques.
Fût-elle précieuse comme tout l’or du monde réuni, fût-elle inestimable comme la prunelle de ses yeux, la santé est tout sauf un gadget, tout, sauf un joyau vitrifié, un trésor momifié, tout sauf une relique pieuse, tout sauf un concept sous cloche de verre – maintenu, entretenu, perfusé à grands renforts de chimie – comme le laisse à croire le régime de pensée monopoliste.
Question de discernement
Un corps sain, dans un esprit sain, dans un environnement sain
À l’heure où du point de vue sanitaire, l’importance déterminante d’une bonne hygiène de vie – physique comme psychique – se trouve être de plus en plus clairement démontrée, quelques lecteurs dubitatifs ne manqueront sans doute pas de se demander encore quel rapport les développements de ces pages peuvent bien entretenir avec la santé…
C’est tout simplement qu’une société malade produit inévitablement des individus malades. Et inversement, des individus malades engendrent de facto une société malade. Comment diantre, par quel fabuleux miracle, pourrions-nous, enfants de la Terre, être ou rester en bonne santé au milieu d’un monde que nous avons si largement dénaturé, empoisonné, mutilé ?! En outre, il n’y a pas que notre environnement proche qui soit souillé. Toute notre planète est souillée, l’eau, la terre, l’air… et nous le sommes tout autant et à tous les niveaux : nos corps sont pollués, nos sens sont pollués, et même jusque notre psyché à être intoxiquée, viciée, pervertie ! Pollutions multiples, stress permanents, modes de vie aberrants plombent continûment notre santé tant physique que mentale.
Indispensable reconnexion à nous-mêmes, à notre environnement(*)… et à l’Univers
(*) : Physique, social, culturel…
Non, l’environnement n’est pas qu’un concept, pas qu’une abstraction, pas qu’une marotte. Non, la biosphère n’est pas qu’un décor, la nature n’est pas qu’un jardin d’agrément, pas qu’un garde-manger, pas qu’une réserve inépuisable, pas qu’une manne – providentielle – de ressources naturelles pillables à volonté. Elle vaut pour ce qu’elle est et non pour ce qu’elle nous donne.
Nos vies dépendent étroitement d’une infinité d’autres vies. Avons-nous bien conscience qu’à chaque seconde qui passe, nous sommes, pour notre survie, indissolublement tributaires de l’intégrité et du bon état de santé de notre environnement ? Mesurons-nous que notre maison brûle et nous avec elle ? Nous souffrons intimement, dans nos cellules, dans nos tissus, dans nos chairs, dans nos vies, du même mal qui ronge notre planète toute entière : la perte progressive du contrôle de notre environnement.
Organisme sans frontières, l’homme répond en tous points aux lois de la Nature. Il en fait partie intégrante. Il n’est ni au-dessus ni en dehors d’elle. Son intelligence, sa conscience, son ingéniosité, son habileté devrait du reste le conduire à en être le gardien attentionné, le jardinier émerveillé… Au lieu de cela il se comporte en prédateur, en profanateur, en fossoyeur invétéré… y compris pour lui-même ! Stupide exploiteur !!
La santé n’est pas une marchandise (au sens d’un avoir physique, d’un bien tangible, d’une chose matérielle), c’est un état d’être.
Corps, âme, esprit, l’être humain est une monade inscrite dans le cosmos. En vérité, rien n’est séparé. Il n’y a pas de frontières naturelles hermétiques. Dans l’univers, dans la nature, dans la réalité, dans la vie – et donc aussi en chacun de nous -, tout est lié. D’une façon ou d’une autre, de près ou de loin, directement ou indirectement, distinctement ou secrètement, tout est relié, couplé, coordonné, engrené, imbriqué, enchevêtré, synchronisé. Ce sont nos cerveaux, nos raisonnements qui sont cloisonnés, dissociés, fragmentés, bridés. En ce sens, la qualification d’hors sujet de ces développements est volontiers l’apanage de quelque intellect passablement myope ou borné.
Écologie intérieure et écologie extérieure – Écologie sur tous les plans de l’être
Notre santé prend sa source en dehors de l’enclos médical. Au-delà de notre corps physique, de notre organisme biologique, notre santé s’origine dans notre mode et milieu de vie, s’enracine dans notre conscience d’Être, dans notre médecin et monde intérieur. On est jamais aussi bien soigné que par soi-même. Auto-gouvernez-vous souverainement. Cultivez vous-même, avec amour et persévérance, votre santé ! Développez votre potentiel. Votre premier médecin, c’est vous-même, et personne d’autre. Le plus grand des thérapeutes est en nous ! La meilleure et la plus durable des médecines, c’est notre art de vivre(*) en harmonie et en pleine conscience chaque jour, chaque heure, chaque instant, chaque souffle.
(*) : Notre façon de penser, de croire, d’aimer, de respirer, de bouger, de se nourrir, etc.
Rien n’est sans conséquence
Tout se paie. Tout a une valeur, tout a un prix. Tout est cause et effet. Tout est interaction. Notre sort, comme celui de l’humanité tout(e) entière, se trouve intimement dépendant de celui de nos écosystèmes – petits et grands – et du devenir de la Terre, notre belle Oasis bleue à qui nous devons tout. Santé des humains, santé des animaux, santé de l’environnement, santé de la collectivité, santé de la société, santé du Vaisseau, santé de la planète sont inextricablement liées.
La naturopathie est à l’humain – et à sa santé – ce que l’écologie est à l’environnement. Naturopathie et écologie sont les deux expressions inaliénables, les deux faces inséparables d’une même santé plénière, du plan individuel jusqu’au plan éco-planétaire.
AINSI, LORSQUE JE SOIGNE FÛT-CE UNE INFIME PARCELLE DU MONDE, JE ME SOIGNE AUSSI MOI-MÊME, JE CULTIVE MA PROPRE SANTÉ, PRÉSERVE MON PROPRE AVENIR.
Il est grand temps de (re)placer la Nature au cœur même de nos vies car il ne peut y avoir de santé véritable et durable sans une écologie globale effective.
« Prenez soin de la vie, et la vie prendra soin de vous. »
(Maharishi Mahesh) (1917–2008)
Qu’on se le dise et se le répète !
Prends souci de toi-même
(Socrate)
(470 av. J.-C.–399 av. J.-C.)
… sans oublier autrui.
Cf. aussi la page complémentaire Santé Globale et les pages Con-Science.
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