Projet de loi visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires »
déposé au Sénat le 15 novembre dernier (2023)
par le gouvernement et son ministre de l’Intérieur, G. Darmanin
(Cf. lien vers projet de loi en bas de page)
NON notamment à l’Article 4 qui prévoit « de punir d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende toute personne qui dénoncerait les graves effets indésirables des médicaments et des vaccins » !
Création d’un délit de provocation à l’abandon ou à l’abstention de soin
Cet article, tout particulièrement, constitue une grave violation de l’article 11 (notamment) de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui assure et protège la liberté d’expression(*).
Notons par ailleurs que ce projet a reçu un avis défavorable du Conseil d’État en date du 9 novembre 2023. Avis négatif qui a motivé le déclenchement par le Premier ministre d’une procédure accélérée le 15 novembre 2023. Quel entêtement ! Quel empressement !
(*) : Article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
Mais en pratique, pour nos gouvernants :
LA SCIENCE (Y COMPRIS LA MÉDECINE ET LES VAXXINS) TOUT COMME LA POLITIQUE, ÇA NE SE DISCUTE PAS !!!
Où se situent l’emprise, les provocations, les dérives, les sujétions,
les embrigadements, les compromissions, les exactions ?
Qui sont les charlatans ? Qui sont les sectaires ?
Qui porte « atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales » ?
Qui ? Qui ?!
Un texte de loi pour « protéger la santé » des Français…
ou bien un vil dispositif pour protéger les criminels qui nous dirigent et leurs actionnaires / commanditaires ?
Dérives gouvernement@les
Le retour fracassant de l’obscurantisme
Un gouvernement qui nuit gravement à notre santé
Une propagande sécuritaire une nouvelle fois basée que sur du vent
L’empire sectaire dirige le monde – L’« embrigadement » se situe du côté des gouvernants
La guerre de Religion réouverte
Jusqu’où ira l’intolérance, le fanatisme de nos dirigeants ? Jusqu’où ira la mainmise de l’État dans la sphère privée ?
Une confusion savamment entretenue – Une diversion coupable
La stupéfiante et inquiétante réponse de nos autorités face à un système de santé moribond, face à une médecine institutionnelle à l’agonie
En matière de charlatanisme, aussi, c’est celui qui dit qui l’est !
Pour justifier ce projet de loi – et donc cette nouvelle attaque frontale contre la démocratie –, le gouverne_ment français(*1) argue d’une explosion du nombre de signalements de dérives sectaires dans le domaine de la santé enregistrés par la Miviludes(*2), ces dernières années… Mais où sont donc passés tous ces signalements ?!
Puisque signalements et saisines sont allègrement – et coupablement – confondus, rappelons déjà qu’une saisine n’est pas un signalement. Précisons ensuite que sur les 4 020 signalements reçus par les chasseurs de sectes… 514 saisines ont été classées sans suite et seulement 20 ont fait l’objet d’un signalement auprès du procureur de la République.
Est-ce qu’en matière de santé, de protection de la santé et des individus – comme hélas c’est aussi le cas dans tant d’autres domaines(*3) – nos prétendus attentionnés gouvernants et savantes élites n’ont pas d’autres priorités à gérer, pas d’autres chats à fouetter, que de stupidement chercher à identifier et neutraliser quelques hypothétiques charlatans, qui pourraient possiblement abuser de la crédulité de bonnes gens, avec un arsenal législatif et juridique absolument disproportionné et totalement dévoyé ?! Visiblement le délabrement – avancé – de notre système de santé n’atteint pas nos dirigeants et ne semble pas les inquiéter.
Voici qui aurait pourtant de quoi les occuper un bon moment : hôpitaux publics en faillite (organisée), services d’urgence complètement débordés – voire fermés ! –, personnel soignant en sous-effectif chronique, maltraité, au bord de la crise de nerf – contre une pléthore d’administratifs et de gestionnaires ! –, déserts médicaux de plus en plus étendus, parcours de soin finissant par ressembler à des parcours du combattant, gestion insensée du numérus clausus, profonde crise de vocations, efficience discutable de certaines pratiques médicales, absence criante de prévention primaire (hygiène et mode de vie), médecine strictement exclusive, monopolistique (plus est, déshumanisée, impersonnelle, statistique, protocolaire…) – au lieu d’être largement intégrative –, graves et croissantes pénuries de médicaments, tarissement inquiétant de l’innovation thérapeutique (la vraie recherche-développement de nouvelles molécules) – VAXXXINS mis à part ! –, iatrogénie explosive et pharmaco-vigilance sévèrement défaillante, politique tarifaire des laboratoires pharmaceutiques délirante – pour ne pas dire criminelle –, concentration et délocalisation démente de la production de médicaments, etc., etc. ?!
Non la dérive sectaire, la tromperie, le charlatanisme, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soin… ne sont pas à rechercher auprès des praticiens de santé visés par cette loi infâme mais bel et bien auprès de nos dirigeants criminels !
(*1) : Un gouvernement si riche en… millionnaires ne peut que prendre d’excellentes décisions contre la populace qu’il opprime !
(*2) : Cf. infra.
(*3) : Pour exemple entre mille autres problèmes récurrents : éducation, justice, souveraineté alimentaire, qualité et disponibilité de l’eau potable, pollutions environnementales, changement climatique, rénovations énergétiques, système éducatif, fracture sociale (explosive !), santé et bien-être des populations, habitat et urbanisme, revivification/renouveau de la démocratie, accessibilité des services publics, transports collectifs, délitement-déshérence des campagnes, accueil-hébergement des personnes âgées, handicapées et/ou dépendantes, illettrisme, etc. etc.
« Une société sans liberté de parole est une prison. »
(Voltaire) (1694–1778)
UNE GRAVISSIME DÉRIVE TOTALITAIRE
Un texte éminemment politique – Une loi bâillon – Ce projet est un scandale absolu !!
Un gouvernement gravement à la dérive – Délit d’opinion
La légitimation d’une Science et d’une Vérité d’État, la légitimation d’une Médecine d’État au service de Big pharma
Le narratif gouvernemental et pharmafieux érigé en instance normative suprême
Chasse aux idées non conformes, aux dissidents, aux complotistes, aux hérétiques, aux sorcières…
Une normalisation alarmante – De la science à la matraque – Un pas de géant vers la médecine totalitaire
Le pays des Lumières et des Droits de l’Homme passé à la botte de l’élite mondialo-fasciste(*). Une honte pour les Français ! Une injure à l’Histoire ! Un cataclysme sociétal !
(*) : Pour les distraits et les oublieux, remettons les mots / maux / au clair et à l’endroit. Rappelons ici que le fascisme naît de la collusion entre l’État et le capitalisme. Et que le mot nazisme / nazi / vient de la contraction entre national et socialisme / -iste. Remémorons-nous également – si mes vieux souvenirs d’Histoire sont à ce jour toujours exacts – que Benito Mussolini avait été de son temps un éminent dirigeant socialiste italien, tandis que Lénine, Staline et Mao Zedong étaient quant à eux… de purs et parfaits communistes (pour me limiter à ces seuls génocidaires d’une époque pas trop lointaine).
Notons aussi, à l’intention des fervents défenseurs et ardents inconditionnels du républicanisme à tous crins, que par exemple en Asie, l’Empire du Milieu porte aujourd’hui encore le joli nom de République Populaire de Chine (RPC) et que l’ancienne République russe – renversée par les bolcheviks sept mois seulement après son instauration – laissa place fin 1922 (et jusque fin 1991), à l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS). Gardons-nous donc de tout angélisme : les « républiques » sont à géométrie très variable et ce système politique n’est en rien gage de démocratie.
Les démocraties meurent par là où elles pèchent. En France, cela fait des décennies que la pluralité, la diversité de l’information diffusée décline de façon régulière – et maintenant spectaculaire – à mesure que la censure et la propagande montent en puissance suivant en cela la concentration inouïe des sociétés de presse, et des médias en général, en seulement quelques richissimes mains. La plandémie covidiote illustre à merveille ce processus mortifère.
Un régime de censure, de propagande, de terreur qui vise à contrôler TOUTE l’information
Le capitalisme de connivence n’est plus à une crasse et à quelques milliers de morts près.
Le pouvoir autoritariste et corrompu(*), une fois de plus, révèle là à qui veut bien le voir, son vrai visage (visage, du reste, qu’il dissimule de moins en moins tellement il se sait intouchable). Gageons qu’au rythme où avancent les choses, tous ceux en désaccord avec nos dirigeants serons d’ici peu criminalisés et qualifiés/traités de « terroristes » – comme le furent d’antan les résistants aux nazis. Le seul doute, la simple méfiance – et a fortiori le blasphème – contre le gouverne-ment vous propulsera en enfer.
(*) : Le non-renouvellement, en cette fin décembre 2023, de l’agrément de l’association anticorruption Anticor démontre, si besoin en était, un peu plus encore le boulevard totalitaire emprunté par l’exécutif. Un refus implicite pour se venger des plaintes déposées notamment contre la classe politique et nos gouvernants ?
Ce n’est certainement pas en menant la guerre contre les praticiens de santé naturelle (les soi-disant « charlatan », « sectes », « sectaires » et « ôteurs de chance »…) que nos gouvernants réhabiliteront la médecine institutionnelle aux yeux des Français.
En termes de liberté de pensée et d’expression, le classement mondial de la liberté de presse établi par Reporter Sans Frontières donne une bonne indication sur la situation effective de nos pays. Ainsi, en 21e position seulement (sur 180), nous occupons une peu glorieuse place(*) (06/2024). Pour plus de précision voici le lien vers https://rsf.org/fr/classement?year
(*) : Non, il n’y a pas que dans les compétences scolaires que nous dégringolons dans les classements internationaux (PISA, etc.) !
Oui, la vérité dérange !
« Personne n’est plus détesté que celui qui dit la vérité. »
(Platon) (428 / 427 av. J.-C – 348 / 347 av. J.-C.)
Où s’arrêteront les puissants de ce monde ? Jusqu’où ira leur cynisme ? Après avoir substantiellement sabré la liberté d’expression, vont-ils prochainement proscrire purement et simplement les élections toujours au noble prétexte qu’elles menacent la démocratie ?! Ensuite, à quand la coupure de l’oxygène aux dissidents du système ?
De graves dérives gouvernement@les notamment par rapport à la médecine
Haro sur les médecines naturelles
Un objectif, poursuivi depuis des décennies, près de se concrétiser : faire taire – pour de bon – toute voix alternative ou dissidente(*1).
Non, ce n’est pas « protéger la santé »(*2) des Français et des Françaises que nos gouvernants visent de faire avec cet inique projet de loi, mais tout au contraire nous censurer, nous museler tout en se protégeant unilatéralement de leur côté(*3) contre de légitimes dénonciations à leur encontre ! Cet article de loi ne doit pas passer !
(*1) : La plandémie covidiote nous l’a encore, il y a peu, démontré de façon éclatante.
(*2) : Que le lecteur dubitatif, pour s’en convaincre, consulte la page « Bonnes urgences » de ce site.
(*3) : En se blindant de leur côté avec un lourd arsenal répressif, avec des peines puissamment dissuasives contre les contrevenants à leur politique.
Encore un enfumage dirigeant, encore une belle inversion accusatoire !
De l’allégeance politique et de la vassalisation des politichiens
Où se trouve le gratin des charlatans, des bonimenteurs, des tartufes, des manipulateurs, des sectaires ? Réponse : dans le haut des pyramides.
À titre personnel je trouve – et l’expérience largement le prouve – que les Français et les Françaises sont bien davantage sous l’emprise – forte – des boniments de nos dirigeants politiques et médiatiques – et des puissances financières qui les pilotent – que sous l’influence réelle de quelques obscurs – et très hypothétiques – mouvements sectaires… à moins bien évidemment de considérer que ces mouvements sectaires soient en réalité ces mêmes instances précitées, leurs gourous, leurs actionnaires et leurs commanditaires. Pour preuve, même la religion ne mobilise plus et l’enfer ne fait plus recette… et, pour ainsi dire, plus peur à personne.
Les plus grandes sectes, depuis belle lurette, disposent de relais et de boutiques ayant pignon sur rue(*). D’autres encore, les plus secrètes, cornaquent toutes les institutions et de fait dirigent et décident du monde. Elles nous maintiennent prisonniers de notre sort, captent notre argent, nous esclavagisent, font la pluie et le beau temps, décrètent les guerres comme ils instaurent la paix, modèlent nos pensées, dictent nos comportements, décident de nos vies et de nos morts. N’est-ce pas là le propre d’une « secte » selon votre acception, messieurs les probes gouvernementeurs et altruistes sectaires ?
Paroles de « complotiste » bien évidemment !
(*) : Ainsi, juste pour exemple, l’Assurance Maladie ne répond-t-elle pas largement, depuis quelques décennies, à cette définition… ?
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Question pour un sectaire
« Secte », quèsaco ?
Que de projections ! Que d’inversions accusatoires ! Un cas d’école pour les psy.
Puisque nos gouvernants se trouvent être obnubilés par les « sectes », les traquent sans relâche et les pourchassent de plus en plus violemment… qu’est-ce donc, au juste, qu’une « secte » en ce premier quart du XXIe siècle ?
Comme il y a autant de définitions du mot « secte » qu’il y a de Français, osons quelques éléments de caractérisation de ce mot, caractérisations tirées de l’encyclopédie en ligne Wikipedia […]
Extraits de la fiche « Secte » de Wikipedia…
- Le mot « secte » a deux sens en français : un groupe de personnes suivant et adhérant à une même doctrine (terme positif mais historique et vieilli), ou un groupe fermé sur lui-même, sous l’influence de gourous (sens péjoratif). Depuis le dernier tiers du XXe siècle, le mot est, dans le langage commun, utilisé d’une manière péjorative pour désigner une organisation religieuse socialement non légitime.
- Une secte est une communauté humaine dont les membres suivent avec rigueur une même doctrine religieuse, philosophique ou, plus rarement, politique. Appliqué à la réalité contemporaine, le terme, dont les significations et les connotations ont beaucoup évolué d’une époque et d’une société à l’autre, ne fait pas l’objet d’un consensus sémantique et encore moins d’une définition juridique universelle. Selon l’acception négative (héritage du discours hérésiologique de l’Antiquité tardive) qu’il a prise dans certaines langues d’aujourd’hui, le vocable « secte » est assez fréquemment associé à l’idée d’intransigeance et de contrainte psychologique, voire de manipulation mentale. Dans cette même perspective, les sectes sont alors caractérisées comme des groupes fermés au monde extérieur et souvent dirigés par un chef charismatique (un « gourou » au sens dépréciatif du mot), dont l’autorité ne se discute pas et qui peut être entouré d’une forme de vénération.
- Le terme a dans plusieurs langues, et particulièrement en français, une connotation péjorative, voire polémique, et tend à désigner un groupe ou une organisation dont les croyances, les pratiques ou le comportement sont jugés obscurs, inquiétants ou nocifs. Les responsables des groupes dits « sectaires » sont souvent accusés d’étouffer la liberté individuelle au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs membres, en s’appropriant parfois leurs biens et en les maintenant par divers procédés dans un état de sujétion psychologique et physique.
La connotation négative du terme « secte » est récusée non seulement par les groupes visés, mais aussi par un certain nombre de juristes et de sociologues, dont les membres du CESNUR. Selon l’anthropologue française Nathalie Luca, « un groupe devient sectaire lorsqu’il se ferme ». - Plusieurs grandes religions actuelles, à l’origine, furent des sectes issues de religions plus anciennes et déjà bien implantées. Ainsi, le christianisme s’est d’abord développé comme une évolution au sein du judaïsme.
- En dehors de la France et de la Belgique, le désir de catégoriser ce qu’est une « secte » est moins prononcé. La scientologie a fait l’objet de critiques et même de procès en Allemagne et aux États-Unis, mais au titre du droit commun.
- Les responsables des groupes dits « sectaires » sont souvent accusés d’étouffer la liberté individuelle au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs membres, en s’appropriant parfois leurs biens et en les maintenant par divers procédés dans un état de sujétion psychologique et physique. Le terme « secte » peut également être appliqué, d’une manière plus ou moins approximative, aux groupes, religieux ou non, jugés ou reconnus comme aliénants, psychologiquement destructeurs ou socialement dangereux, et menés généralement de manière autocratique par un « gourou » fanatique et/ou profiteur-manipulateur.
- En 1993, la Commission nationale consultative des droits de l’homme proposait cette définition : « Groupement se présentant ou non comme une religion, dont les pratiques constatées sont susceptibles de tomber sous le coup de la législation protectrice des droits des personnes ou du fonctionnement de l’État de droit ».
- L’expression « mouvement coercitif » avait, un temps, été utilisée comme un substitut au terme « secte » (voir le rapport parlementaire de 1995). Le rapport de 1999 de la MILS donnait la définition plus brève : « Association de structure totalitaire, déclarant ou non des objectifs religieux, dont le comportement porte atteinte aux droits de l’homme et à l’équilibre social ».
- En France, la loi ne définit pas, à dessein, [RH : officiellement du moins] ce qu’est une secte afin de ne pas porter atteinte aux libertés de conscience, d’opinion et de religion constitutionnelles [RH : Que nos autorités sont gentilles et tolérantes !] En revanche, elle définit et condamne ce qu’elle appelle les « dérives sectaires », à savoir les comportements abusifs des organisations et leurs dirigeants en ce qu’elles sont attentatoires aux droits de l’homme ou aux libertés fondamentales, constituent une menace à l’ordre public, ou encore sont contraires aux lois et aux règlements, commis dans le cadre particulier de l’emprise mentale vis-à-vis de personnes vulnérables (notamment les enfants ou les personnes en situation de détresse).
- En 2008, les associations antisectes, les commissions parlementaires et les missions du gouvernement disent étudier le comportement d’un groupe vis-à-vis de ses membres au cas par cas plutôt que d’analyser les préceptes du groupe (ce qui équivaudrait à une évaluation objective des actes plutôt que des croyances) [disent-ils]. Divers critères sont employés pour cette étude : la manipulation mentale des adeptes, qui est toujours présente dans les cas de dérives sectaires, l’organisation pyramidale et la centralisation du pouvoir aux mains d’une personne avec autorité charismatique, comme un gourou, ou d’un collège restreint de dirigeants, l’extorsion de fonds, le fait que la doctrine se présente comme exclusive, la rupture avec l’environnement d’origine, l’existence d’atteintes à l’intégrité physique, l’embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public, les démêlés judiciaires.
- Selon le professeur de théologie Harvey Cox, quatre mythes sont récurrents dans la mise à l’index de ces mouvements, le mot mythe ne signifiant pas ici que ces aspects ne puissent pas être présents dans un groupe, mais plutôt que ces thèmes reviennent invariablement, quand bien même ils n’existeraient pas dans ce groupe : le mythe de la subversion (la secte représente une menace pour la société), le mythe sexuel (la secte se livre à des pratiques sexuelles perverties : pédophilie, orgies, polygamie, viols, ou abstinence totale), le mythe de la dissimulation (la secte est volontairement trompeuse), le mythe du mauvais œil (la secte a recruté ses adeptes par la manipulation mentale, car personne n’y aurait adhéré volontairement).
- Dans la typologie sociologique, le type Secte n’a de sens que par opposition au type Église : elle est la contrepartie dissidente de la religion, dont elle occupe la place au milieu des institutions profanes. (…) Avec le temps la secte se banalise, commence à faire des concessions ou des compromis, et se rapproche finalement du type Église. (…)
Les polémiques sur le sujet ne facilitent pas l’accord sur le sens du mot et donc sa définition. Dans ces conditions, la définition sociologique est encore considérée par certains intellectuels comme la meilleure.
Des sociologues de religion comme Sabrina Pastorelli ou Danièle Hervieu-Léger ont travaillé sur ce thème. Dans son livre Approche de la sociologie religieuse, cette dernière, après une brève présentation de l’incapacité de la justice à offrir une définition convenable et un historique des politiques gouvernementales de lutte contre les « menaces » sectaires, résume la vision symbolique française du phénomène sectaire : celui-ci serait en fait identifié à une maladie qui attaquerait le corps social. Le rôle de l’État serait de détruire cette maladie et de venir en aide aux victimes. Hervieu-Léger note au passage le rôle des associations antisectes dans l’élaboration de cette vision, en particulier avec le « délit de manipulation mentale ».
(Cf. Wikipédia) - (…)
L’emprise sectaire se caractérise donc largement par une idéologie totalitaire, l’embrigadement (propagande et censure), une privation de la liberté de pensée de manière autonome, un arbitraire omniprésent, l’atteinte aux Droits de l’Homme et aux Libertés publiques, une allégeance de tous les instants au gourou, une difficile et risquée – pour ne pas dire impossible – sortie du groupe, l’extorsion de fonds, l’organisation pyramidale, etc…
Cela ne vous rappelle-t-il rien ?!…
Évidemment, toute ressemblance avec la réalité ne saurait être que purement fortuite ! Fortuite ! FORTUITE !!
La poutre dans ton œil… (cf. l’Évangile selon saint Luc, VI – 41 à 42)
–oOo–
Avec la présentation de ce nouveau texte infâme, c’est une responsabilité historique qui échoie au pouvoir législatif, et j’en appelle à un vaste sursaut républicain. Nous verrons bien là le positionnement de chacun sur ce sujet majeur. Les tartufes seront contraints de sortir du bois. Si ce projet de loi devait être adopté – et il a, hélas, de bonnes chances de l’être – ce serait là une HONTE – une de plus! – pour notre représentation nationale !
Sous couvert de bonne conscience, ne doutons pas que les traîtres à la démocratie, les complices – les criminels – du totalitarisme sanitaire – et pas seulement sanitaire – poursuivront jusqu’au bout l’étouffement de la vérité – à commencer pour échapper à leur propre responsabilité –, ne doutons pas qu’ils pousseront jusqu’au bout l’anéantissement de la France et de nos sociétés libres et ouvertes.
En réponse à ce nouveau – cet énième – coup de force de nos gouvernants – qui n’avancent même plus masqués tant ils sont sûrs de leur hégémonie et de notre asthénie –, voici le courriel que j’ai adressé ce 15 décembre 2023 aux Parlementaires de mon lieu de résidence : soit au député de ma circonscription et aux quatre sénateurs de mon département.
Monsieur le député, Madame la sénatrice, Messieurs les sénateurs,
Devant l’urgence qui nous accable une fois de plus, je fais pleinement mienne la pétition ci-dessous et vous prie de refuser l’inacceptable, l’inqualifiable, l’innommable qui achèverait de faire de la France un pays TOTALITAIRE.
« L’ignorance est la nuit qui commence l’abîme », écrivait Victor Hugo.
Est-il nécessaire de vous rappeler combien la crise dite « sanitaire » de ces dernières années – dont, sonnés, nous sortons à grand peine, plus est, endettés comme jamais – a mis à mal TOUS les principes et processus démocratiques qui fondent – ou, plus justement, fondaient – notre République ? Combien d’entorses, d’abus, d’outrances… ont été commis à cette occasion, toujours au nom du sacro-saint « Bien » et de l’Intouchable « Vérité » ? Combien aussi la science tend à être préemptée, colonisée, annexée sans vergogne, par le scientisme et la haute finance.
Par ailleurs, nous vous épargnons la très longue liste des scandales thérapeutiques, médicaux et sanitaires qui éclaboussent l’industrie pharmaceutique et chimique depuis plus d’un siècle. Les affaires – emblématiques – du Mediator, de l’OxyContin, de la Dépakine, par exemple, sont encore présentes dans toutes les mémoires vives. Gageons que d’autres scandales retentissants ne manqueront pas, hélas, de s’y adjoindre dans les prochaines années.
Propagande et censure vont de pair.
Où allons-nous ? N’en avons-nous déjà pas suffisamment vu ? Qu’est-ce donc qu’un État qui s’arroge le monopole de la Vérité et interdit toute idée divergente sous peine d’emprisonnement ? Quel « drôle » d’État que celui qui adopte les méthodes que par ailleurs il fustige et condamne ! Quel terrible manque de réflexivité que voilà ! Ce sont là des conduites caractéristiques d’autocrates, les marques distinctives arborées par les démocratures, faut-il le souligner ? Les leçons de l’Histoire récente devraient pourtant nous alerter et nous en prémunir. Dans quels bas-fonds marécageux, putrides, nauséabonds, sommes-nous tombés ?!
La police de la Pensée est en marche. Au prétexte de lutter contre les dérives sectaires, ce projet de loi scélérat – qui porte le titre fallacieux de « Protéger la santé » et revendique sans complexe le monopole de « La Vérité » (!) – a en réalité pour ambition d’empêcher d’émettre le moindre doute sur la politique gouvernementale, de museler toute voix critique, de censurer toute objection aux « vérités » assénées par la doxa, de contraindre toute velléité de lanceur d’alerte… En somme il a pour mobile d’interdire purement et simplement TOUT débat. Voudriez-vous être complice(s) d’une telle trahison ? De quelle secte s’agit-il en vérité ? Où s’arrêtera le mouvement d’étranglement – grandissant et alarmant – de la liberté d’expression, et même, plus largement, de nos libertés tout court ??? Au train où se précipitent les choses, il ne nous restera bientôt plus qu’un seul droit : fermer nos gueules… et payer nos impôts ! La vérité sous le boisseau, serait-ce là la seule préoccupation de nos gouvernants ? Qu’est-ce donc qu’une “vérité” imposée si ce n’est une imposture ?! Sans critique possible, sans discussion, sans débat, il n’y a tout bonnement plus de démocratie. Vous ne pouvez pas accepter cette vilénie.
La connaissance ne s’enchaîne ni ne se décrète. La science est un débat récursif, pas une vérité révélée ! Et lorsqu’il n’y a plus de débat (car il est interdit), il n’y a plus de science. Dans son essence même, interdire le doute, c’est interdire la science ! Place alors à l’idéologie, au dogme, au culte, à la croyance… d’État (le monstre froid de Nietzsche)… soit place à l’avènement du néo-totalitarisme. Ouvrons-les yeux et agissons !!
Science sans conscience… vous connaissez la suite.
Nous prenons distinctement le chemin de Moscou et de Pékin ! Irons-nous jusqu’à Pyongyang ?
Je compte sur vos valeurs républicaines et votre sens des responsabilités pour rejeter pareille infamie.
Pour l’avoir pratiquée, la meilleure des médecines, c’est l’alliance de toutes les médecines !
Pour notre Bien commun et la Santé de toutes et de tous
En vous remerciant par avance
Richard Heim
Un citoyen vigilant
P.S. : ceci est une « lettre ouverte » (texte publié).
Pétition de l’Association Santé Naturelle
http://www.abolition-article-4.com/signature
À l’attention du ministre de l’intérieur Gérald DARMANIN
Monsieur le ministre de l’intérieur,
Nous vous adressons cette lettre pour exprimer notre profonde inquiétude concernant l’Article 4 du projet de loi déposé au Sénat le 15 novembre dernier.
Cet article, visant à lutter contre les dérives sectaires, risque en réalité de restreindre gravement la liberté d’expression dans le domaine médical et scientifique.
En l’état, l’article 4 prévoit des sanctions sévères – un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende – pour toute personne qui dénoncerait les effets indésirables des médicaments et vaccins.
Cette mesure pourrait non seulement pénaliser des professionnels de la santé et des lanceurs d’alerte reconnus, mais aussi limiter la diffusion d’informations cruciales pour le public.
Nous comprenons la nécessité de protéger les citoyens contre les charlatans et les fausses informations.
Cependant, dans sa forme actuelle, l’article 4 semble aller au-delà de cet objectif, entravant la capacité des médecins, scientifiques et autres acteurs du domaine de la santé de partager librement leurs connaissances et leurs découvertes.
Il est essentiel que le gouvernement distingue clairement entre les discours dangereusement trompeurs et les débats scientifiques légitimes.
Sans cette distinction, cet article pourrait mener à une censure inacceptable des discussions médicales et scientifiques, portant atteinte à la liberté d’expression et à la santé publique.
Nous demandons donc la révision de l’Article 4 pour garantir que les protections nécessaires contre les fausses informations ne se transforment pas en outils de censure.
Notre souhait est de maintenir un équilibre entre la sécurité des citoyens et la liberté académique et professionnelle, essentielle à l’avancement de la médecine et de la science.
Nous comptons sur votre engagement à soutenir une discussion ouverte et éclairée dans le domaine de la santé, et nous espérons que vous prendrez en compte ces préoccupations dans vos délibérations futures sur ce projet de loi.
L’Association Santé Naturelle
P.S. : Faut-il préciser que le « doute » dont il est question ci-dessus est le doute sincère, prudent, inhérent à la méthode scientifique, pas le procès d’intention, pas le doute dilatoire, systématique, calculé, obstructif, politique ou commercial, crapuleux… que l’on connaît hélas de nos jours que trop bien comme celui venant par exemple des thuriféraires de l’amiante, du tabac, du tout-chimique, des sceptiques ou négationnistes du changement climatique (indépendamment de son origine), de l’érosion de la biodiversité, des pollutions environnementales, etc.
« La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites
de toutes réflexions pour ne pas offenser les imbéciles. » (Fedor Dostoïeski)
Nous y sommes !
La sempiternelle histoire de la paille et de la poutre
Propagande infernale continuelle contre la santé naturelle
Collusion systémique entre l’intelligentsia médicale et les pouvoirs publics
Quand il faut mourir dans la légalité plutôt que de réchapper dans l’illégalité
Exercice légal de l’empoisonnement versus Exercice illégal de la guérison
STOP au harcèlement incessant que subissent les médecines naturelles et leurs praticiens « non conventionnels » !
Aux yeux de nos autorités, les Français et les Françaises semblent définitivement appartenir à Big pharma
Combien de centaines de milliers de victimes (passées sous silence) fait – tous les ans – l’idéologie mortifère des Pharmafieux ?
Petite mise au point
Sans aucunement nier que la médecine institutionnelle (classique) sauve des vies et réalise des prodiges dans le domaine des urgences, de la traumatologie, des maladies aigües, en matière d’imagerie, d’anesthésie, de sédation, de coma artificiel, de techniques opératoires et exploratoires, de transplantation d’organes…
Faut-il informer ou rappeler aux obsédés chasseurs de « sorcières », de « sectes » et de « charlatans »(*1), aux traqueurs de « pertes de chance », aux faiseurs de guerre idéologique, aux monomaniaques de la « médecine rationnelle »(*2), aux inquisiteurs des consciences, aux zélés bien-pensants, aux grands clercs de la Vérité, aux illuminés de l’Ordre de la honte, aux ayatollahs médiqueux, aux monopoleurs pharmafieux, aux scientistes patentés, aux pourfendeurs de ce qui les dépasse… que la sainte église allopathique est, aujourd’hui, loin encore – très loin ! – de guérir et de sauver tous les malades, contrairement à ce qu’elle veut nous faire croire ?! Je suis navré de devoir leur rappeler, juste pour exemple, cette triste réalité : l’immense majorité des cancéreux qui décèdent ont pourtant été – exclusivement – pris en charge, “soignés”, traités par les thaumaturges grand-prêtres pétrochimiques de la manière la plus officielle, la plus règlementaire, la plus protocolaire qui soit(*3). Dans l’orthodoxie la plus haute, la plus pure, la plus sainte, la plus parfaite, de la manière la plus efficiente par les formidables panacées des chantres de Big Pharma et les tenants de LA Médecine monopolistique d’État… et en dépit des sommes faramineuses engagées. Combien de millions de morts sauvent-ils chaque année sans le savoir ?
Dans la même veine, pointons que dans les pays industrialisés, près de 40 % des hospitalisations seraient liées à une iatrogénie (problèmes de santé induits par des traitements ou des interventions médicales : iatrogénie intrinsèque des médicaments/thérapeutiques ou provoquée par un surdosage, des interférences, etc.). Soulignons que la iatrogénèse constitue, après les maladies cardiovasculaires et le cancer, la troisième cause de décès dans les pays développés.
Par ailleurs, combien de pathologies chroniques sont-elles durablement guéries par leurs potions magiques ? À quel coût ? À quel prix ? Combien de victimes ont pâtis de leur iatrogénie… et de l’auguste supériorité, du vénérable dédain de la docte caste médicale(*4) ?… Combien ?… Ah, ils guérissent mieux de jour en jour… Nous sommes heureux de l’apprendre ! Ils nous le rabâchent, à satiété, depuis plus d’un demi-siècle. De quel progrès, en vérité, s’agit-il ? Les victimes et leurs proches jugeront par eux-mêmes de la théorie professée, des discours proférés, des promesses formulées, des annonces tonitruantes faites… et de la têtue réalité des faits… si elles – les victimes – le peuvent encore. Le niveau autistique atteint par cette bande de truands et ces obsédés sectaires dépasse tout bonnement l’entendement ! Pitoyable d’aveuglement, d’ignorance et de cynisme !!
Quelle fabuleuse “médecine” !!
Ce projet de loi odieux est une insulte à tous les bénéficiaires des médecines naturelles, bénéficiaires de jour en jour plus nombreux… et satisfaits de l’accueil, des conseils et des soins prodigués en complément ou dehors de la doxa.
(*1) : … Et de dahus, pourrait-on presque ajouter à cette liste tant l’obsession de ces sectaires timbrés est irrationnelle, stupide, risible… et criminelle !
(*2) : « Médecine rationnelle », froide, inhumaine, protocolaire, purement statistique et bio-médicale.
(*3) : Et malheureusement parmi ces victimes décédées, j’en connais à titre personnel et en compte même parmi mes proches. Comme par ailleurs je connais des personnes qui ont durablement / définitivement réchappées avec le seul secours des médecines naturelles – alors même qu’elles étaient irrémédiablement condamnées par la médecine classique.
(*4) : Pour plus de précisions sur les doctorats et la formation des médecins, j’invite le lecteur à se reporter à la page « Con-Science » / « Pensée unique », paragraphe « Il y a docteur et docteur… »
Rappel de quelques scandales médicaux et sanitaires de ces 50 dernières années
Lorsque le remède se trouve être pire que le mal… et parfois la « guérison »… radicale, pour ne pas dire fatale…
Quelques titres évocateurs, histoire de se rafraîchir un peu la mémoire et de relativiser les choses
Pour information ou rappel… Quelques dossiers particulièrement noirs de la « santé », ou, plus justement, de la maladie
Petite illustration de la puissance du bio-pouvoir (cf. Michel Foucault, Gilles Deleuze, Bernard Stiegler, etc.)
Un domaine gangréné par les conflits d’intérêts et la corruption et où l’omerta règne en maître absolu
Un passé pharmaco-chimique quelque peu trouble
Sans même remonter aux participations d’une fraction de l’institution médicale aux abjectes politiques eugénistes de la première moitié du XXe siècle ni détailler les collaborations parfois massives de trop nombreux médecins (et autre personnel médical) dans les génocides du siècle écoulé et les immondes crimes de guerre perpétrés par les « anges de la mort » ou énumérer les ignobles « expériences » pratiquées sur des animaux et sur des humains (souvent avec la complicité des États) par des quarterons de médecins et de « chercheurs » non seulement indignes de leur titre mais aussi, plus fondamentalement, indignes du statut d’être humain… Ni même évoquer les ignominieux « traitements » psychiatriques (dont la lobotomie, mais pas uniquement) ou soulever la falsification éhontée d’un nombre certain d’études médicales au profit de l’industrie pharmaceutique et au préjudice de la santé de dizaines, de centaines de millions d’individus…
Voici donc un rappel de quelques scandales médicaux et sanitaires de ces 50 dernières années
Scandales… de l’amiante, du diéthylstilbestrol (Distilbène®), de la thalidomide, du talc à l’hexachlorophène, affaire du « sang contaminé », catastrophe nucléaire de Tchernobyl, affaire de l’hormone de croissance, crise de la vache folle, série d’essais « clandestins » de l’industrie pharmaceutique occidentale sur des cobayes humains dans les ex pays de l’Est (et pas seulement de l’Est !), dilapidation gravissime des antibiotiques – arsenal thérapeutique majeur – (spécialement par l’usage vétérinaire), affaires de l’AZT, scandale des AINS Vioxx® (rofécoxib) et Celebrex® (célécoxib), de la digoxine, scandale de la cérivastatine et autres statines, de l’Avandia®, de l’Acomplia®, affaire des sur-irradiations (plusieurs images d’Épinal et de grillades à Toulouse fatales), scandale de la grippe A (H1N1), du Lovenox® (héparine sodique), des prothèses mammaires PIP – et de trop nombreux autres implants et dispositifs médicaux –, scandale du Médiator® et de son chimiquement proche, l’Isoméride®, du Bisphénol A et des innombrables autres perturbateurs endocriniens profusément disséminés dans notre environnement, scandale de la « pilule » Diane-35®, des antidépresseurs déprimants, meurtriers et suicidaires (Prozac®, paroxétine…), de la Dépakine® (valproate de sodium) et ses dérivés, de l’Androcur® (acétate de cyprotérone), du Voltarène® (diclofénac), de l’OxyContin (+ MS Contin) (Purdue Pharma), scandale du Levothyrox, scandale du Fentanyl (opiacé)(*), de la prégabaline (Lyrica®) (anxiolytique devenu une autre « drogue du pauvre »), etc., etc.
(*) : Pour ne pas alourdir cette page, nous ne détaillerons ici que les ravages de ce seul « médicament », le Fentanyl. Précisons pour ceux qui ne le sauraient pas que le Fentanyl est une drogue de synthèse, responsable de la mort d’au moins 110 000 personnes en 2022 rien qu’aux États-Unis… où il continue de faire des ravages. Les overdoses mortelles de Fentanyl se multiplient chez les adolescents, les jeunes enfants et même les bébés… Est-il utile de souligner que les autorités françaises se montrent beaucoup plus discrètes sur les dégâts occasionnés chez nous. À quand l’annonce du scandale français ?
Précisons encore que le cabinet de conseil McKinsey – le même qui seconde si efficacement les pouvoirs publics français à commencer par le sommet de l’État – se trouve gravement éclaboussé par ce scandale des opioïdes. Il versera 573 millions de dollars aux USA pour son rôle joué dans cette crise. De son côté, Publicis Health, la filiale américaine de Publicis, va payer aux USA 350 millions de dollars (environ 320 millions d’euros) pour son implication dans le scandale des opioïdes.
Liste de scandales auxquels se rajoutent les victimes des sur-diagnostics au dépistage (sein, thyroïde, foie, prostate…) (et leurs lots de stress et de mutilations inutiles), de certaines chirurgies (esthétique, obésité…), du mésusage et/ou de la toxicité des médicaments opioïdes (dépendances et endocardites), du paracétamol, de l’Ibuprofène et de très nombreuses autres molécules (pourtant censées nous soigner), sans omettre les victimes de la folle surenchère vaccinale, etc., etc.
Avec, de surcroît, une énorme sous-notifications des effets indésirables
Soulignons également que seuls 1 à 10 % des effets adverses des traitements médicaux sont habituellement déclarés aux autorités. En moyenne, seuls 1% des effets indésirables sont remontés aux autorités de santé, selon les chercheurs indépendants ; 10 % selon les études de l’industrie pharmaceutique elle-même !
Écoutons, par exemple, ce nous dit Beate Bartès, présidente de l’association Vivre sans thyroïde à propos de l’affaire du Levothyrox : « (…) Les patients ont été mal informés, pas écoutés, le laboratoire et les autorités ayant eu tendance à minimiser systématiquement leurs plaines » se souvient-elle. (Cf. Science & Avenir, 01/2024)
Tout cela sans oublier l’imposture de la politique des médicaments génériques menée par les instances françaises dès le début des années 2000 et la politique commerciale et tarifaire éhontée de nombreux laboratoires pharmaceutiques.
À vot’ saanté, m’ssieurs dames !!
Amnésie lorsque tu nous tiens !
Vous le savez pourtant, c’est même écrit en grands caractères, « la Santé n’attend pas ». Visiblement les profits moins encore !
« Le médicament miracle d’aujourd’hui sera le poison de demain. »
(Groucho Marx) (1890–1977)
Nota bene – Important :
Je ne suis pas coutumier de tirer sur l’ambulance mais en l’occurrence il est difficile de faire autrement. Si l’on veut sauver le (ou la) Malade (l’assurance maladie, notre système de santé) – et, plus généralement, les malades affiliés –, il faut regarder les choses en face et réformer jusque sur ses bases mêmes tout l’édifice sanitaire français, toute l’Institution, tout le système médical.
Le constat n’est hélas pas nouveau. Et ce ne sont pas les manifestations et grèves récurrentes des personnels de santé et des collectifs inter-hôpitaux ni les déficits chroniques qui me contrediront.
Permettez-moi, une fois encore – une nouvelle fois, inlassablement ! – de rappeler au lecteur que je ne suis absolument pas opposé à la médecine classique, en rien adversaire de l’approche allopathique. Elle est souveraine notamment en matière d’urgence vitale, de maladies aigües, de traumatologie, d’anesthésie, d’imagerie, de chirurgie, de bilan (diagnostic), etc (cf. plus haut).
Ce sont ses dérives marchandes, financières et comptables, la corruption systémique qui y a cours, son despotisme scientiste, ses diktats sanitaires, ses dogmes réducteurs et obsolètes, ses positions monopolistes et aliénantes, ses dénigrements permanents, ses représentants sectaires et belliqueux que je dénonce.
Comme tout puissant outil, bien utilisé, il fait des merveilles, des miracles ; mal employé, des désastres, des victimes.
« Ne faisons plus de notre corps une boutique d’apothicaire. »
(Molière) (1622–1673)
Ah, j’allais oublier !…
Cas pratique
À propos d’exercice illégal de la profession de médecin… d’empoisonnement… et de renoncement à des traitements salvateurs…
Ne faudrait-il pas, par exemple, poursuivre tous ces « journalistes » (ou, plus justement, soi-disant journalistes) et autres prétendus experts qui recommandaient – et recommandent encore pour certains – inconditionnellement et sans discernement aucun(*1) les injections “anti-covid” expérimentales(*2) pour délit d’exercice illégal de la médecine puisqu’ils ont recommandé – recommandent – des traitements médicaux sans être eux-mêmes médecin(s) !!… Ce qui correspond parfaitement à la définition de l’exercice illégal de la médecine, telle qu’elle est définie par l’article L4161-1 du code de la santé publique.
Quant à ceux d’entre ces propagandistes empressés qui sont médecins, combien seraient passibles d’une cour d’Assise pour crime(s) d’empoisonnement, par exemple… ?
(*1) : Allant souvent, de plus, jusqu’à insulter et menacer les réfractaires à ces injections d’un nouveau type !
(*2) : En expliquant du matin au soir et du soir au matin qu’il n’y a pas d’autre solution thérapeutique, que ces injections sont sûres et qu’elles protègent (individuellement et collectivement) la population d’une maladie grave.
À moins qu’il ne faille inculper/condamner/punir tout ce beau monde pour « provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. » Ou encore pour « provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »
La réponse à cette question – réponse connue dès 2020 – devient chaque jour plus évidente.
La Justice sera-t-elle, pour une fois, au rendez-vous ??
Compte-tenu du nombre élevé de contrevenants, de transgresseurs, d’usurpateurs, de criminels… il faudra dare-dare faire le ménage et ouvrir de nouvelles prisons !
Un peu de cohérence et de mémoire, svp !
Triste résurgence
« Tout ce qui est naturel peut cacher des dérives sectaires » tel est le leitmotiv obsessionnel de la Police de la pensée
Le « naturel » et les médecines naturelles suspectes car… holistiques – Une spécialité purement française, cocorico !
La main invisible de Big Pharma révélée
Paroles de fennec
« La nécessaire défense de la pensée rationnelle », notamment face aux « dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs » (cf. rapport de la Miviludes, 2018)
Prendre en compte toutes les dimensions de l’être humain (biologique, énergétique, émotionnelle, mentale, spirituelle…) suffit à rendre suspecte une méthode de santé aux yeux de la Miviludes(*1) qui nourrit une très officielle et longue liste des thérapies « à risque de dérive sectaire ». Figurent dans cette liste des pratiques comme l’EMDR (technique psychologique validée scientifiquement par l’INSERM et recommandée par de grands médecins comme le regretté David Servan-Schreiber), la gemmothérapie (remède traditionnel issu des bourgeons et tissus embryonnaires de plantes médicinales), la sophrologie (une simple méthode de relaxation pratiquée par des dizaines, des centaines de millions d’individus à travers le monde), la médecine ayurvédique (pratiquée en Inde depuis des millénaires et reconnue par l’OMS pour ses bienfaits) – dont le yoga –, la méditation, la naturopathie (vaste synthèse des méthodes naturelles de santé), la PNL (programmation neuro-linguistique), la psychogénéalogie ainsi que la constellation systémique et familiale, le rebirth, le reiki, etc. etc… – Un inventaire à la Prévert. – Cela est proprement absurde !!!
Et pendant ce temps-là, la « Tour de Sauron » est totalement aveugle aux vraies menaces qui planent sur nos sociétés ! Et elles sont pourtant nombreuses et gravissimes ! À titre de parallèle, soulignons par la même occasion que l’Allemagne nazie a interdit (le 9 juin 1941) les pratiques « spirituelles » comme… l’anthroposophie et même l’agriculture biodynamique (dont sont issus aujourd’hui encore les produits Demeter), la Rolls de l’agriculture biologique(*2). Gardons également à l’esprit que l’Ordre des médecins fut créé par un certain Pétain et le régime de Vichy afin de cadenasser et régenter la pratique médicale. Cet « ordre » existe toujours et il a même joué un rôle de premier plan – un rôle odieux ! – durant le corona circus.
(*1) : Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires. Organisme de l’État français créé en 2002, jouissant de l’immunité pénale (peinard / pénard !) – diligent relai de big pharma et de la religion totalitariste mondialiste – qui se défend de tenir une liste noire et qui s’autorise toutes les licences. (…)
(*2) : Redisons ici, à ce propos, que la médecine institutionnelle (allopathique, protocolaire, industrielle) cherche à discréditer et à écraser les médecines naturelles (individualisées, causalistes, holistiques…) tout comme l’agriculture conventionnelle (pétrochimique, industrielle) cherche à discréditer et à écraser l’agro-écologie (agriculture artisanale respectueuse des êtres et de la nature)… Les méthodes – dégueulasses – employées sont parfaitement transposables.
Rappelons que dans leur idéologie totalitaire, dans leur intransigeance monopoliste et leur aveuglement criminel, les khmers blancs, les pharmafieux et leurs multiples représentants institutionnels (spécialement de l’Ordre) sont autant déterminés à reconnaître les médecines naturelles qu’ils sont enclin à reconnaître la dérive mercantile de leur filière, leur impuissance dans la prise en charge des maladies chroniques ainsi que les perpétuelles et croissantes exactions de Big pharma (dont les nombreux effets secondaires des traitements proposés – et notamment la iatrogénie vaxxinale)… et donc conséquemment reconnaître les innombrables victimes directes comme indirectes de leurs actes. Une chape de plomb. Un sujet tabou. Une omerta absolue.
Rappelons aussi que les charlatans, les individus sans scrupule, malhonnêtes ont hélas toujours existé… Dans le lot, les médecines naturelles n’en ont pas le monopole mais n’en sont malheureusement pas exemptes non plus… tout comme la médecine institutionnelle… comme du reste tous les secteurs d’activité. Connaîtriez-vous une profession ou une collectivité humaine échappant totalement aux véreux et aux tricheurs ? Même au sein de nos Institutions publiques et de nos hauts responsables politiques, même au sommet de l’État, il peut arriver – il n’est pas rare – que des escrocs opèrent. Me trompe-je ?
En complément des activités décrites comme sulfureuses – aux yeux des autorités – citées plus haut… Médecins non conventionnels, homéopathes, acupuncteurs, tradipraticiens, praticiens en médecines naturelles – salons Médecines douces et salons Zen ! –, psychothérapeutes… mais aussi végans, jeûneurs, méditants, militants écologistes… altermondialistes, désobéisseurs civils et résistants de tous poils… vous êtes TOUS dans le viseur de Sauron !
Enfin, signalons qu’il est des praticiens non conventionnels – et ce disant je ne vise aucunement ma petite pomme – dont l’ampleur des connaissances et le niveau d’érudition n’ont absolument rien à envier à ceux de leurs homologues conventionnels. Ils pourraient même en faire pâlir plus d’un… Sans même évoquer la qualité de leur savoir-être…
« Il vaut mieux mourir selon les règles, que de réchapper contre les règles. » (Molière, 1665). En ce domaine, les temps n’ont pas changé. Question de foi. Pas de place, au Paradis de la Chimie, pour les agnostiques, athées, incroyants, incrédules, infidèles, mécréants, sceptiques.
Sur cette thématique sectaire, cf. aussi les pages « Dérives gravissimes de la secte G », « Con-Science », « Plaidoyer pour la liberté thérapeutique et la diversité des médecines », et « Rideau ».
Je vous invite aussi à consulter la bibliographie indicative sur la page « Références ».
Guérisons en-dehors des autoroutes battues par Big Pharma
Sans même référer aux « miracles »…
Que l’on puisse (aussi) guérir de maladies graves sans l’aide de médicaments étonnera – ou épouvantera – toujours le plus grand nombre. Et pourtant ! J’invite les indécis et les hésitants (et eux seulement car les sceptiques, prisonniers de leurs certitudes(*), ne prendront jamais cette peine) à lire par exemple le témoignage d’un médecin, le Dr Yann Tiberghien : livre « Ils étaient tous condamnés – 11 récits de guérisons inexpliquées », presses Chatelet (25/05/23).
Ou encore le livre du Dr Kelly A. Turner « Rémission radicale » publié en Europe sous le titre « Les 9 clés de la rémission » ; éd. J’ai lu (19/09/18).
Ou encore le récit autobiographique – au titre évocateur – de la journaliste québécoise Josée Blanchette : « Je ne sais pas pondre l’œuf mais je sais quand il est pourri ». Éd. Flammarion Québec (27/09/16).
Trois témoignages édifiants récents parmi tant d’autres !
(*) : Les satrapes du « rationalisme » totalitaire.
Authentique
Élections présidentielles 2017
Avril 2017 : E. Macron s’exprime sur les médecines naturelles
La médecine préventive – sans médicament – du candidat En Marche
Je ne résiste pas à l’envie de reprendre ici in extenso la réponse du candidat En Marche à l’élection présidentielle de 2017 sollicité à cette occasion par le principal syndicat professionnel des naturopathes auquel se sont joint d’autres instances représentatives des médecines naturelles.
Tout d’abord, voici le courrier adressé en mars 2017 aux candidats de l’élection présidentielle par un collectif de naturopathes :
Madame, Monsieur,
Aujourd’hui en France, on estime à plus de 2 000 le nombre de naturopathes installés et c’est désormais chaque année plus de 500 nouveaux praticiens qui sortent de nos écoles et de nos organismes de formation professionnelle. Prises en charge depuis longtemps par les Organismes Paritaires Collecteurs Agréés, nos formations font désormais partie des référentiels reconnus par Pôle Emploi.
Sur le marché du travail, le profil et les compétences des naturopathes sont de plus en plus demandés dans les secteurs du naturel, du bio et du bien-être. Ils offrent ainsi de nouveaux débouchés salariés aux côtés de l’activité libérale dans laquelle les naturopathes entreprennent et exercent leur profession depuis déjà plusieurs décennies.
Les Naturopathes sont également plébiscités par les Français.
La recherche de naturopathes sur pagesjaunes.fr a ainsi progressé de 206% entre 2013 et 2015 avec 236 000 recherches comptabilisées en 2015, soit la deuxième plus forte progression en médecine non conventionnelle. Les complémentaires de santé l’ont bien noté puisque de plus en plus d’entre elles proposent des contrats comprenant une prise en charge forfaitaire de nos consultations.
Aujourd’hui, les Français veulent prendre en main leur santé et leur bien-être, de façon quotidienne, globale et naturelle, en prévention ou en complément d’une prise en charge médicale. Chez un naturopathe, ils apprennent comment optimiser leur alimentation, quel exercice physique leur convient le mieux, comment gérer leur stress et leurs émotions, comment utiliser des plantes traditionnelles et des huiles essentielles pour un mieux-être au quotidien. Ils sont accompagnés dans leurs réformes jusqu’à devenir autonomes. Le rôle du naturopathe est ainsi d’éduquer à la santé. Or, la prévention est l’élément majeur d’un système de santé efficace qui permettra de concourir à réduire le déficit de la sécurité sociale.
En France, contrairement à de nombreux pays européens comme la Grande-Bretagne, le Portugal ou l’Allemagne, nous exerçons notre métier sans reconnaissance officielle. Même si nous nous sommes structurés depuis longtemps, nous formons les futurs praticiens et nous exerçons notre profession dans un vide juridique qui, dans le contexte actuel et à venir, ne peut plus durer.
Pour le bien-être, une meilleure santé et la sécurité de tous, nous sommes convaincus que l’Etat doit à présent prendre ses responsabilités et nous accompagner pour reconnaitre et encadrer notre profession. Aussi, à la veille des élections présidentielles, nous, acteurs historiques et représentatifs des naturopathes en France, réunis au sein d’un collectif, vous demandons de prendre dès à présent position sur notre demande. Nous souhaitons pouvoir vous rencontrer rapidement afin de commencer ensemble un travail collaboratif et constructif en faveur de la reconnaissance officielle de notre métier demain en France.
Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre considération.
Cinq signataires (…)
Et maintenant, voici la réponse du candidat Macron
[Je vous fais grâce des nombreux interlignes du courrier original…]
Le Mardi 18 avril 2017 11h52, En Marche ! < […] > a écrit :
« Bonjour Monsieur,
Merci de votre message.
Nous recevons de nombreux messages comme le vôtre, qui tentent de nous convaincre de l’importance des méthodes de médecines alternatives.
Nous sommes déjà convaincus !
Le maître mot d’Emmanuel Macron en santé est celui de la prévention. Le préventif plutôt et surtout à la place du curatif.
Alors oui, la médecine sans médicament a toute sa place dans notre société de demain.
Emmanuel Macron était récemment interrogé récemment sur les sophrologues, afin de savoir s’il serait prêt à soumettre leurs consultations au remboursement. Il a répondu qu’il n’y était pas opposé dès lors que ces méthodes démontraient leur efficacité.
Ce raisonnement est applicable à la médecine par les plantes, et les méthodes de médecine naturelle.
Lors de son déplacement à l’île de la Réunion le 25 mars, Emmanuel Macron a fait l’éloge du Docteur Henry Joseph et a reconnu que la médecine par les plantes et les thérapies alternatives n’étaient pas assez développées. Elles auront toutes leurs places dans le programme de prévention.
Il faudra aussi revoir les programmes universitaires, qui consacrent très peu d’heures à la prévention. Une autre des idées du programme santé est d’envoyer les étudiants dans les écoles, les entreprises, etc. pour les sensibiliser et sensibiliser les français à la prévention.
J’espère avoir pu répondre à vos questions et remarques. Soyez assuré que les naturopathes auront toute leur place dans la société que nous souhaitons construire.
A bientôt,
—
Lucie, pour l’équipe d’En Marche !
J’adhère ! Le programme ! Je donne !
Pour en savoir plus sur En Marche : en-marche.fr
Fin de citation.
MDR !!!
Est-il nécessaire de vous dire que je n’ai jamais été dupe de cette réponse (réponse dont j’ai d’ailleurs pris connaissance plusieurs années après la date de rédaction/envoi) ni dupe du respect d’un quelconque autre “engagement“ de ce “candidat”. Cela fait belle lurette que je ne crois plus au Père Noël fût-il électoral.
La marche vers le totalitarisme s’accélère !
Un usurpateur avait-il répondu à cette demande légitime d’un syndicat représentatif de praticiens consultés par plus de la moitié des Français que la réponse aurait été strictement la même.
P.S. : Il s’avère que les vaxxins représentent le graal, l’alpha et l’oméga de la politique préventive du candidat vaxxinolâtre. Son programme inaugural étendait – sans aucun débat contradictoire – de trois à onze le nombre de vaxxins obligatoires pour les enfants. Loi promulguée le 30 décembre 2017 avec application au 1er janvier 2018. La suite ne fera que conforter et renforcer cette orientation : cf. la crise nazitaire, le durcissement des lois répressives relatives aux « dérives sectaires », les restrictions supplémentaires à la liberté d’expression, etc, etc…
–oOo–
L’heure du grand choix est arrivée : ou se rebiffer ou… se soumettre
Point de non-retour atteint voire dépassé
Résister ou… disparaître en tant qu’être(s) autonome(s) et souverain(s)
Une légion de censures et de brimades attendent une réponse musclée de notre part… avant qu’il ne soit trop tard
Ce projet de loi interdit de débattre de la science et oblige à se conformer au consensus médical du moment, sous peine de 15 000 euros d’amende et de prison. Il ne fait aucun doute que ce texte scandaleux veut tuer les médecines naturelles, neutraliser ses praticiens et dissuader tout lanceur d’alerte en matière de santé.
Après une première victoire au Sénat – qui a supprimé l’article 4 ce vendredi 15 décembre –, le gouvernement semble être revenu à la charge ce mardi 19 au soir.
Le totalitarisme a le vent en poupe – À qui le tour ?
Après l’interdiction de dénoncer les effets secondaires des produits pharmaceutiques… à qui sera-ce le tour ? Quelle autre liberté d’expression vont-ils biffer après celle-là ? Vont-ils prochainement interdire de dénoncer les effets du changement climatique et de l’inaction politique qui y est liée ? Ou, au contraire, vont-ils interdire d’en douter – jusqu’à interdire tout doute ? Vont-ils interdire de dénoncer les méfaits de la pollution massive ? Vont-ils interdire de critiquer les produits phytosanitaires ? Vont-ils interdire de dénoncer les ravages de l’agriculture intensive ? – La très mal nommée Cellule Demeter en constitue un premier pas significatif. – Vont-ils interdire la dénonciation de l’accaparement éhonté de l’eau ?… Vont-ils interdire de dénoncer les censures ?… Vont-ils nous interdire de nous foutre de leur gueule, même en privé ?… Vont-ils bientôt nous interdire de rire tout court ?… Et puis de respirer tout simplement… sous prétexte de limiter le CO2 ?… Avec ces saligauds – ces crapules – à la barre nous pouvons hélas nous attendre à toutes les forfaitures.
(…)
P.S. : à propos de censure… des énièmes témoignages
“Étrangement”, l’Internet rétrécit de jour en jour
Il est à noter – et ce n’est malheureusement pas la première fois que je suis confronté à ce problème, parole de complotiste – que j’ai dû m’y prendre à plusieurs reprises et ruser pour arriver à transférer à UNE personne le courriel reçu de Guillaume Chopin (Association Santé Naturelle) invitant à la signature de la pétition susmentionnée. Idem (par deux fois en deux jours) pour envoyer un courriel comportant l’adresse de la plateforme de signature à UN destinataire unique. À chaque fois, l’envoi du mel est « rejected per SPAM policy » (copie écran à disposition)(*1). Un temps client de SFR, je continue sporadiquement d’utiliser son service de messagerie. Je peux témoigner que malgré toutes mes précautions, j’y reçois des spams – pourriels –à la tonne ! Pour me faire une idée du motif de rejet, j’ai testé (successivement) le transfert de deux autres messages traitant de tout autre chose (moins “sensible”)… Et devinez quoi ? Cela a marché du premier coup ! Je serai curieux de savoir si l’un ou l’autre de mes lecteurs utilisant SFR (détenu par un certain P. Drahi(*2), si mon information est toujours exacte) a déjà rencontré ce type de “souci”… ou, plus justement, de censure.
À ce propos, j’apprends par le même Guillaume Chopin, ce lundi 18/12/23, que Facebook(*3) et WhatsApp(*3) interdisent le partage de sa pétition, que Google(*3) bloque une fois sur deux l’accès à sa page de signature sur internet… et systématiquement sur le site de France Soir… Révoltant !
(*1) : SFR semble être coutumier de ce genre de pratique censoriale. Ainsi, de mémoire, j’ai déjà connu pareil refus mi-juillet 2021, en voulant transférer à un destinataire une pétition contre l’obligation vaccinale des soignants. Idem, fin juillet de la même année pour transférer l’article de Reza Moghaddassi « À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner ». Manifestement, les dirigeants de SFR participent à la censure générale sur ces sujets de santé.
Et voilà que la censure sfresque me retrouve en cette fin d’été 2024 ! Visiblement, nos censeurs n’aiment pas les révélations explosives en provenance du Japon à propos des « vaccins » anti-covid… Black-out total en France.
(*2) : P. Drahi, PDG d’Altice, c’est tout un empire… dont aussi BFM-TV… et même les rallonges de pistes d’atterrissage pour ses jets privés, etc… Signalons toutefois que ce dernier a été contraint en ce début 2024, face au mur de sa dette, de vendre la galaxie Altice Media (dont BFMTV et RMC) à l’armateur milliardaire Rodolphe Saadé (PDG de CMA CGM…). Mais la censure est restée.
(*3) : Mastodontes auxquels il faut ajouter bien d’autres. Rappelons par la même occasion que YouTube (Entube, pour les intimes) appartient à G00GEL (…). Rappelons aussi que cette dernière société (aux activités par essence plus que douteuses) ne réprime pas seulement dans le numérique – en orientant l’information, en censurant de multiples manières dont l’invisibilisation par les algorithmes (shadow banning), etc. – mais qu’elle sévit tout autant dans le domaine… militaire et bien plus…
Figurez-vous que le lendemain où j’ai écrit et publié la précision ci-dessus, mon site – qui pourtant caracolait jusque-là en tête sur ce même moteur de recherche sur la requête « Richard Heim » – a maintenant complètement disparu des résultats de la recherche ! – Vous en doutez ? Faites le test ! – Une coïncidence, sans nul doute. Me voilà à mon tour banni de chez ces désinformateurs, biaiseurs, malfaiteurs. Puni ! Puni de dire la vérité ! Qu’à cela ne tienne. Faites donc vos recherches avec Qwant, Lilo, DuckDuckGo(***), Ecosia, Yahoo… Des solutions alternatives existent. À nous de les promouvoir.
(**) : Aux dernières nouvelles (02/2024), DuckDuckGo filtrerait également les données. Et, compte tenu de la concentration mondiale des pouvoirs, il y a de fortes chances que les autres moteurs de recherche en fassent de même.
Voici un témoignage éloquent… Disparition d’Internet – Preuve en 5 minutes du contrôle de l’information sur le web – Psyopculture (09/02/24) : https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=LbGwF6mFBqw

SFR pris une fois de plus en flagrant délire de censure (cf. plus haut)
Censure à l’envoi / transfert de mel non conforme à la doxa
Le SPAM a bon dos !!
Quand allons-nous enfin comprendre que nos dirigeants nous mènent droit en enfer !
Un mal profond ronge nos sociétés
Qu’attendons-nous pour boycotter impitoyablement ces censeurs et ces manipulateurs ?? Combien de temps encore allons-nous nous laisser bouffer par les Gafam & Big tech, tolérer leur espionnage, souffrir leurs vols de données personnelles, endurer leurs censures, subir leurs frasques, consentir leur esclavagisme ?? Combien de temps encore allons-nous nous laisser piétiner par nos gouvernants – censés tout de même être nos employés, nos obligés, nos serviteurs ?!(*) Combien de temps encore allons-nous nous laisser prendre pour des idiots ? Jusque quand allons-nous accepter que l’“on” décide pour nous de ce que nous avons le droit de lire, de voir, de penser, de dire, de faire… ?? Jusqu’où ??? Jusque quand ???
Une part impressionnante de nos concitoyens sont bel et bien devenus des animaux (très très) domestiques !!
(*) : Rappelons à ce titre le fameux article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de l’an I (1793) : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » À bon entendeur…
Mes amis, il est grand temps de désamorcer le compte à rebours en cours, de remettre les pendules à l’heure, de faire réindiquer le Nord aux boussoles, de replacer l’“église” au centre du village, de réinvestir d’urgence notre souveraineté, de nous réapproprier nos vies, d’engager dare-dare un grand ménage salutaire… et de montrer de quel bois nous nous chauffons ! Unissons-nous et retroussons nos manches !
Pour plus d’information au sujet de ce projet de l’oie…
– Projet de loi – Lutte contre les dérives sectaires ; SÉNAT N° 111 – SESSION ORDINAIRE DE 2023-2024 ; Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 novembre 2023 – PROJET DE LOI (procédure accélérée) visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires : https://www.senat.fr/leg/pjl23-111.html
– Un projet de loi pour lutter contre les dérives sectaires et sanitaires (16/11/23) : https://edition.francesoir.fr/politique-france/un-projet-de-loi-pour-lutter-contre-les-derives-sectaires-liees-la-sante
– Pétition – Non à l’article 4 ! https://www.abolition-article-4.com/signature
– Pétition – Non au projet de loi « Protéger la santé » du 19/12/23 : https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-au-projet-de-loi-proteger-la-sante-du-19-decembre-15828/
– Pétition – Appel urgent à l’action : bloquez le Traité sur les pandémies MAINTENANT (21/11/23) : https://citizengo.org/fr/ot/212357-appel-urgent-laction-bloquez-le-traite-sur-les-pandemies-maintenant
– Dans son projet de loi contre les dérives sectaires, le gouvernement vise-t-il les praticiens de la santé plus que les charlatans ? (23/11/23) : https://edition.francesoir.fr/politique-france/dans-son-projet-de-loi-contre-les-derives-sectaires-le-gouvernement-vise-t-il-les
– Traités européens, OMS, projet de loi sur les dérives sectaires : coup d’Etat et dictature en marche (27/11/23) : https://edition.francesoir.fr/opinions-tribunes/traites-europeens-oms-projet-de-loi-sur-les-derives-sectaires-coup-d-etat-et
– Le projet de loi « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » et la culture de l’impunité (01/12/23) : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-projet-de-loi-visant-renforcer-la-lutte-contre-les-derives-sectaires-et-la
– Projet de Loi Macron/Darmanin : lettre aux sénateurs ; Gérard Maudrux (07/12/23) : https://www.covid-factuel.fr/2023/12/07/projet-de-loi-macron-darmanin-lettre-aux-senateurs/
– Projet de loi sur les dérives sectaires : la commission des lois adopte un texte fortement modifié (14/12/23) : https://edition.francesoir.fr/politique-france/projet-de-loi-sur-les-derives-sectaires-la-commission-des-lois-adopte-un-texte
– Projet de loi sur les dérives sectaires : le Sénat garde le cap (Lauriane Bernard, France-Soir, 21/12/23) : https://www.francesoir.fr/politique-france/projet-de-loi-sur-les-derives-sectaires-le-senat-garde-le-cap
– Victimes et scientifiques contre les désinformateurs signataires de la tribune de l’Express et la censure des études sur les dangers des injections covid (31/01/24) : https://pgibertie.com/2024/01/31/victimes-et-scientifiques-contre-les-desinformateurs-signataires-de-la-tribune-de-lexpress-et-la-censure-des-etudes-sur-les-dangers-des-injections-covid/
– Appel du 1er février contre l’article 4 de la loi contre les dérives sectaires pour sauver la science (01/02/24) ; Nicole Delépine : https://docteur.nicoledelepine.fr/appel-du-1-er-fevrier-contre-larticle-4-de-la-loi-contre-les-derives-sectaires-pour-sauver-la-science/
– Quand la doxa se heurte finalement à la science : fact-checking d’une tribune contre les fausses informations médicales, signée par des personnes qui véhiculent elles-mêmes des fausses informations (03/02/24) : https://www.francesoir.fr/societe-sante/quand-la-doxa-se-heurte-finalement-a-la-science
– Hydroxychloroquine : de la fraude à la censure (04/02/24). Des cas d’école (récents) de tromperies médicales. https://www.youtube.com/watch?v=CR4mZbmbIV0&t=833s
– Marc Doyer : Appel aux députés 👉 Ne votez pas la loi sur les dérives sectaires (08/02/24) : https://www.youtube.com/watch?v=Q3An059hOkM
– BonSens.org alerte les députés sur les excès liberticides du projet de loi sur les dérives sectaires (09/02/24) : https://www.francesoir.fr/politique-france/bonsensorg-alerte-les-deputes-sur-les-exces-liberticides-du-projet-de-loi-sur-les
– Lettre aux députés : Projet de loi sur les dérives sectaires (09/02/24) : https://bonsens.info/lettre-aux-deputes-projet-de-loi-sur-les-derives-sectaires/
– Loi contre les dérives sectaires : une censure politique ! Radio Tocsin (12/02/24) : https://www.youtube.com/watch?v=7agBSGX3DVE&t=102s
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