« Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant,
et dont les princes mangent dès le matin ! » (L’Ecclésiaste)

À L’EMMERDEUR

Le grisant – et exorbitant – pouvoir d’« emmerder »

Du plaisir d’emmerder à la volupté de faire chier
Une illustration emblématique du pouvoir de nuire
Petite déclinaison scatologique

–  C’est la Fête du Bran(*) en Benêtie !  –

(*) : Vous pouvez aussi lire indifféremment Bren ou Brun. Les citoyens attentifs auront depuis belle lurette noté la proximité troublante et caustique du bran (ou bren) et du brun en ce monde. En vérité, les habits brunâtres comme par ex. les chemises marron  ainsi que leur variante noire – ou les cols bruns façon Mao n’ont hélas jamais vraiment disparu(e)s de nos paysages politiques et de nos vies.

RÉPONSE À UNE TRÈS GROSSE MÆRDE

Avant-propos

Le texte suivant a été écrit en réponse aux propos « présidentiels » – pestilentiels serait bien plus approprié – cités ci-après(*1) et en solidarité totale avec les millions de citoyens concernés par l’emmerdement jovien, en soutien indéfectible aux marcheurs du week-end pour la sauvegarde de nos libertés publiques et le retour à la démocratie.

J’en ai lu quelques extraits lors de la Marche citoyenne pour nos Libertés fondamentales du samedi 15 janvier 2022. Mouvement d’ampleur par ailleurs encore chichement – et pas innocemment – qualifié de « manifestation anti-pass sanitaire »… Parce que, bien évidemment, les antimasques, les antipass, les antivax, les antiscience, les antiprogrès… les antisystèmes, les antidémocratiques, les anticolonialistes, les antimondialistes, les antiesclavagistes, les antinazis, les anti-sectaires, les antiracistes, les antiadhésifs, les antiseptiques, les antipathiques, les antigènes, les anticorps, les antirabiques, les antihygiéniques, les antidotes, les antilopes, les antinomiques, les anticipations… – merde ! foutredieu ! la liste est trop longue ! qu’ils aillent au diable ! – bref, les Antitout !!! qui se trouvent hélas aussi être les beaufs, les déviants, les défiants, les complotistes(*2), les conspirationnistes (et chacun sait combien ces bâtards, combien ces dégénérés sont profondément et incorrigiblement cons !), les grincheux, les réfractaires, les ringards, les passéistes, les populistes, les sophistes, les platistes, les soucoupistes, les climato-sceptiques – voire les climato-dénialistes et même les clitosceptiques (…) –, les négationnistes, les pro-russes, les prolétaires, les pro-raëliens, les prophètes de malheur, les marchands de peur, les agités, les paranos, les cinglés, les abrutis, les ânes, les imbéciles… les obscurantistes, les racistes, les réactionnaires, les homophobes, les xénophobes, les intégristes, les extrémistes, les extrêmes-droitistes(*3), les terroristes, les fanatiques, les fascistes, les antisémites(*4)… –, ces infréquentables, ces idiots, ces tocards, ces débiles, ces affreux demeurés, ces haineux enragés, ces enculés, ces fils de pute, ces sales rats, ces sacs à merde(*2), ça gobe vraiment n’importe quoi et ça bite rien à rien(*5) !! RIEN À RIEN !! Mais alors ça ose tout ! TOUT ! TOUT !! Quand leur coupera-t-on enfin – et définitivement ! – l’oxygène afin de les empêcher de continuer à nuire à tout un chacun et à la collectivité tout entière ?!
(*1) : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout(**). C’est ça, la stratégie. (…) L’immense faute morale des antivax : ils viennent saper ce qu’est la solidité d’une nation. Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. » – Cacade recueillie par Le Parisien – un canard, un torche-cul particulièrement putride, cela ne s’improvise pas – et publiée ce mardi 4 janvier 2022 au soir.

– Entre nous soit dit, comment peut-on lire pareil organe de propagande, pareille serpillière, pareille mairde… plus est grassement subventionnée – prostituée – comme tous ses compères désinformateurs ?!

(**) : Des choses qui malheureusement arrivent volontiers lorsque la bouche se situe trop près du fondement – ou l’inverse –, voire que les deux orifices se confondent ou fusionnent. Ce qui, visiblement, se trouve être, de manière pathologique – et pathétique –, en l’occurrence le cas.

« C’est ça, la stratégie. »… Oui, la savante stratégie d’un maître Étron sur son colombin perché. La dégueulasse chiure d’un m’as-tu-vu. La finasserie d’un fouteur de merde pestilentiel. La forfanterie d’un fier-à-bras. La hâblerie d’un rodomont. La jactance d’un wunderkind. Le stratagème d’un sinistre tartarin de ꟽascaron. Les fourberies d’un royal bouffon. La docte manœuvre d’un minable kéké chevauchant crânement sa bombe à étrons tout en arborant fièrement sa Grand-croix de fer brune – Ah ! quel fabuleux, quel sublime art du « en même temps »(**) ! La tartarinade d’un magouillon, d’une sale gouape, d’un roquet merdeux, d’un fieffé malotru, d’un histrion patenté, d’un escroc avéré, d’un exécrable Guignol, d’un archi-menteur, d’un uber-imposteur, d’un extra-foireur, d’un ultra-enfumeur – digne au moins du Nobel du Mensonge – droit dans ses exactions et ses crimes… Morbleu ! Quel talent ! Quel bouffon ! Quel génie ! Quel minus ! Quelle ordure ! Quel pendard !

(**) : Il est bon de se rappeler que les nombreux doubles langages, doubles discours, doubles jeux, les sophismes, les renversements sémantiques, les fameux « en même temps » si prisés du ludion sont sources de dissonances cognitives majeures et combien ces dernières (comme, du reste, de manière générale, les injonctions paradoxales ou doubles contraintes) – en un mot : la pensée perverse – peuvent gravement porter atteinte au psychisme d’autrui en formant de puissants promoteurs de mal-être, d’aboulie, de forclusion de la pensée, de césure, de fêlure, de fracture de la personnalité… jusqu’à mener à des états psychotiques et à la folie (schizophrénie…). Mais ne serait-ce pas là, par le plus invraisemblable, le plus prodigieux des hasards, le but recherché ?!
Remarquons par la même occasion que cet habile brouillage psychotique a pour fâcheuse conséquence de rendre ce qui n’est pas/plus pensable, totalement invisible, imperceptible, indiscernable aux profanes littéralement hypnotisés, envoûtés par l’artifice. Impensable et impensé se renforçant mutuellement, il n’y a entre ces deux pôles qu’un pas infime qu’un esprit altéré, pilonné, torpillé de la sorte, a tôt fait de franchir le rendant totalement hermétique à la réalité qu’il subit pourtant de plein fouet.

« Un pervers n’a aucun état d’âme, il n’a aucune limite. »
« Les psychopathes en poste aux sommets de la politique et de l’économie ruinent les sociétés. »
(Dr Adriano Segatori, psychiatre italien)

Merdre ! ſ‘exclamerait ſanſ retenue le père Ubu… voilà que le muſcadin nouſ foire droit deſſuſ !!… Vrout !! et il nous bouse de toute son arrogance !! Il nous chie sa pleine galéjade !!… Nous voici donc enduits, merdus, macronés devant le monde entier par Le p – oui, le pet, Le Petichien – interposé… Cependant, nous ne consentons aucunement et ne prenons pour rien au monde !! Marde ! Ne nous riez pas au nez ! Votre tour arrivera aussi ! Au fond, ce serait presque un honneur… – Mais nous n’allons certainement pas en rester là. Vous cherchez à nous pourrir la vie… vous n’en sortirez pas indemne. Nous renverserons la table. Nous vous retournerons votre “emmerdement”. Nous nous dé-merderons tôt ou tard. Le retour de manivelle viendra, le retour de flammes se produira. Et ce jour-là, c’est nous qui allons rire car nous n’avons pas dit notre dernier mot. Nous saperons vos artifices, nous ferons craquer les digues, nous abattrons les murailles, nous renverserons les bastions… et nous finirons par vous attraper avec pleins les doigts dans l’pot de confiture… Alors vous serez remmerdé et maronné à hauteur de vos forfaits, tout comme il se doit. Et si ce n’est pas pour de bon, ce sera du moins pour longtemps.

« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur »
(Pierre Augustin Caron de Beaumarchais) (1732–1799)

 
Une synergie établie et opérante
Sauf preuve du contraire, les trous du cul ne produisent jamais que de la merde et du vent. Et de vrais vents et de la vraie merde ! à tous points de vue !
Y a pas à chier, c’est bien, en premier ressort, à travers son cul que l’on emmerde le monde, au moyen de son fiak que l’on tartit autrui, par le truchement de son souk que l’on embrouille les autres, par ses productions alvines – ses déchets, ses scories, ses ordures, ses excréments, ses immondices – que l’on souille son entourage, par l’entremise de son postérieur –
de son popotin, de son derche, de son fion, de son dargif – que l’on embrène son univers. Souvenons-nous d’emblée que le mot emmerder, bien avant les sens plus secondaires, plus figurés, plus abstraits d’importuner, ennuyer, ou encore tenir pour inexistant ou pour négligeable… emmerder signifie stricto sensu, comme le terme l’indique très explicitement, « couvrir de merde ». Et ce sont bien toutes ces acceptions que nous retenons ici, la première y comprise.

(*2) : De la folle croisade anticomplotiste des complotologues, ces fins limiers provocateurs et radicalisés à la solde du pouvoir – Lorsque dénoncer les mensonges, les exactions et les crimes des puissants inflige la marque < distinctive et infamante > de « complotisme » – Le terrorisme intellectuel (à tout le moins) de la Ripoublique des oligarques
Le problème, nous le savons tous, ce sont les complotistes. Pas les comploteurs. Pas les conspirateurs. Pas les corrupteurs. Pas les corrompus !… NOON !! LES COMPLOTISTES, VOUS DIS-JE !! LES COMPLOTISTES !! LES COMPLOTISTES !! LES COMPLOTISSS !!
L’étiquette « complotisme / complotiste » : le facile raccourci doctrinaire, la pensée binaire, manichéenne, manipulatrice, perverse, par excellence des anti-complotistes – ou des pro-conspirateurs, ce qui revient à peu près au même – recèle une indéniable dimension projective, réflexive, de la part de leurs auteurs.
Voir tout sans rien croire
(cf. Le Tartuffe, Molière). Pis : tout voir sans rien voir (ou sans rien comprendre) alors même que cela, comme le dit le bon sens populaire, se voit comme le nez au milieu de la figure… Rappelant en cela la parole biblique : « Ils ont des yeux et ne voient point, Ils ont des oreilles et n’entendent point. » Cf. aussi 1984 (G. Orwell)… Rien, en fait, de surprenant à ce “conditionnement” prodige de l’esprit car la réalité se montre plus prosaïque – mais contre-intuitive : on voit ce que l’on croit, tout simplement !… Et puis quand bien même les choses étaient effectivement conscientisées, il y a encore, le cas échéant, pour bloquer la chaîne de partage, le verrou critique
que peut représenter le poids de l’omerta ou la puissance inhibitrice du motus et bouche cousue.
Entre complotisme et divulgation. Le
complotisme de l’anticomplotisme (cf. Frédéric Lordon) ou le complosophisme (cf. Alexis Haupt) : véritable terrorisme intellectuel des chasseurs de « complotistes », des officines de la désinformation endémique, des collabos de la mafia mondialiste, des agents provocateurs du NOM, des gardes-chiourmes de l’ordre établi, des matons de la loge globaliste, des intégristes de la doxa globalo-fasciste. L’anathème complotiste, soit le discours normatif indécrottable des dominants assénés aux dominés avec interdiction stricte de penser pour ces derniers. – Merci la CIA ! – Précisons qu’il en va exactement de même du qualificatif suremployé, surfait, « controversé », devenu synonyme calomnieux, utilisé par les mêmes conspirateurs arrogants pour attenter à la probité de leurs opposants, rabaisser leurs adversaires, diffamer leurs ennemis, leur jeter boues, fiel et fientes sans jamais avoir à se justifier de quoi que ce soit.
Sauf erreur de notre part, s’il y a des complotistes c’est d’abord parce qu’il y a des comploteurs. C’est parce qu’il y a des comploteurs qui complotent, des conspirateurs qui conspirent qu’il y a des complotistes et des conspirationnistes pour les dénoncer. Nous renvoyons d’entrée le traqueur de « complotiste(s) » à la magistrale sentence de Paul Valéry : « Qui ne peut attaquer le raisonnement attaque le raisonneur ». Qu’il cogite aussi sur les trois armes définies par Hannah Arendt (la démonologie, le déni du réel et la judiciarisation) – trois armes auxquelles on ajouterait aujourd’hui la psychiatrisation, comme une sorte de prolongement profane de la diabologie d’antan. Et puis qu’il médite également cet aphorisme d’Alexis Haupt : « Voir des complots partout, c’est être complotiste. Voir des complotistes partout, c’est être journaliste. »
Étiquette d’autorité stupide, insulte phare, argument repoussoir, vocable pontifiant, vignette designée pour blâmer, criminaliser la pensée divergente, figure massue de reductio ad Hitlerum… comme autant d’attaques ad hominem systématiques des propagandistes et des bien-pensants pour empêcher tout débat contradictoire, déconsidérer à bon compte, disqualifier les oppositions et réduire les voix dissidentes au silence. Des manœuvres grossières et éculées menées par les tenants de l’ordre établi, par les zélotes et les chiens de garde du système mondialo-nazi au Tribunal de la Mauvaise foi pour étouffer toute critique. Le procédé est vieux comme le monde : pour discréditer à bon prix, l’accusation fallacieuse brandit un terme injurieux ou agite une formule magique infamante – variable selon les époques – afin de couper court à toute discussion et la clore d’office. Les prétextes les plus grotesques, les outrances les plus viles ont communément cours et les plus spécieux raflent la mise. Lorsqu’on veut noyer son chien, ne l’accuse-t-on pas – opportunément – de la rage ?
Qui donc est le diable ?!
(*3) : Au temps de Joseph McCarthy (« peur rouge » aux USA), l’« opinion publique » les aurait, au contraire, commodément traités de « sales communistes ». Les temps changent, les mœurs changent… mais les travers restent.
(*4) : Et j’en oublie dans la liste de leurs délires. Par ailleurs, comme si cela ne leur suffisait plus, enfermés qu’ils sont une surenchère permanente, voilà-t-il pas qu’ils se mettent maintenant à concaténer les insultes (par ex. conspifachos), l
es duos complotistes-racistes et pro-russes-antisémites représentant aux yeux du grand public le jackpot suprême, le sommet de l’aversion, le nec plus ultra du haïssable. Quant au terme antivax, il a en quelques petites années seulement rejoint ceux de xénophobe, de fasciste ou de pédophile en tête du hit-parade de l’indignation, propulsé qu’il fut par la doxa tout en haut de l’échelle de la réprobation et de l’abjection collective. Soulignons que, sauf erreur de notre part, l’expression « être fâché » n’est pas – ou pas encore – synonyme d’« être fasciste ». Dans combien de mois le sera-t-elle devenue ?
(*5) : Quant aux soumis, les mougeons & moutruches (normies), les pro-masques, pro-enfermement, pro-pass, pro-vax, pro-propagande (une redondance proche du pléonasme), pro-progrès (un pléonasme avéré), pro-mondialistes, pro-globalistes, professeurs, prosélytes, provocateurs, profanateurs, prohibitionnistes, proxénètes, proéminences, protubérances, prothèses et autres prolapsus, etc. – profiteurs en tout et responsables en rien –, eux bien évidemment ne militent jamais et ne manifestent nulle part… S’ils ne tirent pas eux-mêmes les ficelles du jeu (comme le font les élites et les initiés), ils appartiennent au gros ventre mou de la plèbe, à l’immense armée de carpettes macronées jusqu’au trognon. Une légion d’abrutis, une foule de couillons de culture qui, à chaque occasion qui leur est offerte – fût-ce matin, midi et soir –, se prosternent religieusement, comme au temps du Saint-Empire, devant la vulgate du Veau d’or, devant le dieu Mammon (…) si cher aux gourous progressistes et grands maîtres davosiens. Comment diable peut-on être aussi con ?! Si en plus de tous les autres enfumages et brigandages récurrents qu’ils subissent, l’évidence du coup d’État coronaviral, la réalité, la matérialité, la flagrance de la prise en otage covidiste ne leur ont pas sauté aux yeux, qu’est-ce qui pourra subséquemment leur débrider la cervelle et les rendre enfin à la raison ?! Crédules jusqu’à la bêtise ! Une cause cruellement désespérée ! Les injections plandémiques auraient-elles donc altéré les capacités cognitives des inoculés au point de les empêcher définitivement de réfléchir ?
Continuez donc de roupiller bien profond dans vos illusions, les béotiens !

QUEL MAGNIFIQUE AGNEAU !!

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Oui, ceci est un agneau !
N’en doutez pas un instant !
CE QUE VOUS VOYEZ CI-DESSUS EST BIEN SÛR UN AGNEAU !!
TOUT LE MONDE VOIT 
ÉVIDEMMENT LÀ UN BEL AGNEAU… SAUF LES COMPLOTISTES BIEN SÛR !!
– VOUS NE SERIEZ QUAND MÊME PAS UN PEU COMPLOTISTE, PAR HASARD, HEIN ?! 
– Ooh que non !! Je les déteste ces idiots !! Moi, je vois là, comme tous les gens normaux, un doux, placide, superbe, agneau !!

 « Il faut toujours dire ce que l’on voit, et surtout, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. »

« Taire la vérité, n’est-ce pas déjà mentir ? Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité,
se fait le complice des menteurs et des faussaires ! »
(Charles Péguy) (1873–1914)

Quel remugle !!
Nauséabond !!

Un emmerdement qui ne manquera assurément pas de fasciner pour leur plus grand bonheur les aficionados d’excréments et faiseurs de bran en tout genre. Un emmerdement qui, n’en doutons pas, grisera jusqu’à l’extase les coprophiles de tout poil. Un emmerdement qui ravira pour leur jubilation extrême ceux qui « sont béats d’admiration devant tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la merde » (cf. le regretté Pierre Desproges). Et visiblement, pas seulement les mouches éponymes… À moins d’assimiler les premiers – ces fins gourmets – à ces dernières – la mouche du coche mise à part.
Fascinantes matières stercorales !!!
J’emmerde, donc je suis.

Ce grossier, ignoble, sombre, répugnant personnage – qui nous pourrit la vie depuis bien trop longtemps – n’est pas à la place où il devrait présentement être… Au cas où vous ne le sauriez pas encore, cet imposteur est extrêmement dangereux. Tout comme ceux qui l’entourent et le conseillent.

L’HEURE EST GRAVE, LES TEMPS SOMBRES
L’Occident – l’Otanland – est infiltré, intoxiqué, vérolé jusqu’à la moelle par la pourriture mondialiste
Pourrissement intérieur accéléré

Nous vivons dans un monde corrompu, dans une société de menteurs, de tricheurs et de voleurs

À n’en pas douter, une exécrable brise d’anus souffle depuis des années sur notre pays. – Changement climatique oblige. – Alarmons-nous avant qu’il ne soit définitivement trop tard – l’heure est déjà avancée. Les mœurs précèdent les lois, estimait Montesquieu. La suite, nous la connaissons, hélas. Ces flatuosités marquées, ces “emmerdements” sans cesse croissants de la part du Pouvoir établi, ces attaques récurrentes – insidieuses ou ostensibles – contre la démocratie et l’état de droit, cette succession de gouvernances perverses, ces exactions ininterrompues contre le peuple, cet affairisme débridé, toutes ces magouilles et malversations politiciennes, ces trahisons institutionnelles, ce tsunami de pensées totalitaires putrides déversées par les merdias propagandistes, cette corruption endémique, la perte de probité, la disparition des repères de civilité, le reniement de nos origines… bref, cet effondrement généralisé des valeurs morales et des principes éthiques – qui font le ciment d’une société –, tout cela n’augure absolument rien de bon. Le terreau éminemment propice à l’avènement d’un nouveau totalitarisme se trouve là, là devant nous, là à nos pieds, là sous nos yeux… grand fermés.
« Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles ». La phrase culte de Max Frisch garde toute son actualité.
À bon entendeur, salut !

« La bête de l’événement est là »

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La tête à TOTO

BIENVENUE EN EMMERDISTAN !

BULLSHIT !!! BULLSHIT !!! FULL BULLSHIT !!!

PHARMACRATIE(*1) – LES NÉO-NAZITAIRES
Un nouveau totalitarisme est né : le fondamentalisme sanitaire – Le nouvel Ordre impérial
Un pastiche de démocratie – Juste un semblant d’« État de droit »

Nous ne vivons pas/plus dans une démocratie, nous vivons dans une ploutocratie

Dans la grande, illustre et prolifique famille Totalitarisme, nous connaissions jusque-là (…) Bolchevisme, Stalinisme, Fascisme, Nazisme, Maoisme… Et voilà qu’un nouveau membre éminent est sorti de l’ombre pour surgir sur le devant de la scène et terroriser les populations : le Technofascisme sous les traits d’un National Sanitarisme(*2).
Le nouveau mot d’ordre des apeurants asséné aux apeurés : « Je te protège, tu te soumets » (cf. Michel Maffesoli)
En définitive… Quelle que soit la couleur que revête la PESTE – qu’elle soit brune ou noire ou rouge ou bleue ou blanche ou verte… ou même arc-en-ciel –, elle reste, en dépit de tous les artifices dont elle use pour camoufler sa nature véritable, in fine une PESTE. Une
infâme, abjecte, répugnante PESTE… à combattre par TOUS les moyens.

(*1) : Ne nous y trompons pas, la pharmacratie est une parfaite expression du fascisme. Fascisme qui se définit fondamentalement comme la collusion étroite entre l’État et le capitalisme (et ses représentants).
(*2) : Ou encore Nazitarisme über alles – bioterrorisme orchestré par le cartel mondial de la maladie : l’OMSS-BG et ses hauts commanditaires et dignitaires –. Le National Covidiotisme – ou corona-fascisme – étant son avatar actuel. 
Mais peu importe en définitive leurs dénominations car à part quelques variantes mineures, les régimes totalitaires se ressemblent voire se confondent tous, et au fond leurs détestables procédés, leurs méthodes haïssables demeurent invariablement les mêmes.
Notons au passage que les premières campagnes – un substantif si bucolique ingénument annexé par la gent militaire – d’inoculations massives remonteraient à Vaccinapoléon… un (autre) progressiste – tyran – notoire.
À propos de sémantique… Gardons présent à l’esprit que la perversion des mots (la novlangue) amène inéluctablement à l’anéantissement de la pensée, anéantissement de la pensée qui conduit ensuite sans détour à l’asservissement des peuples.

« L’ignorance c’est la force »
(George Orwell) (1903–1950)

LA – SACRO-SAINTE ET BIEN-NOMMÉE – RAISON D’ÉTAT
L’État dans tous ses états – Nature et qualité d’États – Ploutocratie, crapulocratie, banditcratie…
DÉtat providence à État totalitaire, d’état de droit à état de nuire… des tas de configurations étatiques hétéroclites… pour la plupart despotiques
De l’Ordre établi et de son immoralité / immortalité – Les « valeurs » séculaires de la
« République » – La perversion du Pouvoir
Collusion éternelle entre puissances de l’argent et puissance publique

Électrique, l’éternelle dialectique… entre puissance instituante et pouvoirs institués – Entre les deux, un état de siège plus que de grâce

Vicelardises étatiques Le terrorisme(*1) d’État, la terreur républicaine – La « juste violence »
L‘État, la République, c’est moi !! clame le despote

D’emblée mettons les choses au clair – et les pieds dans le plat : trop peu d’État handicape, trop d’État tue.
L’État est une mafia en puissance… la pire de toutes car se drapant sans vergogne de nécessité, de légitimité et de légalité ! Si le peuple n’y prend garde et ne veille pas à strictement le contenir… le prétendu serviteur s’arrogera tous les droits et tous les pouvoirs. Il deviendra Maître, Léviathan,
Techno-bureaucratie pléthorique, Violence légitime, Force impudique, Coterie occulte, État-mafia, État tout-puissant, État surpuissant, État obèse, état d’urgence, état de choc, état de siège, état d’exception, État gangster, État terroriste, état de guerre, État totalitaire(*2)Caste mondialisée, pègre incrustée, clan des saigneurs, gang tentaculaire tout aussi schizophrénique que paranoïaque auquel il pousse spontanément des ailes de tyran(*3). Syndicat du crime organisé, cartel invasif, propagandiste, comploteur, parasite, crapuleux, furonculeux, omniscient, omnipotent Monstre froid (cf. F. Nietzsche), Big Brother (cf. G. Orwell) – intouchable car émanant tout droit de l’Être Suprême, descendant en ligne directe de l’Autre religion – la Religion laïque, la Religion Sans Nom.
(*1) : Historiquement, le terme renvoie à la politique de terreur des années révolutionnaires 1793-1794 en France. Voici la définition du mot que donne le petit Robert (2010) : « Emploi systématique de la violence pour atteindre un but politique (prise, conservation, exercice du pouvoir…), et spécialt Ensemble des actes de violence, des attentats, des prises d’otages civils qu’une organisation politique commet pour impressionner un pays (le sien ou un autre) ». Cf. aussi la spécification du Code pénal.
(*2) : Le totalitarisme se caractérise notamment par un besoin de contrôle complet, un désir d’emprise totale,
une exigence de mainmise intégrale, une volonté de domination absolue sur les corps et les esprits.
(*3) : Un leitmotiv de ces pages.

État de nuire – L’État est l’ennemi du peuple
Un triste constat pour les démocrates : ce sont toujours des hommes de pouvoir qui écrivent les règles du pouvoir.
Aussi, au cas où vous ne l’auriez toujours pas compris, le but ultime de l’État – et tout particulièrement des États-Voyous(*) – est, autant que possible, de substantiellement vous emmerder, vous emmieller, vous embrener, vous emmouscailler, vous incaguer, vous tartir… bref, de bien vous presser et vous faire chier toute votre vie durant… et ceci d’autant plus que vous êtes un « rien » ou, pire encore, un « moins que rien ».
(*) : États-escrocs, États-truands, États-crapules à nouveau en essor considérable depuis un siècle, dont font partie les démocratures, démocrassouilles, démocrassies (démocraties autoritaires ou totalitaires, monocraties, autocratiesdictocraties, banditcratie et autres régimes illibéraux) – soit l’absolutisme grimé, un totalitarisme plus ou moins soft – que nous voyons fleurir partout… et qui nous impactent de plus en plus durement nous-mêmes. Insistons d’entrée sur la dérive lourde vers le totalitarisme que connaissent toutes nos sociétés occidentales bien qu’elles continuassent de jurer leurs grands dieux – tyranniques, bien sûr – être comme jamais ouvertes, démocrates et libérales. À les entendre, des parangons de vertu à nul autre comparable dans toute l’Histoire du Monde. Sans arguer de leur éculé « De quoi vous plaignez-vous ?! Si ça ne vous plaît pas, il existe pire ailleurs ! » La métaphore de la malheureuse grenouille – plongée dans une casserole d’eau posée sur le feu – insuffisamment attentive à la dégradation progressive de son environnement immédiat – et finissant de la sorte cuite ! – ne s’applique hélas pas qu’au seul climat.
Le thème connexe de la Sainte Ripoublique sera brièvement abordé plus loin dans le texte.

Une sordide justice de classe
Théâtre de cour(s) et de courtisans – Effets de manches et grandiloquence garantis
La Force prime le droit – Le droit ne dit pas la morale, il dit seulement la politique, c’est-à-dire la loi du plus fort – Légalisme vs légitimité
Et ne comptez surtout pas sur une parodie de justice pour vous secourir, assurer votre défense ou vous dédommager d’une iniquité. Seuls encore des lapins crétins de moins de six semaines peuvent croire que la justice est indépendante et impartiale, c’est-à-dire penser qu’elle s’applique également à tous, sans discrimination d’aucune sorte.
Privilège du totalitarisme oblige, il en va de la raison comme de la loi : celle du plus fort est toujours la meilleure.
Deux poids, deux mesures, constate la sagesse populaire. Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir, écrit à juste titre Jean de La Fontaine. Et la raison du plus fort, nous le savons tous, est toujours la meilleure. (Id.) Ce n’est assurément pas la confrontation du Pot de terre et du Pot de fer (id.) qui démentira cette vérité première.
L’institution républicaine cyniquement appelée « La Justice » – déjà une escroquerie en soi – n’a, en effet, aucunement pour fonction de rendre le Droit, de servir l’équité, la morale – ou toute autre valeur humaniste – mais uniquement de protéger vaille que vaille, de défendre bec et ongles les puissants intérêts corporatistes de la classe dominante.
Quand la politique entre dans le prétoire, la Justice en sort. Alors sachant que la Politique édicte les lois, qu’elle siège dans TOUS les tribunaux, qu’elle les finance, les occupe, les régit, les lange, les biberonne… le résultat d’un tel concubinage immoral ne devrait donc absolument pas nous surprendre. Les soi-disant indépendance et impartialité de la justice sont une mascarade parmi tant d’autres.
Et affirmer le contraire serait au mieux irresponsable sinon hautement malhonnête. De par leur nature, la “justice” des hommes comportera toujours des biais, quoi qu’il en soit.
Force doit rester à la loi. Une loi aussi implacable qu’immuable.

SUIVEZ L’ARGENT
Dis-moi qui te paye

et je te dirai pour qui tu roules.

Les infâmes leçons de moraline des trous-du-cul qui nous gouvernent

Les exactions des racketteurs, voleurs, fraudeurs, usurpateurs, conspirateurs qui nous régentent
Les perfides traîtres(*) à la nation et puissants ennemis(*) de l’intérieur
Les merdophiles, de purs produits de l’oligarchie
Que de criminels patentés
(*) !! Des États terroristes(*), des élites scélérates(*) !
(*) : Ces termes sont amplement justifiés.

Ils nous font sacrifice de leur merde(*)
Quelle éthique ?!

Une barbarie totalitaire – Les grandes tenailles des maîtres chanteurs
(*) : Mais nous ne les en remercierons pas pour autant… du moins pas au premier degré.

LA RELIGION VAXXINALE, UN DÉLIRE HYSTÉRIQUE
Le fanatisme sanitaire – Les nouveaux totalitariens – Ad nauseam
De la truanderie aux commandes – Une caste de sociopathes et de pathocrates au pouvoir discrétionnaire, despotique
Le luc pestilentiel du matamore va-t-en-guerre – Un caca pas que nerveux

Malveillances, malversations et délinquances… institutionnelles, institutionnalisées, systémiques
Crimes en bande organisée, selon l’expression consacrée…

Les infox du pouvoir – Les professionnels de l’enfumage et de l’entubage

Quelques rappels du prêchi-prêcha totalitaire :

Comme pour mieux nous signifier ses intentions et préparer les esprits à la suite de ses manigances, rappelons que le même merdophile, le même mirliflore, le même olibrius de service, le même caïd bonimenteur, le même oberführoncle avait déclaré quelques jours plus tôt (31 décembre 2021) : « Les devoirs valent avant les droits ».

LA GUERRE C’EST LA MERDE… ET LA MERDE C’EST LA GUERRE
« Qui emmerde qui ? »
– Nouvelle couche de caca et de revomi dans les yeux
Des resucées à l’infini – Où le bran s’épanouit en toute quiétude et impunité
Entre Macron et Dijon, la moutarde, décidément, nous monte au nez

Puis ce mercredi 5 janvier 2022 (en sortie de conseil des sinistres), ce fut au tour de roquet junior – bébé Macron, l’apprenti jupitérion tout juste démoulé, le sémillant portfolio des gouvernementeurs-emmerdeurs – de faire le show derrière son pupitre – et devant la cour journaleustique éblouie –, d’assurer le service après-vente de son mentor, de bien repréciser – en branlant ostensiblement du chef, l’air gourmé – qui emmerdait qui et de rajouter une belle couche fraîche sur le vomichié par son patron la veille : « On va s’parler franchement ! [2 x] (…) Qui emmerde la vie de qui, aujourd’hui ? Qui gâchent la vie de nos soignants qui depuis deux ans sont mobilisés sous l’eau dans nos services de réanimation pour sauver des patients qui aujourd’hui sont essentiellement non vaccinés ? Ce sont ceux qui s’opposent au vaccin ! Qui gâchent la vie de nos commerçants, de nos restaurateurs, de nos théâtres, de nos cinémas, qui depuis deux ans vivent avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête quand ils n’ont pas été fermés ? Ce sont ceux qui s’opposent au vaccin ! Qui gâchent la vie de nos personnes âgées qui sont contraintes de vivre dans la solitude, dans la peur – dans la peur ! – face à l’épidémie ? Ce sont ceux qui s’opposent au vaccin ! (…) Et je vais vous dire que les propos du président de la République me semble très en deçà de la colère d’une très grande majorité de Français, face à ce choix qui est fait de s’opposer au(x) vaccin(s). (…) Mais la responsabilité c’est aussi de prendre les mesures nécessaires pour protéger tous les Français… et parfois pour protéger certains Français y compris contre eux-mêmes. Et nous allons continuer à assumer aussi cette responsabilité. Comme l’a dit le Président de la République ce matin : on agit, on explique et on assume. »
Voilà en effet qui a le mérite d’être limpide sur les responsabilités des emmerdes des Français !!

Notons que le même professeur Latta – coutumier lui aussi de fréquentes sorties extravéhiculaires – s’était déjà exprimé le 18 juillet dernier (2021) dans les colonnes du même Parisien craspec – au lendemain d’une vague de protestations contre la folie covidiote (extension du pass nazitaire, obligation vaccinale des soignants, etc.) qui ont réuni plus de 100 000 manifestants (au moins) à travers la France – en alertant solennellement, l’index dressé, le regard comminatoire : « Dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral », ajoutant qu’« il n’y a pas d’autre alternative ». Gaby, le porte-bran du gouvernement « covidiocratique »(*) en a bien entendu aussi profité pour généreusement fustiger les antivax qu’il a qualifié de « frange capricieuse et défaitiste très minoritaire » de la population… frange “marginale” de nuisibles hautement condamnables qu’il oppose à la « France laborieuse et volontariste, qui veut mettre le virus derrière elle ». Oh les vilains capricieux !! Des criminels !!
Dont acte, pauv’ morve !
(*) : Pour reprendre le terme approprié du philosophe Mehdi Belhaj Kacem.

Faute de place – tant les tartufes, tartarins, baltringues, resuceurs, fouteurs de merde, félons, enflures, boursouflures, rognures, crevures, pourritures et autres immondices pullulent dans cette histoire –, permettez-moi de ne pas développer ici les savants décomptes d’apothicaire de monsieur Diafoirus – le fringuant et fourbe variant du gouvernement – ses bobards et ses prescriptions véreuses. Les intéressés ne m’en tiendront certainement pas rigueur.

Ils nous emmerdent continuellement, remmerdons-les continuellement. Ils nous harcèlent continûment, harcelons-les continûment. Ils se moquent éperdument de nous, moquons-nous éperdument d’eux ! Ils se foutent royalement de nous, foutons-nous royalement d’eux ! Ils se paient monumentalement nos têtes, payons-nous monumentalement la leur. Ils nous méprisent impérialement, méprisons-les impérialement.
Il n’est hélas plus d’autres solutions pacifiques.

« La guerre c’est la paix »
(George Orwell) (1903–1950)

MANU MILITARI

PARCE QUE C’EST NOTREE PROJEEEET…
POUR VOTRE BIIEENN…
ET AVEC VOTREE ARGEENNNT !!!

Malbrough s’en va-t-en guerre
Mironton, tonton, mirontaine
Maître Étron sur sa crotte juché
Le fou de guerre pervers pépère (… et pas seulement pour la rime)

Sa majestueuse grandeur, le royal caniche, son altesse de mes deux… – le même m’as-tu-vu, le même empaffé, la même enflure… – nous montre là, une nouvelle fois, qu’il a de la suite dans son PROJEEET. Rappelons que pour sauver le royaume de France du Déluge viral – et donc personnellement préserver la vie de chacun de ses sujets –, Son Arrogance, le belliciste Emmerdeur, avait au soir du 16 mars 2020 officiellement déclaré le pays en « guerre », sonnant la « mobilisation générale » et décrétant dans la foulée le premier CONfinement aussi extensif qu’absurde(*1) de toute l’Histoire : « Nous sommes en guerre »« nous sommes en guerre »« nous sommes en guerre » a martelé à six reprises, le ton épique, l’accent grave, l’allure martiale et péremptoire à souhait(*2), le Guide Souprême de la Sainte Ripoublique Démocratique et Populaire(*3) de France… oups ! pardon ! le PDG de la French Start-up nation, globaliste technolâtre-vaxxinolâtre impénitent devant l’Éternel(*4)

Un melon de montgolfière

Puisque chacune des allocutions de ce godelureau – au melon grand comme un ballon de montgolfière – constitue une véritable offense à la démocratie et une torture intellectuelle pour les hommes intègres et libres, par nécessité je ne citerai ici que quelques-uns de ses propos particulièrement malséants et polémiques.
Pourtant, nous ne pouvons pas dire, collectivement, que nous n’étions pas prévenus. Voici donc un petit florilège de quelques divagations du fou de guerre, une brève anthologie de quelques-unes des sorties médiatiques mémorables de Sa grandiose majesté –
sinistre sbire :

Macronades en rafales

  • Souvenons-nous tout d’abord du “discours” du ministre-candidat En marche, orateur hystérique, endiablé et comme possédé au meeting du 10 décembre 2016, Porte de Versailles à Paris, au cours duquel le magouillon, postulant exalté à la Présidence de la Ripoublique – se croyant sans doute ou à Wall Street ou à Hollywood… si ce n’est à Las Vegas… mais renvoyant en fait plus prosaïquement à… l’asile d’aliénés – a fini par une éructation fétide hallucinante, un hurlement bestial, un terrible beuglement : « (…) Cee quee jeee veeuux, c’est quee vouuus, partouuut, vouus alliieez le faire gagneeer, parce que c’est notree projeeeet ! ». Souuuveeneeez-vouuus-eeennn !! Je brais donc je suis… Je suis Leader… J’ai donc raison.
  • Deux mois plus tard, en février 2017, le candidat EMmerdeur, en auguste clown, nous gratifie d’un bel aperçu de son vouloir-être-Président en lâchant au cours de son meeting électoral à Toulon, cette révélation hallucinante : « Parce que je veux être président, je vous aime et je vous ai compris ! »… Une boulette – incongruité caustique – qui en dit long sur l’imposteur, ses sombres projeeeets et toute son affection – sa profonde affection, son immense dévouement, sa passion sans bornes, son incommensurable amour, sa rage folle – pour les Français et la France.
  • Officiellement intronisé le 7 mai 2017 – dans les circonstances « inédites » que nous connaissons (…) –, le gandin confond savamment état d’urgence avec État de droit dans son discours du 19 septembre 2017 devant la communauté française à New York, en déclarant : « C’est pourquoi j’ai décidé qu’en novembre, nous sortirons de l’État de droit ! ».
    Puis faisant semblant de se reprendre, et toujours aussi satisfait de lui – clin d’œil ostensible à l’appui : « Je constate, pour ma plus grande inquiétude, que ça n’avait suscité aucune réaction d’indignation dans cette salle ! Je ne sais donc pas comment le prendre. Soit comme de la torpeur soit comme de l’acquiescement. Je choisis la première option. » s’est-il répandu, les applaudissements de l’auditoire répondant à son contentement avéré (ou vice-versa) après le lancement de son ballon d’essai.
    C’est ce que l’on appelle cacher en pleine lumière. Dissimuler tout en exposant. Dire sans dire tout en disant. Une variante de son prisé, fétiche « en même temps ». Belle perversité ! Un étourdissant lapsus parfaitement annonciateur de la suite imminente. Vous êtes prévenu, je liquide la démocratie.
    P.S. : Coutumier de ces procédés vicieux – à cette fréquence-là, il ne s’agit plus de méprises ni même de pensées dissimulées –, pointons deux autres de ses bijoux oratoires postérieurs… de la même veine. À propos de l’hôpital public, le 26 avril 2023 : « C’est plus dur de le réinventer quand tout n’a pas été détruit ». Et puis au sujet de la guerre en Ukraine : « J’assume totalement – totalement ! – d’avoir constamment, au nom de la France, parlé au président de la Russie pour éviter la paix. » (16 mars 2024)
  • « Chaque matin demandez-vous ce que vous pouvez faire pour la France », lança-t-il aux Français, fin décembre 2017, lors de ses premiers vœux comme résident de la République. Et comme le message originel du 35e président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, adressé à ses concitoyens lors de son discours d’investiture le 20 janvier 1961, plait apparemment beaucoup à notre goujat de service, il a, dans son live sur la guerre en Ukraine et la sécurité de l’Europe, le 20 février dernier [2025], remis le couvert avec : « Depuis plusieurs années, on s’était habitué à se demander ce que le gouvernement pouvait faire pour nous… On rentre dans une époque où chacun d’entre nous doit se demander ce qu’il peut faire pour la nation française et la République. »
    – Chiche !… Et si d’aventure la bonne réponse était : « TE DESTITUER » ?
    … Te foutre dehors… Oouui ! OOUUII !!!… TE FOOUTRRE DEHOORS, BON SANG !!! TE FOOUTRREE DEHOORS AVEC TES CLIQUES ET TES CLAQUES !!! TE FOOUTRREE DEHOORS AVEC, EN GUISE DE REMERCIEMENT, UN ÉNOOORRMME COUP DE PIED AU CUL !!! ¡¡ OOH OUIII !! TE FOOUUUTRREE ENFIN DEHOOORS AVEC PERTE ET FRACAS !!! et illico presto !! … sur le champ !!… sur l’instant, séance tenante, toutes affaires cessantes !!… Quelle JOUISSANCE pour le peuple Français cela serait !! Une entreprise de salubrité publique !! Une nouvelle Fête nationale ! Un bienfait pour l’humanité tout entière !!
  • Rappelons-nous aussi cet avertissement sans appel lancé aux agriculteurs réunis à l’occasion de leur Salon annuel, le 25 février 2018, soit moins d’un an après l’investiture du ludion : « Je ne suis pas là pour plaire, mais pour faire ! » Le ton est donné.
    – Ah ça ! pour faire… le bren, semer le boxon, répandre la merde,
    partir en guerre, installer le chaos, orchestrer la misère, piller les Français, ruiner le pays… le branquignol est brillantissime ! La câlinothérapie façon prédateur, démolisseur, saigneur, liquidateur. Les Gilets jaunes l’apprendront à leurs dépens. Et violemment !
  • Et puis son bras d’honneur retentissant « Qu’ils viennent me chercher ! », lancé à la cantonade dans l’affaire Benalla (…) le 25 juillet 2018 devant… ses troupes réunies. Selon la formule consacrée, courageux mais pas téméraire, le gugusse.
  • Remémorons-nous aussi ces autres paroles « sans filtre » tenues par le même azimuté, le même maboul, le même défoncé, le même illuminé, devant un parterre de 1 200 étudiants de l’Université George Washington (USA / DC), le 25 avril 2018 où il déclara, sentencieux : “Let’s disrupt the system together. (…) Don’t believe those who say that’s the rule of the game, don’t question the rules of the game, it’s always been like that, you have to follow these rules. That’s bullshit.“ – Dura lex, sed lex !Je casse les règles donc je suis.


Poursuivons avec ces quelques autres turpitudes de l’ignoble fouteur de merde…

  • Une petite devinette maintenant pour tester votre sagacité…
    Interrogé sur son milieu professionnel, la banque, qui a dit : « (…) Si je n’étais que la cupidité, je n’aurais pas choisi de quitter la banque d’affaires, ou alors je serais un être extrêmement complexe, voire pervers » ? Un silence éloquent s’ensuivra sur le plateau – On comprend.
    Propos tenus, avec un air de transe éblouie et jouissive à peine contenu, le 5 mai 2017 (soit deux jours avant son intronisation) lors de l’émission spéciale En direct de Mediapart retransmise sur YouTube et Facebook.
    Merci, monsieur le mozart – ou, plus exactement, l’odieux aigrefin – de la Finance !! Merci Microléon, merci jupitérion, merci le chef de l’Étron, merci pour cet instant de vérité en direct ! Du beau, du vrai, du profond !! Mystique !!
    Un être en effet extrêmement… “complexe”. Beaucoup, beaucoup trop complexe même pour nombre de Français – dont nous sommes.
  • Et je vous passe son emportement hystérique (version sans moustache toujours) – sur la « guerre » qui ne manquera pas d’éclater en cas de victoire de sa concurrente – lors de son meeting d’entre les deux tours de la campagne “présidentielle“, le 26 avril 2017 à Arras. Après lui, le déluge… évidemment !
  • Comme, a posteriori, je vous passe son comportement – absolument ahurissant pour un chef d’État, notamment en tribune – lors de la finale de la coupe du monde de football au Quatar, le 18 décembre 2022…
  • Enfin, rappelons-nous aussi ses propos on ne peut plus explicites – ou alors à peine sibyllins pour les profanes – tenus, avec un air sardonique et satisfait, au journal Financial Times, le 16 avril 2020 : « La bête de l’événement est là… Elle arrive. »Et j’en fais partie… je lui appartiens, aurait-il même, sur sa lancée, pu ajouter.
    Céti pas beau, tout ça ?!
  • Etc.

Voilà donc, parmi tant d’autres, un bref recueil des propos scandaleux et des répétées inconduites de celui qui en 2017 se revendiquait, par le biais de sa plateforme de candidat à la présidentielle, être « au service de tous » – … ses maîtres et donneurs d’ordres, aurait-il été juste et honnête de préciser.
Soit autant de signaux d’alarme qui auraient depuis longtemps dû alerter au plus haut point une large majorité de Français sur le profil plus que douteux du bonimenteur ! Sans compter toutes ses manigances, toutes ses trahisons, tous ses forfaits et propos polémiques à son passif depuis qu’il a été nommé en 2012 secrétaire général adjoint de son cabinet par un certain Hollandouille (alias flamby la patate)… qui s’est fait, par la suite, royalement cocufier – c’est-à-dire jusqu’au chambranle – par sa frétillante recrue.

P.S. : Notez que dans le souci de préserver le lecteur dudit freluquet à l’égo singulièrement démesuré(*5), nous aurons la charité de ne pas relayer ici davantage de ses oraisons et péroraisons… et surtout – surtout ! – nous avons à cœur de vous épargner sa tronche de C.A.C. – ou sa tranche de cake – c’est comme vous l’entendez.

Tout cela ne sera-t-il bientôt devenu plus que du vieux deep fake de longue date debunké par nos brillants et vaillants fake shakers ? Dénonciation bien évidemment assortie d’une plainte en diffamation – voire aussi, tant qu’à faire, pour harcèlement – par les malheureuses victimes précitées contre tout individu osant encore faire référence à ces vidéos odieusement truquées par des scélérats conspirationnistes. Le subterfuge n’est pas à écarter. Il est même probable. L’Histoire se réécrit comme jamais elle ne s’est réécrite auparavant ! Merci l’AI !!

veni vidi merdi
(cf. Campagnol – Christian Combaz)

« La politique, c’est un style, c’est une magie »
« Quoi qu’il en coûte »
« Lorsque se lève le vent du tragique… »
Tout est dit !

Comment, diable, peut-on apporter son soutien à pareil malotru, à pareil taré, à pareil allumé, à pareil tordu, à pareil chtarbé, à pareil fêlé, à pareil vrillé du carafon ???!!! Et, plus grave encore… reconduire – ou accepter de reconduire – ce sinistre individu dans ses fonctions de démolisseur tous azimuts, de fossoyeur de la France et des Français ???!!!

(*1) : Tudieu ! un confinement à la chinoise – à moins que nous ne soyons tous incroyablement illusionnés par un prodigieux « effet Mandela » (une « fausse mémoire collective », une gigantesque hallucination générale). Les journaleux, qui raillaient d’abord bruyamment la politique absolutiste de l’empereur rouge, avaient ensuite très vite tourné casaque début 2020 pour relayer sans vergogne aucune la propagande plandémique d’obédience… maoïste accentuant de ce fait encore plus dramatiquement la chinification du monde – et de l’Occident tout spécialement. Mise sous verrou du pays(**) effective dès le lendemain midi de l’allocution guerrière (pour une durée finale de près de deux mois) avec interdiction formelle aux médecins de ville de soigner les malades de l’ancienne nouvelle maladie inédite (sic !) – STRENG VERBOTEN !! Deux autres périodes de séquestration suivront pour les mêmes délires et entraîneront les mêmes drames.
(**) : Le bastonneur locataire de la place Beauvau – par ailleurs aussi tabasseur-éborgneur-estropieur-défonceur de Gilets Jaunes – s’était du reste enorgueilli à cette occasion en déclarant fièrement que la France avait déployé les mesures de confinement « les plus strictes d’Europe ». Voilà un homme intelligent et avisé qui confine aussi fort qu’il castagne ! Et qui poursuit une surenchère mimétique aussi absurdissime qu’ultra-contagieuse !
Quel sinistre suivisme ! Quel conformisme stupide ! Cocoricocaca ! Quelle plaie !
(*2) : « Nous sommes en guerre » asséné pas moins de six fois par le fauteur de belligérance covidolâtre – sans qu’une seule fois il ne prononçât le mot « confinement » dans son annonce fleuve. – La Grande Muette agit préférentiellement dans l’ombre. – Une allocution déclamée avec une jouissance à peine voilée, débitée sur un ton cabotin, un incroyable, hallucinant, air de contre-fausset, insincère, factice, fêlé, postiche au possible ! Comment cet indice de la mascarade plandémique à lui seul (parmi une kyrielle d’autres) n’a-t-il pas sauté aux yeux du plus grand nombre ?! Comment peut-on gober pareilles sornettes ?! La faute à la purée de marron. Sans doute, trop de bran dans les mirettes. Trop de marron-caca dans les yeux ! Trop de bren, beaucoup trop de bren dans les yeux ! – pour ne pas dire dans le ciboulot et ainsi devenir carrément insultant. Voilà pourtant qui est dit.
(*3) : L’expression – éloquente – n’est pas de moi.
(*4) : Le NOM – bizarrement invisible pour les complotologues et conspirateurs profanes et que seuls les complotistes [Ndlr : ceux qui réfléchissent] sont en mesure de voir et de caractériser. Également associé à la Religion sans nom et à d’autres élitistes et puissants mouvements sectaires internationaux.
(*5)
: Des hybris politocards, des égo politichiens si surdimensionnés qu’ils peinent à rentrer dans les palais de la République pourtant construits pour recevoir des notabilités gros gabarits et des personnalités hors normes.

« La liberté, c’est l’esclavage »
(George Orwell) (1903–1950)

Machiavélique

La Bête est là, sa marque aussi !

Oui, il n’y a aucun doute, la Bête immonde est là. Et jour après jour elle étend davantage son empire sur nos vies. Elle est le fidèle reflet de nos sociétés prétendûment « modernes », « avant-gardistes » et « libérées ». Elle se cache au cœur même de nos institutions (nationales comme internationales), elle se niche au sein des élites crapulo-fascistes, elle se dissimule dans le réseau oligarchique tentaculaire(*) qui les contrôlent à un niveau quasi-planétaire.
Voilà notre tortionnaire, voilà notre ennemi, voilà notre cible.
(*) : Une hydre mafieuse omniprésente et omnipotente qui plonge ses tentacules vénéneux et strangulatoires dans toutes les organisations politiques, administratives, judiciaires, professionnelles, syndicales, universitaires, médiatiques…

DIRIGÉS PAR DES ASSASSINS ET ENTOURÉS DE DÉBILES

De grosses merdes – Les puants – Immonde crapulocratie…
Dans les griffes des mondialistes – Une société totalement noyautée, muselée, dirigée par l’État profond
Les exactions de la loge globaliste – Supercheries et machinations des puissants, une caste de crapules et de prédateurs…
Les tortionnaires du peuple, les sinistres pantins du capitalisme le plus cupide, outrancier, brutal

Comment peut-on croire ces marionnettes ? Comment peut-on accorder la moindre considération à cette association de malfaiteurs qu’elles représentent ? Comment peut-on accorder la moindre estime à pareils nuisibles ? Comment peut-on accorder la moindre foi à ce ramassis de délinquants ? Comment peut-on accorder la moindre confiance à pareils truands ?! Comment peut-on accorder le moindre crédit à une telle engeance criminelle ?!…
Décidément, l’hypocrisie, le cynisme, l’insolence… des puissants se portent de mieux en mieux en Benêtie !  Les Français, nous Français, sommes tombés très bas.
Les mots adéquats me manquent pour qualifier toute l’horreur de la décrépitude de la « France », son délabrement croissant, son affadissement progressif, son abrutissement grandissant, la fange de toute part envahissante, sa chute absurde, l’abîme de décadence dans lequel notre pays emblématique est tombé sous la poussée scélérate
des totalitaristes mondialistes !

… couverte par le Zombiland et une armée de collabos
La crétinisation va bon train
Tous les Français ne sont évidemment pas dupes. C’est seulement parce que les collabos,
les nigauds, les endormis, les panurgiens et les crétins sont trop nombreux que ces félons sont puissants. Leur système ne tient que parce que nous y consentons, tacitement au moins – souvent par résignation ou par soumission.

Où s’arrêtera le délire ? À qui la faute ? À la valetaille davosienne, aux malfrats de leur espèce, aux bien-pensants qui les soutiennent et surtout à la gent moutonnière, aux innombrables idiots – comment les nommer autrement(*) ? – qui gobent leurs boniments et tolèrent leurs crimes. Où donc sont passés la raison et le discernement ?! Tout compte fait, dans un monde ouvert, ceux qui, face aux évidences, continuent indéfiniment d’avaler des bobards sont aussi coupables que ceux qui les profèrent. Dit autrement, l’ignominie du pouvoir en place n’a d’égal que l’infâme soumission des masses zombifiées !

(*) : Incontournable. Petit éloge du veau. Du veau 3.0. Du veau sous-espèce gland, glandu, corniaud, couillon, en langage vernaculaire. Homo vitulus, de son nom savant. D’une crédulité déconcertante.
Un vaudeville… et pas seulement ! Par monts et par vaux… Que de veaux !… Et que de voleurs ! À se vautrer… à vos dépens. – Le veau, la clé de voûte du système. D’autant plus qu’un petit veau peut être promis, un jour, à devenir grand bœuf (une métamorphose véritablement miraculeuse).
De veaux et de beaufs : le triomphe des couillons de culture – Tentative de rapprochement entre l’homme et la bête – Petit parallèle entre asservissements
Une question à brûle-pourpoint : que vaut, combien vaut un de ces veaux ? Dois-je en toute sincérité vous faire un aveu ?… Le Général ne s’y était pas trompé. Évitons d’être dévots… Notons que les veaux dont nous parlons ici ne sont pas exactement les petits des vaches. Il s’agit en l’occurrence d’un modèle certes moins champêtre, moins racé, d’une version plus édulcorée, plus bridée, mais aussi plus customisée, plus travaillée, plus élaborée, dressée, formatée, modernisée, updatée, robotisée, progrèsifiée, implémentée, injonctivée… bref, plus artificialisée pour mieux répondre aux besoins de leurs maîtres. Une version bipède ayant cependant sensiblement le même caractère et comportement (behaviorisme) que les petits bovins domestiques. Comme eux, de purs bestiaux objets de profit, corvéables à merci, réformables à discrétion et – pour la petite histoire – de série abusés, bernés, traités, exploités, marqués, numérotés, parqués, confinés, surveillés, espionnés, muselés, stabulés, maltraités, brutalisés, garrotés, châtrés, gavés, testés, checkés, médiqués, vaccinés, piquousés, shootés, pastichés, moléculés, notés, imposés, taxés, taxés, taxés, taillés, maronnés, rançonnés, rackettés, traits, traits, tondus, traits, tondus, traits, tondus, re-traits, re-tondus, etc. – Remarquons au passage que nous pouvons tous, potentiellement, être le veau de quelqu’un mais certains le sont tellement plus qu’à leur tour. – Constatons également que nous retrouvons là aussi, comme dans toute société humaine – réservons-leur la primauté de la louange – des veaux de la classe supérieure (1ère classe) – voire très très « supérieure » (les calfs upper class high level) –, des veaux de la classe moyenne (2e classe) et des veaux de la classe inférieure (3e classe). Des veaux qui, soulignons-le, quelle que soit leur caste de départ et leur degré de bestialité initial, ont toutes les chances de devenir de splendides, remarquables et respectés bœufs dans leurs catégories respectives. Ne dit-on pas que petit bêta deviendra grand ? Que de béjaunes en puissance !
N’y allons donc pas par quatre chemins – peu me chaut en effet le concert des vociférations qui ne changeront rien au constat : de trop nombreux Français sont des veaux. Je répète : de trop nombreux Français sont des veaux. Mais attention ! Ne vous méprenez pas sur mon propos ! Pas n’importe quels veaux, non ! Pas des veaux du Bengale, de Mongolie, de Sibérie, du Kamtchatka, de la jungle africaine, des grandes plaines sauvages du Midwest américain, de Patagonie, de Terre de Feu ou d’Alaska… ! Non ! Ni même des veaux de Bohême, de Barbarie, de Gaule ou de garenne ! Et pas davantage des veaux rustiques, agrestes ou tudesques. Et pas plus des vautours ou des vocables. Non, rien de tout cela, pensez-vous ! Honneur ici aux box-calfs ! Aux veaux d’étable, aux veaux de batterie, aux veaux 100 % décantés® – mais toutefois possiblement vauriens. Une famille en plein essor – que le Cobid a tout particulièrement distinguée et glorifiée. – Une catégorie prolifique, pléthorique. Plein le catalogue ! Plein les parcs de gavage ! Plein les geôles ! À proprement donner le vertige. De vrais et authentiques veaux de box – De box. Rien à voir avec des boxeurs, soyez rassurés ! – Toutes sortes de veaux de box. De bons box… pardon, de bons veaux. De grands veaux. De beaux veaux. De purs veaux.
Des veaux incultes. Des veaux instruits. Des veaux experts. Des veaux honoris causa. Des veaux menus. Des veaux dodus. Des veaux de trait. Des veaux de somme. Des veaux de course. Des veaux de compétition. – Des concours leurs sont même dédiés tout au long de l’année. Des prix sont alloués. Des lauréats primés. Des distinctions accordées. Des palmes octroyées. Des médailles épinglées. Des poitrails décorés. Des caboches couronnées. – Des veaux de la pointe du museau jusqu’au bout des sabots. Des veaux des pieds à la tête (de veau bien sûr). Des veaux de fond en comble, vous dis-je. Des veaux designés. Des veaux certifiés. Des veaux dociles. Des veaux gentillets. Des veaux doux… et même des veaux tendres. – Et pas seulement des votants qui coûtent un pognon de dingue ! – Des veaux Moi-Je. Des veaux amnésiques. Des veaux niais. Des veaux distraits. Des veaux biberonnés. Des veaux gobeurs. Des veaux farcis. Des veaux sédatés. Des veaux camés. Des veaux ultra connectés. Des veaux confinés. Des veaux sanitarisés®. Des veaux dosés®. Des veaux davosés®. Des veaux castrés®. Des veaux QR-Codés®. Des veaux pucés®. Des veaux OGMisés®. Des veaux transhumanisés®. Des veaux clonés®. Des veaux lobotos®. Des veaux cyborg®. Des veauzombis® – quoique nous rencontrions, me signale-t-on, sur ces dernières occurrences quelques problèmes pléonastiques –. Des veauslaves® (calfslave issus des dernières générations d’AI !)… Bref, des veaux accomplis. Des veaux achevés. Des veaux parfaits ! Et de parfaits veaux ! – D’ailleurs, regardez-les comme ils sont trognons ces petits choux !! Gentils veaux-veaux ! Ameeuuh ! Areeuuh ! – Une certaine pub ose même à chaque printemps : « Bravo le veau ! ». – Vos échos sont entendus. Petit veau deviendra grand… Mais que me vaut ce beuglement impromptu ? Ah oui, la recette miracle !… Laissez-leur leur tétine, leur hochet, leurs fétiches, leurs illusions, occupez-les avec des futilités, amusez-les avec foule brimborions, distrayez-les avec force bagatelles, divertissez-les à gogo… et veillez à ce qu’ils aient l’impression que leur auge à malbouffe et leur râtelier à malinfo soient toujours garnis en suffisance de potins, de bobards, de niaiseries, de fadaises, de baguenauderies – de mauvais foin, de foin d’artichaut –, de paille, d’ajonc ou autre filasse ligneuse de préférence… Ils en raffolent ! Ils adorent se faire fourrer et farcir, ils avalent tout, ils bectent tout, ils bouffent tout, ils font leur pâture de tout… Et puis vous trouverez bien un petit emplacement dans leurs stabulations pour recevoir fange, bauge, baugeoir, assommoir qui leur siéent si remarquablement. C’est leur juste lot. Leur sort. Leur héritage. Moyennant ces quelques considérations vous avez une paix ROYALE !! Oui, l’ignorance, c’est la force !! Résultat garanti : les veaux ne s’aperçoivent de rien, vous les asservissez tout à loisir et les menez du petit doigt. Vous en faites ce que vous voulez. Même vos choses s’il plaît ainsi à votre désir ou à votre fantaisie. Vous pouvez mêmement les conduire à l’abattoir en chanson, si tel était votre dessein ou votre bon plaisir! Ils vous seront, de surcroît, reconnaissants ! « Allons enfants… »
Et c’est, hélas, justement parce que ce sont des veaux – de vrais veaux 3.0 ! – qu’ils permettent à tous ces écornifleurs et malfaiteurs précités d’exister et de sévir en toute impunité depuis des décennies. C’est seulement parce qu’il y a trop de niaiseux et de conneaux pour les tolérer ou les soutenir que ces malfrats sont puissants.
À vau-l’eau… et plus si affinité.
Stultorum numerus infinitus est.

« Il y a deux façons d’enculer les mouches :
avec ou sans leur consentement. »

(Boris Vian) (1920–1959)

Envoûtement planétaire
Bienvenus au Mordor !

Insidieusement, la nasse totalitaire se referme sur nos vies. Le coup d’État globaliste progresse à pas de géant. La chape de plomb mafieuse s’étend de jour en jour plus brutalement sur le monde. Chaque jour, l’étau tyrannique se resserre un peu plus autour de nos libertés fondamentales et tout spécialement autour des libertés d’opinion et d’expression.
INDIGNEZ-VOUS !!!
Résister à la censure, combattre la désinformation merdiatique, lutter contre la propagande globalo-fasciste constituent une entreprise de salubrité nationale, une œuvre de salut public, une opération de sauvegarde de l’Humanité.

« Si nous laissons les politiciens violer nos droits en temps de crise,
ils créeront encore des crises pour violer nos droits !
»

Ainsi s’engrènent les choses : si le poudré – alias foutriquet, paltoquet ou choupinet… –, en sus de nous avoir inutilement et abusivement claustrés durant plus de 18 semaines (soit plus du tiers d’une année de vie sociale et/ou professionnelle volée, sans compter l’ineptie de ses couvre-feux / pots-au-feu maléfiques !), ne nous « emmerdait » pas substantiellement en complément avec ses nazipaSS, je ne me serai jamais fait chier à écrire ces lignes… Conséquemment, vous ne seriez pas en train de vous faire chier à les lire ! Et si vous vous faites autant chier à lire cette misérable prose que je me suis fait chier à l’écrire, alors sans nul doute vous êtes le Phénix des hôtes de ces pages.

PAROLES DE MAAASQUE

Stop coronazisme

Post-scriptum :
Sur le principe même, cette lettre pourrait être post-versée aux cahiers de doléances rédigé(e)s par de nombreux citoyens français au cours de l’hiver 2018-2019 – à l’occasion du mouvement des Gilets Jaunes –, doléances(*) sur lesquelles s’est assis sans scrupule aucun notre monarque merdeux – et morveux – comme il s’est du reste assis par la suite, juste pour exemple, sur les travaux et les conclusions de la Convention Citoyenne pour le Climat (2019–2020). C
es simples trois mots pourraient à eux seuls illustrer, synthétiser toute la politique de notre haut potentat : Ramage – Enfumage – Esclavage.
(*) : Doléances et Grand débat n’étaient, in fine, faut-il le rappeler, qu’une
lâche et retorse manœuvre de diversion et de temporisation pour désamorcer et casser le puissant mouvement social – amplement justifié – alors en cours.

« La chose la plus révolutionnaire que l’on puisse faire est de proclamer haut et fort ce qui se passe. »
(Rosa Luxemburg) (1871(?)–1919)

Nota bene :
Pour ne pas allonger et alourdir davantage cette page, j’en ai volontairement exclu au maximum chiffres, statistiques, références et sources car nombre de ces données ont déjà été, au fil des mois, communiquées à nos dirigeants politiques et à la représentation nationale. La plupart d’entre elles sont également accessibles à partir de la page « Références ».

Je dédie ces lignes à tous les amoureux et défenseurs de notre devise républicaine(*) !

LIBERTÉ – ÉGALITÉ – FRATERNITÉ
… OU LA MORT…

L’imposture révolutionnaire ou imposture républicaine
(*) : À titre de simplification… n’étant en rien dupe des origines de cette devise, de son idéal trahi, du mythe révolutionnaire, des ressorts profonds de la Révolution française de 1789 (pour faire court), des répliques qui ont suivi ainsi que des soubassements troubles de nos systèmes “démocratiques” et notamment de ceux de notre très chère République(**), un autre régime de Parti Unique(***) – pour d’aucun, le parti de l’Étranger. République, du reste – faut-il le rappeler – au fil des années devenue de plus en plus bananière et qui, de longue date, non seulement a les mains et la conscience maculées de torrents de sang(****) mais qui, depuis sa genèse, de la tête aux pieds baigne dedans (cf. tous les massacres et génocides qu’elle a initiés, perpétrés ou encouragés) (*****).
La République des copains et des coquins coiffée du bonnet d’âne phrygien. Oui hélas, stricto sensu, « état de droit » et « Démocratie » ne sont qu’illusions – ou, au mieux, que de courtes parenthèses dans l’Histoire du monde – comme l’a justement déclaré un célèbre dictateur hispanique du siècle passé. Dans un régime pseudo-parlementaire, dans un pays de non-droit ou de pur légalisme, dans la religion républicaine, il n’y a pas plus de Liberté que d’Égalité ou de Fraternité ! Toutes ces âneries ne sont que des bobards, que du mythos pour gogos gavés – empoisonnés – depuis leur plus jeune âge à la fable “révolutionnaire” ! La République – du moins française – est morte et enterrée depuis belle lurette ; n’en subsiste qu’un infâme monceau d’intérêts mafieux et corporatistes. Point à la ligne.

Crédit illustration : Vigo B

(**) : Et pas davantage dupe de son avènement, de l’engendrement de la « Gueuse » – de la goule – par la bourgeoisie d’affaire voltairienne coalisée avec quelques Illuminés et la finance déjà apatride assistée d’un quarteron de mercenaires – une élite « éclairée » mais plus sûrement une association de malfaiteurs, une confrérie très active de comploteurs (…) – en passant par ses avatars successifs au fil des siècles… dans l’attente de la consécration de la future et ultime « République Universelle » (mondiale) – la matrice et l’acmé des absolutismes – pour parachever le cycle. De toute manière, tous ces régimes, y compris ceux généreusement étiquetés comme « démocraties » ou comme « démocratiques », ne sont toujours que des variantes – ponctuelles et très fluctuantes – d’un large nuancier de totalitarismes allant du plus chatoyant au plus abrupt.
« Gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple ». Mon œil ! Fumisterie intégrale !
(***) :
« Unité, indivisibilité de la République… ». Soit le triptyque francard omniprésent : Droits de l’homme, Œil et Pyramide (cf. le cartouche des Frères affranchis, le sceau des truelles d’Or) ; dans le triangle éclairé, l‘Œil du Pouvoir en rapport avec le monolithe universel. La Royauté – du moins rêvée, détournée, retournée, dévoyée, piétinée – remplacée par le fanatisme républicain, le TOTALITARISME laïc, un autre Absolutisme séculier.
(****) : Cf. les « tueurs de la République ». Avec les rituels feux d’artifice et moult inaugurations/commémorations de chrysanthèmes sous les flonflons naphténiques, une autre tradition séculaire, toujours vivace, de la Gueuse. Sous couvert de quelques bonnes œuvres de façade pour faire illusion… surtout une kyrielle de sous-œuvres et de basses œuvres (sapement à large échelle)… À titre d’exemple pas trop lointain, pas seulement « la Main rouge », organisation criminelle entre tant d’autres, s’étant tristement illustrée dans les années 1950 et éclairant d’un trait cru le recours expéditif, endémique, systémique, aux tueurs à gages et autres barbouzes – toujours au nom de la sacro-sainte « raison d’État » – par les plus hauts dignitaires de notre “belle” et “exemplaire” ripoublique ! Le lamentable sabotage du navire amiral de l’organisation écologiste Greenpeace, le Rainbow Warrior, à Auckland (NZ) (10/07/85, « opération Satanique », cela ne s’invente pas…), entre lui aussi dans cette longue, ininterrompue, interminable, série d’actes terroristes ourdis et/ou commis par l’État français. Combien de dizaines, de centaines, de milliers… d’individus ses services ont-ils déjà, à ce jour, pour de “bonnes” – et surtout de mauvaises – raisons « neutralisés » ou, plus justement, butés, liquidés, assassinés ?! Mais puisque les autres le font aussi… et qu’il faut parfois plusieurs décennies pour que ces affaires arrivent enfin aux oreilles des citoyens, si tant est que dans ce cloaque nauséabond, dans ce marécage putride et glauque, un jour tout hypothétique, un rai, un trait, un mince faisceau de vérité parvienne à monter vers la surface, à se frayer un ténu chemin vers la lumière… D’ailleurs, ne dit-on pas à raison que l’eau trouble est le gain du pêcheur.
(*****) : Ce ne sont, par exemple, pas les Vendéens massacrés par les troupes bleues (les colonnes infernales) dans les années 1790 qui me contrediront.

Ah ! Ça ira, ça ira, ça ira
Les ploutocrates à la Lanterne !
Ah ! Ça rira, ça rira, ça rira
Les ploutocrates, on les verra !

Obéissance_aveugle

« Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. » (Robert Francis Kennedy Jr)(*)

(*) : Et, soit dit en passant, du même Robert Kennedy Jr en réponse à la désinformation massive en cours… : « L’histoire montre que ceux qui censurent ne sont jamais du bon côté »… ou encore « Résistez, résistez, résistez, car quand ils ont le pouvoir, ils ne le rendent jamais ».
À bon entendeur, salut !

Les guerres sont en effet LA grande constante de l’Histoire. Elles ont pour principal – pour ne pas dire unique – mobile : l’ARGENT.

Au cas où vous aviez raté cet épisode, voilà de quoi vous rattraper :

Ils nous entraillent à volonté et en continue !
Vous l’aurez compris, cette manie, cette obsession, cet irrésistible, absolu besoin de trouer – et faire trouer – la peau quoi qu’il en coûte – d’une façon ou d’une autre…  de quelque façon… de toutes les façons… de toute façon – n’est pas tout à fait « inédit ».

PAROLES DE MAAASQUE

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Démasquez la mascarade covidiote !
Pour que la muselière – cache-gueule, guenille faciale pour les gueux – ait au moins UNE utilité
Relayez, vous aussi, les gestes barrières alakon !
Parmi mes nombreux textos ainsi exhibés,
un de mes messages favoris.

Dispositif médical pour les fétichistes du maaasque et
les misanthropes de la distanciation sociaaale

NOS QUATRE VÉRITÉS

CHRONIQUE D’UNE FOLIE FURIEUSE

Retour à l’EMmerdeur

À Omicron

Au fauteur de guerre

Lettre ouverte d’un indigné à un usurpateur

À l’Étron pestilentiel
Réponse d’un emmerdé de 3ème zone au fouteur de merde,

parjure multirécidiviste, enfumeur-menteur et Emmerdeur public n°1

Un citoyen – gueux – bien emmerdant

Un turbulent, indocile, réfractaire ci-devant « rien »
– sans doute « très politisé » à vos chastes yeux

Ce 5 janvier 2022

Objet : Du plaisir d’emmerder à la volupté de faire chier

À propos de la monstrueuse imposture Covidiote
Le fétide cloaque d’un – prétendu – président
L’insupportable putride – Un caca très très… marron

Le bran sanctifié par les propos et les agissements d’un bankster emmerdator
Une nécessaire irrévérence

Sa majestueuse grandeur,

Son Arrogance, Sa Sinistrissime,
Sa S
aigneurie Vaxxine, Son excellence Patavax,

Signore Defekator ou… Sa Majesté L’Emmerdator,

En guise d’entrée en matière allons directement – et sans filtre – au vif du sujet… dit autrement et plus simplement, y’a pas à tortiller du cul pour chier droit : vous vous foutez magistralement de notre gueule !! C’est à un authentique terrorisme d’État que vous vous adonnez !! Nous voilà, sous un prétexte sanitaire odieux – l’effroyable Grippe de Gateyesusfauci (GGF ou 3GF) encore appelée grippe de bilou –, jetés comme du vulgaire bétail dans l’ère de la biosécurité et de la biosurveillance de masse !! Votre gestion de la plandémie covidiote n’est ni malhabile ni improvisée ni hasardeuse : ELLE EST CRIMINELLE DE BOUT EN BOUT !!! ET SCIEMMENT, RÉSOLUMENT, DÉLIBÉRÉMENT !!!

Lorsque toutes les politiques menées depuis des décennies concourent à nous manipuler, à nous tromper, à nous apeurer, à nous abêtir, à nous appauvrir – à tous points de vue –, à nous rendre malades – si ce n’est pas à nous tuer –, à nous isoler, à nous déraciner, à nous briser, à nous esclavagiser, à nous déshumaniser, à nous étouffer à petit feu, à réduire graduellement – et drastiquement – notre espace vital dans TOUTES ses dimensions… il n’y a plus aucune « coïncidence » qui puisse tenir ni doute qui soit permis sur les funestes desseins que nourrissent nos dirigeants à notre encontre !

 EN GUERRE
Vous êtes en guerre…
Figurez-vous que nous aussi, nous sommes en guerre… Comme c’est bizarre !!

Oui, mister resident, nous sommes, nous aussi, en guerre. En guerre contre la guerre. En guerre contre votre guerre. En guerre contre la guerre menée aux peuples. – En guerre contre toutes les guerres. – En guerre contre les fauteurs de guerre. En guerre contre les profiteurs de guerre. En guerre contre les attiseurs de guerre. En guerre contre votre politique mortifère. En guerre contre votre “prophylaxie” délétère. En guerre contre le coup d’État planétaire. En guerre contre le totalitarisme sanitaire. En guerre contre vos délires sécuritaires. En guerre contre vos pulsions sanguinaires. En guerre contre vos chimères. En guerre contre votre programme de mort. En guerre contre votre plandémie. En guerre contre l’Empire du mensonge et de la dissimulation. En guerre contre les imposteurs. En guerre contre le covidiotisme. En guerre contre la débilité et la morbidité de vos mesures prises pour endiguer la covid-19. En guerre contre la prison à ciel ouvert dans laquelle on nous pousse. En guerre contre la spoliation de nos libertés fondamentales. En guerre contre l’aliénation du libre arbitre. En guerre contre la nouvelle inquisition (3.0). En guerre contre les violences institutionnelles. En guerre contre l’inqualifiable trahison commise par nos instances dirigeantes. En guerre contre la corruption – endémique, systémique –, contre les corrupteurs comme contre les corrompus. En guerre contre les comités Théodule. En guerre contre votre culte du secret – une abjecte forfaiture. En guerre contre l’opacité des délibérations de votre Conseil de défense sanitaire. En guerre contre leur classement « secret-défense » – plus est, pour des décennies. En guerre contre le secret des affaires – le secret, l’occulte, votre marotte, votre refuge, votre bunker ! En guerre contre l’infâme manipulation des statistiques flandémiques. En guerre contre l’arbitraire et l’injustice. En guerre contre les parodies de justice. En guerre contre le non-respect de la dignité humaine. En guerre contre les faussaires de la science.  En guerre contre la politisation de la science. En guerre contre l’instrumentalisation de la connaissance. En guerre contre l’obscurantisme scientiste. En guerre contre la secte vaxxinolâtre, ses escroqueries, ses exactions et ses crimes. En guerre contre la merdecine hégémonique, la fausse médecine  le cartel de la maladie, le consortium des drug-dealers au bénéfice exclusif de Big Pharma. En guerre contre les apprentis sorciers et les stipendiés de la pseudo-science. En guerre contre les Ordres (professionnels) assassins. En guerre contre vos commanditaires. En guerre contre vos feudataires. En guerre contre vos commissionnaires. En guerre contre vos cerbères. En guerre contre vos légionnaires. En guerre contre vos commissaires. En guerre contre les maîtres chanteurs. En guerre contre vos emmerdements. En guerre contre votre bilan de la honte. En guerre contre votre société de merde. En guerre contre la confiscation du pouvoir par une caste ultra-minoritaire de parasites. En guerre contre la racaille politichienne et la merde politichonne. En guerre contre le népotisme. En guerre contre le clientélisme. En guerre contre les Assemblées Potemkine. En guerre contre la guerre cognitive. En guerre contre la propagande et la censure gouvernementale. En guerre contre la scandaleuse immunité – et impunité – du personnel politique et de la haute fonction publique. En guerre contre la nouvelle apologie du « Bien ». En guerre contre la monoculture et la pensée-unique. En guerre contre l’endoctrinement des populations. En guerre contre le conformisme et la bien-pensance. En guerre contre la désinformation des merdias. En guerre contre la presse fasciste. En guerre contre les atteintes – intolérables ! – à la liberté d’expression. En guerre contre vos relais de la peur et du mensonge. En guerre contre la capitulation du corps médical et du corps enseignant. En guerre contre la diabolisation des thérapeutiques alternatives pour soigner la covid-19. En guerre contre la sempiternelle ostracisation des médecines naturelles. En guerre contre les intérêts privés qui ont supplanté le bien commun. En guerre contre la maltraitance et la torture des enfants (masque, vax, culpabilisation, etc. – sans compter la fermeture des écoles et la privation de cours). En guerre contre les pass nazitaires. En guerre contre vos tests de dépistage imbéciles – qui, de plus, nous coûtent un pognon de dingue, si ce n’est pas carrément une blinde ! En guerre contre votre folle ambition de vaxxiner le monde. En guerre contre l’obligation/contrainte vaxxinale – réelle ou déguisée. En guerre contre la censure sur la composition des toxxins. En guerre contre l’omerta sur leurs effets secondaires. En guerre contre l’opacité des contrats passés avec leurs fabricants. En guerre contre l’ostracisme et l’apartheid du National Sanitarisme. En guerre contre la politique de destruction massive des services publics – dont la démolition programmée de l’Hôpital public. En guerre contre les euthanasieurs-assassins des résidents des Ehpad. En guerre contre la subordination des instances judiciaires. En guerre contre les société secrètes et les réseaux mafieux qui gangrènent le monde. En guerre contre l’explosion des inégalités. En guerre contre la paupérisation galopante de millions de Français – et d’Européens. En guerre contre la crétinisation tous azimuts des populations – et tout spécialement de nos jeunes. En guerre contre leur infantilisation permanente. En guerre contre le nivellement général par le bas. En guerre contre la promotion de l’imbécilité morbide. En guerre contre le commerce outrancier. En guerre contre la multiplication à l’infini des besoins. En guerre contre l’accaparement des terres – arables notamment – par quelques entités supranationales ou étatiques. En guerre contre la marchandisation universelle. En guerre contre la réification de la Vie. En guerre contre la chosification de l’humain. En guerre contre le néo-esclavagisme. En guerre contre la digitalisation débridée. En guerre contre la datafication enragée. En guerre contre l’avènement de Big Brother. En guerre contre l’autoritarisme et l’espionnage numérique. En guerre contre la course effrénée au flicage – contrôle, traçage, surveillance – des individus. En guerre contre le marathon au gigantisme. En guerre contre la folie des hommes. En guerre contre leur cupidité et leur immoralité. En guerre contre leur fuite en avant. En guerre contre le démocide mondial. En guerre contre l’écocide généralisé. En guerre contre les entreprises de mort. En guerre contre la géo-ingénierie. En guerre contre l’empoisonnement de notre biosphère. En guerre contre notre propre empoisonnement. En guerre contre la pollution systématique des sens et des esprits. En guerre contre ceux qui prennent la Nature pour une poubelle ; et contre ceux qui laissent faire. En guerre contre les pollutions électriques et électromagnétiques omniprésentes – brouillard de plus en plus dense et intense. En guerre contre l’extermination – méthodique – du Vivant. En guerre contre l’artificialisation croissante de nos conditions d’existence. En guerre contre la prédation éhontée à l’encontre de la planète. En guerre contre le culte maladif de l’argent. En guerre contre la perte de toute valeur morale. En guerre contre l’enténèbrement de notre monde. En guerre contre les Forces destructrices. En guerre contre l’anéantissement de notre culture. En guerre contre l’effondrement de notre civilisation. En guerre contre l’effacement des mémoires multimillénaires. En guerre contre la négation des différences constitutives essentielles. En guerre contre la falsification de l’Histoire. En guerre contre la pensée stérile. En guerre contre la pensée putride. En guerre contre la pensée morte. En guerre contre le déclassement sans précédent de notre pays. En guerre contre les pilleurs et les fossoyeurs de la France. En guerre contre les diktats des européistes. En guerre contre les zélites despotiques. En guerre contre les ploutocrates. En guerre contre l’hyper-classe mondiale. En guerre contre la voracité – sans limites – des puissants. En guerre contre les voleurs de souveraineté. En guerre contre l’oligarchie mondiale prédatrice. En guerre contre l’État profond qui nous régente et nous assujettit. En guerre contre sa mainmise sur l’Humanité. En guerre contre le globalo-fascisme. En guerre contre la Grande Réinitialisation. En guerre contre votre projeeet mondialiste. En guerre contre votre agenda transhumaniste. Etc. etc… etc…
La guerre… La guerre… La guerre…
Votre guerre. Notre guerre. Leur guerre.
La guerre mondiale est toujours en cours.
La machine de guerre, machine infernale.
Pauvres Terriens ! Vous n’êtes pas au bout de vos peines !! Vous n’êtes pas au bout de vos misères !!

La terrible Grippe de Gateyesusfauci (GGF)

BIG-BANG SANITAIRE

–  LA GRANDE PEUR  –
GRANDE MYSTIFICATION

UNE « PANDÉMIE » FABRIQUÉE
DE TOUTES PIÈCES

Une opération mondiale de bioterrorisme
menée par l’État profond globaliste

UN MONSTRUEUX GÉNOCIDE
UN PLAN HAUTEMENT CRIMINEL
UN COMPLOT CONTRE L’HUMANITÉ

UN REMÈDE IMMENSÉMENT PIRE QUE LE MAL !!!

–  UNE CRIMINALITÉ D’ÉTAT GÉNÉRALISÉE  –

CE N’EST PAS L’ÉPIDÉMIE QUI EST DANGEREUSE, C’EST VOUS !!!

–  Un génocide en bande organisée 
LA COVID-19 N’EST PAS UNE CATASTROPHE SANITAIRE
MAIS UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ,
UNE GIGANTESQUE ORGANISATION HOMICIDE, 
UN DÉMOCIDE MONDIAL !!!

La plandémie covidiste tient en premier lieu à quatre impostures criminelles majeures :

                 – La codification des maladies et les sombres manipulations statistiques liées(*1)
                 – La négation des traitements et remèdes efficaces contre la maladie – hormis les vaxxins –
                      et le refus de soin associé

                 – Le dépistage… à commencer par le monumental enfumage sur les tests RT-PCR(*2)
                 – Le mirage – quasi-planétaire – des « vaccins » soit-disant « sûrs et efficaces ».

Oui, la fin aura justifié tous les moyens…
à commencer par les plus ignobles.

(*1) : Notamment une classification inique confondant commodément – fusionnant, mélangeant intentionnellement – « mort avec le covid » avec « mort du covid ».
(*2) : Contrairement à ce que l’on cherche à tout prix à nous faire croire, il n’y a PAS de pandémie de malades mais une pandémie de mensonges, de tests et d’injections !

!!!  UNE CRAPULERIE RÉVOLTANTE  !!!

SILENCE, ON TUE !!

Une absurdité totale – Une immense folie – Un délire absolu
Une supercherie criminelle – Une mauvaise foi crasse
Un scandale gravissime

 Un attentat sans précédent contre la démocratie,
les libertés (publiques et individuelles) et la santé des populations

Retour mortel
Le corona circus, un bis repetita
un remake de la plandémie H1N1 (Grippe A) (2009-2010) en plus délirant encore

Le dieu Vaxxin : « la meilleure prévention » ! Il n’y a rien au-dessus des vaxxins ! Les vaxxins, rien que les vaxxins !!
« Les gens vont mourir parce qu’ils ne seront pas vaccinés ! » (R. Bachelot, 2009)

–  DE LA GRANDE PEUR  –

DEUX CONSTATS SIMPLES MAIS MAJEURS
NOUS ONT
ALARMÉS ET HEURTÉS DÈS L’ENTAME DE LA GRANDE FLANDÉMIE

1/ Il suffit, en effet, déjà simplement, en première analyse, de s’enquérir du nombre de décès quotidien dans notre pays(*1) (ou ailleurs) – ce qui aujourd’hui est vraiment chose aisée(*2) – et de comparer ce chiffre avec le décompte journalier macabre égrené, déclamé chaque jour des mois durant par votre croquemort, votre comptable mortuaire, éminent professeur croquemitaine tout aussi patibulaire qu’assermenté(*3) – bravo pour le casting ! –, pour instantanément démasquer votre supercherie, comprendre l’envergure de votre cabale et dézinguer, pulvériser, atomiser sur le champd’un coup d’un seul – votre infâme narratif covidiot !!

2/ Ensuite, circonstance aggravante, gravissime – proprement inconcevable ! –, l’interdiction faite aux médecins de ville de soigner ces malades – médecins dont le métier est précisément de soigner et qui savent parfaitement traiter ces pathologies – est une interdiction FONCIÈREMENT CRIMINELLE !! Comme il est du reste criminel de harceler et de poursuivre en justice les rares (!) soignants courageux qui, restés fidèles à leur serment, ont osé contrevenir à cet ordre assassin pour venir en aide aux patients qui les sollicitaient. Dégueulasse que des « autorités » à ce point badernes, malveillantes, cyniques puissent condamner et broyer les vaillants praticiens qui ont osé braver cette ignoble consigne alors qu’ils ne faisaient là, tout simplement, que leur métier ! Déchéance définitive pour tous ces doriotistes !!
Ainsi, au travers d’une politique ouvertement, délibérément, anti-médecine – des mesures
pseudo-sanitaires tragi-quement mortifères – parachevée par de criminels refus de soin doublés d’une coercition à des injections hautement toxiques, c’est bien une ignominieuse psycho-pandémie créée de toutes pièces que vous nous servez depuis le début de l’année 2020 !!

Par ailleurs et plus largement, soulignons que nous sommes consternés, profondément choqués qu’une majorité de Français se laissent à ce point abuser, tyranniser, violenter, martyriser, écraser par le pouvoir politique – et cela n’augure rien de bon pour notre pays. Comme nous sommes atterrés, scandalisés par la docilité du corps médical que nous blâmons avec la plus extrême sévérité pour s’être littéralement couché devant le pouvoir chimiocratique et qui s’est de la sorte complètement – et définitivement – déshonoré. Corps médical bien suivi et soutenu en cela par ses homologues de l’Éducation nationale (enseignement supérieur y compris), de la “Justice” ainsi que des Forces de l’ordre, trois autres piliers majeurs de nos sociétés qui se sont effondrés avec une facilité déconcertante, effrayante, stupéfiante, à cette même occasion. Un blâme qui éclabousse tout pareillement la puante classe journalopique, feu 4e pouvoir devenu au fil des ans fanatique complice des mondialo-nazis, surpuissant relai de l’élite globalo-fasciste.
Ces institutions déjà gravement dysfonctionnelles, dévoyées, vermoulues, porteront longtemps cette tache indélébile, conserverons longtemps le sceau de cette infamie, la disgrâce de cette forfaiture. Honte absolue à tous ces collabos !! Un déshonneur de plus à leur passif. Une nouvelle et cruelle indignité nationale que nous ne sommes pas près d’oublier.

(*1) : Soit 1 680 décès par jour (= 613 243 / 365) pour l’année 2019 (France entière, décès toutes causes confondues) (1 642 = 599 408 / 365 pour la seule France métropolitaine). Pour être plus précis, ce chiffre moyen fluctue en fonction des saisons. Il est plus haut en période froide et moindre durant la saison chaude. Ainsi en France, selon la période de l’année, entre 1 500 et ponctuellement 2 500 à 3 000 personnes meurent chaque jour. Une grande partie du millier de décès quotidiens supplémentaires en hiver est majoritairement causée par la grippe. Qu’est-ce donc, dans ces conditions, que 300 décès quotidiens attribués à la covid alors que dans le même temps la traditionnelle grippe, bien plus impactante en terme de mortalité, elle, a totalement – et mystérieusement – disparu des rayons des merdias et des radars des autorités ?!… Car s’ajoute à ce premier enfumage inique qu’est la focalisation sur l’effectif touché, le subterfuge du codage des maladies par la création de la rubrique fourre-tout Covid qui a opportunément permis tous les abus y compris les plus extravagants et crapuleux.
Moisson de trépassés, tribut versé à Thanatos, plus est, relativement à une population vieillissante de 65 millions d’habitants ?!…
N.B. : Bien évidemment, l’âge des victimes est de la première importance et ces décès doivent impérativement être rapportés à la population totale du territoire étudié, à sa pyramide des âges, ses conditions de vie, etc. (cf. les bonnes pratiques démographiques). Pour caricaturer le trait, vous viendrait-il l’idée saugrenue de comparer des statistiques brutes du Liechtenstein avec celles du Brésil, de l’Inde ou de la Chine, par exemple ?! Comparaisons covidiotes qui font pourtant florès au sein de la classe journalopique, fidèle courroie de transmission de la Nouvelle Normalité – Imbécilité…

(*2) : Pour ne pas dire qui devrait être à la portée du premier imbécile venu disposant d’un accès Internet.
(*3) : Un rôle à la mesure d’un guignol sépulcral… dans une savante mise en scène, un spectacle grotesque, un rituel sinistre, funèbre, lugubre, propre à terroriser les populations, à commencer par les faibles d’esprit, les plus impressionnables, les domestiqués, les glandus, les buses, les sots, les zombis, les lobotomisés.

Si l’auteur de ce réquisitoire implacable m’est inconnu,
les méfaits de la dictature covidiste dénoncés, eux par contre, sont hélas parfaitement connus.

À NOUS DE VOUS INSTRUIRE SUR VOTRE « IMMENSE FAUTE MORALE »

La « covid-19 », un véritable séisme sociétal, une crise gravissime non seulement de la merdecine mais aussi, plus largement, de la science, de l'éthique et de la démocratie

C’est une guerre ouverte contre les Français que vous menez !!! Votre plandémie covidiote, votre terreur sanitaire, votre bio-terrorisme n’est qu’une crapulerie de plus, une odieuse arnaque, et votre coup d’État, une véritable abjection !!!
L’« inédit »(*) n’est en rien la covid-19 (le SRAS-coV2) MAIS la démente réponse politique et institutionnelle… orchestrée à cette occasion en catimini et au plan supranational !!!

(*) : Quel mot à succès inédit !!

À vous Grand Inquisiteur, vous qui, sous l’égide du Sanitarisme™ über alles, du haut de votre docte suffisance, auréolé de La Divine-Science™ et oint de La Sainte-Vérité™, venez nous tancer, nous donner des leçons de civisme, de morale et de responsabilité, nous blâmer et nous déchoir de notre citoyenneté parce que NOUS REFUSONS DE SERVIR DE COBAYES à vos expérimentations sordides… écoutez – entendez – bien ceci : on ne menace et on n’insulte pas impunément des millions de citoyens, fût-on président – “mal élu” – d’un État honteusement covidé devenu au fil du temps de plus en plus vérolé et tyrannique !

Les premières victimes institutionnelles fauchées par la « covid » et son maître tutélaire, le covidisme, auront été la Vérité, la Liberté, l’information libre et la Fraternité, ou plus justement, le peu qu’il en restait au début de la « Crise ».

Nous nous insurgeons de toutes nos forces contre l’hystérie covidémente que l’on nous impose à tout prix ! Vous instrumentalisez la science, vous instrumentalisez la médecine, vous instrumentalisez l’information, vous instrumentalisez l’expertise, vous instrumentalisez la justice, vous instrumentalisez l’opinion publique, vous instrumentalisez les corps, vous instrumentalisez les êtres… pour forcer au consentement et cela est absolument INACCEPTABLE !! Nous nous dressons vigoureusement contre les mensonges que vous tentez, par tous les moyens, de nous faire gober. Nous refusons catégoriquement vos injections “expérimentales“ ni sûres ni efficaces – contrairement à vos allégations mensongères. Vos pseudo-vaccins, en réalité, s’avèrent viciés, frelatés et de surcroît totalement inopérants à juguler la grippette en cours. Il est donc hors de question de nous faire inoculer de telles saloperies, fût-ce “gratuitement”(*) !! Vous avez littéralement vendu les Français à Big vax ! Vous avez sacrifié la jeunesse et les forces vives du pays ! C’est à un véritable hold-up sur la santé de nos compatriotes que vous vous livrez.
(*) : Pourtant, n’aviez-vous pas, un jour pas si lointain, déclaré devant un gratin de célèbres affairistes qu’il n’y avait rien de gratuit en ce monde… L’auriez-vous oublié ?!… À toutes fins utiles nous vous remettons vos paroles en mémoire.

Combien de millions, de dizaines de millions de viols des corps et des consciences avez-vous crapuleusement ordonnés ?!

À votre propre déshonneur, vous ajoutez le crime. Nous dénonçons avec la plus extrême gravité le National Covidisme. Nous dénonçons la militarisation alarmante de la santé. Nous dénonçons avec force la dangereuse escalade sécuritaire que vous infligez aux Français. Nous dénonçons votre ignoble administration des corps. Nous dénonçons avec fermeté votre infâme politique, votre croisade prétendument « sanitaire », foncièrement inefficace, gravement délétère et, de plus, dramatiquement ruineuse pour la nation. Plus largement, nous déplorons le totalitarisme grandissant au sein de notre société de même que la concentration et la privatisation éhontée des pouvoirs. Nous pointons depuis des années l’hégémonie impudente, l’impérialisme croissant de puissances supranationales, la prépotence des trusts “pharmaceutiques” et leur mainmise de plus en plus scandaleuse et inadmissible sur les politiques de santé nationales ainsi que la corruption systémique inégalée qui gangrène ces milieux. – À ce propos, l’extension de l’obligation vaccinale que vous avez fait veauter (sic !) en 2017 dès votre nomination(*) en est une illustration emblématique.

(*) : C’est ainsi que nous considérons votre investiture « quoi qu’il en coûte », votre “élection” – sortie du chapeau – lors des très officiels Jeux du cirque. Un déni de démocratie avec, entre autres, le soutien massif des merdias et le concours feutré du gratin de la magistrature. Un immense jeu de dupes, une gigantesque farce, un vaste et grossier simulacre de “démocratie”… où le peuple – dans « le secret de l’isoloir » (son inconscience) ! – fait tout juste office de simple figuration. La participation aux scrutins, en chute libre, en atteste pleinement…

À ce sujet, un aparté capital…
AU BONHEUR DES BONIMENTEURS – THÉÂTROCRATIE(*) – TRUCAGE UNIVERSEL – FORMIDABLES ÉLECTIONS CHOCOLAT
De la fiction démocratique – Les élections, immense marché de dupes – Vice manifeste du consentement
De la propagande des urnes – Du savant art de bourrer les crânes comme de bourrer les urnes
De la goualante du politichien – Les forts en gueule – Les grands brasseurs d’air – Les champions des moulinets
Ah ! quand la soupe est bonne… !!
(*) : Cf. Platon.

Pour lire la suite, cf. la page « De la fiction démocratique » en cliquant ici…

Même si nous ne bénéficions d’aucune tribune pour nous en expliquer mais avons seulement droit à un « tribunal » totalitaire – et à la vindicte publique savamment travaillée et acquise à sa cause – pour nous condamner, cela ne nous empêchera nullement de garder et notre conscience et notre dignité pour nous. Par contre, vous avez, vous, perdu là – et définitivement – le peu d’honneur qu’il vous restait à ce jour. L’avenir vous jugera sévèrement pour vos méfaits et vos crimes.

Un crime d’État contre la démocratie

Non seulement vous avez éhontément volé la Liberté des Français(es) – y compris leur liberté de penser – et vous attentez gravement à leur santé mais de plus, dans le même élan, vous foulez aux pieds le peu qu’il nous restait d’Égalité et de Fraternité. Avec vos obligations vaXXinales déguisées (mais bien réelles notamment pour certaines catégories de personnel, personnel du reste ignominieusement interdit d’exercice en cas de refus de « la piqûre ») et vos paSSeports nazitaires tout aussi injustifiés qu’ignobles, vous nous prenez en otages et cherchez à nous pirater. Vous nous déniez le droit – fondamental – de disposer de nos corps et par là vous nous tordez violemment non seulement le bras mais aussi la conscience. Vous violez notre libre arbitre. Vous profanez notre souveraineté.
Votre conception de la responsabilité et de la citoyenneté nous scandalise. Votre casus belli nous indigne et nous révolte. Votre éminence morale nous stupéfie, vous le Rédempteur, vous la Bienveillance,
l’Universalisme, la Démocratie, l’Humanité faites chair en un seul corps. Quelles troublantes similitudes avec vos éternels et glorieux alter ego, vos pairs des ministères de l’Amour™, de la Paix™ et de la Vérité™ ! N’était votre hallali nous en resterions presque cois…

WELCOME TO MACRONISTAN

Eurêkaka ! Defecato, ergo sum !
Habemus Defecatorem ! Habemus Defecatorem !

De profundis clamavi ad te, Domine
Domine, exaudi vocem meam

Merdre(*) ! Au lendemain de la parution de votre article défécatif dont la thèse, brillantissime, génialissime, trou-du-culissime, pourrait se résumer en ces illustres mots – trois petits mots incandescents comme le feu qui resteront à jamais gravés dans la mémoire des Hommes, dans le marbre de l’Histoire et dans les annales de Sagesse : Defecato, ergo sum !!… nous peinons à reprendre nos esprits. MARDE ! Quelle fulgurance ! Un nouveau messie se serait-il levé ? Un prophète nous serait-il né ?
– Defecato, ergo sum ! Defecato… ergo… sum… ! Mais oui ! Defecato, ergo sum ! Eurêkaka !
– Crotte alors ! Ce Manuel est un génie !…
– Habemus Defecatorem !! Habemus Defecatorem !! Habemus Defecatorem !! scande en chœur la foule en liesse.

Defecatat, ergo est ! nous sommes-nous exclamés en retour, à l’unisson, en nous prosternant, sidérés de joie et de dévotion !… Votre cri du cœur nous a tant touchés, votre poussée salutaire nous a tant sonnés, votre production altière, expulsée dans l’écrin d’un torche-cul grassement subventionné et bien crade – le torcheculatif ne s’improvise pas ! –, nous a tant subjugués que nous finissons seulement d’émerger de notre béatitude – proprement ineffable – et d’enfin ramasser nos esprits éblouis par de si vénérables propos…

DEFECATO ERGO SUM !! se répète-t-il depuis à l’envi, partout, par monts et par vaux, à l’infini, jusqu’aux confins du Royaume en un écho voluptueusement narcissique… Defecato, ergo sum… Marde ! C’est la Fête du bran au pays. Les macronautes exultent. Un frisson d’extase parcourt toute la Benêtie. Du fond des écuries et des étables, de l’encoignure des cabanes jusqu’aux fosses d’aisances, des feuillées aux latrines et cacabinets, de chaumière en chaumière, de clocher en clocher, dans les champs, les prés et dans les bois, sur les chemins de France et de Navarre, partout s’élève la même clameur. Defecato, ergo sum ! Le cri d’allégresse ! Le braillement de ralliement ! Partout pointe la même ferveur. Et par-delà les mers. Et au-delà des airs… Comme une traînée de poudre… Defecato, ergo sum… Toute la macronie jubile. Crotte alors ! Quel exploit ! Foutrebleu ! Son mentor a accouché d’une merde. Au cul, la praline ! Pas un seul Benêt qui n’en soit avisé. La fête du slip bat son plein. Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, le pays entier, de la tête aux pieds, bruisse de la formidable Nouvelle. À qui mieux mieux… À satiété. À la folie… La came dégouline… Les cœurs en chavirent… Les gogos claironnent. Les neuneus s’égosillent. Les dindons glougloutent. Les nicodèmes s’esbaudissent. Les toutous vibrionnent. Les glandus applaudissent. Les chiottes débordent. Les gazetiers ovationnent… Le mât de Cocagne empeste…
Vive le bran ! Vive le bran ! Quelle extase ! Le mot court… La Terre exulte ! Il court… Il vole… Il fuse… – Sire, Comment allez-vous ? – Defecato, ergo sum… L’avez-vous vu ? Ha-ha-ha… Defecatas, ergo es ! Cul par-dessus tête ! L’avez-vous entendu ? Il est passé par là ! L’avez-vous eu ? Combien de fois par jour ? How do you do, my dear ? Sire, l’avez-vous su ? Avec quelle main s’ess… ? – Avec le canard ! Defecatat, ergo est ! Avec ou sans vents ? Sous nos yeux ébahis ! Moulée ou coulée ?… Nous voilà sauvés ! Quelle nuance de bronze ? Lavez-vous… euh… levez-vous ! Alors, c’en est ou c’en est pas ? Un marron caca ! Eurêkaka ! Excretrum ! Eurêkaka ! Habemus Defecatorem ! Odorem stercoris exhalat !
Grand dieu !! Une Étoile nous est née… Crottés, nous sommes ! Eurêkaka ! Vive le bran ! Vive le bran ! Le monde est sauf ! Defecato, ergo sum… Marde ! Defecatamus… ergo sumus !

(*) : Cf. Alfred Jarry et sa célèbre pièce Ubu roi.
Dans ce domaine, citons aussi le bon mot de l’écrivain français, poète et touche-à-tout, Antonin Artaud et son célèbre « Là où ça sent la merde ça sent l’être. » Des mots plutôt verts et un brin relevés, vous en conviendrez. Un cocktail Molotov qui produit invariablement son petit effet tonique sur les papilles – et les mamies ! – de bonne famille, bien élevées, bien sûr – et les fins gourmets. Attention toutefois ! haussement/froncement de sourcil garanti avec effet possiblement thérapeutique (cholagogue notamment). Ainsi, l’expression gagnerait à être beaucoup plus largement usitées – et son auteur, connu – dans les dîners mondains, notamment chez les prouts-prouts, les hautes chiures, les harpagons, les fesse-mathieux, les pisse-vinaigres, les pisse-froid, les rabat-joie, les mal-torchés, les peine-à-jouir… À servir de préférence entre deux soupirs – lorsqu’on dit qu’un ange passe – ou entre la poire et le fromage, en ce cas avec une bonne bouteille de pinard – du cruu biien éévîdâmmant, mon-ma cher-ère.
Notez toutefois au passage que – conseil avisé d’un vrai pro – pour bien faire, il faut déjà bien être.
« C’est l’esprit qui est une écurie d’Augias, pas le langage. » (D.-H. Lawrence)

NDLR :

  • Defecato, ergo sum !! Je défèque, donc je suis. Formule calquée sur l’illustre affirmation de René Descartes (1596-1650) : « Cogito, ergo sum » (Je pense donc je suis).
  • Defecatas, ergo es ! Tu défèques, donc tu es.
  • Defecatat, ergo est ! Il défèque, donc il est.
  • Defecatamus… ergo sumus ! Nous déféquons… donc nous sommes.

Vive l’Emmerdistan !
Je vous le dis et le repeat,
we are une very grande shit up nation !

Et nunc… Eh hop, mon bon messire… nolens volens novum iniectio donare(*), magister dixit. Extende stultitiam tuam et tace ! Capito !!
[Traduction libre : Et maintenant… Voici, que vous le vouliez ou non (consentant ou non ; bon gré, mal gré), votre nouvelle injection. Tends ta bêtise et tais-toi ! C’est compris !!]
(*) : Vieille expression – aux termes aujourd’hui devenus abscons, comme l’est toujours, du reste, le langage (charabia) médical – revisitée selon les impératifs modernes puisque les injections – vaxxinales – se sont aujourd’hui explicitement substituées aux clystères – clysterium / clysteria – d’antan… desquelles on – la noble institution médicale en tête – s’est pourtant, des siècles durant, tant moquées.

La saignée suivra… La purge suivra… Beaucoup d’autres injections suivront… Beaucoup d’autres saignées suivront… Beaucoup d’autres purges suivront… Beaucoup, beaucoup, beaucoup… !

Ite missa est

« Monsieur le président, je vous fais une lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps. (…) »
chante Boris Vian (1954)

 

Vous avez volé la Liberté et la Souveraineté des Français(es)
et vous attentez gravement à leur santé

ALTIÈRE PAVANE POUR UN COLOMBIN

Mister resident, que révèle votre caprice de gamin ?

Absolument pitoyable !!

Quel bel euphémisme que votre emmerdement ! Une litote d’enfer que vous nous servez-là ! Comme c’est mignon de votre part ! Comme c’est trognon ! Comme c’est croquignole ! Votre apologie du langage universel nous enchante ! Pour d’aucuns – et il semblerait que ce soit votre cas –, de l’oralité à la fécalité il n’y a qu’un petit pas, voire juste un… caca.
Comme vous nous la baillez bonne ! Ce serait drôle si ce n’était grave. Extrêmement grave même. Si les circonstances n’étaient pas aussi tragiques, votre “bon” mot porterait à rire. Du moins sans dommage et sans dépens. Mais hélas le contexte est bel et bien dramatique… et les conséquences de votre fumisterie covidiote, de votre ignominie « sanitaire », bien que soigneusement occultées, terribles… et à plus d’un titre !
Présomptueux comme à votre habitude, vous vous êtes aventuré à taquiner le mot de Cambronne. Mais n’arrive pas à manier qui veut le mot à foudroyer le tonnerre et de fait, malgré ses cinq petites lettres seulement, l’encombrante et lourde charge emmagasinée dans la célèbre formule vous retombe pesamment sur les panards et le poisseux substantif / le verbe gluant / vous pègue désormais désobligeamment – et pour un long, un très long moment ! – au derrière.
Bien fait pour ta gueule, pauv’ clampin, s’exclameront quelques récalcitrants ragaillardis par votre chiante adversité. En effet, détrompez-vous, il n’est pas donné à tout un chacun de péter ou de chier plus haut que son cul. Combien de prétentieux, combien de péteux, combien de merdeux, combien de foireux se sont déjà piteusement souillés de leurs excréments en cherchant à caguer au-delà de leurs aptitudes catapultrices, en tentant de vesser ou de crotter par-dessus – ou par-dessous – leur majestueuse, superbe, dramatique, fatuité ?

La chose, de longue date, est entendue. L’emmerdant, c’est la rose. C’est d’ailleurs ce que chantait un gai luron qui connut un franc succès du temps de vos jeunes années. Alors… emmerder ou ne pas emmerder ? Faire chier ou ne pas faire chier ? Se conchier ou se défier ? Voilà des interrogations au fond pas si anodines, surtout eu égard à vos hautes fonctions publiques. Vous connaissez pourtant la sempiternelle question de l’humour, la réserve habituelle qui sied à cette modalité d’humeur particulière. Un homme instruit comme vous ne peut l’ignorer. Vous savez combien la compagnie du rire est… délicate et parfois embarrassante… Et toutefois, vous n’y avez pas résisté. Pis, fin démagogue comme vous êtes, vous pourriez bien en avoir sciemment fait un de vos éléments de rhétorique favoris. Pathétique. Vous ne parlez que pour vous. Vous soliloquez avec vous-même. Vous riez complaisamment avec votre suffisance, vous plaisantez en accointance avec votre ego, vous flagornez votre propre mégalomanie. Et c’est peu dire… Non, vos propos n’ont rien d’une blague. Empreint d’une fausse bonhommie – mais armé d’une vraie brutalité – vous soufflez sur les braises pour attiser les feux de l’intolérance et du sectarisme. Vous qui êtes, qui performez au cœur de l’extrême centre – et qui ne cessez de renvoyer aux extrêmes –, nous reconnaissons bien là votre caractère typiquement despotique. Triple enfoiré, sous couvert de plaisanterie, vous jasez ouvertement. Vous jacassez. Vous glapissez. Vous moussez comme une savonnette. En bon fier-à-bras que vous êtes, vous ne pouvez décidément pas vous empêcher de systématiquement vous pousser du col. Vous vous rengorgez comme un paon déployant sa livrée. Vous fanfaronnez. Vous plastronnez. Vous crânez. Vous pavoisez. Vous vous pavanez. Et tout en même temps, pour de sombres mobiles, vous daubez. Vous glosez. Vous cancanez. Vous calomniez. Vous profanez. – « Agiter le peuple, avant de s’en servir, sage maxime. » (Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord) (1754–1838) – Bienvenus en Démagogie !
Vous voilà marron à nouveau ! Une fois de plus, vous révélez ici votre vrai visage. Quelle merveilleuse preuve, quel gage suprême de « responsabilité » vous nous exposez là !! Une auto-illustration allégorique, là sous nos yeux, en flagrant délit, au vu et au su de tous ! On ne saurait faire plus convaincant !
Suffisance, arrogance et indécence marchent de pair, comme on le sait. Et « sans mentir, si votre ramage se rapporte à votre plumage, vous êtes le kéké des hôtes de ces bois »…
Il suffit, en effet ! Cessez vos insultes et vos outrages, cessez vos mensonges, cessez de vous vautrer dans la tyrannie ! Honte à vous ! Vos paroles, vos actes, vos agissements sont totalement indignes de votre fonction !
Si haut qu’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul. (Montaigne) Faut-il vous le rappeler ?

Double positionnement, double standard, double langage, double discours… Tout en même temps
Mon cul, v’là du boudin !
Parlez-vous novlangue, canelangue, merdelangue, volapuk, poldo-moldave, globish, franglish… voire un gloubi-boulga de tout c’la ?

Ceux qui salissent ne sont pas celles qui nettoient, dit-on communément. Cela vaut, indubitablement, pour vous aussi.
Quoi qu’il en soit, parole de locuteur, il semblerait que l’on ait déjà mieux ri qu’en l’occurrence. Cessez de nous salir ! Cessez de nous souiller ! Nous n’avons que faire de vos crottes. Gardez donc vos roses et vos histoires de roses pour vous. N’est pas l‘Âne-à-l’or qui veut. Vous paraissez, à court terme, avoir réussi, au moins en partie, votre petit tour d’esbroufe devant votre basse-cour en grande pâmoison et auprès de la grande armée de gogos, de snoc et de nigauds que compte ce pays mais tiendra-t-il dans le temps ? De quel côté retombera la pièce ? Côté pile, ou côté face ?
Rira bien qui rira le dernier. Ou plus franco, puisque semble-t-il vous aimez le cash, livrons-nous à une petite « obscénité éloquente », voulez-vous – après tout nous sommes parfaitement dans le sujet, exactement dans le ton –, chiera bien qui chiera le dernier.

Excretrum ad libitum

En guise de menue mise en bouche…
[Prenez une profonde inspiration…]

Petite déclinaison – et conjugaison – scatologique
Gaietés fécales – Obscur florilège merdologico-drekkologico-coprologique
Un cacalogue impertinent – La digue la digue – Le tout de mon cru

De la pertinence de l’expression “avoir du tracas jusqu’au cou”
De fion en comble – Attention ! kk à tous les étages !!
C’est la caca… c’est la caca… c’est la cacastrophe !!

Au déshonneur d’Anus le Grand,

Aussi, sans plus disserter sur cette vaste thématique stercorale et notamment sur le plaisir d’emmerder – agrémenté de son corollaire direct, la volupté de faire chier – et contribuer ainsi à quelque peu élever les débats, comme nous l’aurions pourtant ardemment souhaité le faire avec vous, en traitant par exemple… du vide et du plein, du pur et de l’impur, du sacré et de la souillure, du salubre et de l’insalubre, du dicible et de l’indicible, du ça et du là, du crade et du propre, du touchable et de l’intouchable, de la pertinence et de l’impertinence, du soutenable et de l’insoutenable, des servitudes et des sujétions, de la conjecture de l’Homme et de Dieu, des mystères de la céleste praline, de la salissure ontologique du glébeux, des vices et des vertus, de l’existentialisme et de l’animalité de la chair, de la marne rousse à la terre glaise, des colombins, colombines et autres joyeusetés cacaphoniques, de l’analogie sibylline entre fesses et fèces, des arcanes – obscurs – de macrotte, du largage et du dégazage, des étrons et des emmerdes, des boues et des cendres, des vases et des fientes, du feu digestif et des scories de la vie, des cloaques – organes de propreté vitaux –, de la fréquentation des Water-Closets comme indice de santé et de bonheur, des racines de l’être aux portes des étoiles, des ressorts de la métamorphose – soit du cheminement de la chrysalide au papillon –, du transit, de la transformation et de la transmigration – autrement dit, du rapport du transit à la vie et à la mort –, de la mitoyenneté – anatomique – troublante entre la génération et la déchetterie, des boueux et des égouts, des goûts et des dégoûts, de la prodigieuse force excrémentielle, du levain de la terre, des fumures et des si précieux intestins pédologiques, de notre assiette à notre paysage, de la bonne gestion des déchets et de la valorisation des excréments, du noble et du profane, de la fonction « tri » au « pouvoir » et à l’« identité sociale », de la drekkologie de haute voltige, des déjections et des abjections, de la culture à la coproculture, des voies – possiblement dissidentes et tortueuses – de l’oralité à l’analité, des éternelles admonitions entre fécalité et banalité – la médiocrité en prime –, du ludique au merdique, de la cybernétique des emmerdes à la loi de Murphy, des calembours et des fientes de l’esprit (cf. V. Hugo), de la fausse sceptique à la vraie fosse septique en passant par le faubourg et le vraisemblable, des profondes divergences entre la conchyliologie et l’eschatologie, de la Cloaca de Wim Delvoye, du caoua d’excellence Luwak à l’ambre gris si cher aux parfumeurs, de la poétique des entrailles, du génie des orifices, des histoires du derrière, des soliloques du schtroumpf, du fondement de l’être et de sa constitution abstruse, de la continence et de l’incontinence, du potin du popotin, des sentences oubliées du boyau culier, de la lucarne enchantée, des roses et de leurs épines, des tinettes et des boîtes de Pandore, des gogues, goguenots et autres cloaquines – sans aucu’nement oublier les cholagogues, les emménagogues, les pédagogues, les proctologues et bien sûr les démagogues –, de la chaise percée au trône idéal, du charme – parfois désuet – de l’architecture et des subtilités des lieux d’aisances, de l’entregent de caguer sans berdouler, des « quarante-deux manières de se torcher le cul » du grand Rabelais, des mille et une variations scatologiques, de l’odyssée secrète d’Anus et Anubis, de la maladie hémorroïdaire et du bon usage des laxatifs, de l’étiologie comparée de la constipation et des flatulences, de la multifactorialité des diarrhées profuses, de l’homologie du fion, du troufion, du troufignon et du trublion, du jardin des supplices et du calvaire du pal, de la prophylaxie des emmerdements, de l’éclaircissement de l’impropre, de l’hygiène intestinale et du lavement colique, de l’alchimie et de la cosmogonie des excrétions, du bouton à la rose et de la rose au gratte-cul façon poil à gratter la boutonnière, des tréfonds méconnus de Conchy-les-Pots, du vomitif et du punitif, de la mécanique défécatoire et de l’expulsion des fèces, des joies et des peines de la colo-proctologie, des difficultés et des enjeux de la scatomancie, des célèbres écuries – ou, plus justement étables – d’Augias à l’avènement de la société excrémentielle du visionnaire Alberto Moravi, des immondices et des hommes, des accointances troubles du fric et de la merde, de la grande famille des coprophages – et tout spécialement des sur-affairés bousiers de Macronie –, de la foire à l’andouillette triplement bouchonnée de Trifouilly-les-Oies, de faisans et de poules faisanes, de la grandeur et de la risée, des pérégrinations de Cornecul à Abracadabrantès, de la rosette au trou de bise, de fétiches, de godiches, de pastiches et de postiches, à propos d’étrons semblablement à des troncs – une curieuse homophonie biologique –, de la félicité du guano résidentiel, du qualificatif encolleur « c’est une merde ! », des minauderies de l’œil de bronze, des convergences subtiles entre utopie, autoscopie, diplopie, entropie, satrapie et cacatopie, de blondasses et de marronnasses entubeurs, de la production des alevins aux productions alvines, de l’empestement et du dépestement, du merdier au salut, de l’expression « avoir le nez dans le chocolat », de la cacosmie et du mauvais œil, du fiak à la FIAC, de l’importance, face à la merde, d’une bonne démerde, des lapsus et des prolapsus, des pets de l’esprit et des sept de tripes vs pitres, de la nature et des atouts du baiser cloacal, de l’art et de la manière de déféquer sur ses sujets, des analphabètes et des illettrés, de la chanson porte-bonheur C’est la Merde du regretté Guy Béart – la chanson, pas la merde ! –, du code analytique à la déco synthétique, des produits analeptiques aux substances analgésiques, des solutions allergiques et anallergiques, des récits analepses et prolepses, de la lèchefrite au lèche-vitrine et du lèche-botte au lèche-cul – soit de l’ivresse du lèchement et du baisement –, du pet diphtongue à la semi-consonne, de coupe-cigares et de cyclopes, de miches et de baguettes, de la salle des jeux et des plaisirs de l’arrière-boutique, de la formule « eau et gaz à tous les étages », des confidences – éclairées ! – de la brosse à chiottes, de la cacahuète au cacaoyer en passant par le cacaoui, le cacatoès, le kakapo et le caca-culotte, de la scatophilie à la pédophilie et de la scatophagie à l’anthropophagie, des étranges incantations des bergers de l’anus de l’Égypte ancienne, du culot culinaire du culottier culminant du cul-terreux à la culbute de la culasse du cul-bénit, de l’adage « Rage du cul fait passer le mal de dents », du fanal d’un banal canal anal – imparfaitement navigable (risque avéré de collision avec d’inéluctables icebergs) –, de la vraie fausse mésaventure – fatale – de l’infortuné Raggot, le hamster, et de son téméraire hébergeur, des lunes et des lunaisons, de la rareté de la marde de pape, du pot d’aisance au pot-au-feu, du pouvoir de la bombe à étrons, de la culpabilité du cul-de-lampe au cul-de-sac du cul-de-poule dans le cul-de-four, du nerf honteux à la névralgie pudendale, de la drosophile (ou mouche à vinaigre) (Drosophila melanogaster…) à la mouche à merde (Scathophaga stercoraria) – à distinguer de la bouche éponyme –, du before à l’After en changeant de langue, de maelstroms et de bateaux ivres, du poncif « J’ai la taupe qui pousse au trou », de l’intérêt des gélules aurifères pour transformer le bronze en or, du péril fécal aux dangers du renflement brun, de l’entrée des artistes vs la sortie des ordures, des annales truculentes d’un stade anal – ovale, oups, pardon ! –, de la décadente splendeur des zélites empaffées aux griseries endiablées des litées enfoirées, du plaisir de cacaber gruppiert, de flatuosités et impétuosités gourmandes, de Иarcisse et des fleurs du Mâle, de la luxuriante smartmairde bien-pensante, du grand Arschloch et de son engeance, de la furieuse envie de conchier le magouillon à l’impétueux désir de congédier le résident, de la prévalence des égo aussi distinctement dilatés que leur œil-de-bœuf, des as de pique torves, de Sodome et Gomorrhe revisitées, des facéties de Nurlu la Turlute, des forces centrifuges et centripètes, des prouts et des hommes, des pets et des vesses, du savant art de péter, des bragetoirs, du savoir flatuler et des lâchers de vents, de la virtuosité du Pétomane marseillais à la maestria de Mr. Methane, le British flatulist – avis de temps pète ! Gare aux flatulences ! Sus aux vents ! Pétulances, pétarades et turbulences garanties ! Un revers toutefois (bon à savoir) : coups de grisou inopportuns non exclus –, du « Sonnet du trou du cul » du génial Rimbaud, des contrepets et contrevents tout à contre-poil, du consulting d’orfèvre des cabinets noirs de cul-de-basse-fosse, d’écus et des 40 profiteurs, des synergies absconses entre le lucre et le stupre, de l’analyse de la passion pour le derche tirée de la perche / du dard – honni soit qui mal y pense –, de l’égard pour le rétrograde, de vieilles histoires de saucissons et de rondelles – de sauciflards et de fignards –, de l’exhalaison musquée des œillets, du ramage, de l’enfumage et de l’entubage, de la malice des locutions « chier dans la colle » ou « merder dans la purée », du sel gaulois au miam-caca, des fragrances enivrantes du pot aux roses [à ne pas confondre, comme chacun le sait, avec le poteau rose], du drôle romanesque au triste burlesque, des offices – connus et méconnus, licites ou illicites – du dergeot, de Nantes à Montaigu, de la raie fessière à la raie manta – sans beurre noir svp –, du sphincter – muscle annulaire, anneau de chair – a priori postérieur, de l’occulte rose des vents, de la fente arrière et son embouchure cryptique, des attraits pittoresques de Lanusse, voie privée et sans issue, du trou borgne aux trous de ver, des accords parfaits entre les trous du cul et les trous d’air, du marivaudage entre trous de balle et trous noirs… ou encore des chiants et des chiures, des chieurs et de leur chienlit, des huiles lourdes et rances, des V.I.P. et des chiasses, des tocades et des cacades, du blues de l’emmerdologue, de la selle de celle qui scelle et cèle, de l’amour de la merde au caca-tribal, de la coprolalie à la sociologie de la scatologie, de la psychopathie à la sociopathie… voire aussi, tant que nous y sommes, de quelques gauloiseries – ! – et autres grivoiseries… comme par exemple celles que l’on peut trouver dans les petits traités – ou précis – de merdologie, dans les bréviaires de coprophilie, dans les compendiums de drekkologie, ou auprès de Sade et de Masoch, ou encore des tribulations et des frasques de Peter Trouduc, des bilboquets et des diabolos, des noceurs et des ribauds… de la douce inclination à la socratisation aux pressants penchants pour la sodomisation, des enculeurs et des enculés, des innombrables déclinaisons de l’enculage en bonnet difforme… du fessu, du croupion et du kouglof, de la trilogie – insécable – du péteux, du merdeux et du foireux à l’usage des merdophiles… des classiques, incontournables et universels comme l’irrépressible « faire », du pipi et du caca [pee & poo, rien à voir avec le Titicaca], de l’apprentissage de la propreté et de l’éducation aux bonnes mœurs, etc., etc. – pardon pour cette pénible mais nécessaire (et cathartique) graphorrhée – et de tant et tant d’autres sujets passionnants, sans évidemment un instant oublier (cf. saint Augustin…)… qu’inter faeces et urinam nascimur – que du roboratif, n’est-ce pas ?! – mais nous en aurions pour bien trop longtemps à développer ces thèmes et nous perdrions indéniablement votre attention…

J’vas bouser. Qui premier la sent du cul luy descend… Donc sans nous appesantir davantage – et tout en nous abstenant de vous lancer un encourageant et salutaire « merde ! » –, et autant mobilisés que vous – mais néanmoins sans attestation de déplacement dérogatoire (protestation/détestation des placements rogatoires) ni bâillon nasobuccal sur la tronche ni ablution de gel hydroalcoolique et tout en nous pinçant soigneusement le nez –, nous nous empressons de porter à votre conoissance ce qui suit :

Au pays des benêts,
les escrocs sont rois.

Mister resident… au service de qui êtes-vous ?

Incontestablement, avec vous, c’est la Fête du bran tous les jours ! Vous en gratifiez généreusement le pays et la communauté nationale tout entière depuis des années. Vous en aviez graduellement ouvert les vannes depuis votre accession aux « responsabilités », et voilà-t-il pas qu’aujourd’hui, usant de prérogatives outrancières, vous nous en envoyez des convois, des wagons, des tombereaux – des montagnes ! à un rythme inégalé !
Sans conteste, la guerre du caca a commencé. Elle aura lieu. Elle fera rage. La lutte est engagée et elle sera rude. Avec toute cette merde – mairde – qui le submerge, le monde, plus que jamais, est devenu un immense merdier et vous, un de ses Emmerdeurs attitrés, un de ses chieurs mandatés, un de ses foireurs patentés, un de ses défécateurs 
emblématiques. Vous jouissez, il faut le souligner, à l’instar de vos alter ego, de la faculté extraordinaire et du privilège rare de semer la merde partout où vous passez et de corrompre tout ce que vous touchez. Quel talent ! C’est à l’année – à la décennie ?que vous emmerdez les Français. Vous êtes sans contredit un des grands ordonnateurs du bran ici-bas et à regarder autour de nous, dans cette prestigieuse et recherchée spécialité, vous détenez assurément, avec nombre de vos amis-experts du club des Young Global Leaders(*1), la palme d’honneur, le palmarès de l’excellence. Quelle application, quelle bravoure, quelle pugnacité dans l’emmerdement vous manifestez ! Nul doute que vous, vos « frères d’armes » et toute votre célébrissime Guilde des Emmerdators(*2), copains comme cochons, serez tous, sans exception aucune, largement remerciés défrayés, dédommagés, démerdés par vos patrons de tant de labeur et d’abnégation !

(*1) : À ce jour, plus d’un millier de séides et alumni – hautement illuminés – de la nébuleuse de Davos. Une belle brochette, une équipe de choc. La crème de la transhumanité en passe de rejoindre la posthumanité.
(*2) : Les nouveaux démiurges, les Maîtres du monde, les rois de l’argent, l’État profond (le Deep State), les initiés,
les archontes eugénistes, l’élite mondialo-nazie, l’oligarchie sataniste, la religion mondialiste, les loges secrètes et leurs nombreuses obédiences, la modernocratie, l’hydre « progressiste », les globalistes bienfaiteurs du N.O.M. qui ont pris le contrôle de toutes les institutions. LInternationale du Crime et de la Corruption, la confrérie des cercles de pouvoirs mafieux, les commanditaires du Great Reset – Bad Reset !!, la planète Davos, les ingénieurs du chaos… – les désignations ne manquent pas –… et leurs innombrables officines, conseillers, serviteurs, auxiliaires, supplétifs et autres zélés mignons infiltrés et disséminés partout sur la planète. Voilà des décennies, pour ne pas dire des siècles, qu’ils s’appliquent à nous fabriquer une société de merde et à la rendre au fil du temps de plus en plus merdique et invivable – irrespirable ! – aux populations. Jamais jusqu’à l’arrivée de cette plandémie, il n’est apparu aussi crûment que la mondialisation est une montée alarmante du totalitarisme, une uniformisation drastique, un nivellement extrême (à tous niveaux) par le bas, une interdépendance planétaire inquiétante – source de fragilités redoutables –, le tout accompagné d’une concentration inouïe des pouvoirs.

« Le fascisme, ça commence avec les fous,
ça se réalise grâce aux salauds,
et ça continue à cause des cons. »

(Henry de Montherlant) (1895–1972)

Pourquoi cette quête éperdue à l’image et à l’audimat ? Que trahit cette obstination à perpétuellement rechercher, coûte que coûte, les feux de la rampe ? Que signifie ce besoin irrésistible d’en permanence quémander la lumière, d’occuper maladivement tout l’espace médiatique ? Se profilerait-il prochainement une élection ? Quoi de mieux qu’une « guerre » pour saisir les esprits, pétrifier l’opinion publique, parler d’autre chose, masquer tous les autres problèmes, faire diversion, empêcher de traiter des vrais sujets, éviter d’évoquer les questions qui fâchent… et ainsi se maintenir – abusivement – au pouvoir, n’est-ce pas ?
Quelle activité, quelle industrie, quelle ressource, en effet, vous déployez pour exister et vous illustrer ! Les bras nous en tombent ! Quelle course frénétique vous menez ! Corbleu ! vous raillez les rois fainéants mais le résultat meurtrit, mine, mutile le pays sans pareil ! Que ne vous a-t-on jamais appris que le plus et le mieux étaient les ennemis jurés du bien ! N’avez-vous donc pas le tournis à de la sorte vous démener ? À sans cesse vous affairer ?… Sans doute, faisons-nous là, selon vos standards, preuve de « mauvais esprit ». Nous l’assumons.
Nous ne pouvons cependant manquer de nous interroger devant tant de fronts ouverts, d’hostilités déclarées, de batailles engagées, de chantiers lancés, devant tant d’incartades, de remue-ménage, de branle-bas, de tohu-bohu, de tumultes, devant une telle inflation législative, devant tant d’agitations cathodiques – télévisuelles dirait-on aujourd’hui –, d’allocutions gesticulées et de pantomimes savamment millimétrées… Mais vos harangues soûlent. Vos mots sonnent creux. Ils sonnent faux. Horriblement creux. Terriblement faux. Ils sont vides, dévoyés, retournés, corrompus, viciés, pervertis. Ils transpirent le bran. Ils exsudent la merde. Ils puent ! Ils empestent ! Ce ne sont pas seulement que des nuées de vent que vous brassez mais aussi des kilomètres cubes de merde que vous charroyez ! Avec vos logorrhées méphitiques, ce sont des tonnes et des tonnes d’étronite nauséabonde, fétide, putride, que pompeusement vous charriez chaque jour. Quel métier ! Quelle passion ! Quel dévouement !
Le surmenage vous distingue. Manifestement, l’hyperactivité – une pénible pathologie de ce siècle aux conséquences désastreuses pour le malade ET tout son entourage – vous caractérise à merveille, vous l’homme d’affaires à l’appétit de chacal, vous l’hyper-, l’ultra-président décomplexé à souhait. Poignant. Comme un vibrion survolté. Comme un parfait agité du bocal. Quelle surexcitation fiévreuse ! Quelle effervescence ! Une intensité digne de l’appétit insatiable d’un autocrate aux ambitions de démesure.

… Il court, il court, le furet… Il est passé par ici, il repassera par là
Il court, il court, le furet. Le furet du bois, mesdames,
Il court, il court, le furet, Le furet du bois joli.

LE FASCISME NOUVEAU EST ARRIVÉ !

Titre emprunté à Jean-Dominique Michel, AnthropoLOGIQUES : https://anthropo-logiques.org/le-fascisme-nouveau-est-arrive/

Un monde corrompu – Bienvenus / Malvenus en pathocratie

Dans les pas du FührerUn tsunami de délires et de fureur
L’Empire du Mensonge – Le mensonge comme prison et arme de destruction massive

Retour vers l’Âge barbare – Un amer naufrage – Une vertigineuse descente aux enfers
Une société devenue totalitaire – Covid-19 = 49.3 puissance 10

Abus de pouvoir et abus d’autorité manifestes – La Force fait la Loi
Psychose sur le monde – Le management par la terreur
– La peur mise en scène
Un très long conditionnement – Une crétinerie institutionnalisée des populations et une criminalité organisée des dirigeants
Lorsque les êtres comme les esprits sont manipulés comme des pantins

La « société du spectacle » dans tout son étalage… et de plus en plus ridicule (cf. Guy Debord) – Une propagande immonde
Mesures… et surtout Démesure – À devenir fou(s) – La Vérité si je mens !
L’absolutisme du pouvoir de moins en moins grimé – Un totalitarisme de moins en moins “soft” – Un cauchemar éveillé
L’alliance crapuleuse des ploutocrates, des sociopathes et des technocrates

La tyrannie du Bien et de la Sécurité à la besogne – Infantilisation et surveillance
De la rage d’enfermer, de la frénésie de museler, de la furie de tester, de la fureur de vaxxiner
Un virus… idéologique – Le cartel covid > hégémonique < à la manœuvre
Des tests d’obéissance (à l’échelle d’un ensemble de pays) de plus en plus asservissants pour les populations
No limit à la folie sanitaire semble être votre mot d’ordre – Des procédés totalitaires made in China

Graduellement, sournoisement, la propagande instille dans nos cerveaux et nos veines le lénifiant et mortifère poison de la fatalité et de l’impuissance… Nous faisons ce qu’il nous plaît. Quoi que vous décidiez, quoi que vous fassiez, vous ne pouvez pas vous soustraire à nos tenailles. Vous êtes en nos mains. Nous vous tenons fermement. Vous êtes en notre pouvoir. Vous êtes à notre merci. Toute résistance est vaine, rabâche le Pouvoir à longueur d’années.

Lorsque LA solution devient LE problème – Créer des problèmes… puis apporter < imposer > LA solution, LEUR solution(*1)
Le One Health totalitaire – Une obsession : vaxxer, pucer, numériser et tracer la planète entière(*2)
Une privation des droits civiques inédite – Une obéissance délétère mais lucrative
(*1) : Nous devrions pourtant savoir, à l’instar d’A. Einstein qu’il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre.
(*2) : Les Zélites bien sûr mises à part. De plus, pour elles, recours à de simples certificats de complaisance ou alors – au pire ou tout bonnement pour la com’ – pas de poison dans la seringue mais du banal sérum physiologique. Que du cinoche ! Quelle fourberie !
Rappelons ici que la représentation nationale est dispensée des contraintes sanitaires pesant sur le reste de la population. Charité bien ordonnée… Pourtant ne faudrait-il pas
en premier lieu protéger de tout risque, sacraliser, momifier nos valeureux, nos précieux, nos irremplaçables députés et sénateurs – le cœur vibrant de notre Démocratie – qui à l’occasion de cette crise inédite – la saga coronabrutale – ont, en se couchant comme des carpettes, livré des combats magnifiques, grandioses, héroïques, dantesques même pour nous soustraire à la tyrannie sanitaire ? Ce ne serait qu’un juste et mérité retour des choses.
Notons que la Police, elle aussi, jouit durant cette Grande mystification de quelques faveurs non négligeables… absolument dénuées de toute arrière-pensée politique.

La grande peur infligée à l’humanité

La Grande Peur… e(s)t… la Grande Réinitialisation
Le krach couillonaviral
La stratégie du choc à l’œuvre
(cf. Naomi Klein)

La première arme de la guerre est la censure, et sa première victime, la vérité. Vous en faites bon usage. L’arsenal censorial et répressif ne vous résiste pas. Avec vous, mensonges et anathèmes se portent comme un charme. De manière évidente, vous vous entendez parfaitement en tyrannie et en totalitarisme. Et pour cause. Le corona circus semble vous avoir octroyé, par-delà les pleins pouvoirs et la science infuse, tous les droits et toutes les licences. Vous êtes gâté ! Votre heure de gloire est arrivée. Tous les feux sont au vert. L’attente est à son paroxysme. La tension, à son comble. Le désir de pandémie est plus grand, plus fort, plus impérieux que jamais. Voilà des années déjà que l’oligarchie globaliste a infiltré et verrouillé partout la quasi-totalité des postes stratégiques et anticipé, répété, perfectionné la manœuvre. Indiscutablement, le programme du chaos est en marche. Les signes avant-coureurs ne trompaient pas. L’opération militaire s’intensifie au fil des semaines… Des « rumeurs » circulent… Et voici que les Cavaliers sont lâchés. Musique ! Que la terreur commence !

Sois sage et obéis à ceux qui savent.
Ils veulent ton Bien.
Le gouvernement sait ce qui est bon pour nous.

La peur, arme de manipulation et de destruction massive

Traumatiser les populations afin d’obtenir leur consentement

Machiavel ne s’y est pas trompé : « Qui contrôle la peur contrôle les âmes. »(*)
Un relai à la théologie de la peur (cf. Jean Delumeau)
Le mal au nom du bien

(*) : Ou bien, formulation plus récente : Les humains sont des êtres que seule la violence et la terreur peuvent mettre à la raison [parole d’initié]… La peur doit régner sur les gueux. Le ressort est connu, exploité… et surtout subi par l’immense majorité des populations.

 UN DÉFERLEMENT DE VAGUES… TOTALITAIRES

Intégrisme sanitaire
L’obéissance… ou la mort !
Soumettez-vous sinon vous allez tous mourir !!

Après avoir été prophétisée dès 2016 par le grand mafieux américain A. Fauci… puis, à la charnière des années 2019-2020, savamment couvée quelques semaines “au gré” des nouvelles tantôt rassurantes tantôt inquiétantes en provenance de Chine tout d’abord, puis d’Europe et de France ensuite – souffler vigoureusement le chaud et le froid, histoire de bien secouer l’opinion publique pour l’ébranler –, la coronarnaque a fini, début 2020, par brutalement exploser dans nos vies – si ce n’est pas carrément exploser NOS vies

D’un coup, sans prévenir davantage, comme une nuée ardente, la coronafolie s’abat sur la planète. Habilement orchestré, la flandémie covidiote – un tsunami de désinformations, de mensonges, de falsifications, de contrevérités, de mystifications institutionnelles ! – déferle sur les continents, redoutablement bien appuyée par un déluge de feu merdiatique. LA GRANDE PEUR emporte tout sur son passage. Le venin de la terreur est injecté en perfusion continue. La fin du monde est proche ! L’Armageddon est à nos portes ! Le médiavers se déchaîne. Les injonctions pleuvent, drues comme la grêle d’un noir orage. Les commandements des autorités claquent, assourdissants comme la foudre, tétanisant comme l’effroi. TREMBLEZ, PAUVRES MORTELS !!! TREMBLEZ, PÉCHEURS !!! TREMBLEZ, INFIMES POUSSIÈRES !!!… Si vous voulez avoir quelque chance de survivre, restez chez vous ! Restez chez vous ! RES-TEZ-CHEZ-VOUS ! – Surtout restez bien sagement couchés, les mains haut en l’air. Accrochez-vous à votre doudou et prenez soin de votre petit nombril égotique !! – Flattez, flattez, flattez votre petit être névrotique !! – NE REGARDEZ PAS DEHORS SINON VOUS ALLEZ ATTRAPER LA MORT ! Vous allez suffoquer sur l’instant ! C’est horrible ce qu’il se passe ! Les victimes tombent par milliers comme des mouches ! Ne vous posez surtout aucune question ! Aucune question ! INTERDISEZ-VOUS DE PENSER ! Ne cherchez pas à comprendre ! OBÉISSEZ ! OBÉISSEZ ! OBÉISSEZ, UN POINT C’EST TOUT !! Les zautorités veillent sur vous. Pour votre bien et pour votre sssécurité, le gouvernement veille sur vous. Toute opposition est vaine. Restez tranquilles et laissez-vous faire ! Nous savons ce qui est bon pour vous ! Nous avons la solution. NE RÉFLÉCHISSEZ PAS, CONFORMEZ-VOUS !! OBÉISSEZ !! OBÉISSEZ !! OBÉISSEZ !! entend-t-on et lit-on partout…

La déferlante totalitaire emporte comme fétu de paille le peu d’éthique et de principes démocratiques qui subsistaient encore jusque-là dans nos contrées. Dans les chaumières, la stupeur redouble d’intensité. En Covidie, la « guerre au virus » – une sainte guerre ! – sature tout l’espace médiatique. La propagande colonise les esprits. Les tribunes sovietoïdes s’étalent à longueur d’éditions spéciales. Sur les plateaux TV, les troupeaux de dindons glougloutent à qui mieux mieux. Sans fin, les merdias putassiers – cireurs de pompes des oligarques et des mondialistes, bandits de grands chemins, ordures putrides de notre “modernité” décadente, pernicieux formateurs de la pensée, acteurs endémiques d’une désinformation massive – relayés par une légion de zélébrités aussi complices que vénales et stupides, charrient leurs lots d’idioties, de fabulations et surtout d’injonctions savamment distillées. Un ingénieux mélange hallucinogène – confusionnel et confusiogène, psychogène et psychotique – de quelques faits réels assortis d’une montagne d’intox : une avalanche d’info-fictions, de tromperies, de roueries, d’impostures déversées sur les populations pour entretenir un parfait confusionnisme et générer l’épouvante. Effet stroboscopique garanti ! Non-stop, les écrans vomissent leurs flots morbides de fadaises et de bobards. – Ils inondent et paralysent la cognition. – En coulisse, le complexe militaro-industriel conspire la ruine des peuples encore libres afin de les asservir à demeure. Le Politburo est sur le pied de guerre. Les spin doctors, les neuro-marketeurs, les ingénieurs du chaos charbonnent à fond de train. Les nudges pullulent. Les corona-paniqueurs, grands connaisseurs de la psyché humaine, procèdent avec méthode et frappent avec efficacité. La kommandantur enjoint. La fabrique de Vérité™, sous les ordres du ministère éponyme, tourne à plein régime. La manufacture du consentement bat son plein. Les médicastres décrètent la science. Les pontes pontifient. Les bouses blanches covidiotes sermonnent les foules. La Doxa perroquette. Les prêcheurs de l’apocalypse s’en donnent à cœur joie. Les experts & Co télévisuels – les Officiels de la Pandémie – pérorent en chœur. Les colporteurs colportent. Les cloportes cloportent. Les mouchards mouchardent. Les fayots fayottent. Les chaînes enchaînent. Les ambianceurs ambiancent l’hystérie de main de maître. L’écholalie s’amplifie, se presse, se répand, se réplique. La panique prend. Jour et nuit, sans relâche, sans répit, sans arrêt, inlassablement, l’opinion publique est travaillée au corps, façonnée par la peur, pétrie au consensus, malaxée à la résignation, moulée à l’acceptation, assommée au slogan. La presse fasciste se délecte. Les éditocrates haranguent les troupes. La journaille glose à disloquer les caboches. Votre bras armé, les relais merdiatiques de l’extrême finance – grassement subventionnés, bien dressés, parfaitement aux ordres, qui ne mordent jamais la main qui les nourrit – enfument à tout va. Les journaux, les ondes, l’internet, les journalopes – les laquais de la presse mondaine, les communicants stipendiés des gouvernementeurs –, les bonimenteurs, les bavardeurs, les blablateurs, les portefaix, les radoteurs, les ragoteurs, les glapisseurs, les baveux, les orfraies, les gazetiers, les télégraphistes, les répétiteurs, tous relayent au mot près votre propagande répugnante. Le couillonavirus – quoique invisible – est invincible ! Le tueur de l’ombre dévaste la planète. Le populicidaire diabolique résiste à tout ! Quelle unanimité ! La douillette autocritique coule de beaux jours tandis que les hardis « prêts-à-mentir » se bousculent avec empressement pour prendre ou garder une place au soleil. – Un psittacisme de bon aloi. L’orthodoxie incarnée. L’obscurantisme en barre. – La censure planétaire veille et muselle les voix discordantes. Le rouleau compresseur de la bien-pensance propagandiste écrase toute opinion dissonante. Le despotisme déroule son programme. La chape de plomb mafieuse s’étend de jour en jour plus brutalement sur le monde. L’étau mondialiste se resserre à vue d’œil. Lancée contre nos cerveaux, la guerre cognitive, l’O.P.A. plandémiste s’acharne contre tout esprit critique. L’endoctrinement va bon train. La captologie intoxique, englue, torpille les méninges. Les éléments de langage, ciselés avec habilité, tapent dans le mille. La dictature du Bien s’emballe. Plus la psychose gagne, plus l’intempérance se lâche. Les tartufes s’enhardissent. Les pékins yoyotent du bulbe. Les avachis du ciboulot beuguent sévèrement. Les ventres-mous ballonnent, flatulent, frocquent. Les acteurs de l’ombre sont à pied d’œuvre. Les augures turbinent. Les covidologues conjecturent dans la semoule. Les spécialistes en morve triangulent à haute fréquence. Les savants en miasmes vibrionnent comme jamais. Les normalisateurs normalisent. Les ayatollahs du sanitarisme über alles traquent les crimes-pensées. Les complotologues scrutent la toile comme des araignées en quête de repas. Les hyènes chercheuses de complotistes écument et vocifèrent. Les sanibans et leurs larbins veillent scrupuleusement à la fable covidiote. Les khmers blancs, drapés dans leur divine omniscience, potinent, imposent, enjoignent. La trollosphère manigance. Les imposteurs zététiciens lévitent. La caste autoproclamée des guignols fact-checkeurs officiels – bande criminelle de fake shakers diligentés – en bons fonctionnaires – censeurs, inquisiteurs – du Deep State fakent comme personne. Les chasseurs d’« infox » bombardent la complosphère. La Police de la pensée patrouille urbi et orbi. Les cerbères enragés de la monopensée publique sont à l’affût. Les procureurs de la Vertu se tiennent sur le qui-vive. Les intégristes de la Salubrité inspectent les consciences. Les gardiens du dogme sévissent. Les grands-prêtres flandémiques anathématisent. Tout contradicteur se voit systématiquement cloué au pilori merdiatique et banni de la communauté humaine…

LA CONSPIRATION VAXXINALE

… Everything will go back to noormaal…
… Si je mens, c’est pour ton Bien, mon enfant…

We do not stop progress

Et… – formidable roulement de tambours sous d’impressionnants – éclaboussants – éclats de trompettes / FLASH SPÉCIAL – voilà qu’après un interminable – un épouvantable !! – suspens, la task-force vaxxinolâtre – qui depuis des lustres trépignait dans l’antichambre en concoctant et en affûtant fiévreusement ses poisons – annonce l’arrivée triomphale de la botte secrète Sa Majesté Coronavax, deus ex machina tout droit descendu de la constellation d’Orvieto pour sauver l’Humanité du déluge viral, pour délivrer les Terriens d’un anéantissement certain.

Attendu(e) comme le Messie

LA POTION MAGIQUE ARRIVE
LE REMÈDE MIRACLE DÉBARQUE
NE RATEZ PAS L’AFFAIRE !!

LA MORT REND LIBRE !!!

Ça y est !! notre Sauveur arriiive !!! Notre Rédempteur est là !!!! Le Graal est làà !!!! Il est lààà !!!! Il est làààà !!!! Il est lààààà !!!! Il est làààààà !!!!

THE VAX PARTY IS OPEN
NOTRE AMBITION… UN PROJET IMMENSE MAIS INDISPENSABLE
EST À NOTRE PORTÉE : VAXXINER
(*) LE MONDE !!!
VAXXINER
LE MONDE !!!
VAXXINER LE MONDE !!!

(*) : Comprenez : ficher, entuber, injecter, pucer, soumettre… le monde entier. Entendez-le bien !

Nb : Le Monde n’a aucunement besoin d’être vacciné/vaxxiné, fût-ce même contre la connerie humaine – sans limites !!! Le Monde se suffit amplement à Lui-même. Tout comme la stupidité humaine se suffit amplement à elle-même – sans compter les titanesques dommages collatéraux (externalités négatives) qu’elle occasionne partout !!!

Quelle ambition !! Quelle charitable résolution !! Quel beau dessein !!… Mais quel superbe objectif !! Quelle splendide entreprise !! Quel noble but !! Quel magnifique projet !! Quel somptueux programme !! Quelle merveilleuse mission !!… « Vaxxiner le monde »… Vaxxiner le mondeVAXXINER LE MONDE… Le Grand Homme !! Le Saint Homme !! Le divin apostolat !!… Nous en pleurerions presque de joie… Encore un peu et nous chialerions d’extase !!

Et voici qu’arrive, après la grosse trouille existentielle, dans une euphorie jubilatoire, l’immense espoir… conduit par un réel intégrisme sanitaire, aiguillonné par un véritable fanatisme vaxxinal :
Le salut par Saint Vax – Open bar – Fanatisme vaxxinal

Eurêkaka ! la Science™ – Ndlr : la puiscience, la “science” du tout puissant complexe financiaro-industriel – vient de parler : le néo-viatique patenté – mis au point à une vitesse supra-pandémique – terrasse le mal !!! Et définitivement ! Il le pulvérise même ! Il l’atomise ! Il l’envoie à trépas ! Il est magique ! Rien ni personne ne lui résiste ! Ouf, quel soulagement ! Quelle providence ! Quelle euphorie ! Quel exploit ! Quel tour de force ! Une extraordinaire allégresse gagne le monde des télécons et des vaxxidiots. Go ! Le vaxxinothon peut maintenant s’ébranler tout à son aise ! Les nécro-vaxxins partent à l’assaut de l’Univers. L’esprit de lucre plane sur la Terre. Requinquée du tonnerre, la morale – la peste – vaxxinale fait un tabac auprès des covidiots. Les injecteurs injectent 24/24, 7/7. La machine à doser l’humanité vrombit avec fureur. Saint Vax est porté aux nues. La propagande mortifère laboure impitoyablement les cerveaux. Elle les anesthésie, les creuse, les explose. Le rituel qui « protège et immunise » monopolise tout l’espace-temps. Le carnaval couillonaviral culmine, grotesque à gerber. Le catéchisme vaxxinal, shooté aux toxi-dollars, psalmodie ses litanies. L’église inoculatrice se glorifie. Le clergé pasteurien plastronne. Le culte inoculale jubile. La mafia pharmaco-financière se frotte la besace-panse. Les fricards de la merdecine se magnifient. Le consortium des droguistes se congratule : il a touché le jackpot. La religion vaxxi-covidiote, sous les hospices de son dieu Progrès, parade en abyme. La pensée-unique triomphe et pavoise… L’Union sacrée martiale atteint son apogée. Point de salut hors de la piqûre ! La VaxxdaPravda (la vérité, faut-il le rappeler ?) vaxxi-totalitaire suprême – endoctrine et matraque à tour de bras : tous piqués, tous niqués. Voulez-vous mourir ou, pire, tuer vos proches à commencer par papy et mamie ? Non bien sûr ! Alors conformez-vous, faites-vous injecter – infecter – sans délai ! prêche, exaltée, jour après jour, la rengaine covidémente. Les baizodromes vous attendent de seringue ferme ! Les vaxxibus quadrillent le pays. Les douteurs, les sceptiques, les réfractaires sont lynchés, invisibilisés, promis à la géhenne, aux flammes infernales, à la damnation éternelle.

Il fait partie de notre Projet
Le nouvel Antivirus est arrivé

CHARLATANISME VAXXINAL
Bienvenus dans l’Immunité Digitale !
FAÏZER EST GRAND !!
Optez pour la vie, faites-vous injecter !!

C’EST LA GRANDE PEUR QUI VOUS PARLE
!!!
POUR SURVIVRE, RECEVEZ LE TOXXIN MAGIQUE !!!
Il ne vous restera plus rien – si ce n’est à pleurer – mais au moins vous aurez eu votre dose

– Saint Vaxxin et l’ardente Foi vaxxinale –
Saint Vax célébré urbi et orbi
PROSTERNEZ-VOUS !!!
– Tout récalcitrant sera puni
Abonnement obligatoire

LE SALUT PAR SAINT VAX

La foi vaccinale

LE TOXXIN EST LA PUCE

FAÏZER sait ce qui est bon pour vous
Ô
saint Vax tout puissant, priez pour nous !!!
Délivrez-nous de ce mal absolu qu’est le microminus !!!

– Devenez invincible grâce au saint Vax
Matin, midi et soir, baisez-lui avec dévotion 6 fois le QRC en signe de respect et de soumission !
$€ntEz L’e$prIt dU VaX1n® d€s~cǝndre sUr v0u$ Ǝt v0U$ tr@n$fiGur€r
Dispositif médical [… Expédient vénal]
Grand bien vous fasse, les cobayes !

LA MORT REND LIBRE !!!

Toute dictature a besoin d’un minimum de “consentement”, fût-il arraché par la force ou par la ruse

Ça graille d’enfer en Absurdistan ! Saint Vax, priez pour nous ! Devant un si grand danger, devant tant d’adversités… qu€ll€ communion inédit€ nous vivons ! Spectacle – grandiose – assuré. La com’ vaxxinale dissout toute résistance. Les jobards tombent en extase. Vite ma dose ! Que demande le peuple ? Une image (un QRC) – plus éventuellement un bonbon ou une sucette – contre un jab ! La bonne blague ! Touchant, poignant, bouleversant ! Sortez vos mouchoirs.
– Quelle organisation ! Quelle application ! Quelle efficience ! Décidément, la modernité nous surprendra toujours ! –
Ça passe crème ! Vous exultez. Le mensonge dégouline de partout. Les engrammes foisonnent. La PsyOps s’immisce en tout. Le lavage de cervelle opère. Le bourrage de mou fait merveille. Nos encéphales sont devenus l’ultime champ de bataille. Ils saturent, débordent, explosent ! La falsification a contaminé la moitié de la planète et tout particulièrement l’Otanland, le cartel autocratique regroupant les vestiges – encore fumants – des anciennes démocraties – aujourd’hui devenues moins même que des médiocrassies.

Le mal c’est le bien.

Dans les chaumières, la stupeur est de retour. Saisi d’effroi, on suffoque, on s’étouffe, on s’étrangle. Le modus operandi a fait mouche. Les cerveaux sont atomisés. Comme l’avait déjà précédemment réussi votre promulgation du CONfinement général – annoncé avec toute la solennité grave qui sied à pareille loufoquerie –, l’instauration de vos nazipaSS à son tour sidère son monde et d’un coup l’assomme. Le spectacle est terminé. La récréation aussi. De nulle part surgit l’enfer. C’est horrible ! Le cauchemar ! Un néo-stalinisme dans toute son horreur, dans toute sa laideur, dans toute sa roideur, dans toute sa tyrannie se dresse devant nous au grand jour et stupéfait son monde. Jusque-là resté en embuscade, sans même crier gare, sans quartier, sans ménagement, avec la brutalité, la brusquerie d’un forcené, le monstre froid du totalitarisme 2.0, sous prétexte de « santé » et de « sécurité », claquemure d’office toute réflexion, brise nos vies et pulvérise nos familles jusqu’aux moindres détails du quotidien. En nous ouvrant grand ses déversoirs, le Monde-d’Après dégueule ses absurdités et ses perversités. L’impensable – l’innommable – advient. L’humanité est pilonnée de toutes parts. Le délire enfle. L’emprise hystérique prend des proportions dantesques. La folie s’étend jusqu’à la stratosphère. Malheur à celui qui pense ! Raison, s’abstenir ! Tout entendement malvenu. Discernement interdit. Esprit critique prohibé. Toute pensée autonome bannie. Doute strictement proscrit. L’hôpital psychiatrique, dans lequel on nous entraîne de gré ou de force, a poussé ses portes au-delà des frontières de l’hexagone et l’asile désormais à ciel ouvert nous tend sa camisole grande ouverte. Seules encore, de-ci, de-là, éparses, noyées dans le chaos ambiant, égarées dans un vide intellectuel et artistique absolument sidéral, perdues dans le fatras informationnel, quelques voix lucides s’interrogent dans le désert du néant, dans le gouffre du mensonge, dans l’abîme de la propagande, dans l’océan de confusion, de docilité, de conformisme. Mais il ne fait pas bon nager à contre-courant, la pensée unique et ses commissaires politiques veillent au grain. Et comme il se doit. Les réticents, les opposants, les traîtres au programme sont excommuniés sans états d’âme et châtiés en un tournemain.

ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS !
Nous vivons une époque for-mi-da-ble !

Conduite autoritaire, régime totalitaire

Stratège en conditionnement, roi de l’entourloupe, vous jubilez. La guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force, écrivait George Orwell. Vous pourriez en faire votre devise. La vérité si je mens. La doublepensée dans toute sa splendeur. La schizophrénie personnifiée. L’oxymore au pinacle. La quadrature du en-même-temps. Dans son apocalypse promise, le monde attend le couronnement de son plus téméraire enfermologue-vaxxinologue. Grosse prime annoncée par les organisateurs ! De nombreux candidats en lice. C’est donc à fond la caisse, à bride abattue, totalement débridé, tout schuss, en totale liberté, en roue libre que joyeusement vous covidez. Et vous voyez les choses en grand, le despotisme ne vous ayant pas échappé non plus. Frappadingue, c’est au marteau-pilon que vous attaquez le virus ! Bille en tête ! Nous sommes en guerre !… Visiblement, la grippe espagnole vous est montée direct au cerveau. Et, dans votre délire, suit, rampant dans l’ombre, la peste noire qui n’attend plus que son heure pour vous assaillir, vous aveulir, vous transir, vous estourbir, vous occire…
Mais l’hécatombe tant augurée, tant redoutée, tant espérée n’est pas au rendez-vous. Le cataclysme prédit s’est tout bonnement… déballonné. La prophétie apocalyptique a fait long feu. L’holocauste viral allégué n’a pas eu lieu. Fausse alerte. Les extravagantes et terrifiantes projections d’une poignée de modélisateurs de la démesure et de l’extrême incompétence – toujours les mêmes brêles, les mêmes faux prophètes, les mêmes falsificateurs ! – ont, une nouvelle fois, fait pschitt. Le canular est sorti de sa boîte.
Merde ! La guerre est finie avant même d’avoir commencé. Pas de chance ! La fin du monde claironnée devra patienter. C’est cependant sans compter votre résistance acharnée, faire abstraction de la constance de votre aveuglement et de votre hargne.
Qu’à cela ne tienne ! Retranché dans votre bunker sanitaire, vous relayez efficacement le mégalovirus. Barricadé dans votre casemate féodale, vous attisez habilement la peur. Dissimulé derrière vos gestes barrières, vous encouragez l’épouvante. Planqué derrière votre Conseil de défense sanitaire, ses clowns pathétiques et ses savantes marionnettes – cet énième machin à enfumer et entuber –, dans le secret des conciliabules – qu’avez-vous donc à cacher ??? –, vous distillez conformité et culpabilité. Abrité dans votre forteresse sécuritaire, vous surjouez avec brio le sociodrame viral. Cabochard endurci, buté dans votre fanatisme hygiénique, contre reflux et décrue de l’épidémie fantôme, contre l’évidence la plus absolue, contre toute logique, contre toute raison, vous maintenez à tout prix vos positions de dingo. Business-plan oblige.
Non, vous n’êtes pas un dictateur ! Au grand jamais ! Qu’on se le dise. Vous simplifiez seulement la démocratie, selon un bon mot. Vous la débarrassez de ses inadmissibles lourdeurs, vous la délestez de ses dommageables pesanteurs. Vous ne reculez devant aucune compromission, vous ne vous refusez aucune abjection. Un parfait autisme intellectuel…

La régression c’est le progrès.

Errare humanum est, perseverare diabolicum. La bouffée délirante vous égare. La covidémence vous poursuit. L’hybris vous habite. Ce n’est pas le couillonavirus – alias covipox – qui vous terrasse mais la folie des grandeurs. Votre orchestration de la dinguerie sanitaire nous interpelle. Votre obscure transparence de la crapuleuse gestion covidiote – et tout spécialement de l’imposture vaxxinale – nous questionne. Rien que votre acception de ce qui est « essentiel » ou votre conception de la « société de vigilance » en disent long sur vos sombres visées et témoignent de vos noirs desseins. Nous constatons avec effroi l’effondrement des piliers de la démocratie, la faillite complète de nos institutions doublée d’une capitulation massive des esprits. Dans votre folle entreprise d’anéantissement, n’est-il pas jusqu’au sens même des mots que vous pervertissez ? Jusqu’aux identités même que vous détruisez ? Jusqu’aux symboles, jusqu’aux archétypes que vous subvertissez ?… – « La perversion de la cité commence par la fraude des mots », vous avez retenu la leçon de Platon. – Pour parvenir à vos fins – scélérates –, vous usez sans scrupule aucun des instruments de la démence : la post-médecine, une science gravement corrompue par la gorgone pharmafieuse – le complexe médico-politique hautement affairiste –, une communication fallacieuse, des moyens déloyaux, des procédés illégaux, des institutions pourraves, une (in)justice aux ordres, l’utilisation illégitime de la force publique – devenue force de la honte et du déshonneur –, votre bras armé, les ex « gardiens de la paix », votre milice dite « républicaine », votre flicaille, votre soldatesque, votre garde prétorienne, vos bourres, vos cognes, vos nervis, vos reîtres, vos barbouzes, vos cerbères de l’ordre despotique !
Quel fromage !! Quel foisonnement !! Quel remugle !! Pouah, ça puire !! À dégueuler ! Votre attentat sanitaire nous révolte ! Votre coup de force est à vomir ! Votre gouvernement par la peur est pure ignominie. Votre dramaturgie se révèle supérieurement grotesque. Votre ombreuse ingénierie sociale nous alarme. Votre crise d’autorité nous choque. Votre oppression sécuritaire nous scandalise. Votre idéologie totalitaire nous atterre. Votre cybercratie nous dégoûte. Votre travail méthodique de sape sociétal nous offusque. Vos dispositifs pour soumettre les corps et les consciences nous heurtent. Vos armes de coercition nous effarent. Votre répression liberticide nous écœure. Votre coprolalie nous répugne. Votre chiure nous révulse. Votre politique de la terreur est un scandale absolu !
VOUS ÊTES UN CRIMINEL DE LA PIRE ESPÈCE !!!

FAÏZER EST GRAND !!

Que de miracles il accomplit(*1) !!
Il arrive même à transmuer votre peur en liberté, c’est tout dire !
Quel fantastique exploit !
Faites-vous injecter… par amour pour Faïzer

ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS !

RACKET VAXXINAL
Grâce à la potion magique,
35 milliards (au moins) d’argent public ont été engloutis par la Secte bruxelloise pour empoisonner les Européens

Ce qui dérange les uns peut rassurer les autres.

Pression de conformité
pour la Sécurité globale

–  LES NOUVEAUX BAGNARDS / AVATARS / COBAYES(*2)  –
Les prisonniers des vaxxins matérialisent la chaîne… pour se faire bioniquer
[pour se faire inoculer le progrès au travers d’une expérience génique
– pour se faire injecter une saloperie, implémenter une chimère].
10 doses de daube prévues par Européen
(et pas une de moins, Pustula von der Pfizer, Führerin de l’euroReich,
les a déjà commandées pour opérer ses « vaccinations cognitives »
)
… et le reste, si reste il y a, pour Covax.

UNE NOUVELLE ADDICTION EST NÉE
Ne soyez pas ringard-e-s ! Restez à la page ! Allez avec votre temps !
Suivez la mode ! Soyez moderne-s ! Soyez progressiste-s !
FAÏZER sait ce qui est bon pour vous

Allez ! vous r’prendrez bien encore une p’tite dose pour la semaine à venir, mes amis !
POUR NE PAS MOURIR !!
POUR ÊTRE LIBRE !!
POUR ÊTRE TRANQUILLE !
Pour être un-e bon-ne citoyen-ne ! Pour faire comme
mes ami-e-s !
Pour être privilégié(e) !
Pour être very sûr(e) d’être tout à fait safe !
ET DE PLUS, C’EST GRATUIT !
Que demander de mieux ?!

Nb : Toute ressemblance avec la réalité serait, bien sûr, purement – totalement – fortuite.

(*1) : Le secret / le constat : un mensonge suffisamment répété finit par devenir vérité.
(*2) : Rayer la mention inutile.

Un délire totalitaire – Un scandale absolu – Une monstrueuse gabegie

Un monumental foutage de gueule !! – Que de mensonges !!
La conchiure-19 = outil de contrôle et de gestion crapuleux des peuples
Voyage au bout de l’absurde et de l’ignominie

La vérité dissimulée par des discours captieux – Mentir pour (soi-disant) « protéger » – Une “vérité” frelatée au plus haut niveau
Retour à l’obscurantisme sous couvert de « science » – La censure et la mise à l’index sont des pratiques indignes de la véritable science
Un train de mesures draconiennes, stupides, autoritaristes et liberticides – Une irréversibilité voulue
Une stratégie construite, concertée, planifiée, intentionnelle, délibérée… criminelle

Le coût – exorbitant – du mensonge
Le mensonge en lui-même est une violence –
Entre mensonge et violence, une dialectique infernale
Par ailleurs, le mensonge a pour effet d’engendrer la peur et de désigner nommément l’« ennemi ».

« Plus le mensonge est gros, mieux il passe » constatait Joseph Goebbels, le chef propagandiste nazi grand expert en la matière.
Pour le dire d’un mot, le mensonge est un poison de l’esprit pour l’esprit. Fourbe, la tromperie, l’imposture est en elle-même violence. Et le mensonge ne peut se maintenir que par la violence, avertit Alexandre Soljenitsyne (1918–2008) – par ailleurs auteur aussi du célèbre « Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. » Nous vous invitons chaudement à lire ou relire ce fin connaisseur du totalitarisme, de ses perfidies et de ses barbaries.

« Le mensonge et la crédulité s’accouplent et engendrent l’opinion. » (Paul Valéry)… C’est ainsi que prospère dans nos sociétés la dictature de l’opinion qui n’est au fond rien d’autre que la tyrannie du mensonge instillé et relayé par les bandits de grands chemins – et au besoin subtilement entretenu et manipulé par les sondeurs… d’opinion, bien sûr. Rien de nouveau sous le soleil.

S E C R E T  D É F E N S E

COQUEVIDE-19 : LE CASSE DU SIÈCLE

Des mesures tout autant antisciences que liberticides

UNE PANDÉMIE DE DÉSINFORMATIONS, DE MENSONGES, DE FRAUDES ET DE CORRUPTIONS !!!
L’alliance de Big pharma, Big data et Big finance
L’essor fulgurant du capitalisme de surveillance et de connivence

DES CONSTATS ACCABLANTS
Une intention criminelle préméditée

Vous avez initié, instigué, promu, imposé quatre mensonges d’État au moins… mensonges majeurs, criminels, injustifiables, impardonnables… sans compter toutes les autres tromperies et félonies dans lesquelles vous baignez :

  1. La covid est une maladie dangereuse [indistinctement] pour toute la population.
  2. Il n’existe AUCUN traitement pour cette maladie(*).
  3. Les vaccins-miracle mis au point protègent les populations et empêchent la transmission du virus.
  4. Ces vaccins sont très sûrs et efficaces. Ils n’ont pas d’effets adverses (iatrogènes).
    (*) : La condition sine qua non pour engager la nasse vaxxinale en attente. Ainsi par exemple, les pieds nickelés de la science affidée à Big Pharma n’ont-ils pas hésité, pour décrédibiliser, écarter, ostraciser un candidat médicament sérieux et prometteur, l’hydroxychloroquine – l’antipaludéen le plus utilisé au monde, à produire des études scandaleusement fausses et falsifiées (cf. le Lancetgate…) ou à recourir à des posologies totalement inappropriées et/ou délivrées complètement à contretemps. – Précisons que nous sommes, personnellement au moins, loin d’être des inconditionnels de l’HCQ et moins encore de l’IVM. – Pour illustration, un essai clinique français n’a administré que les deux tiers de la dose thérapeutique (de référence) d’HCQ tandis que dans une très médiatisée “étude” anglaise – bidonnée elle aussi – (Recovery, 2020), les “chercheurs” ont poussé le vice jusqu’à donner des doses toxiques – jusqu’à quatre fois la posologie normale, une dose de cheval ! D’autant plus ignominieux que ce médicament – qui comporte par ailleurs des contre-indications connues (cardiaques notamment) – a une demi-vie particulièrement longue, ce qui le rend rapidement toxique par accumulation dans l’organisme. – Dans le même temps, l’ivermectine, un antiparasitaire à large spectre – que nous savons devant être utilisé(e) avec quelques précautions – est reléguée au rang de seul usage vétérinaire ! Cynique ! Abject ! Criminel !


Il s’avère que ces quatre assertions sont toutes fausses, archi-fausses et, de plus, scélérates !

  1. Tout d’abord, qu’est-ce, au juste, un « malade covid » ? Un individu présentant un test positif – dit autrement, un cas… Ensuite, la covid-19 n’est potentiellement pas dangereuse – pas davantage que la grippe saisonnière(*) – tout au moins pour les moins de 65-70 ans, voire au-delà, sans comorbidités… Et d’autant moins dangereuse que les malades sont effectivement soignés avec les thérapeutiques existantes ! Les taux de morbidité et de létalité constatés dès les premiers mois de 2020 en attestent sans ambiguïté aucune.
    (*) : Rappelons qu’en France, bon an, mal an, entre 10 000 et 20 000 personnes âgées (principalement) décèdent officiellement de la « grippe » sur environ deux mois d’hiver. Gardons également à l’esprit qu’à l’instar de la covid, il est essentiel de distinguer grippe et syndrome grippal, les deux séries pouvant renvoyer à des réalités – et donc à des étiologies – très différentes.
  2. De plus, des traitements éprouvés et sûrs existent ! Certains ont même été interdits par votre sinistre de la Santé juste avant l’arrivée de la plandémie en Europe(*) ! Curieuse coïncidence, là aussi ! L’efficience de ces médications contre la covid dûment prescritesa été démontrée de par le monde de façon éclatante par des soignants intègres – dont des Français – mais leurs succès ont été eux aussi odieusement censurés, si ce n’est scandaleusement vilipendés. De combien de dizaines de millions de morts à travers la planète, cette désinformation criminelle sur les traitements précoces est-elle responsable ??
    (*) : Ainsi, l’hydroxychloroquine (sous toutes ses formes), un des remèdes les plus sûrs de la pharmacopée jusque-là (depuis plus de 70 ans)(**) en vente libre, a été subitement classée « substance vénéneuse » (liste II) par la sinistre buse au tout début 2020 (arrêté du 13 janvier 2020) puis dans la foulée, 
    par un véreux, interdite de prescription hors AMM “en ville”(***). Tout en sachant que le paracétamol (antalgique) et le Remdésivir (antiviral) glorifiés en la circonstance par les hautes zautorités de “santé” ne sont en rien moins dangereux, tout au contraire. Et que dans le même temps, des milliers – plusieurs dizaines de milliers – de personnes âgées étaient assassinées passivement ou activement en EHPAD… Et puis, ces mêmes autorités ont-elles seulement une fois réellement étudié les bénéfices et les risques liés aux vaccins selon les standards de l’« Evidence-Based Medicine » (en laquelle seuls les fraudeurs croient encore) – en réalité Statistic-Based Medicine voire Fraud-Based Medicine dont pourtant leurs adeptes se targuent tant ? JAMAIS – du moins officiellement ! Faut-il à ce propos rappeler que depuis plusieurs décennies près de 90 % des publications “scientifiques” médicales sont fausses (cf. par ex. Richard Smith, BMJ, etc.) ?! La paille et la poutre, une fois encore !
    (**) : Elle fut même, une année, prescrite 6 milliards de fois à travers le monde !!
    (***) : Signalons que d’après des témoignages – dont les déclarations publiques d’une personnalité probe, absolument digne de foi –, en Martinique, la gendarmerie aurait même confisqué les stocks d’hydroxychloroquine des pharmacies et l’ARS locale aurait fait bloquer les bouteilles d’oxygène médical dans des entrepôts pour empêcher que les patients puissent en bénéficier… tout cela dans le but de faire un exemple de mortalité en stigmatisant les populations réfractaires aux injections ! Et il semblerait que là-bas il en soit allé de même – fort logiquement au vu de ce qui précède – pour l’ivermectine, l’azithromycine, etc…

    Bon sang, où va-t-on ??!! Se rend-t-on bien compte de la portée gravissime de tels agissements si ces faits étaient avérés ?!
    Où ailleurs encore, en France, de telles machinations criminelles, de telles manigances d’un cynisme inouï, de telles dérives meurtrières, de telles cabales d’un État devenu explicitement totalitaire ont-elles possiblement été perpétrées ?
    Remarquons de plus que les Antilles françaises payent depuis des décennies déjà un lourd tribut lié à l’utilisation massive du chlordécone, un puissant insecticide qui a empoisonné ces îles, ses bananeraies et ses habitants, et ce dans une impunité révoltante des acteurs privés et des responsables publics de cette catastrophe sanitaire et économique.
  3. Vos (pseudo-) vaccins-miracles n’empêchent ni la transmission du virus ni la contamination ! Ils ne protègent ni individuellement ni collectivement ! Contrairement à votre propagande infecte, ils n’évitent ni les formes graves, ni les hospitalisations, ni les décès, ni la transmission interpersonnelle du virus(*) ! Pis ! ils empirent les formes graves et augmentent la mortalité ! De plus, les premiers dispensateurs et propagateurs du coronavirus sont les vaxxés eux-mêmes !!… Si ce ne sont pas carrément les écouvillons-tests qui sont – au départ – contaminants !!
    À part la fortune colossale offerte à leurs développeurs, s’il est une autre chose que vos vaxxins Frankenstein – liés à un virus Frankenstein – ont permis d’acquérir, c’est avant tout une grave forme de corruption et d’impunité généralisée – immunité affairiste des corrompus et des corrupteurs ! TOUT LAISSE D’AILLEURS À PENSER QUE LE VIRUSBRICOLÉ, TRAFIQUÉ, BIDOUILLÉ, ARTIFICIALISÉ – NE FAIT EN RÉALITÉ QUE RÉPONDRE AUX SOLLICITATIONS DU MARCHÉ D’UN « VAXXIN » – EXPÉRIMENTAL NON MOINS CONTROVERSÉ – EN QUÊTE DE DÉBOUCHÉS COMMERCIAUX… ET NON PAS L’INVERSE COMME LE VOUDRAIT POURTANT LA LOGIQUE LA PLUS ÉLÉMENTAIRE.
    (*) : Affirmer péremptoirement, par exemple, que « 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause de la covid-19 ne sont pas vaccinées » comme l’a claironné à tort l’insane propagande gouvernementale en août dernier [2021] – ajoutant cyniquement qu’« on peut débattre de tout sauf des chiffres » – est pure fabulation, falsification vile, insulte grossière aux méthodes statistiques établies ; énième rouerie pour laquelle votre gouvernement devra, ne lui en déplaise, s’expliquer au plus tôt.
  4. Tous les vaxxins – toxxins – soi-disant « anti-covid » – cocktails faussement “expérimentaux“(*1) abusivement qualifiés de « vaccins » délivrés en Europe et en France ont très tôt montré – outre leur inefficacité patente(*2) –, des effets “secondaires” notoires et, pour une partie, graves et même fatals aux injectés(*3)… Alertes ignoblement censurées elles aussi(*3) !
    (*1) : La précipitation affichée dans la mise au point de ces cocktails immondes est toute factice. Deux brevets notamment servant à la fabrication du « vaccin » ont été déposés dès 2010. Le critère d’urgence destiné à blanchir au besoin ces criminels ne tient donc aucunement.
    (*2) : Cf. supra.
    (*3 ) : Cf. infra.


C’EST CELA LA RÉALITÉ !!… L’INDICIBLE RÉALITÉ !!
VOUS AVEZ JOUÉ AVEC NOS VIES ET DILAPID
É NOTRE ARGENT !!
… EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE !!

 

Vous avez été, à maintes reprises, informé de ces éléments tout au long de ces deux années écoulées.
Tout porte à penser que le corona circus dans son ensemble
– le coronazisme relève d’une stratégie globale, concertée, planifiée, délibérée. Que d’opacité, que de secrets, que de cachotteries, que de trahisons il nous réserve !! Les folles lois d’état d’urgence sanitaire – évinçant d’office le Parlement et interdisant tout débat , l’inique classification Secret-Défense des délibérations du « Conseil de défense sanitaire » ou les nébuleux et caviardés contrats signés avec les développeurs-producteurs des nécro-vaxxins ne font qu’ajouter de justes, de légitimes, de lourdes suspicions supplémentaires.
En conséquence, pensez-vous sérieusement, vous et vos complices, surtout après tous les « emmerdements » que vous avez fait subir aux Français – depuis des lustres –, pouvoir vous tirer d’affaire sans avoir à leur rendre le moindre compte ???
Quoi qu’il en soit, ne comptez pas sur nous pour oublier vos exactions et « tourner la page » covidiote !! Non, n’y comptez pas ! Justice doit d’abord passer pour dûment sanctionner tous les criminels qui y ont pris part et indemniser les victimes
(des centaines de milliers !) à hauteur de leur préjudice. La crise « covid » ne sera pas terminée tant que TOUS les responsables de la bouffée totalitaire ne seront pas jugés et punis comme il se doit. De plus, TOUTES les dispositions doivent être prises pour qu’à l’avenir aucun autre complot de cette sorte, aucun autre attentat de cet ordre, aucune autre machination de cette ampleur NE PUISSE SE REPRODUIRE ! … Faute de quoi la prochaine « pandémie » nous pend déjà au nez et nous nous condamnons ainsi collectivement à revivre encore et encore, comme un jour sans fin, l’absurdité – le totalitarisme – « sanitaire ».

NON SEULEMENT IL N’Y A PAS (EU) DE PANDÉMIE VIRALE
MAIS UNE PANDÉMIE SÉCURITAIRE ET TOTALITAIRE
ET DE PLUS, VOS “MESURES ANTI-COVID
– TOTALEMENT CONTRE-PRODUCTIVES AU PLAN SANITAIRE – OCCASIONNENT D’ÉNORMES DÉGÂTS(*) DANS NOS SOCIÉTÉS

(*) : Énormes dégâts au plan humain, sanitaire, psychologique, pédagogique, économique, social, financier, etc.

Développons…

Non, il n’y a pas eu d’hécatombe coronavirale(*1). Non, il n’y a pas eu de véritable saturation hospitalière(*2). Non, vos mesures totalitaires – opportunément qualifiées de « sanitaires » ne sont absolument pas efficientes, mister Gadgets. Elles se sont même révélées cruellement contre-productives et délétères(*3). CONfinement(*4), mââsque(*5), distanciation sociale, fermetures d’établissements, couvre-feux, traçages, tests de dépistage(*6), “pass” et autres idioties ne sont qu’un festival d’insanités hautement dispendieuses. Non, la stratégie vaxxinale et son – inadmissible – forcing ne sont en rien pertinents, tout au contraire(*7) Les principes cardinaux même de la gestion des pandémies(*8) ont été INTENTIONNELLEMENT foulés aux pieds et vos absurdités CRIMINELLES ont conduit à d’incommensurables dommages dans notre société. Vous confondez dangereusement savoir et scientisme, science et patascience, médecine et lobbying, santé et commerce ! Et vous devrez répondre de cela.

(*1) : Cf. supra et infra pour plus de détails.
(*2) : Cf. infra pour plus de détails.
(*3) : Vos dispositifs anti-covid : des mesures soi-disant “sanitaires” ?!! Vous voulez rire ! Pures superstitions !! Soyons sérieux. Aucune étude sérieuse ne corrobore vos assertions covidiotes abracadabrantesques. Des dizaines, des centaines en démontrent le caractère nocif. – Cf. entre autres, la Déclaration de Great Barrington (USA-MA, signé le 04/10/20) mettant en garde contre les effets néfastes de certaines mesures sanitaires. Des mesures contre-productives et délétères au niveau individuel ET collectif. De nombreuses études authentiquement scientifiques prouvent que tout ce fatras de “mesures” ne servent à rien si ce n’est à fortement aggraver la situation en cours. Il en va ainsi des confinements (cf. ci-dessous). Idem pour le port de la muselière – qui n’est autre qu’une burka sanitaire. Idem pour les traitements cruellement inadaptés et mortifères des malades covid (Doliprane®, recours hâtif à l’intubation/ventilation mécanique invasive, etc… en sus de l’abandon de soin !) dans le but caché de les faire crever – nous assumons pleinement cette terminologie. L’ineptie de la stratégie du tout vaxxinal sera abordée et détaillée plus loin.
(*4) : Confinement : L’exemple des pays ou des États n’ayant pas cloîtré leur population, ou ne leur ayant pas imposé de mesures particulièrement contraignantes (ou encore sur une durée moindre) le prouve avec évidence : cf. la Norvège(**), le Japon, certains États comme la Floride aux U.S.A., ou encore l’Afrique noire, entre autres. (…)
(**) : La Norvège, qui n’avait pas demandé à sa population de se confiner (tout en isolant et soignant les souffrants), a officiellement une mortalité «
Covid-19 » parmi les plus basses du monde (4,7 décès pour 100 000 habitants, soit de l’ordre d’une grippe insignifiante). Elle avait certes également fermé
temporairement ses frontières (mesure inutile mais néanmoins non dangereuse pour ses ressortissants). Par ailleurs, contrairement à la plupart des pays européens, la Suède n’a pas appliqué de confinement obligatoire stricto sensu, cependant elle a, elle aussi, refusé les soins à ses anciens et l’a de ce fait payé cher en termes de mortalité dans cette classe d’âge.
(*5) : Mââsques : Combien d’errements – d’invraisemblables volte-face – à propos de ces cache-gueules avons-nous dû subir de la part de nos autorités ?! Des signaux pourtant limpides d’un enfumage massif ! Rappelons ici que dans un premier temps ces dispositifs furent déclarés inutiles (car en réalité en pénurie)… au point même que les pharmaciens avaient interdiction d’en vendre aux particuliers (officiellement parce que les Français ne savaient pas s’en servir mais officieusement en raison de leur manque !)… avant que le port de la muselière fût rendu obligatoire le lundi 20 juillet 2020 par le gouvernement mondial en dépit de son inefficacité patente et de ses inconvénients pourtant connus.
(*6) : Tests génomiques Cobid-19, une gabegie ! Non, ils ne sont pas valides, ils sont juste hautement onéreux. La technologie PCR est en soi une arnaque totale ! Ces “tests” affichent un taux dément de faux positifs… avec des amplifications de séquences pour le coup vraiment « dingues »… Tests, plus est, basés sur une séquence virale toute théorique venue des toutes premières investigations menées en Chine à l’hiver 2019-2020 ! Des tests PCR (pris en charge à 100 %…) payés au prix fort (jusqu’à 73 euros à l’épicentre de la crise) par l’Assurance maladie octroyant ainsi une marge nette de 30 à 40 % aux laboratoires d’analyses médicales – qui se sont gavés jusqu’à la garde de deniers publics, qui s’en sont remplis les fouilles jusqu’à l’overdose ! À titre de comparaison, notons qu’à la même époque (2020), ces tests PCR étaient facturés 50,50 € en Allemagne, 46,80 € en Belgique et entre 30 et 45 € en Espagne. Rien que ces tests foireux ont coûté 8,8 milliards d’euros à la collectivité nationale (à octobre 2021) alors que l’Hôpital public prend l’eau de toutes parts !! Sans doute, une broutille pour nos dirigeants voyous.
Remarquons a posteriori que cela n’a pas empêché nos labos – pleins aux as sur le dos des Français – de se payer huit jours de grève début 2023 en réaction au tassement de la manne publique. Comme cela n’a pas empêché des sociétés privées de collecter des milliards de profils génétiques à l’“insu du plein gré” de leurs donateurs (les populations testées), profils, soyons-en sûrs, qui ne seront pas perdus pour tout le monde (et, de plus, fournissant à nos escrocs une traçabilité précieuse du virus)…
(*7) : Vaxxins/toxxins : cf. infra.
(*8) : Notamment les deux préceptes fondamentaux en matière de gestion des épidémies respiratoires : 1/ laisser, en première instance, les médecins généralistes soigner librement les patients avec les thérapeutiques disponibles, et 2/ interférer le moins possible dans le fonctionnement normal de la société. Ces deux règles de base, définies par la science impartiale et les bonnes pratiques médicales, se trouvent – se trouvaient jusque-là – dans tous les plans pandémie, y compris dans celui de l’OMS qui ne date pourtant que de… 2019 !

Ici aussi, la réalité dépasse la fiction…
Un ensemble de pays, d’économies, de populations massacré(e)s par les autorités politiques pour :
– 1/ une épidémie de « cas »
(des personnes présentant un test covid « positif », qu’elles soient symptomatiques ou non) liée à une véritable épidémie de tests. Pointons que 75 à 80 % des tests PCR /SRAS-CoV-2 se révèlent être en réalité de faux positifs !! Un dévoiement diagnostique criminel !!
– et 2/ pour une maladie dont le taux de mortalité oscille entre 0,05 %
(soit 0,5 décès pour 1000 habitants) et 0,15 % (soit 1,5 décès pour 1000 habitants)(*1) et touchant principalement les plus de 65 ans(*2) affectés de multiples comorbidités… voilà une réalité mordante, déchirante, accablante.

(*1) : Le taux de létalité moyen de la covid-19 au plus fort de sa virulence (début 2020) était de 0,26 % (soit 2,6 décès pour 1 000 malades)(**). Lorsque 99,74 % des personnes infectées survivent au virus, il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer et faire le pataquès insane que vous avez organisé ! Le coronavirus tue certes, mais faiblement, petitement. Et il tuerait d’autant moins si les malades étaient réellement pris en charge et soignés dès les premiers symptômes par des thérapeutiques éprouvées et personnalisées. Sans même évoquer les nombreux traitements préventifs.
Souvenons-nous de l’extraordinaire cas d’école que nous a offert le paquebot Diamond Princess retenu en quarantaine à Yokohama (Japon) au cours des mois de février et mars 2020 en raison du foyer infectieux covidien qui s’y était déclaré et au final de l’extrême faible morbidité relevée au sein des passagers malgré un nombre élevé de croisiéristes âgés, voire très âgés.
Signalons également ici qu’il est rétroactivement établi que le coronavirus pouvant entraîner
la covid-19 a circulé incognito dès début 2019… voire des années auparavant déjà.
Par la même occasion, rappelons que la précédente épidémie de coronavirus
– SARS-CoV(1) – eut lieu en 2002-2004. Il est intéressant de relever qu’à sa suite, la DARPA (une agence militaro-scientifique du département de la Défense des États-Unis) avait alors déclaré l’Ivermectine comme traitement de référence !
(**) :  Et infiniment moins encore en ce qui concerne les individus de moins de 60 ans : 1 personne sur 300 000.
(*2) : Le risque de mourir de la covid-19 est plus de mille fois plus élevé chez les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. Âge
médian des décès dus au Covid : 82 / 84 ans. En proportion, très peu de morts en dessous de 60 ans. En dessous de 50 ans, le taux de létalité du covid-19 tend vers zéro. La quasi-totalité de la mortalité de l’année 2020 concernait en réalité des individus dont l’âge était supérieur à l’espérance de vie. Une fraction d’entre eux (des milliers !) furent même euthanaziés (!) préventivement en Ehpad ou à l’hôpital par les Groupes d’intervention rapide (en somme, des tueurs à gages) chargés de leur injecter du Rivotril ou du Valium, à défaut de Midazolam, selon le “protocole palliatif Covid” préétabli. Des meurtres par décret du 29/03/20 (cf. infra) ! Soit, ni plus ni moins, l’instauration de facto de la peine de mort pour nos aînés !!

ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS !

Vaxx, Follow the money
Ne suivez pas la science, suivez l'argent !

Parmi les innombrables questions qui nous taraudent, les suivantes nous interrogent tout spécialement :
D’où nous vient ce virus covidard ? A-t-il fait l’objet de modification(s) (gains de fonction notamment) par génie génétique ? Et si oui, par quel(s) opérateur(s) et dans quel(s) but(s) ? Pourquoi l’OMS-BG a-t-elle (opportunément) modifié la notion de « pandémie » en 2009 ? Pourquoi la notion de gravité a-t-elle été abandonnée dans cette nouvelle définition
(*1) ? Pourquoi l‘immunité collective a-t-elle été redéfinie (2020) ? Pourquoi le taux d’incidence (le calcul du R0) (nombre de reproduction effectif) a-t-il lui aussi été discrètement révisé mi-juin 2020 ? Pourquoi la définition du mot vaccin a été changée en 2021 ? Pourquoi la science devrait-elle restée secrète ?… De même que les motivations des décisions publiques engageant l’ensemble de la nation ? Pourquoi, diable, avoir placé les débats des Conseils de Défense (!) sous le sceau du Secret-Défense(*2) – plus est, pour des décennies ! – alors même que dans une démocratie digne de ce nom ils auraient dus être obligatoirement publics et largement médiatisés(*3) ? Pourquoi avoir interdit – plus est, sous peine de poursuites et de lourdes sanctions – aux médecins de ville de soigner les patients covid, pourtant le b. a.-ba de leur métier et des pathologies infectieuses(*4) ? Quelle fut votre implication dans l’euthanazie sauvage – l’assassinat ! – de dizaines de milliers de nos anciens en EHPAD durant le premier semestre 2020 ? Pourquoi tous ces secrets et ces silences autour des « vaccins » ? Quel(s) intérêt(s) y a-t-il à contraindre la totalité d’une population saine et en bonne santé(*5) à se laisser injecter ces cocktails “expérimentaux” alors que le taux de mortalité de la maladie associée se trouve être insignifiant(*6) et, circonstances doublement gravissimes, qu’en réalité ces mixtures – très insuffisamment testées – ne sont ni sûrs ni efficaces(*7) !
Nous reviendrons par la suite plus en détail sur toutes ces extravagances.
Auriez-vous donc des choses à cacher ? Vous prendriez-nous pour des enfants… ou pour des crétins ?… Voire pour des lapins de trois semaines ?

(*1) : Comme par enchantement – et surtout par pure opportunité ! –, l’OMS (Organisation Mortelle de la Santé ou encore Organisation des Marchands de Santé), en dépit du bon sens, a tout bonnement fait disparaître de la définition la notion primordiale de létalité – et donc de gravité –… et ce au beau milieu de l’arnaque de grippe A, début mai 2009, laissant ainsi le champ totalement libre aux « épidémies » de « cas » et de « cas contact » ! Insensé ! (Cf. plus loin le § Les leçons – et non-leçons – de la « grippe A » [H1N1] / 2009-2010).
(*2) : Du jamais vu en matière de maladie !! Qu’est-ce qu’en l’occurrence l’État a-t-il à cacher à ses administrés ?! Quel(s) autre(s) secret(s) honteux cherche-t-il donc à nous dissimuler ?
(*3) : Soit l’exigence de t
ransparence absolue des individus versus l’opacité totale des institutions.
(*4) : En les renvoyant chez eux avec le fameux protocole unique : un simple antalgique – toxique de plus –, suivant ainsi la doctrine éprouvée des 4D (Domicile, Doliprane, Dodo… Décès)(**). Décision d’autant plus absurde – criminelle – et révoltante qu’il existe des traitements éprouvés et de plus bon marché pour soigner ces malades
(***). Thérapeutiques sciemment ignorées – et surtout coupablement discréditées – afin de promouvoir le tout vaxxinal retenu dès le départ, pris d’emblée en point de mire !
(**) : Du Doliprane® pour soigner une maladie dite « mortelle » ! Cherchez l’erreur.
(***) : Des médicaments tels que l’hydroxychloroquine ou l’amantadine couplés aux antibiotiques de la famille des macrolides (ou à l’azithromycine) auraient pourtant pu, dans les cas rebelles, sauver nombre de victimes.

(*5) : Y compris les nourrissons, les femmes enceintes (du jamais vu !) et l’écrasante majorité des personnes qui ont surmonté l’infection sans encombre.
(*6) : Et, au fil du temps et des nouveaux variants, de plus en plus infime (témoignant du caractère bénin voire parfaitement asymptomatique du virus. Cf. plus haut).

(*7) : Ces “produits”, contrairement à vos allégations mensongères, 1/ ne protègent pas les injectés, 2/ n’empêchent pas la transmission du virus (des études l’ont constaté dès 01/2021 invalidant de ce fait toutes vos mesures postérieures et notamment vos nazipass !), et 3/ n’évitent pas davantage les formes graves. Plus alarmant encore : ils sont fâcheusement nocifs. Signalons que ces cocktails abusivement qualifiés de « vaccins » sont issus d’une longue série d’élucubrations fallacieuses, d’obscures et fantaisistes tambouilles scientistes, le tout relevé de moult délirantes approximations made in silico… produisant in fine des génomes dits “viraux” totalement fictifs et des immunisations tout aussi chimériques.
Les toxxins – vaxxins Frankenstein –, des semblants de “médicaments” pour les bien-portants mais surtout poule aux œufs d’or pour leurs fabricants. Déjà sur le principe même… la covid (maladie respiratoire humaine d’origine animale) n’est pas la variole ! Le coronavirus (virus à ARN), connu pour muter très rapidement, échappe ainsi avec une extrême facilité aux vaccins dirigés contre lui – particulièrement lorsque ces derniers sont très ciblés (comme en l’occurrence sur la protéine « spike »). [Notons que la spike (…) et les injections géniques – qui transforment les injectés en vecteurs viraux ! – sont des armes biologiques à retardement ET à fragmentation.] De plus, formulées comme elles le sont, ces inoculations ne participent pas à l’immunité muqueuse. Conclusion : ces vaccins favorisent même l’échappement immunitaire – un comble ! –… ceci d’autant plus qu’une vaccination de masse est engagée. Vous avez, là aussi, TOUT FAUX !! Votre inique politique vaxxinale se résume d’un trait : « À chaque virus son vaccin, et à chaque vaccin son problème » ! Absurde ! Proprement… stupéfiant !

Imaginez un vaccin tellement sûr, Rancourt

Soit au final, des mesures pseudo-préventives qui font considérablement
plus de victimes – et de morts – que la maladie elle-même !

LES MOTS NOUS MANQUENT POUR QUALIFIER LA NULLITÉ ABSOLUE ET
LA CRIMINALITÉ ABYSSALE DE VOTRE POLITIQUE !!

Poursuivons…
Vous pouvez être fier de vous : d’une banale épidémie saisonnière vous avez réussi à faire UNE IMMENSE CATASTROPHE SANITAIRE, ÉCONOMIQUE ET SOCIALE. Une monstrueuse gabegie ! Voilà le glorieux résultat de votre normalisme stalinien… Désastre qui, circonstances aggravantes, se cumule avec toutes les autres tragédies que vous ne cessez de générer sur votre passage, avec tous les scandales que vous traînez dans votre sillage.
Vous avez fait – et cautionné – TOUT LE CONTRAIRE de ce que recommandait jusque-là la science éprouvée et les protocoles établis ! Tout, absolument tout est bidon dans votre boniment nazitaire, dans votre mystification sécuritaire ! Au profit de vos commanditaires attitrés, vous avez ignoblement covidé le pays entier et ses habitants pour des décennies ! Sur fond de terrorisme hygiéniste, pour mieux vous les concilier, pour acheter leur silence, leur approbation tacite, vous avez corrompu les Français avec… leurs propres deniers. Combien d’hôpitaux aurions-nous pu construire ou rénover, combien de soignants aurions-nous pu instruire, embaucher ou gratifier… avec les seuls milliards déboursés en pure perte pour vos tests covidiots, vos vaxxins débiles et le contrôle de vos paSS de la honte
(*1) ! Sans compter les centaines de milliards d’euros engloutis à stupidement – inutilement et contre-productivement – mettre le pays sous verrou… pour une grippette ! – Oui, pour une grippette(*2) ! Si vous en doutiez, allez donc faire un petit tour du côté de la Norvège, par exemple, juste pour rester en Europe. – Combien d’enseignants aurions-nous pu former, combien d’éducateurs aurions-nous pu engager, combien de chercheurs aurions-nous pu recruter, combien de bâtiments aurions-nous pu isoler, combien d’écosystèmes aurions-nous pu protéger, combien d’antennes du service public en milieu rural aurions-nous pu préserver, combien de commerces de proximité aurions-nous pu maintenir, etc… avec une fortune aussi colossale ? Non seulement votre politique “sanitaire” a lamentablement échoué mais elle a, de plus, coûté un montant astronomique à la collectivité nationale : 400 à 600 milliards d’euros(*3) !!!… Un trésor… pas perdu pour tout le monde !

(*1) : Rappelons que le seul contrôle de vos Ausweiss discriminatoires par des vigiles coûte 60 millions d’euros par mois aux hôpitaux publics ! Sans compter les dizaines de milliards d’euros pour la délirante gabegie de vos covitests (cf. supra) et de vos covidoses (cf. infra) aussi stupides que toxiques et superfétatoires ?!
(*2) : Cf. les statistiques de mortalité/létalité
ci-dessus.
(*3) : Chiffre variant selon le périmètre considéré. Un boulet que plusieurs générations successives devront traîner toute leur vie durant. Montant extravagant à rapporter au PIB de la France qui s’est monté à 2 639 milliards d’euros en 2022.

Cette crise, ou plus justement, cette terreur sanitaire, orchestrée avec un cynisme extrême, rappelle étrangement d’autres sombres et scélérats enfumages planétaires. Son déroulement atteste, sous ses apparentes absurdités, d’une parfaite cohérence de fond : l’avènement de la bio-dictature. Il n’y a pas l’ombre d’un doute : le TOTALITARISME et l’ANÉANTISSEMENT sont en marche et grâce à cet épisode viral, vous leur imprimez une accélération fulgurante. C’est le propre – et la signature – de l’État totalitaire que d’imposer – par la force, il va sans dire – ses règles et ses lois jusqu’au plus intime des consciences.
Vous avez spolié les Français. Vous avez ruiné la France. Vous avez saccagé – massacré ! – son économie, à commencer par les petites structures : travailleurs indépendants, TPE-PME. Vous avez braqué ses comptes publics. Vous avez vampirisé ses forces vives. Vous avez maltraité, séquestré, brutalisé, torturé, esclavagisé, meurtri ses habitants, y compris sa jeunesse. Vous avez hypothéqué leur avenir.

Ce n’est pas tant contre un virus que vous êtes en guerre mais contre celles et ceux qui osent vous contredire et vous résister.

Que ferons-nous le jour – qui finira immanquablement par arriver – où surgira une réelle menace imminente pour notre intégrité personnelle et collective, où se présentera un véritable danger pour notre société, voire pour l’humanité entière ???

Cette dystopie plandémique aura été, de bout en bout, une sordide expérimentation – aux conséquences proprement effrayantes – que nous dénonçons avec la plus grande fermeté ! Nous considérons qu’il s’agit là d’UNE ATTAQUE FRONTALE, d’UNE OFFENSIVE MASSIVE – ET SANS PRÉCÉDENT – CONTRE L’HUMANITÉ !

Quoi qu’il en coûte !
Au nom du Bien et de la Sécurité, tout est permis.
Eins, zwei… Polizei.
LE BIEN NE SE DISCUTE PAS !
Eins, zwei… Polizei.
Aie confiance !
Halt ! Ausweiss bitte !
On les aura ces connards…
Qui vivra verra

« Le langage politique est destiné à rendre vraisemblable les mensonges,
respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent. »

(George Orwell)
(Un auteur décidément redevenu, à raison, furieusement à la mode)

Attentats en série contre la Démocratie et les Libertés fondamentales – dont le libre arbitre

Comme cul et chemise… propagande et censure vont de pair

Comme autant de manipulations de masses

Pastiche de démocratie – Rien qu’un semblant d’« État de droit »

De la dénonciation des « théoriciens du complot » au totalitarisme institutionnel : une insidieuse et lourde dérive de nos monocraties vers le fascisme

La vérité emmurée – Le mensonge institutionnalisé – Une parodie de démocratie – Une sournoise prison informationnelle
Le viol des consciences – Les armes du Mind-controlUne société sous extrême influence – Une sombre ingénierie sociale
Lorsque le réel devient de moins en moins réel – Tous les apparats d’une société Potemkine

Le savant brouillage de la vérité – Information… ou désinformation ?
Une dictature de la pensée qui s’établit de plus en plus ouvertement – Un esclavagisme mental abject
Une névrose obsessionnelle : vaxxiner les populations contre la désinformation –
Prebunking : la censure préventive, protection, vaxxin, rempart contre la désinformation (… complotiste, faut-il entendre) !!!
Les imposteurs du fact-checking, les laveurs de cerveaux, la force de frappe de l’intelligentsia absolutiste

Les voleurs de souveraineté
Les diktats du Ministère de La Vérité(*) : omniprésence et omnipotence du Miniver(*)… concomitamment à la montée en puissance inquiétante du Ministère de l’Amour(*) – Les Gilets jaunes, et pas seulement, en savent quelque chose.
Le camp du bien contre le camp du mal – Le cercle de la raison contre le cartel des imbéciles – Les progressistes contre les régressistes
L’Europe – et spécialement l’Union Européenne –, historiquement une terre de propagande et de censure, une prison des peuples

Déjouer et endiguer la « menace mortelle », pour la démocratie, de la « désinformation complotiste », quel grand, quel haut, quel noble dessein !! Au nom de la démocratie on vous interdit de penser. Au nom de la république, on vous interdit de vous exprimer. Au nom de l’état de droit, on vous impose la pensée dominante… Au nom de la liberté d’expression, le totalitarisme contrôle et censure à tire-larigot. Informer est devenu un crime… Et tout va, bien sûr, pour le mieux dans le meilleur des mondes despotiques !
(*) : Cf, 1984, G. Orwell.

Questionnons-nous utilement : combien de fois par jour nous lune-t-on ?? Combien de fois déjà nous sommes nous faits onze-septembrer depuis toutes ces années ?? Etc. Etc… – Il est vrai que le gros des Occidentaux, depuis bien longtemps, dans une naïveté confondante, sidérante, gobent des montagnes à foison…
Combien de temps encore allons-nous nous laisser berner, vanner, fourrer, bougnier, farcir ?… Et en grand, en beauté, en majesté !!

Les fossoyeurs de la vérité – Désinformation et infantilisation – Endoctrinement tous azimuts
La liberté d’expression est morte… Dorénavant l’expression est totalement contrôlée et verrouillée… Tout comme la vérité
Tout est sous contrôle des autorités… y compris le narratif, la véracité… et bien sûr l’institution judiciaire pour en juger « en toute liberté »…

Le supra-gouverne-ment mondial fait tout. Il fait la Science – sa science, la puiscience. Il fait la Vérité (sa vérité™). Il fait la Démocrassie. Il fait la Loi (les diktats). Il fait le Droit (la légalité). Il fait la Justice (sa justice). Il fait l’Information (la doxa)… Il fait l’alpha. Il fait l’omega…
Diriger et contrôler étroitement l’opinion publique – via de multiples canaux – constitue plus que jamais pour nos dirigeants une obsession de tous les instants. Altérer et orienter en leur faveur la réalité que nous percevons est une de leur préoccupation majeure. Déformer, brouiller le réel pour que nous ne puissions plus distinguer le vrai du faux(*), pour nous perméabiliser et nous vulnérabiliser toujours plus à leur propagande fétide.
(*) : Le mésemploi, le dévoiement de l’Intelligence artificielle – prochainement secondée par l’Intelligence organoïde et les bioprocesseurs et couronnée par l’Intelligence suprême – y participe activement.

La liberté vous effraie-t-elle ? La vérité vous effraie-t-elle ?
Qu’est-ce donc qu’une “vérité” imposée si ce n’est une imposture ?!
Même répété mille fois – un milliard de fois – un mensonge reste un mensonge !

En préambule à ce paragraphe traitant de la liberté d’information, de la liberté de pensée, d’opinion et d’expression, de la propagande, des mensonges d’États et de son inséparable acolyte, l’éternelle censure, permettez-nous donc de vous offrir ci-après un court florilège, un petit bouquet – au final, plutôt garni – de vérités intemporelles ayant jusque-là échappé aux grands ciseaux d’Anastasie :
  • « L’esprit de l’homme est ainsi fait que le mensonge a cent fois plus de prise sur lui que la vérité. » (Érasme)
  • « C’est de l’ignorance, et de l’ignorance seulement, que l’homme doit être délivré. » (Ancien adage)
  • « Si le scandale vient de la vérité, il faut supporter le scandale plutôt qu’abandonner la vérité. » (Saint Grégoire le Grand)
  • « Une société sans liberté de parole est une prison. » (Voltaire) – Ce qui, soit dit entre nous, n’a pas empêché notre « grand homme » affairiste – despote éclairé lui aussi – au service des puissants, de fricoter avec les esclavagistes, ou du moins de bénéficier du commerce colonial qui constitua une part importante de ses revenus.
  • « La publicité est la sauvegarde du peuple(*) » (Jean-Sylvain Bailly, 13 août 1789)
    (*) : En termes actuels : Tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public. Qu’est donc devenu le Scrutateur universel ?
  • « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » (Mayer Amschel Rothschild)
  • « Il y a deux histoires, l’une que l’on enseigne et qui ment, l’autre que l’on tait parce qu’elle recèle l’inavouable. » (Honoré de Balzac)
  • « Ce qui importe, ce n’est pas qu’une chose soit vraie, mais que l’opinion pense qu’elle est vraie. » (Nietzsche) ; « Ce qui me bouleverse, ce n’est pas que tu m’aies menti, c’est que désormais, je ne pourrai plus te croire. » (id.)
  • « Il est plus facile de désintégrer un atome que de changer une croyance. » (Albert Einstein) ; « La croyance absurde dans l’autorité est le pire ennemi de la vérité. » (id.)
  • « La politique est l’art de mentir à propos. » (Paul Valéry) ; « La politique est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. » (Paul Valéry)
  • « La propagande n’a pas besoin de convaincre pour réussir. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. » (George Orwell) ; « La dictature s’épanouit sur le terreau de l’ignorance. » (id.) ; « En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. » (id.)
  • « Soixante-deux mille quatre cents répétitions font une vérité. » (Aldous Huxley) ; « Grande est la vérité, mais plus grand encore (…) est le silence au sujet de la vérité. » (id.) ; « Même ignorés, les faits restent des faits. » (id.)
  • « Croire à l’histoire officielle consiste à croire des meurtriers sur parole. » (Simone Weil) (1909–1943) ; ou encore « Les partis sont un merveilleux mécanisme, par la vertu duquel, dans toute l’étendue d’un pays, pas un esprit ne donne son attention à l’effort de discerner, dans les affaires publiques, le bien, la justice, la vérité. Il en résulte que, sauf un très petit nombre de coïncidences fortuites, il n’est décidé et exécuté que des mesures contraires au bien public, à la justice et à la vérité. Si on confiait au diable l’organisation de la vie publique, il ne pourrait rien imaginer de plus ingénieux ». (id.)
  • « Tous les gouvernements mentent. Mais c’est particulièrement désastreux dans les pays où les dirigeants finissent par croire aux mensonges qu’ils distillent. » (Isidor Feinstein Stone)
  • « La propagande (…) revient à enrégimenter l’opinion publique exactement comme une armée enrégimente les corps de ses soldats. » (Edward Bernays, un maestro de la propaganda mondialement connu dont vous ne pouvez manquer de vous inspirer).
  • « Il y a un complot dans ce pays de mettre chaque homme, femme et enfant en esclavage. Avant de quitter ce noble et grand mandat, j’ai l’intention d’exposer ce complot au grand jour. » (John Fitzgerald Kennedy)
  • « Personne n‘ose chercher la vérité. Ceux qui cependant la cherchent n‘osent la trouver. Ceux qui cependant la trouvent n‘osent pas la dire. Ceux qui la disent ne sont pas écoutés. » (Alfred Sauvy)
  • « Pour les pervers, un mensonge réussi vaut une vérité. » (Paul-Claude Racamier)
  • « Nous saurons que notre programme de désinformation est terminé lorsque tout ce que croira le public américain sera faux. » (Déclaration publique de William Casey, ancien directeur de la CIA)
  • « Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits. » (Jim Morrison)
  • « Il y a bien plus d’informations sur la Terre tenues secrètes que n’en découvrent publiquement les scientifiques. » (Al Gore)
  • « Si les gens savaient ce que je sais, tout s’effondrerait. » (L’homme à la cigarette, X-Files)
  • « L’endoctrinement n’est nullement incompatible avec la démocratie, il est son essence même. » (Noam Chomsky) Ou bien « Toute l’histoire du contrôle sur le peuple se résume à cela : isoler les gens les uns des autres, parce que si on peut les maintenir isolés assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi. » (id.). Ou bien « Comment se fait-il que nous ayons tant d’informations et que nous sachions si peu de choses ? » (id.). Ou alors « La population en général ne sait pas ce qui est en train de se passer. Et elle ne sait même pas qu’elle ne sait pas. » (id). Ou encore « La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures » du même Chomsky avant qu’il ne sombre lui-même corps et âme dans la corona- et la vaxxinomania. (Le grand âge ne bonifie pas nécessairement son bonhomme. La vieillesse devient même, pour d’aucuns, un amer naufrage. La preuve. Sans compter tous les gâteux de fonction qui, par facilité – ou par paresse –, traversent leur existence entière complètement indemnes de tout amendement.)
  • « Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge. » (Edward Snowden)
  • « Si les guerres peuvent être déclenchées par des mensonges, elles peuvent être arrêtées par la vérité. » (Julian Assange)

À méditer.

« Quand la stupidité est considérée comme du patriotisme, il est dangereux d’être intelligent. »
(Isaac Asimov) (1920–1992)

LA PROPAGANDE ET LA CENSURE MONDIALISTE

DE LA PROPAGANDE

Militarisation de l’information – La propagande, guerre cognitive contre les peuples, comme un poison lent intoxique gravement les esprits
La doxa normative – Le formatage des pensées
La manipulation de la fenêtre d’Overton (ou fenêtre de discours)

Comme par magie, avec l’avènement de la saga coronabrutale début 2020 – l’heureux prolongement de l’Event 201 (A global pandemic exercice, 10/2019) / quelle stupéfiante “coïncidence” ! –, l’ampleur, l’intensité, la perfidie de la propagande et de la censure associées ont franchi un nouveau – et détestable – cap. Un record pour ainsi dire inégalé depuis le tristement célèbre Régime de Vichy et son vieux Maréchalissime vermoulu.

La pensée unique, la doxa mondialiste, catéchèse, étalon-or pour le « bon citoyen »
Essor de la guerre cognitive – Faire de chaque citoyen une « arme de propagande participative »
Un arsenal de coercition (de plus en plus puissant et précis) très largement ignoré des populations (…)
Des techniques de diverses natures de plus en plus sophistiquées et intrusives (…)
Leur cible immuable : la flamme de la conscience libre

Des outils et des logiques de contrôle de plus en plus “subtils” et surtout pervers contre lesquels il convient notamment d’opposer la vigilance du cœur, les armes de la conscience… et la force centuplée du groupe. Et comme l’a justement exprimé Sri Aurobindo : « Aucun pouvoir extérieur ne peut asservir l’âme d’un homme qui est intérieurement libre. »

Enfin, bien que la propagande globaliste, fasciste, davosienne, réinitialisatrice – fabuleux agent de conformisme social – régente crânement notre société, nous n’ignorons ou n’oublions en rien que « la propagande est fille de la démocratie » (cf. David Colon). Une inclination toute… matricide.
Tout autant que l’image d’une pipe n’est pas une pipe (cf. Magritte), l’image d’une démocratie n’est pas une démocratie.

La dictature, c’est la démocratie

Les merdias, le Médiavers, fidèle courroie de transmission de la propagande mondialiste
Ceux qui dirigent les médias mènent le monde
La machine de guerre « progressiste »
Le 4e pouvoir totalement dévoyé – La presse “mainstream” devenue anti-contre-pouvoir – Le “journalisme” de révérence et de connivence
Une presse subsidiée et prostituée, maillon essentiel du matraquage plandémique et de l’entubage institutionnalisé
Les ravages de l’industrie de la propagande et de la censure inféodée à la mafia économico-politique

Un enfumage monumental extrêmement coûteux, à plus d’un titre, pour la collectivité

Dénonçons ici brièvement – mais sans concession – le rôle central, prépondérant et gravissime, joué par les principaux médias de masse (presse écrite, audiovisuel, plateformes des “réseaux sociaux”, GAFAM, etc.) dans la prolifération de la doxa globaliste – et spécialement de l’enfumage covidiot – nonobstant toute éthique, fût-elle élémentaire, et enfreignant, piétinant toutes les règles déontologiques (à commencer par la Charte de Munich) (cf. plus loin) censées encadrer et réguler ce secteur d’activité pourtant essentiel, vital, au bon fonctionnement d’une démocratie. La journaille, la classe journalopique, prostituée comme jamais, tient là une responsabilité dont elle devra impérativement s’expliquer sans oublier qu’elle aura également à payer pour les lourds dommages générés par sa désinformation massive.
Rappelons qu’en France, 80 % des médias sont actuellement détenus par neuf milliardaires et que le gouvernement français a versé plus de 2 milliards d’euros au titre des “aides” à la presse pour la seule année 2020. Signalons que ces désinformateurs, relais acharnés des globalistes, perfusés par leurs annonceurs, bénéficient également des largesses d’empressés philanthropocapitalistes, comme par ex. le fameux multimilliardaire vaccinolâtre – ancien informaticien, faux philanthrope mais vrai criminel – d’outre-Atlantique.
Remarquons enfin que, 
charité bien ordonnée, le bien nommé Sévice public [le loqueteux pseudo-service public], financé par les deniers de la communauté nationale, n’est pas en reste dans ces manigances et ces manipulations odieuses. Il sévit comme jamais et tient parfaitement ses rôles de porte-parole – porte-voix – et de chien de garde de ses Maîtres. Comment saurait-il en aller autrement ?! Il trempe dans le même cloaque. Il prend ses ordres aux mêmes sources faisandées.
Jusqu’à preuve du contraire, se nourrir (dans tous les sens du terme) de mairde (merde au sens allégorique) n’a jamais apporté ni bien-être ni santé… mais bien plus sûrement maladie, désordres et chaos.

P.S. : Est-il nécessaire d’ajouter que TOUS les journaux médicaux du monde sont la propriété directe ou indirecte de la Pharmafia, une des industries les plus puissantes qui soient. Bonjour l’objectivité de leurs “articles” ! Une longue série de publi-reportages, d’auto-congratulations dithyrambiques doublés d’un dénigrement systématique, d’une diffamation constante des médecines naturelles. Quelle science, les amis !! Et puis quelle éthique !!
« Votre santé nous est précieuse » ose même une de leur réclame. Ah bon ?! Puissiez-vous bien l’entendre. Quel monde merveilleux !!
(Pour plus de détails, cf. infra.)
À vot’ santé !!
Tchin-tchin !!

La vérité, c’est le mensonge

DE LA CENSURE ET DU DÉLIT D’OPINION

Lorsque la force de persuasion de la propagande ne suffit pas/plus à imposer une “vérité” – ou plus exactement, un mensonge –, la censure des opinions et la criminalisation de la pensée volent à sa rescousse

La liberté d’expression du peuple, ennemie publique n°1 de l’État, danger mortel pour nos élites
La liberté d’expression, une espèce en voie de disparition

Criminalisation de la pensée – Serait-il donc malsain de réfléchir ? Serait-il dangereux d’être intelligent ?!
Avènement du « crime-pensée » (cf. G. Orwell) : lorsque penser (par soi-même) devient un crime
Le mal-penser mis à l’index, confiscation pure et simple de la parole aux non-autorisés

La Police de la pensée – Le fact-checking officiel ou le manuel de la parfaite désinformation
Les nouveaux inquisiteurs – L’inversion accusatoire – Les sophistes du complotisme

Au prétexte de lutter contre la « désinformation »… surveiller tout ce qui dérange et éradiquer toute dissidence idéologique et politique est hélas devenu pour nos autocrates une obsession constante. La liberté de conscience, la liberté de pensée, la liberté d’opinion, la liberté d’information – notre droit le plus sacré, le plus absolu – sacrifiée sur l’autel de la soi-disant sauvegarde de la « démocratie » – en réalité évincée au profit de la censure et la propagande mondialiste omniprésente poussée à son paroxysme.

Au nom de la liberté d’expression, le totalitarisme censure. Au motif de combattre la désinformation, vous revendiquez sans complexe le monopole de « La Vérité ». Vous ambitionnez d’empêcher d’émettre le moindre doute sur votre politique, de museler impitoyablement toute voix critique, de censurer férocement toute objection aux « vérités » assénées par la bien-pensance, de contraindre sévèrement toute velléité de lanceur d’alerte… En somme vous cherchez à interdire purement et simplement TOUT débat. Et cela porte un NOM.

Deux et deux font cinq

Répétez ! Répétez ! vocifère le maître.
Deux et deux font cinq
Répétez !
Répétez !
Répétez !
(…)
Deux et deux font cinq !
Deux et deux ont toujours fait cinq !!
Deux et deux feront toujours fait cinq !!!

Tout contestataire de cette vérité sera pendu

Mais en démocratie, la liberté de pensée et son prolongement direct, la liberté d’expression – en sus de la liberté de circulation, etc. – ne représentent-elles pas des valeurs cardinales, fondatrices de nos sociétés ? Ne doivent-elles pas intégralement valoir pour tous les citoyens ? La liberté d’expression est-elle un danger pour la doctrine homologuée ? À vous entendre, la liberté d’expression tuerait la démocratie au point qu’il faille ériger une censure pour s’en protéger ! – Il suffit de constater combien la fin du monopole des fabricants-diffuseurs de L’Information et l’essor d’Internet et des réseaux sociaux – donc la délocalisation d’une partie du débat public, l’échange, la confrontation d’idées, le droit de réponse, etc. – arrache la gueule de vos conseillers (dont le mage putride et suranné, intrigant mité tueur des vieux et des inutiles) pour comprendre la panique que cette réinformation provoque dans vos rangs. – Les moyens déployés considérables, la virulence extrême, la violence brutale avec laquelle toute information contredisant la thèse officielle, réfutant le narratif dirigeant, démentant le récit covidiot est immédiatement invisibilisée, moquée, combattue, réprimée, en disent long sur les enjeux et les intentions des censeurs, des propagandistes, des plandémistes. Est qualifié de « complotisme » – blâmé, censuré et réprimé en conséquence – tout ce qui diffère un tant soit peu de la doxa ambiante, tout ce qui diverge peu ou prou de la pensée-unique régnante.

Ceux qui n’ont pas le pouvoir n’ont pas à s’exprimer. Ils n’ont pas à la ramener. Ils n’ont pas à l’ouvrir mais à obéir ! nous commande en substance l’Internationale du Crime et de la Corruption.

En France on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin, notait Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort au XVIIIe siècle. La chose, hélas, n’est pas nouvelle. Les temps n’ont pas changé. Notre modernité avancée se cramponne désespérément à la tyrannie. Une résistance acharnée au changement. Notre-Dame, priez pour nous.

La science se situe très loin de votre ignoble censure ! Votre apostolat se perd à des siècles-lumière de la réalité – de la réalité vraie, pour emprunter un pléonasme devenu d’actualité – et de la moralité. L’hyperréalité, la cyberréalité, la réalité virtuelle (!) prennent le dessus sur les faits, sur la réalité concrète. Votre “vérité” – travestie, falsifiée, post-vérité – c’est le mensonge délibéré. Nous sommes arrivés à ce point critique où le vrai est devenu un moment du faux, pour reprendre la formule de Guy Debord.

Mèneriez-vous donc, vous aussi, la contre-révolution ?! Indéniablement, lorsqu’un homme seul, ou un quarteron de conjurés – et non plus la multiplicité et la diversité des citoyens d’une nation – font la loi, le despotisme règne. Lorsque censure et propagande à grande échelle luttent efficacement contre la « désinformation » et le « complotisme », l’absolutisme est au pouvoir. Pour preuve, a-t-on encore le droit de se poser des questions dans ce pays ? Les idées et opinions divergentes ont-elles encore droit de cité dans l’ex-patrie des Lumières, sur l’ancienne terre d’accueil des Droits de l’Homme et du Citoyen, dans ce havre pour l’esprit jadis envié des penseurs et des philosophes ? Les « Lumières » semblent avoir radicalement changées depuis leur origine ; elles paraissent aujourd’hui devenues spécialement louches, troubles, fêlées, boueuses, vaseuses, malfamées, corrompues… sinon tout simplement éteintes, mortes. Et les « Droits » avec elles. Qu’est-il donc advenu, en notre belle France, de l’esprit d’ouverture, de la tolérance et du pluralisme ? Tout débat y est devenu interdit et la simple objection est aujourd’hui désignée comme persona non grata… C’est que le vice est aveugle sur lui-même. Les fous de guerre n’aiment pas – mais alors vraiment pas ! – la contradiction. Ils en ont une sainte horreur. Une aversion pathologique. Une répulsion eschatologique. C’est notamment à cela qu’on les reconnaît. Douter est devenu illégal. Le doute, même légitime – tout doute – se trouve prohibé et pourchassé. Tout dissensus est étouffé. Penser différemment de la doxa est devenu criminel. Toute contestation est réprimée. Toute dissidence est écrasée. Par tous les moyens, à commencer par les plus sournois. A-t-on l’idée, assurément saugrenue – voire offensante, sacrilège, pour d’aucuns de s’interroger sur la pertinence de la politique menée dans son pays, que cela horripile, dans son haut ciel, jupitérion himself, qui lance en représailles ses foudres pestilentielles aux fauteurs de troubles et les précipite illico dans les tréfonds des enfers pour blasphème et péché mortel. Les conspirationnistes attentant à la Science initiale – pardon ! vaxxinale – et à la Démocrature doivent être châtiés à hauteur de leur crime, nous dit le nouveau décalogue ! Indubitablement, quand, dans un régime politique illibéral, l’administré manifeste l’outrecuidance de se mêler de ce qui ne le regarde pas, la faute commise s’avère grave et la sentence encourue ne peut être que lourde. Verdict : peine de non-vie requise contre les contestataires, les non-conformes, les mal-pensants. Rien de moins. Mais nous ne demandions pas tant !

Vos raisonnements à deux-balles-un-idiot ne peuvent convaincre que les imbéciles. Vous pouvez les garder pour vous. Ils peinent même à meubler le chiotte de votre néant. Qui, en vérité, désinforme ? Qui sont les désinformateurs ? De quel côté vient la désinformation ? Ceux qui osent prétendre que la censure renforce les libertés et sauvegarde, préserve la démocratie nous prennent pour de profonds débiles ! Le sort réservé aux réfractaires, le bannissement des voix critiques, dissidentes n’est-il pas déjà en lui-même révélateur du caractère odieux et totalitaire de votre politique ?
Tout ce cinéma sécuritaire que vous organisez est indigne, infect, absurde ! Que vous en ayez conscience ou non ne change rien aux maux que vous engendrez. Si le corona-fascisme – énorme accélérateur de votre agenda politique mondialiste – a opportunément permis de dénoncer et fustiger les « complotistes » – à la plus grosse satisfaction de leurs traqueurs invétérés –, il aura été plus efficace encore à révéler au grand jour son armée de complices, ses légions de tartufes et sa cohorte de nigauds de service. Et ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir collaboré – activement ou passivement – à la mascarade nazitaire qu’ils n’ont pas de compte à rendre à la Nation et devant la Justice.

« Dans une libre République, chacun peut penser ce qu’il veut et dire ce qu’il pense. »
(Baruch Spinoza) (1632–1677)

VOUS N’AVEZ JAMAIS ÉTÉ AUSSI LIBRES !
JAMAIS !!

Le toxxin e(s)t la puce

Ne soyons toutefois pas systématiquement ingrats. Devenons un instant positifs. Dans le droit fil de votre césarisme… Quand ordonnerez-vous la suppression pure et simple des élections au prétexte qu’elles mettent la démocratie en danger ?! Au moins ces pseudo-consultations n’auraient plus à être truquées et la supercherie rituelle disparaîtrait de facto. De toute évidence, le Parlement ne sert plus à rien si ce n’est à nous coûter un pognon de dingue et à nous enfumer sans compter. Autant verser légalement le pactole aux cabinets de conseil(*1) qui font le job bien plus efficacement, comme vous le savez. Et puis tant que vous y êtes, pour les mêmes raisons, liquidez donc aussi le poste de premier sinistre, la flopée de fauteuils ministériels, la ribambelle de hauts fonctionnaires… et tout le saint-frusquin. Votre intelligence, votre puissance de travail, votre détermination les suppléeront mille fois. – Le « despotisme démocratique »(*2) vous va si bien ! Nous faisons entièrement confiance à votre créativité, à votre savoir-faire, à votre adresse, à votre ruse, à votre combativité, à vos réseaux lato sensu, pour simplifier comme il se doit la démocratie. Nous devons reconnaître que vous êtes, mister resident, si jeune, si actif, si moderne, si progressiste, si sympathique, si empathique, si audacieux ! Vous avez un grand avenir dans l’business !
(*1) : Dont la mondialement célèbre « firme », un de vos cornacs – et aspirateurs à fric – attitrés.
(*2) : Cf. Alexis de Tocqueville (1805–1859).

La dictature parfaite est celle qui arrive à te faire croire que tu vis en démocratie

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » (Aldous Huxley) (1891–1963)
Et si la dictature parfaite n’était qu’une modalité de la conspiration parfaite ?

Est-il besoin de rappeler que la liberté d’expression, attaquée de toute part par nos gouvernants, est un droit fondamental mentionné dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 faisant toujours partie du bloc de constitutionnalité de la Ve République. Article 11 – La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Foulé au pied, bafoué aussi, l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme
(signée à Paris, le 10 décembre 1948) dont voici la teneur : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
Éloquent ! Édifiant ! Qu’en avez-vous fait ?

Halte au terrorisme intellectuel !
La police de la Pensée est en marche… et à grands pas

Où allons-nous ? C’en est assez ! Cela suffit ! N’en avons-nous déjà pas suffisamment vu ? Qu’est-ce donc qu’un État qui s’arroge le monopole de la Vérité et interdit toute idée divergente ? Quel terrible manque de réflexivité que voilà ! Ce sont là des traits spécifiques aux pathocrates, des conduites caractéristiques d’autocrates, les marques distinctives arborées par les monocraties, faut-il le souligner ? Les leçons de l’Histoire récente devraient pourtant nous alerter et nous en prémunir. Dans quels bas-fonds marécageux, putrides, nauséabonds, sommes-nous tombés ?!

Il se trouve que la vérité a toujours dérangé. Platon déjà, plusieurs siècles avant notre ère, l’avait expressément relevé. Et tout propagandiste sait qu’« il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » (Mark Twain). Vous en usez à discrétion.

Les censeurs sont les comploteurs. Le fascisme – la collusion intime entre l’État et le capitalisme(*) –, le technofascisme – l’alliance des Big tech et du Deep State – a confisqué la pensée plurielle et imposé son idéologie venimeuse et fangeuse. De fait, la censure mène droit au totalitarisme et les censeurs ont toujours été les tyrans ! Mais heureusement nous pouvons tabler sur nos valeureux complotologues, sur nos braves pourfendeurs de théoriciens du complot, fake-shakers irrécusables, empêcheurs de penser en rond et autres émérites fouille-merdes véreux ! Censurer, par tous les moyens, la dissidence, voilà qui vous plait, vous motive et vous occupe. Comme le malheureux chien accusé d’avoir la rage, quand on veut tuer la libre expression – l’un des héritages les plus précieux de la Révolution française –, on dit qu’on en abuse.
(*) : Soit le « capitalisme de connivence » et/ou 
le « capitalisme de surveillance » en termes actuels.

La liberté d’expression est l’expression même de la Liberté. Elle est le socle des Libertés fondamentales. Sans elle et sans libre accès à l’information, il ne saurait y avoir de démocratie.

Où s’arrêtera le mouvement d’étranglement – grandissant et alarmant – de la liberté d’expression, et même, plus largement, de nos libertés tout court ? Au train où se précipitent les choses, il ne nous restera bientôt plus qu’un seul droit : fermer nos gueules… et payer nos impôts ! La vérité sous le boisseau, serait-ce là la seule préoccupation de nos gouvernants ? Qu’est-ce donc qu’une “vérité” imposée si ce n’est une imposture ?! Sans critique possible, sans discussion, sans débat, il n’y a tout simplement plus de démocratie. Nous remettons donc à l’ordre du jour le slogan soixante-huitard, il est interdit d’interdire. La censure doit être censurée et les censeurs censurés ! Et vertement !

L’ennemi juré du pouvoir, c’est l’intelligence. « Quand la bêtise gouverne, l’intelligence est un délit. » notait fort justement Henry de Montherlant. Vous ne dérogez en rien à la règle. N’est-ce pas l’apanage des régimes totalitaires que de stigmatiser, psychiatriser, criminaliser leurs dissidents ? Ainsi va le monde emmené par l’absolutisme transhumaniste et la soif de domination et d’argent. Une (soi-disant) « démocratie » dans laquelle tout réel pluralisme se trouve de fait exclu n’est plus une démocratie mais une démocrassouille, une démocrassie, une autocratie, un état despotique, une dictature. Point barre. L’esprit critique serait-il subitement – et inconditionnellement – devenu complotiste ?! Serait-il devenu un délit de la pensée… voire un délit tout court ?! Penser serait-il tout bonnement devenu dangereux ?! – Dangereux, comme l’est du reste la liberté du peuple. – Avons-nous même encore, en ce pays comme en d’autres, le droit de penser ? Nous reste-t-il une once de souveraineté non convoitée, non revendiquée par nos geôliers ? Nous en doutons sérieusement. Très sérieusement. D’ailleurs, le propre du « complotiste » n’est-il pas de douter de tout, de rester critique et circonspect en toute circonstance et de ne pas gober les fariboles – dont les vôtres – qui courent les rues et polluent les pensées ? Selon l’adage, si la vérité est mère de la confiance… la méfiance est mère de la sûreté.

Revenons sur Terre. Gravité oblige… Nous constatons hélas une fois de plus la justesse du propos attribué à George Orwell : « Plus une société s’éloigne de la vérité, plus elle va détester ceux qui la disent. » Malheureusement, cinq siècles après le constat de Nicolas Machiavel, l’inertie des peuples reste bel et bien la meilleure forteresse des tyrans, la plus éprouvée, la plus insolite, la plus inexpugnable de leur place forte.
Retournons un instant quelques années en arrière. Au fait, que sont donc devenus les millions, les dizaines de millions de Charlie de 2015 ?! Beaucoup d’entre eux semblent s’être totalement et définitivement volatilisés ou éteints depuis ce funeste 7 janvier 2015. – En vérité, un sacrifice amer pour les victimes du terrorisme. Le chant du cygne de la résistance populaire aux tentatives de censure et d’intimidation. Une époque désormais bien lointaine. – Des ex- (ou post-) Charlie tombés sous le poison lent de la censure institutionnelle. Fusillés en mode lénifiant par leurs propres gouvernants et leurs compères assassins. Rongés par la doxa toute puissante. Auto-dissous dans – et par – leur aveuglement. Des victimes inconscientes ou consentantes de leur égarement. Paix à leurs âmes délabrées.
Le premier qui dit la vérité…

Insistons… Insistons encore… La chose pourtant n’est pas nouvelle… À ceux qui ne l’auraient toujours pas intégré ou qui l’auraient oublié : « L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement ; et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : “Moi, l’État, je suis le Peuple” ». (Friedrich Nietzsche). Et, fort de son expérience, à Murray Rothbard, un autre célèbre pourfendeur de ce moloch calamiteux ubiquitaire, d’ajouter quelques décennies plus tard : « L’État est une institution de voleurs ». Une organisation criminelle et criminogène. L’État, c’est tout à la fois l’incompétence, le vol, la force et la violence…
À bon entendeur…

In édit

– Quoi de neuf, doc’teur, en ce début 2020 ?
– Rien, à part l’arrivée d’une nouvelle rubrique fourre-tout nommée ‘Covid-19’ en remplacement de plusieurs autres… et le refus de soin associé.
– Bonne année !
– Bonne arnaque !!

De la pensée magique vaxxinale…
aux boucs émissaires et aux victimes expiatoires

Et voilà qu'une nouvelle liberté nous est offerte : la liberté de fermer sa gueule et de se faire… injecter !

À moins de préférer la déchéance citoyenne et la mort sociale

La liberté… d’inexpression (cf. Anne-Sophie Chazaud)
Une fascination vaxxinale stupéfiante !
Le covidisme totalitaire chevillé au corps

L’Ordre vaxxinal, religion du troisième millénaire

Oui, incroyable ! nous avons « la liberté de nous faire vacciner » ! Quelle générosité ! Quelle libéralité ! Quelle prodigalité ! Quelle divine providence ! Quelle munificence vous nous accordez ! Et cette merveilleuse faculté, cette extraordinaire largesse a même été officiellement reconnue en fin d’année dernière par l’une des plus haute juridiction du pays – pourrie, elle aussi, jusqu’à la moelle. Mais, pour autant, soyons rationnels, gardons les pieds sur Terre, cette vaxxination libère-t-elle vraiment ?

Votre sollicitude nous touche… autant que votre exaltation vaxxinale nous interroge. Et les deux nous dégoûtent à l’extrême. – Comme d’ailleurs nous insupportent vos envolées lyriques – hauts enfumages – sur la « liberté »(*1), la « démocratie »(*2), la « république »(*3), l’« état de droit », etc. que dans les faits, au quotidien, vous écrasez crânement dans la foulée et à la moindre occasion (cf. infra). – Nous ne vous accordons AUCUNE confiance. Seriez-vous soudainement devenu philanthrope ? Nous ne vous avions jusque-là pas vu dans ce rôle-là. En effet, voici qu’après votre rage de nous enfermer quoi qu’il en coûte, il vous prend la fureur de nous vaxxiner quoi qu’il en coûte ! Und schnell ! Après nous avoir brutalement assignés à résidence, privés de la liberté essentielle d’aller et venir, vous nous privez de notre droit premier de disposer de nous-mêmes ! Après avoir éhontément foutu la trouille aux populations, après avoir odieusement interdit tout débat contradictoire, après avoir intentionnellement proscrit tout traitement efficace de la covid – une excellente méthode pour aggraver la mortalité –, après nous avoir abusivement, des mois durant, confinés à domicile et muselés, voilà que maintenant, étape suivante, vous décrétez le confinement de nos pensées et la mainmise sur nos corps ! Ces diktats sont INTOLÉRABLES !!

(*1) : Serait-ce donc la « liberté » de se faire incarcérer, injecter, esclavagiser… ?!
(*2) : « Démocratie » ou beaucoup plus justement autocratie, bureaucratie, technocratie, lobbycratie, ploutocratie, kleptocratie, népocratie, maquereaucratie, médiocratie, idiocratie, consocratie, sanitocratie, polémocratie… l’éventail est large. Choix multiple indiqué.
(*3) : De quelle « res publica », de quelle « république » – ou plutôt de quelle féodalité – s’agit-il ? Car il n’y a vraiment pas à aller loin pour trouver une ripoublik bananière ! Point même n’est besoin de traverser la Méditerranée, les Alpes, les Pyrénées, le Rhin, les Flandres, la Manche ou l’Atlantique.

Tireriez-vous vos droits et nos devoirs des préceptes de Saint-Simon, des enseignements du philosophe Alain ou, surtout, de quelque moraliste faustien ou dialecticien totalitariste… ?
Au nom de qui – ou de quoi – osez-vous vous ingérer de la sorte dans notre vie privée et chercher à claustrer nos pensées et violer notre esprit ?! De quel Droit – absolu au moins – disposez-vous pour oser attenter à notre liberté intérieure, à notre indépendance, à notre libre-arbitre, à notre autonomie, à notre capacité de réflexion, à notre discernement… en nous imposant
votre daube, vos chimères, vos mirages, vos fantasmes… plus est, d’un autre âge ?! De notre suzeraineté vous vous tamponnez ostensiblement le coquillard ! Vous jouez avec nos vies comme vous jouez en bourse ou au poker. Et cela est odieux ! Vous nous soumettez à un choix cornélien. Nous ne pouvons laisser passer pareille forfaiture. Vous n’avez aucune leçon d’exemplarité, de civilité ou de responsabilité à donner ! Vous êtes très mal placé, très malavisé pour cela. Votre croisade prophylactique est une infamie. Votre guet-apens « sanitaire » est une abomination ! Votre traquenard vaxxinal est une abjection ! Un rançonnement en règle. Quelle vilénie ! Quel toupet ! Où vous croyez vous ?! Ou vous vous trompez de pays ou vous vous trompez de régime ou vous vous trompez de fonction ou vous vous trompez de siècle ! Les quatre options peuvent parfaitement se cumuler.
Vous avez de la suite dans les idées, certes, mais vous aurez beau tout essayer, notre esprit ne s’attrape ni ne s’enferme ! Pas plus que son expression directe. Pas plus que notre libre-arbitre. Pas plus que notre souveraineté. Pas plus qu’on ne peut stopper la course du soleil, le buissonnement de la vie ou le vent sur la prairie.

Ce n'est pas le virus qu'ils veulent contrôler_

UN CRIME DE LÈSE-MAJESTÉ AU ROYAUME DU MENSONGE

Une politique sanitaire débile – Un hygiénisme d’État devenu complètement fou
Il semblerait qu’il en aille de la médecine comme de la loi : celle du plus fort se trouve toujours être la meilleure
Tandis que les chercheurs font progresser la science, les pieds nickelés font de la com’ et du business

Un apartheid au pays de la Déclaration des Droits de l’homme(*)… Nul besoin d’aller loin cette fois-ci et de chercher chez les autres, ça se passe… chez nous !
(*) : Pays où ces mêmes Droits ont depuis disparu et où il ne reste hélas plus qu’une vague relique pieusement nommée « Droidelome » – une bien pâle copie – et les livres d’Histoire pour s’en revendiquer… ou s’en consoler.

Les conseilleurs – pas plus que les décideurs et les injecteurs – ne sont les payeurs.

Dans ces conditions ubuesques de désinformations et de falsifications tous azimuts, de pratiques antiscientifiques et antidémocratiques généralisées, et au risque – assumé – de paraître blasphématoire au regard de la doxa toute puissante, la réponse du berger à la bergère ne saurait attendre ou se défiler…

Le toxxin e(s)t la puce
Crapuleuses pharmarnaques – Atteintes à la probité (…), abus de faiblesse, tromperies, dols, escroqueries et tentatives d’escroquerie au consentement…

Peut-on exister, ou surtout chercher, en tant que chef de l’État, à montrer que l’on existe – médiatiquement, politiquement, stratégiquement, etc. –, en usant du privilège exorbitant de sa fonction pour publiquement « emmerder », stigmatiser et discriminer – larga manu et avec une mine réjouie ! – une frange conséquente de Français(e)s ? Et pour quel coupable motif plébéien ? Tout bonnement pour crime de lèse-majesté. En l’occurrence tout simplement parce qu’ils se montrent réticents à une série d’injections faussement “expérimentales” – dont vous, qui ne voyez la vie pas autrement qu’en doses, ne cessez de chanter les louanges et faire la promotion – mais qui apparaissent controversées et risquées (cf. infra) dès lors que l’on s’extrait de la vulgate vaxxinolâtre, du simulacre de médecine scientifique, de la propagande ignominieuse que vous orchestrez sans retenue, empressé représentant des droguistes que vous êtes. – Que ne vendez-vous d’ailleurs pas sous couvert de « progrès »… à rebours ?! – Parce qu’ils refusent de se faire injecter, à leurs risques et périls, les salades – aussi pernicieuses qu’éculées – du marketing pharmaceutique. Parce qu’ils refusent votre Certificate Of Vaccination ID/AI [19…84 / 2020]. Parce qu’ils refusent la fusion de leur identité physique, biologique et numérique. Parce qu’ils refusent de se sacrifier à une dangereuse et ignoble expérience pseudo-médicale. Parce qu’ils refusent vos inoculats frelatés. Parce qu’ils déclinent vos soupes vénéneuses. Parce qu’ils refusent de se faire fliquer. Parce qu’ils refusent de se faire ogmiser et transhumaniser. Parce qu’ils refusent de se faire parasiter. Parce qu’ils refusent de se faire hybrider. Parce qu’ils refusent de se faire chimériser. Parce qu’ils refusent de se faire implémenter. Parce qu’ils refusent de devenir des objets connectés (IoBNT). Parce qu’ils refusent d’être le jouet de vos lubies. Parce qu’ils refusent de mordre à votre hameçon crapuleux. Parce qu’ils refusent d’être les dindons de votre farce criminelle. Parce qu’ils refusent de plier devant votre immonde extorsion de consentement. Parce qu’ils osent résister à votre délire mégalomaniaque. Parce qu’ils osent vous désobéir, vous le bon et sage pâtre de la Nation, vous le guide jovien suprême.

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Le vaccin le plus mortel de l’Histoire mondiale

Hormis peut-être les cocktails déjà douteux injectés aux soldats durant la seconde moitié des années 1910 (1ère Guerre mondiale) et ceux censés, avec certaines médications, contrer la « grippe espagnole » (en réalité d’origine américaine), un autre scandale sanitaire à l’échelle internationale.

PHARMACRATIE
L’éhonté charlatanisme vaxxinal

Glorification des Toxxins – Totale allégeance au dieu VAXXIN
Le répugnant scientisme dirigeant – Le triomphe du business sur la science
Gloire éternelle au vaxxin Guéritou qui rend immortel
Votre narratif officiel – pur baratin spécieux, laxatif à souhait : des cocktails faussement “expérimentaux”, pompeusement qualifiés de « vaccins » et scandaleusement déclarés « efficaces et sans danger » !
Vos machins – alias vaxxins ou toxxins – sont « efficaces » uniquement dans la mesure où vous risquez – statistiquement – davantage de mourir de l’injection fumeuse elle-même que de la coquevide-19 ! De ce point de vue, ils sont même d’une redoutable et indiscutable « efficacité ».
Question basique : un vaxxin en réponse à une épidémie… ou une épidémie en réponse à un vaxxin ?

Ne chercherait-on pas à nous faire crever, plus est, avec nos propres deniers ?

N’est-ce pas folie que de céder au chantage vaxxinal ? N’est-ce pas folie que d’accepter l’inacceptable ?
Comment avez-vous pu non seulement laisser injecter mais aussi contraindre des dizaines de millions de Françaises et de Français – dont l’immense majorité n’avait strictement rien à craindre du coronavirus –, y compris des enfants, à se faire, sans aucun recul scientifique et sur la seule foi des laboratoires pharmaceutiques, inoculer un produit “expérimental” abusivement appelé « vaccin » ne protégeant ni des infections, ni des transmissions, facilitant même les virus et leurs mutations… et présentant, de plus – le pompon ! –, des risques avérés majeurs pour leur santé… et même leur vie ?! Êtes-vous débile ou seulement corrompu ?

Coïncidites et vaxxitoses à la pelle
Une toxxination généralisée délibérée – Violences vaxxinales et morts sur ordonnance – Des criminels en série
Que de soumis et de soumissions !

Non seulement les malades covid n’ont pas été soignés mais renvoyés chez eux avec un simple antalgique – ce qui est proprement scandaleux ! –, mais, de plus, deux autres constats vous accablent : d’une part, en s’extirpant de la propagande et des mises en scènes infâmes, il appert que l’épidémie covidienne n’est ni grave ni importante et que le virus n’a ni saturé les hôpitaux (ils l’étaient déjà auparavant)(*1) ni les cimetières.
D’autre part, rappelons d’un mot une autre évidence : les vaxxins anti-covid ne sont ni sûrs ni efficaces. Ils ne montrent, en effet, et contrairement à leurs assertions mensongères, aucune preuve réelle d’efficacité… Mais, par contre, ils présentent des preuves bien réelles de danger, contrairement là aussi à leurs allégations trompeuses ! L’histoire était entendue dès le départ. Les études notamment des principaux fabricants(*2) – bidonnées de A à Z ! – n’auraient JAMAIS dues être homologuées par les autorités de santé. La seule solution éthique et réaliste eut été de stopper immédiatement le processus dès les toutes premières phases d’essai ! Mais c’était sans compter l’extrême addiction à la fraude de ces opérateurs et la complaisance éhontée des autorités publiques… Et les psalmodies de l’église de vaxxinologie à leur dieu Vaxxin(*3) ne changeront pas même un iota à l’affaire – ou plus précisément, au drame.

(*1) : Cf. la tendance lourde de la suppression de lits hospitaliers depuis plus de deux décennies (voir infra). Une pénurie encore accentuée par la désorganisation complète du système de soin savamment programmée des mois à l’avance (remplacement en 06/2019 du plan ORSAN EPI-VAC par ORSAN REB…), la mise hors circuit des quelques 100 000 médecins généralistes(**) (!), l’interdiction (en pratique) de certains médicaments pourtant éprouvés… puis l’exclusion des soignants non vaxxés, etc… Souvenons-nous déjà 1/ de l’engorgement systématique des hôpitaux (Urgences) en période hivernale puis 2/ que durant la « première vague », au printemps 2020, très peu d’hôpitaux étaient habilités à recevoir des malades covid. Dans un premier temps, en effet, ces malades ont été concentrés sur 38 établissements seulement (puis 108…) sur les 1 342 hôpitaux publics que compte le pays ! Comment dès lors s’étonner de la saturation de ces quelques établissements – saturation, plus est, éhontément médiatisée pour leurrer et terrifier les populations – alors que les autres étaient largement sous-occupés !
Redisons aussi que le secteur hospitalier privé (974 cliniques) n’a, malgré ses invitations insistantes, jamais été sollicité pour accueillir des malades covid.
(**) : En avril 2020, un certain Grand-Duché proche (…) a même versé 20 000 euros aux généralistes afin qu’ils ferment leurs cabinets au début de la flandémie ! Comme le relève à juste titre un des courageux – et rares – médecins qui, nonobstant cette consigne honteuse, a continué à recevoir et à soigner ses patients – il fut donc (lui aussi) pour cette raison abondamment harcelé par les zautorités nazitaires et durement condamné par leur Injustice immanente –, « c’est comme si on payait un pompier pour ne pas aller au feu ! »
(*2) : Dont le premier d’entre eux [co-développeur du poison “expérimental” Comirnaty] est un multirécidiviste des falsifications et des malversations, déjà condamné 90 fois en l’espace de 20 ans pour un total de près de 10 milliards de dollars d’amendes… Condamné pour corruption, fraude, publicité mensongère, violation des règles de sécurité pharmaceutiques, etc. etc. Un truand notoire. Une organisation criminelle avérée. Pstt ! Pour la petite histoire, c’est déjà ce même « labo » – ce même « pharmafieux » serait plus approprié – qui avait à l’époque financé de manière occulte le Parti Socialiste français (moyennant évidemment quelques petites faveurs et juteux retours), financement révélé lors du scandale Cahuzac (un autre délinquant récidiviste) qui a éclaté en décembre 2012… Business to business, dans le Secret des affaires ! Quel monde merveilleux !
(*3) : Avec, comme Graal ultime, « The Universal Vaccine » à venir !! Très puissante église dont vous êtes un courtier enragé et un adulateur servile. Les vaxxins – votre drogue, votre dada, votre antienne, votre marotte, votre hochet technologique, votre idéologie transhumaniste, votre fétiche vaccinolâtre, votre délire progressiste – décrivent fidèlement votre complète allégeance à la coterie médicale, votre indigent horizonet toxique, votre courte vue indépassable. Le tout-vax, comme la pensée magique (ou la pensée infantile), est à l’épreuve de toute raison. Exit l’immunité naturelle qui défend la vie depuis la nuit des temps ! Une de ces débilités scientistes dont l’absurde et le pognon détiennent le secret. – À quand un vaccin, un vrai ! contre cette tare ?! –
Les vaxxins s’avèrent être, ni plus ni moins, pour les humains et les animaux l’équivalent des pesticides (…) pour les végétaux (végétaux le plus souvent cultivés, fertilisés, à grand renfort d’engrais – intrants – pétrochimiques – les fragilisant d’autant plus). La tambouille vaccinale, embrouille d’un réductionnisme affligeant, simplificatrice par-delà toute raison, sottement unidimensionnelle, n’est qu’une pseudo-science, un delirium in silico, un non-sens d’illuminés et de charlatans – les véritables –, des qualificatifs que ces derniers ne cessent de retourner, jusqu’au ridicule, contre leurs contradicteurs pour tenter de les déconsidérer sans jamais répondre au fond à leurs arguments. – Vous aurez noté qu’il n’y a jamais de débat (contradictoire digne de ce nom) à propos des vaxxinations. Jamais. Les opposants, si experts et qualifiés soient-ils, sont invariablement écartés de toute réflexion, invectivés, diffamés, censurés, excommuniés comme s’ils représentaient le diable en personne. Ou alors ils sont systématiquement privés de tout droit de réponse. – Hormis l’aura faussement cartésienne dont elle se drape, il n’y a absolument rien de scientifique dans la vaxxinerie : elle n’est qu’une fumisterie dans laquelle malhonnêteté criminelle des labos, désinvolture irresponsable des médecins et crédulité stupide du public rivalisent d’ingéniosité et de cran.
Plus on vaxxine les populations et plus elles sont malades. Voilà la triste – et interdite – réalité.
Il en va des vaxxins comme de tant d’autres faux « progrès » – ou progrès à rebours – qui tôt ou tard finissent toujours par nous revenir violemment en pleine tronche. Mais entre-temps les bénéfices – pour les uns, les pertes pour les autres – auront été récoltés… et ce pour toutes les parties prenantes.

Des effets iatrogènes… ?
Ah bon ! Vous ne saviez pas ?!
Nous allons vous rafraîchir la mémoire.

Déclarés sentencieusement « sûrs et efficaces », ces « vaccins » sont en réalité inutiles, inefficaces et nocifs

Quels “drôles” de « vaccins » que ces mixtures “expérimentales” – et mystérieuses – qui facilitent la contamination, rendent malades souvent et tuent à l’occasion !
Que de problèmes au bout de la seringue ! – Des produits inefficaces et dangereux – Aucun bénéfice mais des risques avérés

Rien qu’en France, combien de centaines de milliers de victimes, combien de milliers d’issues fatales liées à l’obligation “sanitaire”… dans une indifférence générale révoltante ?
Toujours le même déni, le même négationnisme vaxxinalToutes les causalités possibles et imaginables invoquées, y compris les plus ubuesques, mais jamais le vaxxin

Vaxx C19, 2 mensonges

LA MORT REND LIBRE !!!

ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS !
Décidément, nous vivons une époque formidable !

Des toxxinations pourvoyeuses de maladie et de mort – Les innombrables accidentés des vaxxins covid
Mise en danger délibérée de vies humaines – Blessures (in)volontaires et empoisonnements de masse – Qui bénéficie et qui risque ?
Les vaccins, vaches… à lait ! – Une efficacité exagérée et une toxicité sous-évaluée : la recette miracle de la Pharmafia
Tous toxxinés / beaucoup blessés / maints décédés – Cachez cette réalité – macabre – que je ne saurais voir !

D’éminents experts internationalement reconnus, vous en avez été informé en temps opportun, ont, à de multiples reprises, alerté sur l’ineptie et les dangers d’une vaccination de masse en période épidémique (id. pour le testing massif en population générale) ainsi que sur l’inefficacité et la dangerosité de ces injections. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas. Ces vaxxins ne protègent pas de la maladie, n’empêchent pas sa transmission et peuvent entraîner, de surcroît, de graves effets indésirables dont la mort. De plus, ils n’empêchent nullement le virus déjà hautement labile de muter… si tant est qu’ils ne facilitent pas, à l’inverse, l’émergence de nouveaux variants(*1) ! Par conséquent, il s’agit là d’injections qui ne servent à rien – sauf à rendre malade voire pire – et qui ne protègent de rien non plus si ce n’est des tests, des amendes, des insultes, des stigmatisations, de l’ostracisme… ou encore, cerise sur la bière, en cas de décès, de préserver d’être étiqueté(e) « mort de la covid ». Faut-il pour autant risquer sa vie pour cela ?!
Quel tour de passe-passe ! Quelle “drôle” de “science” que cette arnaque vaxxinale ! Mais quand on a une seringue dans la tête… on abandonne volontiers le soin – le vrai – au profit du seul commerce : Big Vax et sa chimère aux monceaux d’or. Ajoutons que la notion même de balance bénéfice-risque, en santé publique, est une incongruité, une absurdité, une monstruosité.
Effectivement, la « vaccination » – à cette heure toujours en cours d’expérimentation, votre sinistre archimenteur, le sous-fifre de la “sans-T”, ou plus justement le chantre de la Maladie, feint de l’ignorer effrontément – n’a jamais empêché l’infection et la transmission d’un virus dont les victimes ont en moyenne plus de 80 ans. De plus, ces injections, effectuées sans aucun recul scientifique (du moins officiel), sont assorties d’une omerta absolue sur leurs effets indésirables graves, handicapants, si ce n’est mortels (vous en avez été informé à maintes reprises) : chocs anaphylactiques, convulsions, vascularites, thromboses et autres troubles de la coagulation sanguine (thrombopénies…), accidents cardiaques et A.V.C., embolies pulmonaires, tumeurs soudaines, recrudescence de cancers, troubles neurologiques et immunitaires(*2), lésions hépatiques, cycles menstruels chamboulés, grossesses pathologiques, fausses couches, mortalité périnatale – morbi-mortalité maternelle et néonatale –, lésions gonadiques, baisse de la fertilité (si ce n’est infertilité / stérilité), inflammations articulaires, narcolepsie et cataplexie, acouphènes, perte de l’audition, cécité, etc. Et combien de « complications » encore à venir ?! – Nous n’osons imaginer que ces blessures puissent être intentionnelles. – Il est édifiant de constater que le risque de décéder du « vaccin » en cas de survenance d’un effet “secondaire”(*3) est plus grand que celui de décéder du covid-19 en cas de symptômes, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans ! Un « vaccin salvateur » ??? Vous rigolez du g’nou ! Salvateur pour qui, mister Vaxxine ?! Les études scientifiques indépendantes et impartiales montrent que votre slogan « Tous vaccinés, tous protégés » relève de la pure escroquerie.

Non seulement vos machins – les vaxxins, les toxxins – n’ont en rien empêché l’infection et la transmission du coconavirus, mais de plus nous assistons concomitamment à une véritable explosion de cas de stressites, de hasardites, de coïncidites et de concomitites, une épidémie fulgurante de vaccidents que même l’autre grande Muette – et tout autant sourde –, la « pharmacovigilance » – ou plutôt la chose incurablement passive censée en tenir lieu –, à la fois juge et partie (!), complètement à la ramasse, n’arrive plus à masquer ! Ce leurre institutionnel n’est qu’une machine à étouffer les scandales sanitaires. Les sous-notifications, historiquement déjà patentes puisque seuls 1 à 10 % des effets/évènements indésirables sont habituellement déclarés aux autorités (ou par les autorités)(*4), prennent aujourd’hui des proportions démentielles, révoltantes. Il se trouve en effet que les cas de covid des os, du sang, du cœur, des vaisseaux, du foie, des poumons, des reins, de la rate, des nerfs, de la peau, des yeux, des muscles, du sexe, etc. – et même les cas de covid mort subite – ont carrément explosé depuis 2021(*5). Personne ne semble au courant mais certains médias autorisés contactés supputent un coup des Russes ou les radiations stellaires d’en être à l’origine. Idem pour les fameux « covid longs » –, expression passe-partout, en réalité la résultante surtout des seringuages intempestifs… soit des vax longs. Devons-nous savoir gré à ces ferrées instances recluses de ne point nous inquiéter inutilement des extravagantes nuisances de cette industrie de carabins déjantés et de potards funestes ?!
Alors que la doctrine jusque-là consistait à stopper illico toute campagne vaccinale au-delà de 15 morts suspectes, nous assistons aujourd’hui à l’exact opposé : malgré déjà, à l’heure où nous écrivons ces lignes, des dizaines de milliers de morts consécutifs aux injections, la dynamique vaxxinale poursuit sa folle course – sa pathétique fuite en avant – exactement comme si de rien n’était et que les envoyés ad patres – shootés aux mixtions frelatées – comptaient pour du beurre… dans leurs bières ! – La mort rend libre, n’est-il pas ?! – Mais pour autant, le négationnisme n’est-il pas considéré en France comme un délit depuis 1990, qui punit ceux qui contestent « l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité » ?
Le bénéfice pour la Pharmakia, le risque pour le patient. – Sans doute, Dieu reconnaîtra-t-il, là aussi, les siens. – Des passages en force, encore et toujours ! Un cynisme, une brutalité, une infamie sans nom !!

(*1) : Émergence de nouveaux variants dopée de surcroît par un réservoir zoologique – hôtes intermédiaires – de plus de 600 espèces de mammifères (zoonose) !
(*2) : Dont, en plus des classiques troubles auto-immuns (…), les maladies vésiculeuses auto-immunes ou maladies vésicantes auto-immunes (maladies « bulleuses » : pemphigus, pemphigoïde bulleuse, etc.), effet secondaire peu médiatisé et pourtant avéré des vaxxins à ARNm contre le covid… Encore une coïncidite épidémique justiciable de… vaxxins ! Cherchez l’erreur !
(*3) : Le double sens de « secondaire » occulte bien trop souvent celui de « consécutif » au profit de celui de « mineur » ou « accessoire » !
(*4) : En moyenne, seuls 1 % des effets indésirables sont remontés aux autorités de santé, selon les chercheurs indépendants ; 10 % selon les études de l’industrie pharmaceutique elle-même. Un consensus semble se dégager sur 10 % des effets secondaires pour ce qui concerne les médicaments… et 1 % seulement pour ce qui concerne les vaccins. (…) Pour les incidents et accidents dûment enregistrés vient ensuite la redoutable épreuve – le filtre couperet – de l’imputabilité (challenge, déchallenge, rechallenge) et sa plutôt “délicate” application aux vaxxins… Et puis, lorsque la charge de la preuve incombe à la victime, le pot de fer a d’énormes chances de l’emporter. En somme, le bureau des plaintes – qui change d’appellation à chaque fois que l’escarcelle des scandales est pleine, et il y en a des pelletés ! – est en réalité un autiste profond sous total contrôle de la Pharmafia. Ces agences, creusets féconds de la collusion entre industriels, État et scientifiques, ne sont ni plus ni moins que des galeries de pantins, des relais de la propagande et de la censure. Des chances infimes donc que le vulgum pecus qui les sollicite soit entendu. Tiens, prend c’la ! Et v’lan dans l’baba ! « Classement sans suite ». Toujours la faute de l’omniprésente coïncidite ! Le lien de cause à effet (ou lien causal) n’est, au bout du compte, qu’une vaste entourloupe – une entreprise (officielle) de blanchiment – pour disculper les fabricants et les autorités de toute responsabilité.
P.S. : Du reste, dans un domaine connexe, soulignons qu’il en va strictement de même de la (difficile) reconnaissance des maladies professionnelles – circonstances où l’on assiste communément à une solide collusion de fait entre patronat, médiqueux et pouvoirs publics – ou des victimes des pénuries (croissantes) de médicaments.
(*5) : Ces vaxxins-poisons entraînent une myriade d’effets indésirables dont de nombreux qui sont graves. Les vaccins à ARNm ont même créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques que l’on appelle aujourd’hui la « maladie du CoVax ». Et cela était su dès le départ par leurs fabricants et les hautes autorités de santé… mais totalement caché au public – qui, tout au contraire, était ignoblement pressé de se faire injecter ces saloperies au plus vite !

Nota bene : Si vraiment il est injustifié et anxiogène à l’encontre des populations de dénoncer les périls et les abus vaccinaux comme le reprochent aux vaccins-sceptiques les grands-prêtres de l’Institution pasteurienne(*), vaccinolâtres invétérés devant l’Éternel Pasteur, n’est-il pas plus anxiogène encore, comme le fait systématiquement l’église de vaccinologie, de nous présenter la vie comme une suite effroyable de dangers biologiques, microbiens, de tous les instants, menaces contre lesquels le seul remède opérant serait de vivre sous cloche avec matraquage chimique permanent, perfusion pharmaceutique continue, béquille médicamenteuse systématique ?… Cela est proprement (!) aberrant et desservira l’humanité sur le court terme comme sur le long cours. Gardons à l’esprit que, dans son essence même, la vie est bactérienne, microbienne, virale… dans un environnement qui l’est tout autant. (…)
(*) : Pauv’ choux vaxxés stressés par les alarmes totalement injustifiées des « complotiss » ! Comme si la réciproque n’existait pas !

J’suis bidon. J’suis bidon… Au rythme où vont les études gourdes, vos très chers vaxxins bidons protègeront bientôt même les ordinateurs, les topinambours ou les skons ! Eurêkaka ! Faites-vous seringuer le gène de l’inoxydabilité, faites-vous inoculer l’exon de l’invincibilité et vous deviendrez immortels !
Quoi qu’il en soit, le plus terrifiant des virus, la plus redoutable des bactéries, à notre sens, et jusqu’à preuve du contraire, reste bel et bien la bêtise humaine, et ce d’autant plus lorsqu’elle est stipendiée par le despote argent et aiguillonnée par l’impérissable cupidité. Et nous y ajouterons volontiers la fatuité et la paresse intellectuelle, autres familiers, atavique et funestes ennemis de l’être humain.

Seringue boucle -ARer

TAUTOLOGIE
Quand on a une seringue dans la tête…
Schéma de la pensée – unique, par définition – des vaccinocrates
Objet d’enrichissement pour les vaxxeurs et de piété pour les covidiots-vaxxidiots
Gloire éternelle au vaxxin Guéritou qui rend immortel !!

La quintessence de la pensée circulaire et du mental pétrifié / putréfié

DÉCIDÉMENT, ON N’ARRÊTE PAS LE PROGRÈS !

À l’instar du fameux nuage de Tchernobyl – qui, contrairement aux allégations complotistes, ne survola jamais notre territoire… – TOUT EST À L’AVENANT !!
Pourquoi tant de dissimulations ? – Ces ahurissants niveaux de dénégation inaugurent-ils les nouveaux standards en la matière ? Pourquoi cette inversion de la charge de la preuve ? D’ailleurs pourquoi toutes ces cachotteries autour de la (psy-op) covid ? Pourquoi toute cette confidentialité autour des statistiques et des vaxxins ? Pourquoi ce consensus du déni ? Pourquoi cette classification secret défense ?… Auriez-vous donc des choses à nous cacher, mister Vaxxine ? À quand la révélation au grand public du scandale des vaxxinGate ? À quand la laïcité médicale ? À quand une loi (organique) de séparation de l’église pharmaceutique et de l’État ? À quand le démantèlement de l’Ordre – pétainiste – des médecins(*1) ? À quand un texte législatif instaurant et garantissant enfin (!) une Démocratie fonctionnelle exempte de conflits d’intérêts, de collusions, de prévarications, de concussions, de trafics d’influence et de corruptions en tous genres ?

À ce propos, nous demandons – et attendons toujours – la totale transparence sur le cahier des charges, sur la recherche, la mise au point, les essais cliniques réalisés (dont l’efficacité et l’innocuité…), la composition exhaustive de ces produits « vaccinaux », la publication de l’intégralité des contrats conclus (les documents transmis ayant été caviardés à loisir – secret des affaires obligeant) et des communications échangées avec leurs fabricants ainsi que de la totalité des données de pharmacovigilance. Est-ce trop demander pour étayer notre confiance, garantir notre sécurité et, ce faisant, prémunir notre santé dont vous paraissez tellement vous soucier ? Et, au passage, dernières objections sur ce sujet – mais non les moindres –, pourquoi ces 14 / 21 jours de différé entre la date effective de vaxxination et sa (date de) validation administrative ? Un délai très opportun de catégorisation extrêmement lourd de conséquences en termes de pharmacovigilance. – Un laps de temps permettant en effet d’écarter de nombreux et gravissimes effets secondaires. Remarquons cependant qu’à l’inverse, la tératogenèse d’une substance administrée peut aussi mettre très longtemps à se manifester (parfois jusqu’à une 20e d’années… soit sur la génération suivante)… Enfin, autre constat scandaleux, pourquoi les fabricants de vaxxins déclinent-ils tous toute responsabilité en cas d’effet… comment dire… « indésirable », si tant est que vous connaissiez ce mot grossier et barbare ?

Du reste, pas de chance, nous observons la tendance lourde à la privatisation rampante de la santé, comme nous n’ignorons pas non plus que médicalisation et normalisation de la société procèdent toutes deux de la même logique matérialiste despotique(*2) comme nous n’oublions pas non plus que les mauvaises pratiques médicales (erreurs, accidents, iatrogénèse, infections nosocomiales, etc.) constituent, après les maladies cardiovasculaires et le cancer, la troisième cause de décès dans les pays développés. Ou encore que nous baignons durant notre vie entière dans un cocktail de plus de cent mille substances chimiques de synthèse – sans détailler le nombre considérable d’ondes artificielles de toutes sortes – dont on ne connaît pour ainsi dire rien des risques – unitaires et combinés, à court terme comme à long terme – pour la santé des habitants de cette planète… Que de cobayes ! – Après tout, pourrait-on penser, ils ne sont plus à une expérimentation / extermination / près ! – Et, hélas, ça en fait du monde en perte collatérale ! Largement plus que les malheureuses victimes de la covid ! Sans même exposer le nombre faramineux d’hospitalisations et de traitements médicaux induits… Et la boucle se perpétue et se renforce indéfiniment.
Feriez-vous vôtres ces mots de monsieur Iossif Vissarionovitch Djougachvili – alias Staline, le vojd : « La mort d’un homme est une tragédie. La mort d’un million d’hommes est une statistique. » ?

(*1) : Pour rappel, l’Ordre des médecins fut institué par la loi du 7 octobre 1940 sous le régime de Vichy, concrètement pour empêcher les praticiens juifs d’exercer la médecine (tout en les recensant). Par ailleurs, cet “Ordre“, puissant relais du pouvoir central et de la Pharmafia, exige la stricte obéissance de ses membres et ne rechigne pas à imposer la délation (une spécialité qui a survécu jusqu’à nous, voire prospéré), etc… Triste parrainage ! Depuis lors, bien des disciples continuent de marcher dans les pas du maréchal déchu. Jugé pour intelligence avec l’ennemi et haute trahison en juillet 1945, Pétain est frappé d’indignité nationale et condamné à la peine de mort. Sa peine sera commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle.
(*2) : Michel Foucault et Gilles Deleuze – entre autres – nous ont judicieusement éclairés, au siècle dernier, sur le « biopouvoir », l’« étatisation du biologique », la médicalisation et la normalisation – à outrance – de la société…
Contrôler, surveiller et punir…
D’autres penseurs encore ont mis en lumière le glissement insidieux entre le Sacré et le Profane, ont dressé le parallèle saisissant entre le Médical et le Religieux, entre la soutane et la blouse blanche… à savoir comment le médecin s’est progressivement substitué au prêtre, comment la santé a remplacé le salut, comment l’hôpital a évincé l’église (le temple), comment la foi dans la Technologie a supplanté la Providence, comment le péché est devenu maladie, comment
l’hostie s’est convertie en pilule, comment les fidèles se sont transformés en patients, comment l’immortalité physique a détrôné la vie éternelle, comment la vaccination subroge le baptême, comment une panacée laborantique est censée nous délivrer de tout mal – maladie – et nous sauvera à coup sûr comme il y a deux mille ans un certain Sauveur est venu racheter les péchés du monde, etc. (cf. Karl Marx, René Guénon, Olivier Clerc…). Sans oublier la persistance douloureuse, provocatrice, inadmissible – la peste ! – des mouvements hérétiques à convertir ou à châtier, quoi qu’il en coûte… Ne vous en déplaise, saints inquisiteurs, tout est affaire de croyance, y compris la vôtre, y compris votre patascience !
Bref, une belle illustration du saint Progressisme dans son irrésistible marche / sa glorieuse ascension.

Big pharma est devenu un danger pour notre santé à tous

Avec l’avènement du transhumanisme, la déshumanisation, l’obsolescence programmée de l’humain sont indubitablement promises à un avenir radieux
Avant on créait des médicaments pour soigner des maladies, maintenant on crée des maladies pour vendre des médicaments… et tout spécialement des « VACCINS » magiques !!

La médecine a fait tellement de progrès que plus personne n’est en bonne santé, ironise à juste titre le bon sens populaire. En effet, jamais la mauvaise médecine n’aura autant nui à la santé. Comme évoqué ci-dessus, les mauvaises prescriptions et les mauvais traitements constituent la troisième cause de mortalité en Occident ! Avant le début des injections “anti-covid”, rien que les erreurs et accidents médicaux tuaient de 30 000 à 50 000 de nos concitoyens tous les ans et occasionnaient plus de 130 000 hospitalisations pour les seuls hôpitaux publics. (Oui, quand même !) Sans compter les innombrables victimes de l’antibiorésistance… À l’heure de la banalisation à outrance, ces lourds tributs figureraient-ils les « pertes acceptables » consenties par le système profito-financier mondial pour asseoir et maintenir sa domination ? Allez-vous donc reconfiner les hôpitaux – ils le sont déjà depuis des années – et développer des vaxxins anti-iatrogéniques ?!

Lorsque l’argent commande, seul le gain importe
De phénoménales rentes de situation
Guérir n’est pas rentable ! La vénalité dans le sang
Aux yeux de l’actionnariat pharmafieux, guérir n’est pas un business model soutenable. Il est devenu de notoriété publique que la vocation de l’industrie pharmaceutique n’est pas / plus / de soigner mais uniquement de réaliser du Profit (les analystes financiers l’ont relevé depuis longtemps). Pire encore… Rendre les gens malades – et les maintenir le plus longtemps possible dans cet état –, astucieusement soigner leur dépendance, adroitement entretenir leurs affections, habilement optimiser les tarifs, intelligemment réduire les coûts de production, etc. se montre bien plus profitable que de bêtement chercher à guérir les souffrants. Big pharma rentier, le bon plan ! Voilà qui explique bien des choses. Le plus terrible est que ses innombrables thuriféraires ne semblent pas même en avoir l’ombre d’un commencement de prémices d’un début de conscience.

Socialiser les risques et privatiser les profits. La médecine classique, conventionnelle, chimiocratique, techno-scientiste(*1) – soit l’exercice très légal de l’empoisonnement – s’est muée en permis de tuer et il devient urgent de la stopper, d’arrêter les coupables et de les mettre hors d’état de nuire. À chaque médecin, son cimetière dit l’adage – et les “mauvaises langues” ne sont pas en reste. Sous couvert de « médecine », depuis des décennies entièrement inféodée à la Pharmafia et allant de mal en pis, des serial-killers – morticoles, assassins en blouse blanche –, en collusion totale avec les autorités de nos pays, disposent en toute impunité de nos corps et de nos vies. De quoi faire se retourner Apollon et Asclépios dans leur Panthéon. Et Hippocrate dans sa tombe. Devons-nous égrener et vous rappeler la très longue liste des malversations, des forfaitures, des scandales thérapeutiques, médicaux, sanitaires… qui émaillent – éclaboussent ! – l’industrie vaccinale… et, au-delà, l’industrie pharmaceutique et chimique tout court (le cartel des drug-dealers), depuis plus d’un siècle(*2) ? Combien de millions de victimes ? Combien de crimes contre l’humanité ? Combien de profits avant ou au détriment de la santé ? Combien d’affaires étouffées ? Oui, il y a vraiment quelque chose de pourri au royaume de merdecine. Primum lucrum faciunt. Les dossiers noirs de la santé s’accumulent douloureusement dans une omerta et une impunité quasi absolues(*3). La pancarte est totalement noircie, le tableau est plus que plein. Il est grand temps de faire cesser le carnage et de punir les criminels !
 « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. » (Rabelais)

(*1) : Pseudo-médecine monopolistique, médecine allopathique, anti-symptomatique, pasteurienne, chimique, archaïque (basée sur des postulats erronés – la « théorie du germe »)… plus déshumanisée que jamais, perpétuelle guerrière, biophobique incurable, qui fait pitoyablement fausse route depuis plus d’un siècle.
(*2) : Pour seuls exemples : amiante, DDT… Stalinon®, Thalidomide, Distilbène®, Sida et affaire du sang contaminé, hormone de croissance, OxyContin®, fentanyl & Co (opioïdes), antibiorésistance (liée à leur abus et mésusage), Prozac®, Avandia®, Vioxx®, Mediator®,  prothèses PIP, pilules contraceptives de 3ème et 4ème génération (Diane-35®…), Dépakine®, Roaccutane®, Levothyrox, Androcur
®, grande mystification des vaxxins(**), etc., etc. – sans oublier le “business” du puissant consortium du nucléaire (atome militaire et civil). Au total, des centaines de milliers, des millions de victimes ! Que d’overdoses !!
Mentionnons ici que les principales firmes pharmaceutiques sont toutes étroitement liées à l’agrochimie, aux fabricants de pesticides, de produits chimiques et d’OGM… si elles n’en fabriquent pas elles-mêmes. Big pharma, Big food (ou Big agri), Big oil, Big army, Big tech, Big finance – soit l’Industrie de la mort, le Syndicat du crime organisé : même combat pour la prépotence mondiale.
(**) : Ainsi, question entre mille autres : comment diable se fait-il que les vaccins ne soient jamais testés contre placebo (neutre comme le sérum physiologique par ex.) – voire contre rien – mais toujours rapportés à d’autres inoculations dites “de référence” ?!
(*3) : Des exemples ?… La folie vaxxinale, justement (cf. supra), les abus manifestes et contreproductifs de nombreuses campagnes de dépistage du cancer – et leurs épidémies de surtraitements mortifères – (seins, prostate, thyroïde, etc.), la surmédication du cholestérol, etc. etc.

Et pendant tout ce temps, vos services mènent une guerre sans merci à la phytothérapie, on emprisonne les herboristes (fussent-ils docteurs en pharmacie), on mène la croisade contre l’homéopathie, on diabolise les médecines naturelles, on tape sur les compléments alimentaires, on fait la chasse à tout ce qui dépareille du giron chimio-allopathique, on censure l’information médicale hétérogène (hétérodoxe, non conventionnelle), etc. Fort curieusement, les nouveaux inquisiteurs voient à dix lieues une poussière dans l’œil des autres mais pas la poutre qui les aveugle eux-mêmes. Ils détectent une myriade de dangers mortels chez autrui, mais bizarrement aucun chez eux. Le déni, encore le déni, toujours le déni ! Une tartuferie de plus ! Hybris, lorsque tu nous tiens… [Sur cette hypocrisie, cf aussi les pages Rideau ! Bonnes urgences, Non au projet de loi ‘Protéger la santé’Dérives gravissimes de la secte G]
Qu’est donc devenue la fameuse et intemporelle recommandation d’Hippocrate de Cos : « Primum non nocere » ? Non seulement vous aussi vous ne vous êtes nullement embarrassé d’impérialement vous asseoir sur le tout premier – et fondamental – principe de prudence mais de plus vous lui avez aussi vertement craché au visage. Là où y a d’la gêne y a pas d’plaisir, n’est-il pas ?!

« Ce n’est pas les médecins qui nous manquent, c’est la médecine. »
Montesquieu (1689–1755)

Un constat qui reste cruellement fondé !

Votre fumisterie covidiote : des mesures totalement inappropriées, illégales et ruineuses

L’enfumage comme traitement… Le fiasco comme résultat
Du crime organisé – Au prix de combien de sacrifices humains ?
Lorsque le progressisme devient totalitarisme

Cela ne se comprend ni ne s’excuse

Tout ça pour ça ! Rappelons que votre politique “sanitaire” a piteusement échoué – elle ne pouvait qu’échouer – et qu’en plus elle a coûté à la collectivité nationale une fortune extravagante : 400 à 600 milliards d’euros (chiffre variant selon le périmètre considéré) !! Rien, absolument RIEN ne justifie les lois d’exception, les mesures excessives et brutales que vous avez imposées à la population. L’exact contraire de ce qu’il eût fallu faire. Vous avez tout faux ! Votre terreur sécuritaire est SCANDALEUSE et hautement CRIMINELLE de bout en bout !! Elle est une ruine pour la nation et constitue une offense à la raison, à l’éthique, à la licéité, à la science, à l’humanité. Elle est un monumental échec à tous points de vue ! De plus, circonstances aggravantes, vous savez parfaitement ce que vous faites.

Nous voyons à l’occasion de cette plandémie le pire – surtout – mais aussi le meilleur de l’humanité. La lie, comme la crème de notre modernité. Les deux s’y côtoient, parfois s’opposent, s’affrontent et même se déchirent. Du zèle suprême de votre maréchaussée très en verve – persuadée d’accomplir là une mission divine… tout en laissant généreusement parler ses bas instincts – aux délations abjectes de la part de covidiots, comme autant de collabos diligents d’une époque honteuse toujours pas révolue. Des chaînes de solidarité transgénérationnelle(s) pour l’organisation du quotidien au courage de quelques médecins (une petite minorité) n’ayant pas abjuré leur serment et de soignants ayant gardé leur dignité au risque – et au prix – de lourdes sanctions administratives et ordinales. Un livre entier n’y suffirait pas pour relater nos expériences, exprimer nos griefs, nos révoltes, nos dégoûts, décrire nos peines et nos joies en ces circonstances troubles qui dévoilent de manière abrupte la trame de notre collectivité en décadence avancée, qui révèlent avec cruauté l’essence d’une société toujours plus artificielle construite sur du sable, de l’hypocrisie, du narcissisme, du fric et du vent. (…)

Lorsque la techno-science intégriste méprise à ce point l’éthique et la sagesse, la chute est proche, l’effondrement n’est pas loin. Notre civilisation se démolit d’elle-même. Notre immaturité nous perdra. Notre vésanie nous tuera. Notre inconscience nous anéantira.

La « banalité du mal » (cf. Hannah Arendt) n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité bien factuelle. Nous aimons à penser que ce ne sont pas tant nous, individus, qui sommes malades, mais le système dans lequel nous vivons dans son ensemble et qui nous conditionne de façon draconienne et funeste. Jamais la maltraitance institutionnelle, généralisée, délibérée, systémique, des populations – qui, en catimini, sévit depuis trop longtemps, y compris sous nos latitudes et à tous les âges de la vie (dès avant le berceau et jusqu’au tombeau) – n’est apparue aussi distinctement et crûment au grand jour. Et non pas seulement dans les régions en guerre militairement. – Depuis la Révolution industrielle, nous vivons dans une économie de la Guerre continuelle. – À bas bruit, isolément tout d’abord puis de plus en plus largement, de plus en plus ouvertement, de plus en plus intentionnellement, les mauvais traitements systématisés – et le souci (!) de brimer, rudoyer, brutaliser –, l’irrespect, l’insolence, le harcèlement, la violence, soit ses corolaires directs, sont aujourd’hui (re)devenus endémiques dans nos sociétés. Partout, la pratique rencontre un franc succès et les émules sont légion. Qu’est donc devenu le respect d’autrui, le souci de l’autre, l’attention à l’autre, l’empathie, la compassion… ? Idem pour les discours pontifiants sur l’humilité, l’honnêteté, la fidélité, la moralité, la charité, la tempérance et tout le toutim. Idem pour le (soi-disant) “humanisme” cyniquement affiché par les principaux dirigeants occidentaux, terme galvaudé qui en réalité n’est plus qu’un cache-misère lénifiant, qu’un vain slogan pour dissimuler l’odieuse vérité – l’existence d’une véritable sauvagerie immanente putréfiant nos sociétés –, qu’un verbiage éculé et stérile, vide de sens et de substance, pour égarer les foules, tromper les jobards, maintenir les gogos dans l’affligeante illusion d’une communauté humaine fraternelle(*).
Oui, notre humanité est gravement malade ! Il n’y a plus ni respect de soi, ni respect des autres, ni respect de la nature. Il ne reste plus que le respect de rien… – Où plutôt, plus que le seul respect du Fric et de ses possédés fanatiques. – Et cette vacuité nous mènera loin.

Par ailleurs, tandis que les gouvernés sont infantilisés comme jamais, quelle image piteuse laissons-nous dans la psyché des enfants – les majeurs de demain – qui à l’occasion de la conchiure-19 ont découvert, souvent stupéfaits, un monde où les adultes sont puérils, peureux, irréfléchis, égoïstes – en un mot, méprisables – et où c’est à eux de défendre les “grands”, de porter sur leurs jeunes et frêles épaules la santé des aînés, le destin des plus âgés ?! Depuis quand donc est-ce aux mômes de protéger les vieux ?! L’envers de toute bienséance, le contraire de toute logique ! Un avilissement de plus !
Et pourtant, alors même que nous sommes au cœur de ce Devoir, l’on ne cesse, du matin au soir, de sottement nous rabâcher les oreilles – par de misérables incantations surfaites, par des formules creuses d’automates ! – avec le « devoir de mémoire », le « care », la bientraitance… et d’autres cucuteries du même acabit ! Le care. Le « devoir de mémoire ». Blablabla… ! Surtout prenez soin de vous ! Et blablaba… Pur subterfuge ! Mots creux ! Vidés de leur sens ! Vidés de leur essence ! Vidés de leur quintessence ! Pure mystique républicaine ! Royale FOUTAISE !!
« La mort de l’empathie humaine est l’un des premiers signes et le plus révélateur d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie. » (Hannah Arendt)

(*) : Les sentinelles de l’oubli… À l’instar de nos monuments aux morts
Idem pour la liberté, l’égalité, la fraternité, la dignité, la justice, la paix, la bonté, la bienveillance, la démocratie, la république, l’abolition de l’esclavage, le devoir mémoriel, etc. Chaque occurrence se prête systématiquement à la confection de tout un fromage dont on nous tartine à l’envi, dont on nous bassine jusqu’à écœurement. La surabondance de leurs évocations, les perpétuelles incantations, commémorations, glorifications de ces valeurs en cachent habilement la complète déliquescence. Des valeurs, en vérité, devenues bien pâles, diaphanes, volatiles… voire envolées, évanouies… disparues, le brouillard de la propagande masquant pernicieusement, perfidement, leur extinction flagrante dans notre réalité vécue, dans l’existence concrète. Entre récupération, opportunisme et marketing politique, la grand-messe républicaine qui parade en fanfare – et désespérément en rond – ne célèbre plus que des mots vides – vidés totalement de leur sens et de leur substance –, des héros devenus parfaits fantômes, des phrases devenues creuses, futiles, évanescentes, des langues défuntes rongées par l’oubli, des principes fondateurs tombés dans l’abandon comme de vieilles pièces de taxidermie exhalant la naphtaline, des reliques laïques poussiéreuses, rapiécées, piquetées, mitées, corrodées, délabrées, consumées par le temps, que l’on sort pour l’occasion et que l’on continue d’exhiber par principe, par habitude, pour faire illusion. Bref, du folklore manipulatoire et suranné. Absolument pathétique !! Lisez – ou relisez – Jacques Ellull.
– Ne voyez cependant pas dans ces réflexions un quelconque soutien aux grotesques mouvements de déboulonnage de statues en cours. L’idéologie woke et sa liturgie progressiste ne sont vraiment pas notre tasse de thé. –
La grandeur d’une civilisation se juge, en premier lieu, à sa façon d’honorer et de préserver le Vivant, à sa manière de traiter les plus faibles, de protéger les plus vulnérables, et non au nombre ou au prestige de ses monuments érigés, à la hauteur de son PIB ou aux frasques de ses dirigeants.

Relever sa manche,
c’est baisser son froc.

SILENCE, ON TUE !!
Meurtres par injections
Derrière le regard injecté des gueux, les milliardaires se frottent la panse.

Si, comme on l’entend dire souvent, « les temps sont difficiles » ce n’est pas le fruit du hasard ou de la fatalité mais c’est parce que tout simplement vous – et vos prédécesseurs – les avez sciemment rendus difficiles pour la plupart des habitants de ce pays. Les conséquences humaines, sanitaires, économiques, sociales, etc. de votre hallucinante divagation « sanitaire » s’avèrent effroyables, innommables ! Vous, vos gouvernements et les autorités sanitaires, vous portez là, devant les Français et devant l’Histoire, une responsabilité accablante, cuisante, écrasante.
Nous comprenons qu’il ait pu y avoir, entre fin 2019 et tout début 2020, une courte période d’incertitude de l’ordre de deux ou trois mois à propos du niveau de sévérité réel de l’épidémie en cours mais au-delà du mois de mars de la même année, les données internationales se montraient déjà significativement rassurantes. Cela ne vous a toutefois pas empêché de dérouler votre insensé cirque coronaviral sur trois années consécutives avec, dès le départ, votre insolente et inepte campagne vaxxinale en point de mire.
Vos abus de pouvoir sont criminels. Vos enfermements – confinements prétendument “préventifs” – sont criminels. Votre éviction des médecins généralistes de la prise en charge des covidés est criminelle. Votre interdiction des traitements efficaces est criminelle. L’absence de suivi thérapeutique des malades est criminelle. Votre obligation généralisée du port du masque, objet scientifiquement inutile, inefficace et néfaste – a fortiori pour les enfants (les premières cibles et victimes de votre folie nazitaire !) – est criminelle. Votre distanciation sociale est oiseuse pour les mêmes raisons. Votre politique d’isolement des personnes âgées en Ehpad est criminelle (non-assistance à personne en danger…) et les homicides par injection, les euthanazies forcées massives – SAUVAGES ! – à coup de Rivotril(*1), de Valium et de Midazolam par vos brigades de la mort, une épidémie de meurtres(*2) sur ordre gouvernental, un géronticide avec préméditation(*3). Votre dépistage (tests anti-covid) à grande échelle est criminel. Votre “vaccination”, forcing à une expérimentation “médicale” – plus est en population générale et en période épidémique – est criminelle. Vos paSSeports – sanitaires puis vaccinaux – sont criminels. Comme tout le reste… Autant de fautes caractérisées hautement nuisibles et scélérates pour lesquelles vous devrez rendre des comptes !
(*1) : Faut-il rappeler ici que l’insuffisance respiratoire constitue la première contre-indication du Rivotril ?!
(*2) : Des meurtres, plus est, étiquetés « covid » ! Une monstrueuse crapulerie !!
(*3) : Cf. Décret n° 2020-293 du 23/03/20 complété par celui n° 2020-360 du 28 mars 2020 signés par É. Philippe, Premier ministre, et O. Véran, ministre de la Santé. À l’image de la « mort miséricordieuse », 
l’« euthanasie par compassion » (« Gnadentod ») des nazis. Un scénario à la mesure de Soylent Green.

Combien de dizaines de milliers de morts avez-vous sur la conscience ? Combien de morts par privation de soins et abandon ? Combien d’assassinats par procuration avez-vous au compteur ? Que n’avez-vous pas fait – quel crime n’avez-vous pas commis – au nom d’une « science » devenue non-sens, pure idéologie et com’ crapuleuse ?! Et pourtant vous avez été régulièrement averti de l’inefficacité, des méfaits, de la malfaisance de cette politique mortifère ! N’y a-t-il pas, à la base, un sévère paradoxe dès lors qu’il faut intimider, menacer, criminaliser, punir… soit contraindre manu militari la population à se « protéger » (CONfinement, mââsque, couvre-feu, « règle des six », paSSeports, vaxxins…), moyennant amendes conséquentes, tellement le danger encouru, en vérité, est… faible ? Imaginez la puissance de la menace virale ! Tout cela est grotesque ! Plus c’est gros et mieux ça passe, vous connaissez la formule. Quelle erreur, d’ailleurs, n’avez-vous pas commise ? Vous avez tout fait à l’envers et en dépit du bon sens et des pratiques médicales éprouvées ! Comment peut-on se tromper autant ? Comment peut-on s’égarer à ce point ? Comment peut-on se fourvoyer si durablement dans son aveuglement et son obstination ? Comment une équipe dirigeante peut-elle cumuler tant de bourdes, tant d’erreurs, tant d’impérities, tant de fautes, tant de non-sens, tant d’incuries, tant de fourvoiements, tant d’aberrations, tant d’absurdités… à moins que cette incroyable addition d’incohérences et de stupidités ne fasse partie d’un plan cohérent, d’une stratégie occulte, d’un dessein établi ? Fichtre alors, comment peut-on, logiquement, commettre toutes ces « erreurs » sans le faire exprès ?!… Si vous nous trouvez « complotistes », seriez-vous comploteur ?

Les noms changent, les travers restent. Ce n’est toujours que l’incompétence, le mensonge et le cynisme aux commandes. Au lieu de stupidement vous arcbouter sur votre sotte ligne Maginot sanitaire – décidément, ses maréchalissimes, restés bloqués un siècle en arrière, en sont toujours aux guerres de tranchées, baïonnettes au clair ! –, réhabilitez sans délai l’Hôpital public – mis en coupe réglée, sinistré, à l’agonie(*) – ET laissez les médecins prescrire librement les solutions thérapeutiques éprouvées, même si elles ont été testées avec succès ailleurs qu’en France. Contrairement à vos injonctions terrorisantes et criminelles, ce ne sont certainement pas vos (faux) vaxxins – ni d’ailleurs les vrais vaccins –, ni même votre pauvre – misérable – pensée unique qui vont sauver notre système de santé tombé en ruine mais de vrais investissements – massifs et durables – avec du vrai argent (et non pas de la monnaie de singe), de vrais moyens, de vrais équipements, du vrai personnel, de vrais gens, une vraie gestion humaine et patrimoniale. Soit l’antithèse de la politique criminelle de casse systématique, de liquidation méthodique des services publics menée sans discontinuité depuis au moins trois décennies.
Le travail OU la santé. À ce sujet, l’exclusion – la mise à pied – sans aucune indemnisation des personnels non vaxxés est une injure à l’intelligence et au bon sens ! C’est le summum – ou l’abîme – du dogmatisme aveugle, stupide et brutal dont vous êtes un sinistre mandataire et dont vous devrez un jour, que vous le vouliez ou non, répondre en conscience.
Gardez-vous de votre théophorisme. Gardez-nous de vos mortelles illusions.

(*) : Cent mille (100 000 !) lits d’hôpitaux – avec leur équipement et leur personnel – (soit près du quart du contingent) ont été supprimés entre 1998 et 2018 alors que la demande hospitalière augmentait significativement durant ce laps de temps.
La faillite de l’Hôpital public français (ce Grand corps malade) constitue le triste résultat d’une longue série de lois malthusiennes et d’une gestion purement financière (T2A…) auxquelles vous avez (vous et votre zélé premier sinistre actuel, le burlesque, génial croquemitaine « monsieur déCONfinement »)(**), tout au long de ces dernières années, efficacement contribué y compris durant la tyrannie dite sanitaire (moins 21.900 lits d’hospitalisation depuis 2017, dont 5.700 en 2020 et 4.300 en 2021). Ces structures – dans lesquels le personnel administratif (manifestement, les soignants du futur) représente le tiers de l’effectif et où la « médecine » est devenue un seul traitement de masse, numérique, froid, technologique, où des « actes » techniques nomenclaturés ont définitivement remplacé tout soin ! – sont systématiquement engorgés, congestionnés, saturés, tous les hivers et ce depuis des lustres. Et pour cause : pour réduire l’offre médicale, des dizaines et des dizaines de milliers de lits ont disparus depuis les années 2000 (cf. ci-dessus). Économies, compétitivité et rationnement obligent. Votre politique de la pénurie planifiée porte ses fruits. Nous en constatons, année après année, l’aboutissement très prévisible : un lourd bilan humain dont de nombreux décès, en sus d’un mal-être croissant des personnels. Même un enfant sait qu’à force de trop tirer sur une ficelle, celle-ci finit par casser.
(**) : Le même balourd criminel, le même outrageux de la Nation qui, en juillet 2021, osait affirmer sans ciller, fier comme Artaban, « Les personnes qui ont deux doses n’ont plus de chance d’attraper la maladie » et par ailleurs aussi fameux inventeur-promoteur-vulgarisateur de la théorie, d’un risible tragique, du « assis/debout » pour « pour freiner Omicron » ! – À quand l’« assis/debout/couché » pour castexifier Jupiter ?! Heureusement que le ridicule ne tue pas sinon les trois quarts de la classe politicarde serait depuis belle lurette morte et enterrée. – Quelle fabuleuse chance, en effet ! Et je dodelineu. Et je dodelineu… Quatre mois plus tard, l’intrépide et invincible technocrate fut testé positif… au couillonavirus… « malgré un schéma vaccinal complet » (2 doses “officielles” / soit irrémédiablement immunisé-blindé-cuirassé jusqu’au tréfonds de l’imbécilité) ! Manquait-il en réalité à l’austère, ombrageux mollex, la 1ère, la 2e, la 3e, la 4e… la 10e ou la 100e dose pour être complètement protégé de la connerie-19 ?! S’était-il trompé de testeu ? Vraisemblablement les deux, mon capitaineu ! Verdicteu ? Débilité profon’deu !
« Les cons ça ose tout ! C’est même à ça qu’on les reconnaît. » Merci, Michel Audiard, pour la formule choc ! Et comme nous le savons à peu près tous – tous à part les intéressés eux-mêmes –, les cons, ça vole en escadrille et même en gouvernement.

PAROLES DE MAAASQUE

INÉDIT NON VU À LA TV
–  Mâââsque démâââsqué 
Ici modèle spécial compétition pour stopper Omacron
En vente dans toutes les bonnes tartuferies

P.S. : Vous aurez remarqué que ce dispositif médical ajouré est à la bouche ce que le string est aux fesses :
tous deux, chacun à sa manière, éludent l’accessoire pour préserver l’essentiel.

Les leçons – et non-leçons – de la « grippe A » [A… comme Arnaque] H1N1(*) / 2009-2010

Un fâcheux précédent réunissant déjà tous les éléments d’une criminalité crasse et délibérée de nos autorités

(*) : Parfois encore appelée (abusivement) « grippe porcine ».

Incontournable pour mieux comprendre le corona circus, un bis repetita en plus délirant encore de la plandémie de grippe A ou H1N1 (2009-2010). La répétition générale avant l’épisode covidiot du début des années 2020.

H1N1 : « Préparation à la pandémie » ou « Préparation de la pandémie » ? Selon le mot du sénateur François Autain qui a dirigé la commission d’enquête du Sénat sur cette “crise sanitaire”.
Nous suggérons même : « appel, aspiration à une grande épidémie » ou « désir de pandémie »

Déplorons une fois de plus, qu’aucune leçon globale n’ait été tirée de la plandémie H1N1 de 2009-2010 (grippe A), arnaque absolue, parfait scandale politico-sanitaire qui fit pourtant l’objet, par la suite, d’un retentissant et saignant rapport parlementaire (Sénat). Cette expertise resta toutefois lettre morte. Et cependant y était déjà sévèrement pointés : l’interprétation maximaliste du risque pandémique, le caractère fantaisiste des modèles mathématiques prédictifs utilisés – alarmistes au possible –, le rôle (déjà plus que) trouble de l’OMSS-BG(*1) (et de ses principaux autres contributeurs), l’abandon de la notion de gravité dans la définition d’une pandémie, les études dévoyées et truquées érigées en preuve, la complète mainmise des industriels pharmafieux sur les politiques de santé, les liaisons dangereuses entre les différents acteurs à l’œuvre – les innombrables conflits d’intérêts, consanguinités et liens fusionnels putréfiant ce microcosme –, le gaspillage éhonté des deniers publics, l’opacité des délibérations, la surenchère égotique des “experts”, l’emballement, et la dramatisation médiatique, la censure systémique des opinions divergentes, la délégitimation des contradicteurs, la diabolisation des opposants, le caractère arbitraire et la systématisation des mesures prises, la rapide et nette induction vers la solution vaxxinale – la vaxxination de masse – le tout couronné par le fiasco total de la campagne d’injection et du dieu toxxin associé(*2), etc., etc. Tout y était déjà mis en exergue. Qui en a tenu compte ? L’audit du Sénat (institution peu soupçonnable de complotisme – quoique…) ne date pourtant pas du siècle dernier mais de juillet 2010, soit d’il y a 11 ans à peine.
(*1) :
Cf. le rapport – extrêmement critique sur la gestion de cette crise par l’OMS et son opacité – présenté par le britannique Paul Flynn en juin 2010.
(*2) : Vaxxins développés à la hâte, déclarés péremptoirement efficaces et sans danger,
opacité des contrats avec leurs fabricants (dont un substantiel flou sur les prix d’achat), décharge de responsabilité, quantité astronomique de doses commandées, “incitations” pressantes à (se faire) injecter, déni des effets adverses graves, etc…

C’est avec un amusement dépité non dissimulé que nous vous partageons ici un extrait significatif – l’essentiel – de la circulaire signée par la ministre de la Santé et des Sports de l’époque, R. Bachelot(*) pour la circonstance. Circulaire envoyée nominativement à l’automne-hiver 2009-2010 aux assurés sociaux par voie postale :

Courrier estampillé « Stop aux virus de la grippe » [Après une telle injection – injonction, pardon – ministérielle, les virus n’ont plus qu’à bien se tenir !]

« Nous sommes confrontés, depuis le printemps dernier, au développement d’une pandémie grippale causée par le nouveau virus A (H1N1).
Pourquoi vous faire vacciner ?
Liée à un virus très contagieux, cette pandémie va probablement toucher beaucoup d’entre nous et aura des conséquences graves chez certaines personnes.
Pour vous protéger, mais aussi pour protéger vos proches qui sont peut-être fragiles, le gouvernement, sur recommandation scientifique, vous propose de vous faire vacciner contre le virus A (H1N1). Cette vaccination est particulièrement importante si vous êtes amenés à être en contact avec des personnes fragiles, des jeunes enfants ou des femmes enceintes.
La qualité, la sécurité et l’efficacité des vaccins utilisés ont fait l’objet d’une évaluation rigoureuse de la part des autorités sanitaires, dans le cadre des autorisations de mise sur le marché.
(…)

Le respect de ces indications est très important pour le bon déroulement de cette campagne de vaccination. (…) »
Fin de citation.

(*) : Roselyne Bachelot-Narquin (de son patronyme complet, si vous aviez un doute sur le personnage), pharmacien(ne) de formation, qui a passé le plus clair de sa première vie dans les cornues, les tubulures, les pipettes et les méandres de l’industrie pharmaceutique… avant de faire une brillante carrière comme sinistre(s) en tout genre (et entre autres de notre “santé”) et à tout faire – Non, les chaises musicales ne sont pas réservées aux seules rencontres familiales –… avant d’écumer, pour le plus grand bonheur des téléspectateurs, les plateaux TV.

Qui, selon cette définition extensive, N’EST PAS en contact avec des « personnes fragiles » ? Accordons une mention toute spéciale à la caution de la science™ (« sur recommandation scientifique ») – triste patascience vaxxinale ! – et à « la qualité, la sécurité et l’efficacité des vaccins[*] utilisés [qui] ont fait l’objet d’une évaluation rigoureuse de la part des autorités sanitaires [!], dans le cadre des autorisations de mise sur le marché. » Blablabla blablabla… Suivent quelques modalités pratiques et adresses locales pour se faire aiguiller, piquouzer.
[*] : Vaxxins eux aussi mis au point en un temps absolument record (quelques mois tout au plus) ! Et là aussi les “études” concluaient à une excellente protection et innocuité du “produit” (toujours selon les mêmes standards… pourraves).

Le message sanitaire délivré : Devant la menace virale, il est très important d’aller vous faire injecter pour ne pas vous mettre en danger ou pour ne pas représenter un danger pour autrui. Vous pouvez vous faire doser – inoculer – en toute confiance – les doigts dans le nez et la « fleur au fusil » –, tout est sous contrôle. Les Autorités veillent sur vous. Elles protègent si généreusement leurs ouailles !

Rappelons pour l’occasion que 323 personnes sont très officiellement décédées en France de ce virulent virus. Les deux pays les plus affectés, officiellement toujours, furent les États-Unis (3 132 décès confirmés) et le Brésil (1 705 décès confirmés). Une estimation publiée en juin 2012 fit état de 280 000 morts dans le monde, soit un chiffre se situant dans le bas de la fourchette de la mortalité annuelle causée par la grippe(*). Nous vous faisons grâce des taux de mortalité et de létalité qui se perdent, eux aussi, derrière les zéros. Chiffres, vous imaginez bien, affreusement minorés par les autorités complotistes au point même que le 16 juillet 2009, à la demande de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les pays, complètement débordés, ont abandonné le recensement des cas de grippe A (H1N1) pour se concentrer sur l’étude générale de la pandémie. Mais peut-être – à décharge pour nos autorités de santé – que par défaut de tests PCR disponibles en ces temps primitifs, les millions de trépassés “A” anticipés et – par chance ! – manquants dans ces statistiques figurent-ils, par la magie des vases communicants, dans le décompte des morts de la « grippe » classique (c’est-à-dire non H1N1)(*)… Nous ne le saurons jamais véritablement.
(*) : On estime que la grippe tue (achève) chaque année entre 250 000 et 500 000 personnes dans le monde. Entre 10 000 et 15 000 (à 20 000) personnes en France, selon les années.

Rappelons aussi que la campagne vaxxinale associée à cette grippe A a fait un flop planétaire – environ 65 millions de personnes de par le monde auraient reçu le cocktail prétendument immunisant – et qu’en France(*1), pour juguler l’effroyable pandémie, des vaxxinodromes gérés par l’Armée avaient été très sérieusement envisagés à l’époque (les décrets d’application étaient prêts)… et que des millions, des dizaines de millions de “doses” commandées sont restées sur les bras de la collectivité (pas sur ceux de la sinistre)(*2)… Merci madame Bachelot & consorts ! Vous nous remémorez que l’on peut faire beaucoup avec l’argent des assurés sociaux et des contribuables.
(*1) : En France, la campagne vaxxinale a démarré mi-octobre 2009, soit en milieu de mandat de sa Majesté Le Grand Gesticulateur du NOM (alias Sarkoléon, Naboléon, Iznogoud, poteau de boue… vous avez le choix du sobriquet)(**). Afin d’épauler les centres de vaccination, le gouvernement a appelé en renfort les médecins militaires, puis les internes en médecine ainsi que quelques 5 000 « contrats aidés ». La fin de l’épidémie est officiellement annoncée en France début janvier 2010. – En réalité, elle refluait déjà depuis un bon moment. – Mi-janvier 2010, le Haut Conseil de la santé publique estimait que 5,74 millions de personnes s’étaient faites vacciner et qu’entre 12 et 18 millions de personnes étaient immunisées contre le virus, la majorité par infection.
(**) : Cet autre – énième ! – Traître à la nation qui aura, entre autres forfaits, d’abord, 
entre 2004 et 2009, en tant que sinistre de l’Économie puis comme résident du Palais, bradé à vil prix un cinquième du stock d’or de la Banque de France (soit près de 600 tonnes), piétiné le rejet (à presque 55 %) par les Français du traité établissant une Constitution pour l’Europe (référendum 05/2005), puis, en remplacement, fait ratifier “le” traité de Lisbonne (12/2007)… tout en supprimant parallèlement le chef d’accusation de crime de haute trahison pour le Président de la République (2007).
(*2) : Pas moins de 94 millions de doses de vaxxins avait été commandées par la généreuse et prévoyante sinistre de la santé. Espérait-elle administrer des doubles ou des triples doses… ?! Toujours est-il qu’elle a par la suite publiquement regretté ne pas en avoir fait suffisamment à l’époque… Pas suffisamment niqué ou fait paniquer les Français ?

Voici, à titre informatif, un excellent résumé de cette Arnaque flandémique établi par trois lanceuses d’alerte belges incluant des éléments de la politique française et tout à fait transposable à notre pays. À voir ou à revoir sans modération aucune.
https://initiativecitoyenne.be/pages/Le_film_dInitiative_Citoyenne_autres_videos-5557725.html

Bonus track – Le virologue belge Marc Van Ranst explique dans cette conférence du 22/01/19 comment il a copieusement – et éhontément – manipulé l’opinion à l’époque du H1N1. À bon entendeur…
https://www.youtube.com/watch?v=6SAlasghO24&t=6s

Notons au passage que la gestion de cette plandémie H1N1 aura été si calamiteuse que les instances sanitaires tant nationales qu’internationales, durement écornées par leur incurie bénéficieront dans la foulée, comme par hasard, d’un thriller d’anticipation, le film Contagion réalisé par Steven Soderbergh (2011), pour médiatiquement redorer leur blason, les réhabiliter tout en préparant insidieusement les populations à une meilleure réceptivité et obéissance pour les prochaines occurrences épidémiques(*) ! Un film qui aura bien formaté les esprits et marqué de son empreinte indélébile le psychisme des masses en les préparant à accepter l’inacceptable.
(*) : Encore un film certainement commandé ou soutenu par le Deep State.

Rappelons enfin qu’il a fallu de longues années pour que les victimes de ces injections (Pandemrix, Panenza…) soient enfin entendues… Certaines d’entre elles, plus de 12 ans après, n’ont toujours pas été indemnisées. Visiblement la narcolepsie n’a pas touché que les seuls injectés !

Ce regrettable épisode dystopique des années 2009-2010 ressemble furieusement à un galop d’essai de la flandémie actuelle… à moins que ce ne fut, tout simplement, un essai alors non transformé – le canular n’ayant pas (suffisamment) pris – nous octroyant ainsi un sursis de dix ans. 

Comme le regrettait, à raison, Albert Einstein : « Le monde est davantage menacé par ceux qui tolèrent le mal, que par ceux qui s’emploient à le faire. ». Quelques années après, Martin Luther King posait le même constat amer : « Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons. ». Depuis ces témoignages, l’inconscience et l’apathie des masses n’ont cessé d’empirer encore. Quels puissants somnifères elles gobent !
Peuple sans mémoire, peuple sans avenir !

Tous vaccinés,
tous abusés

CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ

Une des nombreuses et sinistres illustrations de la thanatocratie régnante
Où le cruel – et la cruauté – le disputent au scandaleux
Au mépris de toutes les règles déontologiques et éthiques
L’humanité trahie par ses autorités politiques et sanitaires

Les Français ont majoritairement joué le jeu de la vaxxination, nous dit-on… Vont-ils maintenant devoir en payer le prix ? Et parfois le prix fort ? Tous vaccinés, tous abusés.

Mais où est l’information claire, loyale et appropriée du patient requise par la loi ? Qu’avez-vous fait du « choix éclairé » ? Qu’avez-vous donc notamment fait de l’article L.1111-4 ou de l’article R.4127-36 du Code de la Santé publique (consentement libre et éclairé, etc.)(*1) ? Idem pour la déclaration de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et son article 7, paragraphe 3, alinéas 1 et 2 ? Idem pour ce qui concerne la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), et spécialement son article 8 (qui garantit le droit au respect de la vie privée et familiale), son article 10 (qui défend la liberté d’expression et d’opinion) et son article 14 (qui interdit toute discrimination)… ?
Rappel : Le droit à la santé, tout comme le droit à l’information sont inscrits dans la Constitution.

À l’occasion de cette crise nazitaire, notre Constitution et nombre de conventions internationales se trouvent bafouées de toute part, violées sans aucun scrupule de la part de nos dirigeants… au vu et au su du pouvoir judiciaire ainsi que des (soi-disant) autres contre-pouvoirs… au point que nous pouvons à juste titre considérer que nous ne disposons plus de Constitution… donc que nous avons, en toute logique, basculé dans un État devenu totalitaire.

Dans ce registre, devons-nous également vous apprendre l’existence, ou vous remettre en mémoire la « Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen » de 1789 qui demeure jusqu’à preuve du contraire le socle de notre Constitution ? Que ces droits ont été proclamés « inaliénables » et « imprescriptibles » ? Ignoreriez-vous qu’à la même occasion une déclaration des devoirs du Citoyen fut rejetée ? Que la même Déclaration précitée compte dix-sept fois le mot « droit(s) » et seulement une fois, inscrit en préambule, le mot « devoirs » ? Que dans ce même préambule « les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considèr[e]nt que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » ?…
Sur les 17 articles que compte cette Déclaration, nous vous interpellons tout particulièrement sur les trois premiers :
Article 1er : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. Article 2 : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. Article 3 : Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. (…)
Valeurs reprises dans la Constitution du 4 octobre 1958 (Ve République) dont voici la première phrase du préambule : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 (…) » Rappelons que la même Constitution affirme notamment que la souveraineté nationale appartient au peuple (article 3), que la loi garantit les expressions pluralistes des opinions (article 4) et que le Président de la République veille au respect de la Constitution (article 5).

… Mesurez-vous bien le poids de chacun de ces mots ?… Voudriez-vous continuer de piétiner les fondements de notre Démocratie – elle l’est déjà substantiellement – et ainsi finir par ranimer la Terreur ?
Dans le même répertoire, nous vous signalons également la Charte de Biderman – et ses huit critères de torture psychologique – à lire d’urgence car il ne fait aucun doute que vous la transgressez grandement.
Vous avez promu une médecine d’État totalitaire qui viole délibérément le droit de la santé, les droits des médecins comme ceux des patients. Il s’agit là d’une transgression gravissime de l’éthique et des lois. La perversion du Droit et de la Justice au point que l’individu comme sujet du droit disparaît entièrement au profit d’une vague, indistincte notion de communauté nationale connaît de sinistres précédents. Retirer le libre arbitre à quelqu’un, c’est le déshumaniser, le réifier, le chosifier. Devons-nous à ce sujet vous rappeler, entre autres, le(s) procès de Nuremberg contre les crimes nazis à la fin de la Seconde Guerre mondiale ? Faut-il vous remémorer, pour exemple, les atrocités commises ou commanditées par les nazis sur celles et ceux qu’ils appelaient – sans ciller – du matériel humain ? N’avez-vous donc jamais entendu parler du Code de Nuremberg(*2) sur la conduite de la recherche sur des sujets humains, de la Déclaration de Genève de l’Association médicale mondiale et sa définition des objectifs humanitaires(1948), de la Convention d’Oviedo(*3) sur la biomédecine et les droits humains, de la Déclaration d’Helsinki (1964), ou du Pacte international de droits civils et politiques (article 7…) ?
À propos d’engagements internationaux… Nous rappelons également à tous les médiamenteurs complices de vos désinformations et de vos censures – et ils sont nombreux – l’existence de la Charte de déontologie de Munich (ou Déclaration des devoirs et des droits des journalistes)(*4), signée le 24 novembre 1971 dans la ville éponyme. Une carte de presse n’est pas une carte de parti. Le propagandisme n’est pas du journalisme !
Nous vous remémorons aussi la Déclaration de Great Barrington
(*5) rappelant la réalité des bonnes pratiques de santé publique en matière de gestion des épidémies publiée le 4 octobre 2020 par trois des plus éminents experts mondiaux. Déclaration qui en seulement dix jours a recueillie plus de 500 000 signatures (dont 25 000 provenant de médecins en exercice, hospitaliers et libéraux et près de 10 000 scientifiques et experts dans les domaines de la santé et de la santé publique).
Enfin, et non le moindre, nous vous signalons l’
« Appel de Rome » lancé lors du Global Covid Summit (qui s’est tenu du 12 au 14 septembre 2021) lors duquel 8000 scientifiques et médecins ont, entre autres, dénoncé « des politiques sanitaires criminelles »(*6).

(*1) : Articles ouvrant droit aux procédures civiles et pénales.
(*2) : Le Code de Nuremberg dont nous allons prochainement fêter le 75ème anniversaire et dont « le consentement volontaire » constitue le tout premier point. Le « libre consentement éclairé », principe médical éthique universel, fut reconnu en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg. Dix préceptes irréfragables y sont énoncés. Son premier article débute ainsi : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. »
(…)
(*3) : La Convention d’Oviedo, finalement ratifiée par la France, dispose en son article 2 – Primauté de l’être humain : « L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science ». Par ailleurs, l’article 5 du chapitre II (Consentement) de la même convention stipule qu’« une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ». Faut-il vous en faire le commentaire de texte ?! Vous êtes, en vérité, aux antipodes de ces engagements !
(*4) : La Charte de Munich – elle aussi bafouée sur toute la ligne – définit dix devoirs et cinq droits. Elle requiert, entre autres, de « respecter la vérité » (Article 1) et de « ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste» (Article 9).
(*5) : La Déclaration de Great Barrington : texte rédigé et signé dans la ville du même nom (USA) par le Dr Martin Kulldorff (professeur de médecine à Harvard), le Dr Sunetra Gupta (professeure à Oxford) et le Dr Jay Bhattacharya (Pr à la faculté de médecine de Stanford).
(*6) : L’« Appel de Rome ». Parmi les signataires quelques prestigieux scientifiques comme Robert Malone (l’un des inventeurs des injections à ARN messager), Peter McCullough (éminent cardiologue), les docteurs Pierre Kory, Paul Marick, Marc Wathelet, Ryan Cole, Paul Alexander, etc.

Comment TOUS ces principes fondamentaux ont-ils donc pu être violés de la sorte par les instances étatiques et supra-étatiques SANS QU’À AUCUN MOMENT les organismes de contrôle et la justice n’interviennent ?! Comment se fait-il que TOUS les verrous de sécurité soient restés totalement inopérants ? Seraient-ils tous de mèche avec le gouvernement mondial ?! Seraient-ils tout autant pourris ?!

Pour vous défausser – défiler -, vous serez bien évidemment tenté de minimiser votre implication, de reporter vos décisions sur des tiers, sur des experts, et d’opposer à la justice ce que tant d’autres criminels ont objecté avant vous : vous n’avez jamais vous-même verbalisé, exclu ou injecté quiconque en rapport aux lois sanitaires. Ce sont vos complices, par le biais d’une longue chaîne de responsabilités (et de culpabilité), qui s’en chargent et accomplissent vos décisions et vos basses œuvres. Mais, en premier comme en dernier ressort, c’est bien vous, en tant que chef de l’État qui l’avez autorisé et rendu possible.
Nous assistons, avec cette crise majeure non du point de vue sanitaire mais du point de vue politique et éthique, à la mise en lumière d’une corruption généralisée, systémique, stratifiée, inégalée. La dilution de la responsabilité dans la collégialité et le corporatisme promet en effet tous les dédouanements. Tous ceux qui trempent, ou ont trempés, peu ou prou dans la combine, quel que soit leur niveau de responsabilité – et cela représente du beau monde(*) ! – ne voudront jamais le reconnaître – certains par dédain ou par orgueil, d’autres par honte ou par dépit – et plaideront non coupable(s). Par ailleurs, ils n’ont aucun intérêt, aucune envie que cela se sache et feront tout pour cacher leur implication et entraver la vérité. Rappelons que ne rien dire, c’est consentir également. Et que ne rien faire, c’est laisser-faire.
(*) : Complicité active ou passive… à commencer par le sommet de l’État en passant par les Corps constitués, TOUTES les institutions publiques, les quatre Pouvoirs, la force publique y compris les agences de Santé (HAS, ARS, ANSM, DGS, Conseil Scientifique… académie de médecine incluse), l’Éducation nationale et l’appareil judiciaire dans leur entièreté, les Corps intermédiaires (dont les syndicats professionnels et les corporations médicales), le tissu entrepreneurial, les collectivités locales dans leur ensemble, les milieux associatifs, etc… jusqu’aux soignants, enseignants, hommes de Droit, journalistes… jusqu’aux individus bernés et aux parents d’enfants scolarisés abusés.

L’alliance sacrée dans le mensonge – Un inceste nazitaire à l’échelle continentale, otanienne, voire planétaire
Impunité totale… révoltante des criminels “sanitaires”
Lorsque pourris et pourritures se serrent les coudes
Nous ne doutons pas un instant que le « privilège du juge » soit une nouvelle fois invoqué et retenu pour disculper un maximum de collabos. À l’instar du fonctionnement de toute pègre patentée, l’entente entre les membres de la coterie covidiste, la solidarité des gangsters
covidolâtres, l’union sacrée des complices nazitaires et des criminels vaxxinolâtres, leurs aimables complaisances mutuelles sont une réalité très tangible. Je te tiens, tu me tiens… nous nous tenons. C’est ainsi que le système se noyaute, se verrouille, se cadenasse de l’intérieur, tient debout et perdure.

Évadés judiciaires comme évadés fiscaux… Responsables, si rarement, coupables, jamais. Nous connaissons la triste chanson – longue litanie – des nombreux disculpés de la French Corruption ! Une scandaleuse impunité !
Lorsque tout est contradictoire, plus rien, au final, ne l’est, pas vrai ?! De même, lorsque tout le monde – ou quasiment – a trempé dans la garbure – et est donc impliqué voire coupable (d’une manière ou d’une autre) –, plus personne en réalité ne l’est vraiment, n’est-ce pas ? Comme la nuit, tous les chats sont gris. Un arbre peut ainsi cacher toute une forêt. Alors, on ferme complaisamment les yeux. On s’arrange entre amis et on efface discrètement l’ardoise tout simplement. Comme l’ont déjà fait si souvent, dans le passé, « nos » représentants de la Nation. Ni vu, ni pris, ni connu. Parfait ! Ou alors, si l’affaire se complique quelque peu, la caste élue, sous les auspices de la magouille et de l’esprit de groupe, s’autodistribue l’absolution générale. Amnistie globale. La pendule remise à l’heure et les compteurs à zéro, une nouvelle virginité débute. L’immunité – innocence – collective retrouvée… en toute impunité… jusqu’au prochain forfait. Etc. Le tour du passe-passe ou de l’éponge magique, ça vous dira forcément quelque chose. Une pantalonnade en règle. Une fois la malversation légalisée, elle se volatilise comme par enchantement comme si elle était non avenue, comme si elle n’avait jamais existé. Un jeu qui se répète à l’infini. Plus on est de fous, plus on rit, non ? Et aux bonnes âmes de service, par gratitude, de conclure que votre régime a si bien satisfait le « bien collectif » que les crimes mêmes ont disparu… Morbleu ! quel exploit !

Cette remise en cause frontale et substantielle du sacré d’une part et d’autre part de l’héritage des Lumières et des fondements mêmes de notre nation – construite autour de l’humanisme et des valeurs de 1789 – nous alarme au plus haut point.
Avec vous, notre démocratie, comme jamais – depuis longtemps –, se rétrécit, se rabougrit, se ratatine, s’étiole, se meurt. Ambitionneriez-vous de nous diriger à la schlague ou à la chicotte ? Où allez-vous vous arrêter ? Jusqu’où poursuivrez-vous votre doxa mortifère ? Jusqu’où porterez-vous votre hystérie sanitaire ? Jusqu’où mènerez-vous votre dictature sécuritaire ? Quand cesserez-vous votre répression virale ? Jusqu’où pousserez-vous le curseur de la prééminence de la « santé publique » sur tous les autres droits des citoyens ? Jusqu’où conduirez-vous votre inique (op)pression vaxxiniste ? À quand la panthéonisation du patavax ? Quand stopperez-vous votre corona-arnaque ? Où s’arrêtera votre fureur covidiote ? Jusqu’où ira votre délire messianique ? Jusqu’où arrêterez-vous (sic !) votre totalitarisme 2.0 ? Fascisme, nazisme, bolchevisme, maoïsme, sanitarisme… peu importe en définitive son petit nom (la désignation sur l’étiquette). – Ce détail, ceux qui en subissent violemment la griserie et l’intempérance n’ont en cure. – À quand donc l’avènement promis de l’épisode Pandemy 2 ?…
Le principe de précaution érigé au rang de loi suprême. Pour une rare fois qu’un principe de prudence est véritablement mis en œuvre au niveau national, vous le portez à son point de rupture, à son paroxysme, à son inversion – à l’aversion –, à son absurdité la plus totale… et le dévoyez, le discréditez de la manière la plus radicale !

Je pense… donc je suis… complotiste !

ON N’ARRÊTE DÉCIDÉMENT PAS LE PROGRÈS !
Nous vivons une époque formidable !

UNE IMPOSTURE DE PLUS

Du reste, toute votre politicaillerie toute votre gouvernance politichonne est à l’aune de cet odieux diktat. Tout dans votre politique est authentique et immonde merde.

Détrompez-vous, aussi omniscient et omnipotent puissiez-vous être, vous ne détenez aucunement le monopole de la vérité, du savoir, de la science, de l’intelligence, de la raison, de la culture ou de l’instruction ! Nombre d’entre nous pourraient même largement vous en remontrer. Ne nous prenez pas pour des cruches. Nous ne sommes pas tombés de la dernière pluie et voyons suffisamment clair et loin dans le jeu politicard et la marche du monde pour en dégager les lignes de force et les tendances lourdes. Vous nous la faites pas. Nous ne nous en laissons pas conter. Votre entreprise de manipulation ne nous abuse pas. Vos discours, vos actes, votre comportement, vos expressions ne nous leurrent pas. Vos simagrées ne nous embabouinent pas. Vos tours de bonneteau ne nous égarent pas. Vos simulacres (de dialogue, de concertation, de démocratie…) ne nous bernent pas. Vos slogans fallacieux ne nous bananent pas. Tout, en vous, braille l’idéologie mondialiste. Nous ne distinguons que trop bien où mènent, à marche forcée, votre « Projeeet », votre « Révolution », votre « Nouveau monde », votre « pensée complexe » – ou plus justement, perverse –, votre nouvelle normalité… et leur conjonction troublante avec « la Voix de l’Avenir » et la « Grande Réinitialisation ». Vous cherchez à tout prix à nous mener en Absurdistan mais nous ne voulons pas d’une chinification de notre continent. Nous ne voulons pas de votre société de merde. Nous ne voulons pas de votre merdecine. Nous ne voulons pas de votre meilleur des mondes. Nous ne nous croyons pas au pays des bisounours. Votre agenda n’est pas le nôtre. Nous ne sommes pas dupes de votre « feuille de route », de votre arrière-ban, arrière-cour, arrière-boutique globaliste et transhumaniste [eugéniste], celle de l’Homme 2.0, votre nouveau précepte. Nous refusons catégoriquement votre programme de réinitialisation. Nous refusons votre abject chantage sur nos corps. Nous dénonçons avec force votre tentative de piratage des consciences. Nous déclinons résolument votre essai d’externalisation de notre souveraineté. Nous ne confondons pas vassalisation et émancipation. Ni crédit social et crédit mutuel ou dividende social et mutualité sociale. Ni sécurité et sûreté. Ni surveillance et protection. Pas plus que nous mélangeons traitement préventif et expérience génique.

Spécialiste incontestable de l’enfumage et de l’entubage, vous embobinez à la volée. Cependant avec nous, votre charme n’opère pas. Vous roulez d’autres dans la farine et les menez par le bout du nez mais pas nous. Nos méninges, non reformatées, restent désespérément hermétiques – non disponibles – à vos fables. Nous croyons avant tout ce que nous voyons. Votre lavage de cerveau demeure inopérant sur nous. Votre sordide greffe fécale ne prend pas sur tous. « Votre » narratif plandémique ne nous a pas contaminés. Le « penser confiné » ne nous atteint pas. La coronafolie ne nous gagne pas. Nous ne gobons pas le mythe vaccinal. Nous ne sommes pas progressifiés, wokifiés, avant-gardisés, transhumanisés. Nos neurones ne sont pas court-circuités. Nous ne sommes pas des QR Codes sur pattes ! Nous ne mangeons pas à ce râtelier. Nous ne sommes pas stockholmisés. Nous ne sommes pas sous emprise. Nous ne sommes pas plus adeptes du Faustisme que membres du genre homo cacaculottus. Nous ne faisons pas dans notre froc dès qu’un virus éternue quelque part. Nous ne sommes pas spécialement impressionnables. Nous ne sommes en rien animés de la farouche volonté de ne pas savoir. Nous ne préférons pas la conformité à la vérité. Pour nous, deux et deux font quatre. Pas cinq ! Ni trois ! Ni autre chose ! La béatitude du consentement ne nous tente nullement. Par ailleurs, nous ne connaissons pas plus l’obéissance aveugle. Votre « bien » – leur « bien » – n’est certainement pas le nôtre. Nous ne sommes pas zombifiés. La télé ne nous commande pas. Vous nous voulez « followers » mais, pour votre infortune, nous ne sommes pas « followers ». Et nous ne le serons jamais. De plus, lorsqu’on nous cherche, on nous trouve. La preuve – au cas où cela vous avait échappé –, nous la manifestons tous les samedis depuis votre plus de six mois.
Quels lamentables, quels minables, quels exécrables dirigeants nous avons là ! Quelle racaille, quelle pègre politicienne ! Nous ne nous reconnaissons plus chez nous ! Dans quel bas régime politique sommes-nous tombés ?! Quel pays détestable nous sommes devenus ! Quelle sale république bananière / sordide dictature / avons-nous laissée s’installer !
Mais heureusement nous sommes en démocratie ! rétorqueront les plus extralucides et perspicaces de nos contemporains dont la “cervelle” – ou ce qui en fait office – est saturée de plomb et de shit. Allez donc en Chine ou en Corée du Nord si vous en doutez… ! se consoleront-ils, très satisfaits(*1) de l’extrême pertinence de leur comparaison et de son pouvoir dissuasif et insurpassable. En effet, les ilotes, quel triste privilège nous avons !! Vous avez été à la bonne école. La belle société que voilà ! L’amour pour la servitude vous perdra.
Ah ! Idéal démocratique(*2), lorsque tu nous dupes ! Un idéal absolument ÉTOURDISSANT !! MAGIQUE !! FABULEUX !!
« La logique mène à tout, à condition d’en sortir. » (Alphonse Allais)
(*1) :
Et tant mieux pour eux si ces avocaillons improvisés des médiocraties se satisfont aujourd’hui de leur sort. Ils ne manqueront pas tôt ou tard de déchanter à leur tour.
(*2) : Cf. Hannah Arendt.

Faut-il, pour faire bonne fortune, viser le pire ou le meilleur ? La comparaison avec le pire se trouve être la pire des comparaisons ! Lorsque la spirale négative – la dynamique infernale – est enclenchée, l’avènement du pire ne peut jamais être exclu.

Voilà quelques réflexions qui nous animent sérieusement depuis un long moment.

PAROLES DE MAAASQUE

Tous piqués,
tous niqués

Le gouvernement par la peur, le mensonge et la corruption

L’illusion démocratique
La magouille et la tartuferie érigées en méthode de gouvernance
Comme larrons en foire, copains comme cochons

La politique – la gestion de la cité, l’organisation de l’État – ne se résume pas seulement, nous semble-t-il, à un jeu de poker et à l’art de mentir. Pas plus qu’elle ne se réduit au manichéisme ou au machiavélisme, d’ailleurs. Que penser des facéties présidentielles, des roueries monarquales, des tromperies ministérielles, des mensonges officiels, des salades dirigeantes, des esclandres institutionnels, des lubies politiques, des intrigues de margoulins, du bluff, des arguments de pure autorité, des doubles discours, des figures de rhétorique, des habiles antiphrases, des savantes calembredaines, de la technique de l’entonnoir, des euphémismes, des litotes, de l’endoctrinement, des stratégies de choc, des commandements assénés à la Pavlov, des ordres de soumission à l’autorité, des dissonances cognitives, des injonctions paradoxales, des inversions accusatoires – et même de l’inversion totale systématique de toutes les valeurs ! –, des conflits de loyauté, des logiques sacrificielles… en un mot, des fourberies du pouvoir… élevées au rang de parangon de gouvernement ? Et que dire des graves discrédits et des redoutables défiances qui en résultent ? Comment pouvez-vous prétendre détenir un blanc-seing reçu des Français alors même que vous n’avez été « élu » que par élimination, par défaut, par dépit… plus est par une minorité d’électeurs ? – Dans une démocratie digne de ce nom, détenir un mandat électif ne revient pas disposer d’une feuille ou d’une carte blanche. – Votre légitimité est tout de façade, tout en trompe-l’œil, tout en arrogance, tout en suffisance. Un dirigeant mal élu, c’est un pays mal gouverné et un peuple marri. Telle est la triste réalité.
Nous sommes tombés bien bas ! La crédibilité de la parole publique, la politique et son image, déjà amplement déconsidérées, disqualifiées, salies, souillées par des décennies – pour ne pas dire des siècles – d’égarements, de dépravations, de malversations, de prévarications, de forfaitures par ceux qui se prétendent, la main sur le cœur, les pieds joints – et la bouche en cul-de-poule, comme des enfants de chœur –, être les bons serviteurs de l’État, de la collectivité nationale et du bien commun, n’avaient vraiment pas besoin d’être encore abâtardies davantage, avilies, foulées aux pieds de la sorte ! Une vertigineuse dégénérescence que vous leur faites subir là et dont elles se seraient bien passées ! « Y a-t-il quelque chose de non pourri au Royaume de France ? » s’interrogerait aujourd’hui William Shakespeare.

Avant de poursuivre plus avant, nous soumettons à votre sagacité cette parole sans appel de Montesquieu : « Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice. »
Doit-on traiter de choses graves « par-dessus – ou par-dessous – la jambe » ? Peut-on ostensiblement aborder des questions aussi essentielles qu’une coupe claire dans les libertés publiques – et les droits humains fondamentaux – et des ingérences drastiques dans la santé personnelle et le secret médical des Français de manière aussi méprisante et triviale ? Une telle désinvolture laisse pantois. Permettez-nous, à ce propos et à titre pédagogique, de vous inviter instamment à méditer la fable allégorique d’Ésope « Le garçon qui criait au loup » ainsi que la vieille expression française : « mentir comme un arracheur de dents ». Et puis, tant que vous y êtes, plongez-vous également dans « Les aventures de Pinocchio », le roman de Carlo Collodi, et dans le conte des frères Grimm « Le Loup et les Sept Chevreaux ».

 « On ne sent point qu’on est menteur quand on a l’habitude de l’être. »
(Marivaux) (1688–1763)

Redevenons sérieux – si tant est que nous ne l’étions pas déjà – car il en va de problématiques ardues qui vont nous engager – chacun de nous et le pays tout entier – pour longtemps, pour très longtemps peut-être. Des décisions qui vont hypothéquer définitivement la santé des uns et des autres. Des choix qui vont même impacter notre avenir de façon irréversible. Le nôtre… comme le vôtre. Faites-vous donc – réellement tant qu’à faire ! – injecter autant de fois qu’il vous plaira, faites-vous inoculer tant qu’il vous comblera mais FOUTEZ LA PAIX à ceux qui ne veulent pas de vos saloperies trompeusement qualifiées de « vaccins » !! Cessez de nous poisser ! Cessez de nous pisser et de nous chier dessus ! Si les vaxxinés sont si bien protégés, laissez donc les autres tranquilles ! Nous ne voulons pas d’une démocrature fût-elle sanitaire ! Nous ne voulons pas d’une vaxxinocratie ! Et pas plus d’une nazitocratie ! Tenez-le-vous pour dit.

PAROLES DE MAAASQUE

Tous lobotomisés,
tous protégés

UNE GUERRE PEUT EN CACHER UNE AUTRE

Une guerre contre un virus ou une guerre contre l’humanité ?
Les merdias, outil de décérébration massive – Les covidiots, armes d’obstruction et de destruction des oppositions

Mister residentla guerre, votre guerre, que, sous des prétextes fallacieux, sous de faux oripeaux sanitaires, vous, le chantre déclaré de la Liberté, l’apôtre revendiqué des Droits de l’Homme, le gardien patenté du Trésor législatif et juridique, vous, le fervent cantor de l’inclusion et du vivre-ensemble, vous, le diligent serviteur du totalitarisme, menez depuis bientôt deux ans – pour ne pas dire depuis votre accession au trône –, en réalité cette guerre vous la menez non point contre un virus mais contre nous, le peuple français !
La guerre sainte – puisqu’il s’agit ostensiblement d’une guerre de religion, d’un conflit idéologique majeur – que vous nous avez déclarée – en complète collusion avec votre gouvernement et avec la complicité ou la lâcheté d’une légion d’élus, de corrompus, de fonctionnaires veules et serviles, de collabos empressés et perclus de conflits d’intérêts, de pleutres et d’indignes, d’abrutis et d’idiots utiles, de journaleux et de scribouillards grandement servis par le lamentable – et coupable – assentiment d’une vaste armée de domestiqués, de couillonavirés, de covidiots, de vaxxidiots,
de lopettes, de vannés du bulbe, de tocards, de lobotomisés, de zombifiés, de minus habens, de hubots et de golems –, cette guerre à la fois sainte et civile – et en même temps profusément néocoloniale et esclavagiste –, vous la conduisez principalement contre un peuple debout et réfractaire à votre politique mortifère et criminelle. Une politique qui, quoi qu’il en coûte – vos propres mots –, piétine nos libertés fondamentales, fracture – fracasse – nos valeurs humanistes séculaires et met notre pays gravement à genoux. De conseil en conseil, de défense en défense, de secret en secret, nos droits les plus essentiels disparaissent. Cette guerre qui fait rage est sans conteste une marche forcée vers la société de contrôle total et d’esclavagisme massif à laquelle aspirent tant vos chers maîtres et que dénoncent inlassablement ceux que vous appelez, avec une condescendance non feinte, avec une insistance gourmande, avec une morgue piquante, les « complotistes ». Gageons que ces hideux « complotistes » ne manqueront pas, dans un savant et bien ordonné glissement sémantique, de devenir tantôt dans vos propos de parfaits « terroristes ». Car aux yeux des despotes, de « complotistes » à « terroristes » il n’y a à l’évidence que l’épaisseur d’une – très hypothétique – machination.

Oui, vous avez tout compris, vous, le va-t-en-guerre, vous, le chef de gang, le roitelet d’armes, vous, le stratège de la terre brûlée, vous, le fanatique dogmatique, vous, le suppôt du gourou de Davos, le factotum de l’extrême finance, l’avatar du néo-libéralisme autoritaire, l’ingénieur du chaos social, l’agent plénipotentiaire du Nouvel Ordre Moral, le membre actif de l’internationale illibérale, the leader of the free Market, le pontifiant professeur de la globalisation, le sémillant laudateur de l’enfermement, le provax endurci, le racoleur de la Pharmafia, le diligent adorateur des inoculations expérimentales, le fifre des industriels de la vaxxinerie, l’ardent adepte et promoteur de la culture du secret, le champion toutes catégories du rationnement promis, le pourvoyeur de la pénurie et de la faillite organisée… vous, le serviteur des rupins, le fesse-mathieu des Français, vous, le commis des affairistes, le portfolio des pognonistes, l’obligé des friqueurs, la marionnette des winners, le loufiat du club des milliardaires, le grouillot des mondialistes, le janissaire du totalitarisme, le satrape du progressisme, le groom de Big Chemicals, le valet des oligarques, le fondé de pouvoir des néo-esclavagistes, l’addict techno-nécrophile, le cheval de Troie de la technocratie, le laquais du capitalisme financier, le majordome des ploutocrates, vous, l’uber lobbyiste, le V.R.P., l’assesseur, le mamamouchi, l’homme lige – le polichinelle – des saigneurs de la Terre et des voleurs de vies… dissimuler, censurer, tromper, infantiliser, amalgamer, décrédibiliser, discréditer, mépriser, brimer, provoquer, harceler, insulter, dévoyer, instrumentaliser, intimider, fracturer, racketter, stigmatiser, calomnier, diffamer, persécuter, punir, emprisonner, trahir, ostraciser, criminaliser, déshumaniser, réifier, diaboliser, brutaliser, mutiler, broyer, mortifier, terroriser, vandaliser, éradiquer, violenter, saccager… voilà l’alpha et l’oméga de votre méthode de gouvernance. Ce sont là de répugnants procédés de malfrats, des méthodes de voyous, des agissements de crapules, des machinations de salopards. – Brigueriez-vous, au travers de votre inflexibilité et votre droit-de-bottisme, un nouveau bâton de maréchal auprès de vos chers Maîtres ? – Vous disposez, il faut le reconnaître, d’un rare talent : outre celui de jeter les Français et les Françaises dans la rue, l’excellence aussi de continûment les dresser les uns contre les autres.

Chers vaccinés, Liberté

Une chierie d'insolence – Fanatisme vaxxinal

Que nous vaut, à l’aube de cette nouvelle année, ces étrennes singulières, cette chierie merdiatique, cette performance torcheculative, cette chiure d’arrogance, cette familiarité soudaine, cet honneur subit, cette solennité inconvenante, cette souillure présidentielle, cet emmerdement nul à chier ? Une reconnaissance ?… Un aveu ?… Un parrainage ?… Une dernière mise en garde ?… Une ultime sommation ?… L’avenir nous le dira. Pour le moment, votre boniment, votre défense – vos viles excuses –, ce sont les « antipass », les « antivax », les « anti-science », les « antitout » – ah ! la peste des « antitout » –, les illettrés, les amish, les illuminés, les Gaulois, les demeurés de l’Âge de pierre, les nostalgiques des cavernes, des bougies et des diligences, les réfractaires à toute amélioration de la condition humaine, les rétifs à tout progrès de la civilisation… Quand cesserez-vous de proférer des ignominies ? Quand arrêterez-vous d’asséner des stupidités ? Quand stopperez-vous vos méprisables amalgames ?

Les exactions de l’Ordre vaxxinal
Les « antivax » à la fête des anti antivax

Les salopards du covid – Le ségrégationnisme nazitaire – La morgue des puritains 3.0

Chasse en meute – Où triomphent les tartufes, à savoir la Vertu ostentatoire et les Vices cachés
De la proximité (linguistique, intellectuelle…) entre démagogues et gogues : retour express en scatologie
Vrais mensonges, fausses vérités… et indignation très sélective

Lorsque les nouveaux directeurs de conscience, les émissaires covidistes et les faussaires de la science – dont la seule compétence se trouve être l’incompétence et la seule vertu l’immoralité – hurlent avec leurs congénères

Mister Vaxxine, votre « politique » n’a rien de sanitaire. Et vous le savez pertinemment. En lançant sur nous votre complaisante inquisition vaccinaliste – votre projet fantasmatique – vous ne faites qu’afficher vos machinations… et, accessoirement, renforcer aussi notre détermination.
Vous cherchez à identifier les « masses non coopératives » – autrement dit, résistantes. Nous, nous identifions les « masses coopératives » – autrement dit, collaborationnistes.
« Tiens bon, on les aura, ces connards. » Peut-être vous souvenez-vous de ce message envoyé il y a un an à l’un de vos sinistres – subalternes – préférés… Nous reconnaissons bien là, sous ses dehors policés et mielleux, votre pensée toute subtile et châtiée.

Chasse à l’homme – La curée est sonnée – Les abjectes menées des “civilisateurs”
In nomine inquisitionis – Venez lyncher ces criminels de non-vaxxés !!
Asinus asinum fricat

Votre couverture, votre échappatoire infâme, c’est nous les capricieux, les égoïstes, les vilains petits canards, ceux qui la jouent tout perso, ceux qui sont dans le déni, les stupides, les abrutis, les crétins, les idiots, les connards, les analphabètes, les irresponsables – sur lesquels il faut cogner –, les résistants d’opérette – qui s’expriment dans la rue avec leurs pieds alors que tous les autres Français se sont exprimés avec leur cervelle en se faisant vacciner –, les agités du bocal, les pigeons conduits par des ânes, les anti-tout, ceux qui n’ont rien dans le crâne, les cinglés, les passagers clandestins, les brebis galeuses, les parasites, les cafards, ceux qui battent le pavé – par pur caprice –, ceux qui ne remplissent pas leurs devoirs, les anti-sociaux, les enkystés, les loin-de-tout, les malades, les fadas, les tarés, les platistes, les créationnistes, les obscurantistes, les paranos, les complotistes, les conspirationnistes, les jusqu’au-boutistes, les failles, ceux qui sont dans leur délire, ceux qu’il faut affamer, les délinquants, les salauds, les nuisibles, les désinformateurs, les criminels – qu’il faut foutre en taule –, les ennemis publics, les dangers pour autrui, ceux qui gâchent la vie des Français, ceux qui restreignent la liberté des autres, les extrémistes – auxquels il faut supprimer toute prise en charge médicale, les allocations chômage, les retraites… –, les terroristes, les transmetteurs de mort, les assassins, les monstres… ceux qui prennent la société en otage… ceux qui outragent la nation… ! Rien de moins, et j’en passe. Quelle sale engeance ! Sidérant de bêtise et de violence. Qui êtes-vous pour nous juger ?! Avant de chasser l’obscurantisme chez les autres, chassez-le déjà chez vous ! Regardez-vous dans une glace, les sanibans ! Qui sont les obscurantistes ? Qui sont les abrutis ? Qui sont les haineux ? Qui sont les fous ? Où est le déni ? Où est la raison ? Où est le délire ?… Votre ignominie consterne ! Nous vous retournons illico vos compliments ! Outrage toi-même !
Cet endoctrinement immonde, ce clivage ignominieux, cette stigmatisation méprisable nous rappellent tristement les heures ténébreuses et glaçantes de la propaganda nazie et stalinienne – toutes deux de forte inspiration… yankee !

Fuck all these covidiots !!

Une stratégie d’extermination sociale(*)
(*) : Osons le mot.

En dépit des assertions odieuses de nombreux covidiots et covidéments à l’encontre des réfractaires aux injections, ni le cobid ni le toxxin associé ne nous ont pour le moment terrassés. Cependant, la sélection naturelle justicière qu’invoquent les premiers nommés n’a certainement pas dit son dernier mot et l’avenir nous dira encore qui des vaxxés ou des non-vaxxés survivront (le mieux) à la flandémie. Toujours est-il que celles et ceux qui ont eu le courage de résister – contre vents et marées – à vos injections plandémiques ne sont pas les plus stupides ou les plus butés de nos concitoyens mais indéniablement les plus lucides et les mieux informés ! – Ces braves méritent certainement un meilleur sort que celui que vous leur réservez ! – Ce sinistre épisode couillonaviral est d’ailleurs révélateur de l’indigence intellectuelle et morale de nombre de nos contemporains. Symptomatique de l’allégeance stupéfiante de nos Institutions – soi-disant « républicaines » ! – aux autocrates, de la complaisance ahurissante de la presse de cour, du peu de jugeote, du conformisme, du zèle, de l’imbécilité, du cynisme, du vide sidéral, de la violence qui agite certains de nos compatriotes. Oui les charognes, c’est nous qui finirons par vous traquer et par « sortir la boîte à claques » – selon vos propres termes – pour vous « faire payer le prix » de vos injures et de vos turpitudes ! Pauv’ taches ! Fuck all these covidiots ! Allez tous vous faire foutre, bande de salauds ! Allez rôtir en enfer ! Honte à vous, tyrans et collabos !
Comme s’ils n’étaient pas, eux-mêmes, ANTI ! Les ordures, croyez bien que nous ne sommes pas près d’oublier ces qualificatifs et leurs auteurs ! Rassurez-vous, bande de crapules, nous n’avons rien oblitéré de votre lèche et de vos insultes ! Nous avons la mémoire longue, le sens des conclusions, et à force d’essuyer des torrents de haine et d’invectives, nous finissons par avoir la dent dure. Que ces petites vertus effarouchées, ces pères la morale, ces zélotes sanitaristes,
ces VRP de Big pharma, ces torquemada de l’inquisition toxxiniste, ces porte-flingues de la ploutocratie, ces enflures, ces boursouflures, ces pourritures, ces chiens enragés, ces staliniens resucés, ces coronazis, ces vaxxifascistes, ces néo-postulants aux Einsatzgruppen, ces fanatiques de Josef Mengele et consorts, ces Obersturmführoncles, ces immondices nauséabondes s’indignent déjà de leur propre indignité !
Ce que le troupeau déteste le plus, c’est celui qui pense différemment. Ce n’est pas tant l’opinion en elle-même qui le dérange que l’audace de vouloir penser par soi-même, quelque chose que le conforme ne sait pas faire, écrivait, en substance, Arthur Schopenhauer. Et puis nous nous permettons de signaler à toutes fins utiles à ces dévots outrés que l‘Histoire nous prouve nûment que l’abjection et la monstruosité se situent davantage dans le camp des obéissants que dans celui des désobéissants. Comme l’a excellemment résumé l’historien américain Howard Zinn : « Historiquement, les choses les plus terribles ne sont pas issues de la désobéissance mais de l’obéissance. » Sauront-ils seulement comprendre l’allusion ?
Les vociférations de la masse hargneuse des béni-oui-oui, des cerveaux atrophiés, des kapos et des covidéments ne sont pas près de se taire, pas plus que leurs pulsions totalitaires, populicidaires, génocidaires ne sont près de s’éteindre. Mais nous ne cèderons pas à leurs diktats. Vous n’arriverez pas à nous obliger à penser comme vous. Nous ne laisserons pas une hystérie collective et des intérêts privés avoir raison de notre santé et de nos libertés publiques. Nous refusons de nous faire dicter nos pensées et nos actions. Le nombre n’a jamais fait la vérité. Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison, vous connaissez sans doute la fameuse phrase de Coluche.

Qui nous gouvernent, si ce n’est l’extrême finance et les jusqu’au-boutistes de la globalisation avec la complicité inconsciente et malheureuse d’une pléthore de décérébrés ? L’avenir désignera plus distinctement encore à ceux qui n’ont toujours pas compris le stratagème, qui, en réalité, sont les covidiots – les dindons de la farce, les cobayes – de l’histoire. Et qui sont les coupables et leurs complices.
Dans votre stupide – inqualifiable – obsession à vaxxiner la Terre entière – et avec l’aide de vos acolytes, tout l’Univers, eussiez-vous la seringue suffisamment longue et fournie –, c’est bien nous, les non-injectés, les indociles, les insoumis, les résistants, votre cible à « emmerder », à pointer, à malmener, à vouer aux gémonies. C’est bien nous, les frappés d’anathème, les nouveaux apatrides, les promus – et promis – à une « vie de merde », les marqués du sceau de l’infamie, que vous visez avec votre « stratégie » de harcèlement continu, de persécution ignoble, nous l’avons bien compris et ce depuis des lustres – la durée de votre mandat électif. Puissiez-vous être aussi fanatique défenseur des libertés fondamentales et des Droits de l’Homme qu’enragé promoteur des injections “expérimentales”, du transhumanisme débridé et du mondialisme sauvage !

Une question toutefois nous taraude : à quand vos lettres de cachet ?… À quand donc une nouvelle opération César – le bien-nommé ? Nous voyons bien vos mouches et vos soudards tourner inlassablement autour de nos rassemblements… Mais à quand les embastillements ? À quand les ordalies de la Sainte Inquisition ? À quand notre mort donnée en spectacle et en grande livrée ? À quand votre décret royal instaurant notre lapidation en place publique ? À quand notre exécution en place de Grève, pendus sur un échafaud, suppliciés sur une roue, ou brûlés vifs sur un bûcher ? Gibet ou estrade crématoire de nature faussement séculière, érigé(e) en grande pompe (!) et allumée par VOTRE Majesté hérétique en Sa Personne !… Sachez que notre autodafé s’y trouve déjà et que nous n’attendons aucun retentum de votre part.

Il n’y a pas de liberté sans courage

SEULE LA VÉRITÉ REND LIBRE

Mister resident, pour le dire très clairement… Nous ne sommes absolument pas dupes de vos manigances. Vous surfez sur le désarroi, la résignation, le conditionnement et la misère de nos contemporains. Et puis notre pays compte aussi, hélas, suffisamment de nigauds, de godiches et de babaches – merci le piratage des cerveaux, le décervelage massif permanent et la colonisation des esprits ! – pour tolérer et, pire encore, investir des politichiens de votre espèce. Une situation pathétique qu’au plus haut point nous déplorons. Étiez-vous monarque, vous ne pourriez, à l’évidence, être que le potentat des nantis et des abrutis – ce qui revient du pareil au même tant les premiers sont ensuqués par le fric et les seconds riches de leur bêtise crasse. Quelle fabuleuse couronne vous portez là !
Entre être ou avoir le roi des Cons… Très franchement, pour nous, c’est kifkif bourricot !

La Liberté est mère des grandes réalisations humaines

Le mensonge ne passera pas par nous – Nous ne serons pas vos complices
Nous ne voulons pas d’un enfer, fût-il sécuritaire et sanitaire

Voyez-vous, votre culture n’est pas la nôtre. Nous n’oublions pas que si aujourd’hui nous sommes libres c’est parce qu’avant nous, des siècles durant, de courageux opprimés ont combattu pour leur émancipation. Nos illustres aïeuls dans la carrière nous ont appris qu’il n’y avait pas de liberté sans courage – tout comme il n’y a pas de liberté sans vérité – et nous prenons modèle sur eux plutôt que sur les zombis que nous croisons et que vous fabriquez en chaîne et commandez au doigt et à l’œil. Notre étoffe est autre. Nous sommes des individus affranchis et responsables, des êtres pensants, des singularités autonomes, des particularités indépendantes. Pas des toutous, des mougeons ou des moutruches. Pas un conglomérat difforme, acéphale et aboulique prêt à toutes les compromissions. Nous ne sommes ni téléguidés ni lobotomisés ni châtrés. Nous ne sommes pas à genoux. Nous ne sommes pas résignés. Nous sommes debout ! Et cela change tout ! Nous ne sommes pas dans le renoncement. Nous sommes dans la résistance. Nous sommes dans la recherche de vérité.

Sans vérité, sans sapience, sans choix… pas de liberté ni de moralité !

« La liberté commence là où l’ignorance s’arrête. » (Victor Hugo)
Être libre c’est être responsable, être libre c’est être conscient, être libre c’est être debout, être libre c’est être vivant
Sans sapience, sans vérité, pas de liberté

« L’ignorance est la nuit qui commence l’abîme », écrivait Victor Hugo. Bien plus avant dans le temps, les penseurs de la Grèce antique déjà nous avisaient sans circonlocutions que l’ignorance était mère de tous les maux. Et pourtant la Caverne continue de plus belle à projeter ses ombres et ses artifices – maléfices – sur les hommes. Vos paradigmes sont surfaits, erronés, étriqués, obsolètes. Nous ne progressons pas par l’obéissance. Notre civilisation n’a pas tant besoin de gadgets – comme les vaxxins – que de sagesse et de vérité. N’est-ce pas folie que de faire de la science – plus est, d’une « science » instrumentalisée, prostituée, dogmatique et intrinsèquement frelatée – sa religion ? La connaissance ne s’enchaîne ni ne se décrète. La science est une pensée ouverte, non un raisonnement fermé. Elle est un débat récursif, pas une vérité révélée ! Et lorsqu’il n’y a plus de débat (car il est interdit), il n’y a plus de science. Dans son essence même, interdire le doute, c’est interdire la science ! Devons-nous vous remémorer cette sentence première de Michel de Montaigne : « La vraie science est une ignorance qui se sait » ?! C’est aussi simple que cela : nous avons véritablement basculé dans l’idéologie, le dogme, le culte scientiste, dans la croyance, la religion… d’État (le monstre froid de Nietzsche)… Place à l’avènement du néo-totalitarisme !
Votre obscurantisme est abject ! En conséquence, nous nous défions d’autant plus de votre “science” instrumentalisée – ou plus exactement de votre pseudo-science totalitaire – que nous voyons ce qu’il advient de la discussion scientifique, comment tout contradicteur, si compétent et reconnu soit-il, est vilipendé, discrédité d’office, comment toute alternative thérapeutique est
violemment rejetée, avec quel zèle toute critique envers la bien-pensance est censurée, combien la Connaissance est subornée, asservie, dévoyée, corrompue.
Science sans conscience… vous connaissez la suite. Fort heureusement, et jusqu’à preuve du contraire – ne vous en déplaise –, ni vos volontés ni vos lois ne sont encore d’obédience divine.

Sans possibilité de choix éclairé, pas de liberté… et sans liberté, pas de moralité

Pour le dire sans ambages… La liberté ne consiste pas seulement en la liberté d’être – d’être par soi-même et, de plus, d’être potentiellement différent de son voisin ou de sa voisine – ou en la faculté de pouvoir se mouvoir à son gré, d’aller où bon nous semble, de penser, s’exprimer, etc. sans contrainte – et même blasphémer à l’occasion –, elle consiste aussi à pouvoir choisir, à disposer d’une capacité de choix éclairé, réfléchi… et respecté.
Sans liberté, la moralité est pure postiche car seule la liberté permet la moralité. Un choix qui n’est pas libre et éclairé n’est pas un choix mais une arnaque, une contrainte, une obligation, un carcan, une coercition, une malveillance. Un respect contraint est-il encore un respect ? Un remerciement contraint est-il encore un remerciement ? Quelles aptitudes de conduite morale envers son prochain peut avoir un prisonnier enchaîné, sous surveillance et sous menace permanente ? De quelle marge de manœuvre bénéficie celui qui ignore ses droits ? De quelle latitude jouit celui à qui un pistolet est posé sur la tempe ?

Liberté versus sécurité

L’Ordre et la Sécurité n’ont jamais, à nos yeux, constitués des valeurs cardinales pour une démocratie. Indubitablement, elles renvoient à des obsessions totalitaristes hélas trop connues. À vous entendre, la sécurité serait définitivement devenue la première des libertés. Elle l’aurait déclassée, voire s’y serait substituée ou l’aurait même irrémédiablement remplacée. Sornettes ! Balivernes que voilà ! Sécurité contre liberté. Quel contrat de dupes ! Votre marché est immonde ! Un chien n’est pas un loup, Jean de La Fontaine nous en instruit avec éloquence. – Sans vouloir en rien offenser les caniches, les chihuahuas, les yorkshires, les pékinois ou les peluches par exemple. – À quelle école étiez-vous ? Nous dénonçons avec la plus grande fermeté cette fumisterie, cette mystification, ce dévoiement de la pensée, cette capitulation de l’esprit et vous opposons ce mot fameux de Benjamin Franklin qui devrait sonner pour nos concitoyens comme un avertissement solennel : « Ceux qui renoncent à une liberté essentielle pour un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni liberté ni sécurité. » (1755)(*) En effet, une Nation qui place sa « sécurité » au-dessus de sa liberté est déjà soumise et à demi enterrée. C’est le propre des régimes totalitaires que de sacrifier toujours plus de libertés au nom d’une sécurité toute factice. – Si vous habitez sur la même planète que nous, vous devriez, à votre âge, l’avoir noté, ou du moins appris. –
(*) : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. » (Citation apocryphe attribuée à Benjamin Franklin).

Sécurité vs liberté (cage oiseaux)

Une surenchère permanente sans perspective de retour
Les illusionnistes ont le vent en poupe
Ah ! illusion sécuritaire, lorsque tu nous tiens tu nous crames la cervelle !

« Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent. »
(Pierre Kropotkine)

– … On n’a pas le droit, vous dites ?!
– Alors on prend le gauche !
Et même le droit ET le gauche !!

Illégal et immoral : l’état de droit abrogé au profit d’un état moral

Des leçons de citoyenneté, parlons-en
Votre réquisition de la « citoyenneté » est une imposture – Encore et toujours la religion culpabilisatrice
La « solidarité » tout comme la richesse : un ruissellement ascendant

En quoi les non-vaxxés seraient-ils fautifs ? Nous n’empiétons en rien sur la liberté des autres… fussent-ils vaxxinés et même multi-injectés, pluri-dosés, poly-inoculés – soit super blindés, archi-invincibilisés – en bonne et due forme !

Après tout ce qui est dénoncé ici, il devient plus indécent encore de nous donner des leçons de citoyenneté, de nous culpabiliser en nous serinant – à l’aide toujours de votre habituel blabla – le devoir de solidarité, l’obligation de civisme… Du patriotisme, justement, parlons-en ! De quel « patriotisme » s’agit-il lorsque nos dirigeants – économiques et politiques – cèdent des pans entiers – souvent stratégiques – de l’économie française à des puissances étrangères ? De quelle citoyenneté s’agit-il lorsque nos frontières sont ouvertes à toute la camelote du monde, à tous les mauvais vents, à tous les trafics possibles et imaginables ? De quel dévouement pour la patrie s’agit-il quand la souveraineté de la Nation est transférée par nos élites à des entités supra étatiques – parfois même contre la volonté expresse des Français attestée par scrutin ? De quel front – ou arc – républicain s’agit-il lorsque les lois-cadres engageant notre pays sont décidées hors de France par un quarteron de fonctionnaires-prévôts complètement affiliés au camp globaliste ? – Curieusement, le club des castors-barragistes, si mobilisateur, si fédérateur pour défendre la fiction démocratique et la fable progressiste, si vindicatif, si prompt à s’émouvoir et à s’offusquer des votes « réactionnaires » et « totalitaires » (des « populistes », des mauvais Français évidemment) se trouve systématiquement en pleine villégiature sur la lune (voire plus loin dans le système solaire ou au-delà) entre deux campagnes électorales… Quel dommage pour notre pays et sa fringante « république » ! – Où est passée la « solidarité » dans un monde où règne la guerre permanente – organisée en haut lieu – de tous contre tous ? Qu’est donc devenu le « civisme » dans une société profondément individualiste, égoïste, égocentrique – et voulue telle – ?…
Pourquoi devrions-nous être solidaires de nos exploiteurs ? Seraient-ils subitement devenus empathiques avec nous sans que nous le sachions ? Un pays qui compte à la fois 110 milliardaires (dont plusieurs dans le peloton de tête mondial), près de trois millions de millionnaires (3e rang mondial)… et plus de 10 millions de pauvres (soit près d’une personne sur 6) n’a plus rien d’égalitaire ou de fraternitaire. D’autant moins encore qu’en France la seule évasion fiscale et sociale se monte à plus de 100 milliards d’euros chaque année !… Non, nous n’avons rien demandé de tout cela et assurément nous ne vous devons rien. Nous ne devons absolument rien à la société dans laquelle nous vivons – une société du reste gangrenée par l’égoïsme, la bêtise et la violence, une “collectivité” que nous n’avons pas spécialement choisie et qui ne nous a pas davantage sélectionnés. Nous ne devons rien non plus à nos « concitoyens » ou « compatriotes » – à commencer par les plus sectaires et rabiques d’entre eux – et moins encore à nos gouvernants et à ceux qui nous exploitent en continu tout en nous assurant de surcroît – avec un sourire carnassier – le contraire. Votre « solidarité » n’est qu’un conte à dormir debout. Elle est le mythe d’un gauchisme décadent et crapuleux, à moins qu’elle ne s’origine dans quelque néofascisme ou néo-bolchevisme d’ascendance sanitariste. Gardez la moraline pour vous et tartinez-vous la où vous voulez mais ne nous cassez pas les arpions avec ces insanités d’un temps révolu… ou, plus justement, d’un idéal jamais atteint !

Un étrange « devoir citoyen », une nouvelle prescription morale, une « hygiène sociale » inédite, un « acte d’amour » saugrenu : l’obligation vaXXinale
La déshumanisation menée à un rythme d’enfer – Une réification du vivant tout aussi alarmante que galopante
Les véreux et les fous ont pris le pouvoir

Mon corps, mon choix

Nous vous le notifions de la manière la plus solennelle : nos corps n’appartiennent à personne d’autre qu’à nous-mêmes et nous dénions formellement à quiconque le droit de mettre la main dessus. Il vous faudra donc, pour nous vaxxer, passer sur nos cadavres. Un État qui pousse le vice, qui porte le cynisme, qui cultive la déshumanisation à ce point, qui a le culot, l’outrecuidance, d’aller jusqu’à revendiquer le droit de propriété sur ses administrés, la possession de leurs corps – et si ce n’est aussi de leurs esprits –, est pire encore que la pire des religions qui préempte ou hypothèque les âmes de ses ouailles. C’est là sans nul doute une brutocratie des plus épaisses, un absolutisme sans nom, un État totalitaire odieux, abject, un monstre de la pire espèce que tout humain, que tout homme libre, que tout citoyen digne de ce nom, que tout être sensé a, en l’honneur de l’Humanité tout entière, l’ardent devoir de démasquer, de dénoncer et de combattre sans faille et sans répit jusqu’à le briser, lui tordre le cou, lui rompre l’échine, jusqu’à l’abolir, jusqu’à l’éradiquer dans ses retranchements, jusqu’à l’anéantir dans son essence et ses velléités même.

Une médecine libre… ou bien… la médecine des cartels ?
Une vraie médecine indépendante, individualisée, humaine… ou bien une médecine d’État, totalitaire, protocolaire, procédurale, sous complète tutelle des Pharma ?

Dans une société libre, l’offre de soin est plurielle et les individus se soignent comme bon ils l’entendent. Dans un totalitarisme, la “médecine” d’État s’impose à eux dans tout son rigorisme, dans tout son arbitraire, dans tout son systématisme. Comme au bon temps des soviets ou des maos, les administrés n’ont aucune voix au chapitre. Ils doivent, leur vie durant, cotiser à une grande et officielle Sécurité Secte, organisme, en quelques décennies, complètement vidé, détourné, retourné, dévoyé de l’idée de solidarité qui l’a fait naître – devenu pompe aspirante d’une copieuse part de la richesse nationale au profit de la Pharmafia –, une société-écran qui leur ponctionne de confortables quotes-parts sur leur revenu et leur assigne ses standards sans que jamais ils ne puissent donner leur avis et moins encore émettre de préférence quant à la voie thérapeutique souhaitée ou préférée. Quelle illustre démocratie ! Ils doivent se soigner comme les doctes sanitocrates dans leurs savantes – et pas toujours désintéressées ! – élucubrations, dans leur haute estime d’eux-mêmes, dans leur vanité capitonnée l’ont ordonné. La médecine conventionnelle, scientiste, a renié toutes ses bases historiques. Sa nature est devenue totalitaire et par la même occasion, le Protocole a été promu Roi. Le médecin, longtemps indépendant dans sa pratique, souverain dans son exercice, s’est au fil des décennies transformé en fonctionnaire, en zélote du système de la « Maladie » (qui le rémunère) doublé d’un vendeur (sous emprise) de drogues pour Big Pharma (qui le commissionne). La médecine est devenue commerciale, industrielle, prescriptive, techniciste, mécaniciste, froidement matérialiste, rigide, procédurière, amputée de tout humanisme. Le soin est devenu statistique comme le matricule a remplacé l’Être. Le médicament – designé, caréné pour tomber dans l’obsolescence programmée – est devenu machine à cash. L’ingénieuse mercatique a supplanté l’innovation. La Recherche-Développement se limite désormais au seul profit. Un point c’est tout. Le bétail – pardon ! – le patient a obligation de suivre LE protocole totalitaire prédéfini et présenté comme le seul efficient. Et malheur à qui ose douter, critiquer ou contrevenir à la vénérable Norme, à la sainte Église pasteurienne ! Tout comme il en va pour le cheptel de nos éleveurs… qui court, bon an, mal an, “tranquillement”, fatalement – innocemment – à l’abattoir.
Ainsi fonctionne votre hygiénocratie qui est une tyrannie comme une autre sauf qu’elle est commandée ici par le dogme pasteurien – réductionniste jusqu’à l’escroquerie ! – de la stérilisation à outrance, y compris de sa propre population. La dictature du « Bien™ », de la « Vérité™ », de la « Sécurité™ » est une dictature comme une autre sauf qu’en l’occurrence elle est conduite par l’idolâtrie de valeurs très subjectives et personnelles imposées par une oligarchie de plus en plus décadente.
Vous glorifiez la réclusion et l’univers carcéral. Vous faites l’apologie des États-prison. Mais votre sécurité n’est qu’une chimère ! Un mirage de bêta, une hallucination de technocrate, un fantasme de scientiste !

ATTENTION !!

Ceci n'est pas la liberté (tapette à souris) - S

… C’est un piège à cons
déguisé en dispositif médical…
Et combien de ces vénérables snoc ainsi piégés ont traité ceux qui les alarmaient
contre cet odieux guet-apens d’un euphémistique « cons » si ce n’est pas de l’infamant « complotisss »,
réclamant à cor et à cri leur enfermement – et bien pire –
tout en leur livrant la guerre avec tous les noms d’oiseaux possibles et imaginables ?!
Grand bien vous fasse, les cobayes !

Lorsque le sage lui montre la lune, l’imbécile regarde le doigt.
Ils pensaient faire un festin… ils ont hypothéqué leur destin.
C’est que beaucoup ont bien vu le fromage… mais pas la tapette – et son impitoyable ressort – juste derrière.
CLAC !!! AÏE !!! PRIS.

Quel dommage !! Mais quel dommage, les benêts !!!
Et combien ne l’ont toujours pas compris ou reconnu ?!
Dire qu’il y en a même qui en redemandent ! Bigre !!
Un aveuglement stupide. Un excellent baromètre de la gravissime imbécillité ambiante/régnante.
La sélection naturelle – que ces nicodèmes invoquaient contre les non-injectés – se retourne maintenant cruellement contre eux.

Y a-t-il encore quelque espoir à nourrir pour ceux dont les mirettes débordent de bren au point de ne plus voir l’évidente évidence ?

Décidément, l’antique adage chinois n’a pas pris une ride !

– LA MORT REND LIBRE !!! –

On n’arrête vraiment pas le progrès !
QUELLE FORMIDABLE ÉPOQUE NOUS VIVONS !

Nous ne bradons pas nos libertés, a fortiori essentielles, pour une toute hypothétique – et dévoyée – « sécurité ». Nous ne lâchons pas notre souveraineté pour son ombre. Trop de protections étouffent et tuent tout autant, voire davantage, que le supposé mal qu’elles sont censées combattre. Nous ne barguignons pas. Nous sommes en état de légitime défense. Il ne peut y avoir aucun compromis avec ce qui heurte nos consciences, aucun arrangement possible avec ce qu’en notre for intérieur nous savons être inacceptable. La démocratie et la liberté font partie de nos Biens communs et notre responsabilité est de les défendre sans faillir. Désobéir en pareille circonstance devient une affirmation de justice et de probité. Une tangible expression d’humanité. En regimbant devant vos oukases, nous ne faisons que notre Devoir. Notre devoir le plus absolu. Notre devoir le plus impérieux. Notre devoir le plus sacré. Nous ne nous conformerons donc pas à votre plan machiavélique. Nous ne vous obtempérerons pas. – Et l’Ordre naturel n’en pâtira en rien. –
Nous ne sommes pas égoïstes, nous sommes simplement réalistes. Pour ce qui nous concerne, le rationnel, le bon sens, la sapience l’emportent sur les idéologies, les dogmes, les rhétoriques, les ordonnances, les commandements, la bienséance, les rituels, dès lors que ceux-ci apparaissent déraisonnables, insensés, absurdes. Nous n’avons pas pour habitude de nous adonner à la loterie, à plus forte raison lorsque celle-ci se révèle pipée et perdante. Jouer notre santé et notre vie à la roulette russe – fût-ce pour vous faire plaisir – ne nous inspire aucunement. Et pas davantage titiller la martingale. Nous excluons catégoriquement de nous prêter à une expérimentation pseudo- médicale – ou, plus précisément, à une injonction/injection de source militaire. N’en déplaise aux provax, notre corps nous appartient et notre santé aussi. Notre liberté ne s’arrête pas là où débute leur trouille égocentrique ou leur frousse existentielle. Nous respectons le « choix » de ceux qui « préfèrent » se faire piquouzer et nous leur demandons la réciproque. – S’ils sont si sûrs de vos machins – les fumeux vaxxins –, ils devraient se sentir en totale sécurité, dûment injectés et dosés, et nous ne devrions pas représenter de menace pour eux ! En revanche, nous refusons avec la plus vive détermination que ces irréfléchis, ces inconscients, ces casse-cous, ces dogmatistes décervelés, dans leur délire mortifère, entraînent les autres vers l’inconnu, si ce n’est pas vers le précipice. –
Nous ne plaçons pas la merdecine – une pseudo-médecine falsifiée et totalitaire – au-dessus de la sagesse. Ni les devoirs sociaux au-dessus des droits personnels. Comme il se doit, nous les mettons en correspondance. Lorsque le pacte démocratique est rompu, le devoir d’obéissance tombe caduc. À pouvoir corrompu, soumission complice. Relever sa manche, c’est baisser son froc. Montrer son QR Code, c’est exhiber ses chaînes. Céder à vos diktats, c’est trahir l’humanité. Vos pseudo-concepts de liberté collective, de néo-collectivisme vaxxinal, d’immunité de groupe, votre système de sauf-conduit social ne sont qu’un ramassis de fadaises, une collection d’inepties pour poltrons, pour ignares, pour pantins et pour aliénés ! Ils n’engagent que ceux pris de la folie d’y croire. Ah ! ne jamais s’écarter du troupeau !
Soulignons, pour clouer le bec à une certaine ironie qui a cours [une blague wallonne incarnée en bon “socialiste”], que quand bien même mourir libre, c’était mourir [quand même faut-il comprendre], mourir injecté – c’est-à-dire dosé, trompé, pigeonné, abusé –, c’est mourir tout autant. La mort, pour ces derniers, n’est certainement pas plus glorieuse. Peut-être est-ce même, in fine – pour avoir délibérément cherché à s’y soustraire coûte que coûte et en prime s’être fait couillonner une fois de plus –, trépasser deux fois. Ballot ! Le cassage de pipe dans la fuite… C’est comme succomber sous les tirs amis, tomber sous les balles de son propre camp… ou se faire poignarder dans le dos par un proche.
Soyez sans crainte, nous ne sommes que de passage. La vie conduit à la tombe. Nous sommes tous des condamnés à mort. Nous finissons tous par payer tribut à la nature un jour où l’autre. La mort est une étape inéluctable de la Vie. Nous sommes tous promis au grand voyage. Le trépas vient tout guérir, soyez-en assurés. La guérison ultime, définitive, la rédemption, est acquise à chacun. Nul ne fait indéfiniment la nique à la mort. Aucun mortel n’échappe à la Grande Faucheuse. La camarde n’oublie personne. Vaxxé ou pas, l’Ankou prend tout.

Ce n'est pas la responsabilité des non-vaccinés

Sans courage pas de liberté

La liberté a un prix : le courage
Plusieurs siècles déjà avant notre ère, Héraclite avertissait ses contemporains : « Le peuple doit combattre pour sa loi comme pour ses remparts ». Et à Thucydide, quelques décennies plus tard, de surenchérir « Il faut choisir : se reposer ou être libre ». Nous voilà donc de longue date prévenus. Comme chacun le sait, la liberté ne s’use que si l’on ne s’en sert pas. Elle ne s’altère que si l’on y renonce. Le grand air nous convient mieux que l’air vicié et consanguin des bunkers et des asiles. Voyez-vous, il y a quelque chose de bien pire que la mort : le joug – et tout particulièrement lorsque celui-ci s’éternise. Pour un Être libre, la servitude constitue le plus vil des sorts, la plus horrible des destinées.
Une fois de plus, nous ne sommes pas réinitialisés. Votre paternalisme d’emprunt est particulièrement déplacé et malvenu. Il schlingue ! Il flaire le fétide. Votre condescendance nous révulse. Nous ne consentons pas – et ne consentirons jamais. Vous ne nous avez pas sauvés. Nous ne vous devons pas la vie. Nous ne sommes pas à dégauchir. Nous n’éprouvons nul besoin d’être convertis ou évangélisés. Non, la liberté ce n’est pas l’esclavage. Pas plus que l’esclavage ne s’apparente – de quelque façon – à la liberté. Nous rejetons d’emblée l’Empire du Mensonge – dont votre patascience vaxxinale – et le conformisme niais qui lui tient lieu d’emballage et de faire-valoir. Nous repoussons formellement votre nouvelle normalité. Nous n’entrons pas dans votre manichéisme scélérat. Nous ne serons pas de connivence avec vos crimes. Nous ne choisissons pas entre un mensonge et un autre mensonge. Ni entre droits et devoirs. Ni entre sacrifice et santé. Ni entre la liberté (d’être) et le bonheur (de servir). La Liberté, pas plus que la Vie ou la Vérité ne nous apeurent.
Nous sommes animés par la passion de vivre. Nous laissons pantoufles et charentaises à plus aguerris en indolence, à plus versés en confortique. Ne dit-on pas que celui qui craint la mort, perd la vie ? – Il faut vivre dangereusement pour goûter au sel de la vie. Nous pesons les aléas et assumons les vicissitudes, le jeu en vaut la chandelle. Ceux qui ont peur de mourir sont déjà morts. – Et peut-être serons-nous, nous aussi, un jour, au petit matin, croqués par la fatalité, mangés tout crus par l’adversité comme le fut la brave Chèvre de Monsieur Seguin – nous courons volontiers ce risque –, mais jusque-là nous ne nous en laisserons pas conter, nous défendrons chèrement notre peau et jusqu’au bout du chemin, jusqu’au bout de la nuit, jusqu’au bout de nos forces, nous nous battrons avec la détermination d’un David – et s’il le faut comme des lions – pour rester nous-mêmes… c’est-à-dire foncièrement des êtres LIBRES, DIGNES, SOUVERAINS ! La vaillance est acte d’optimisme, de volonté, d’affirmation de sa suzeraineté. Elle témoigne de la force d’âme de son titulaire, de son endurance et de sa hardiesse dans les épreuves, elle atteste de l’étoffe de ses rêves. Un seul jour de liberté vaut toutes les prisons du monde. Nous ne sommes pas disposés – ni même faits – pour vivre en enclos. Amis, frères et sœurs en humanité, défendez-vous ! Rebellez-vous ! Évadez-vous ! Ne restez pas captifs ! Ne restez pas confinis ! Dégourdissez-vous au moins les jambes et le cerveau ! Et tant que vous y êtes, débarrez donc également ce qui se trouve entre les deux ! Ne vous laissez pas intimider ! Ne vous laissez pas voler votre souveraineté ! Ne vous laissez pas voler votre vie ! Libérez-vous ! Libérez l’entièreté de votre Être ! Réalisez vos rêves ! Affranchissez-vous ! Émancipez-vous ! SAUVEZ-VOUS !! SAU-VEZ-VOUS !!
« À cœur vaillant rien d’impossible »

La liberté n’est pas négociable !
LA LIBERTÉ N’EST PAS NÉGOCIABLE !
L A  L I B E R T É  N’ E S T  P A S  N É G O C I A B L E !

Seul est libre qui use de sa liberté

Les libertés, autant individuelles que publiques, seraient-elles les ennemis intimes de nos politichiens et de leurs apparatchiks ? De quoi l’État protège-t-il en réalité ? En vérité, que menace la liberté des citoyens si ce n’est la tyrannie en embuscade ? Nous ne nous laisserons par conséquent pas voler notre souveraineté et notre dignité d’être humain. C’est le propre de l’esclavage que de ne pas – ou ne plus – s’appartenir. Nous ne nous laisserons pas déposséder de nous-mêmes. Nous ne nous laisserons pas dérober notre destin. Nous ne voulons pas d’un enfer, fût-il sécuritaire ou sanitaire et pavé des meilleures intentions. Ni le vôtre ni celui d’un autre. Quand bien même vous annexiez la Terre entière, il restera toujours des esprits libres, des insoumis, des irréductibles pour vous résister et vous contrer. Vous aurez beau fulminer tout votre soûl, le réel – et la vérité qui le sous-tend – vous surmonteront, quoi que vous vouliez, quoi que vous fassiez.

Nous avons toujours le choix, ne l’oublions pas… fût-ce le choix fondamental entre obéissance et désobéissance, entre soumission et résistance. Fût-ce même celui de refuser l’inacceptable, l’impensable, l’innommable. De courageux résistants ne l’ont-ils pas à maintes reprises prouvé à travers l’Histoire ?
« À mouton docile, loup glouton » prévenait, excellent connaisseur en prédateurs bipèdes, Alexandre Soljenitsyne. Nous ne sommes ni moutons – de quelque couleur – ni dociles – de quelque façon – et nous nous défions davantage des moutons que du loup.
La liberté nous est tout aussi essentielle que l’air que nous respirons et à l’instar de ce dernier l’on ne s’en aperçoit véritablement que lorsqu’elle vient à manquer. Je ne vous ferai pas allégeance. Nous ne vous ferons pas allégeance. Nous n’avons pas la propension à courber le front. Et moins encore l’échine. Nous ne sommes pas des faibles d’esprit. Nous ne sommes pas descendants de Gaulois et Francs pour rien. Votre chemin n’est pas le nôtre. Vous faites fausse route. Nous sommes des insubordonnés, pas des subordonnés. Vous n’aurez pas notre assentiment. Nous ne sommes pas normopathes. Nous n’avons pas à être protégés de nous-mêmes. Passez votre tour. Nous ne sommes pas vos vassaux. Vous n’êtes pas notre suzerain. Nous ne sommes pas votre cheptel. Nous ne sommes pas du bétail. Nous ne sommes pas à sanitariser. Nous ne sommes pas des cobayes. Nous ne sommes pas des rats de laboratoire. Nous ne sommes pas au service de l’État. Ni à celui de l’économie et pas plus à celui de Big pharma. Nous ne reconnaissons en rien sa-majesté-coronavax pour notre dieu et notre sauveur. Ni ses comploteurs ni ses instigateurs. Ni ses cornues et ses pipettes. Ni ses mules et ses mulets. Et pas plus ses crottes ou son crottin. Nous ne nous sacrifions pas même pour les beaux yeux de la grande armée des vaxxinators ou pour les dividendes de vos actionnaires ou pour le retour sur investissement de vos amis fabricants de doses. C’est tout dire. Nous ne sommes pas vos choses, mister resident, nous ne sommes pas vos objets, nous ne sommes pas vos jouets, nous ne sommes pas vos ouailles, nous ne sommes pas vos sujets. Nous ne vous appartenons pas. – Du reste, nous n’appartenons à personne. – Nous ne sommes ni à acheter ni à vendre ni à annexer ni à upgrader. Nous ne sommes pas des machines. Nous sommes des êtres émancipés d’essence humaine et nous entendons le rester. Gardez donc vos instructeurs pour vous ! Nous sommes nos propres souverains et n’avons besoin de personne pour nous régenter, pour nous notifier ce que nous devons penser – ou ne pas penser –, faire – ou ne pas faire –, dire – ou ne pas dire.
Nous ne consentons pas à nous faire empoisonner. Nous ne permettrons pas la corruption de notre sang. Nous ne nous prosternerons pas devant votre veau d’or – fût-il vaxxinal et post-humain ! Pas plus que nous nous prostituerons pour vos injections – armes biologiques – transgéniques funestes. NOUS NE LAISSERONS QUICONQUE DISPOSER DE NOS CORPS ET DE NOS CONSCIENCES.

La liberté guide nos pas

Il n’y a pas de Liberté fondamentale sans un peuple libre et éclairé !
Sans un peuple libre de penser ! Sans un peuple libre de s’exprimer !
Sans un peuple libre de vivre ! Sans un peuple libre de choisir son destin !

NOS CORPS NE SONT PAS EXPROPRIABLES !
Un totalitarisme, fût-il sanitaire,
vaccinal, technologique, numérique, sécuritaire…
reste obstinément UN TOTALITARISME – dont il partage toutes les caractéristiques dominantes !!

SEULE LA VÉRITÉ REND LIBRE

Des supposés « citoyens » à qui l’on exige un paSS – sanitaire d’abord, vaccinal ensuite – pour pouvoir vivre ne sont plus ni citoyens ni libres : ils sont esclaves ! Ils ont aliéné leur intégrité contre un mensonge. Ils ont vendu leur âme pour une chimère. Un système politique qui impose de telles contraintes à sa population n’est plus une démocratie mais une tyrannie !
Nous refusons votre daube. Nous ne voulons pas d’un 4ème Reich. Nous ne pactisons pas avec le diable. Votre projeeet n’est pas le nôtre. Votre essentiel n’est pas le nôtre. Votre Orient n’est pas le nôtre. Vous ne nous piraterez pas. Nous n’entrerons pas dans la matrice. Nous n’échangerons pas notre liberté contre de la sécurité. Nous ne sacrifierons pas notre humanité pour un peu de sûreté. Nous ne troquons pas de l’or contre du plomb. Ni la proie pour son ombre. Ni un tien contre deux tu auras. Nous n’avons aucun penchant pour l’esclavage. Rien que le bruit des chaînes nous insupporte. De la servitude nous en rejetons jusqu’à l’idée même. Nous avons le besoin impérieux de déployer nos ailes, d’exercer notre volition, de vivre nos rêves. Seule la vérité rend libre. Et « quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie ». (Jacques Prévert)
Raison fait force de Loi. 
Il est du devoir de chaque citoyen de combattre pour la liberté collective. Nous ne plierons pas. Nous ne capitulerons pas. Nous ne nous laisserons pas coloniser. Nous ne nous coucherons pas. La liberté est un combat de tous les instants. Nous ne fléchirons pas. Nous resterons debout même si tout autour de nous vacille et s’écroule. Nous ne déconstruisons pas l’Histoire, nous la faisons. Nous sommes nés libres et libres nous resterons jusqu’à notre dernier souffle. Nous ne nous imaginons pas autrement que libres. Rentrer dans le rang ou s’effacer de ce monde n’est pas dans notre nature.

Est-ce suffisamment clair ?!

Très simplement, en des termes plus généraux…
mister Vaxxine, mister resident, signore Defekator,

Rendez aux Français(es) la Démocratie et leurs libertés publiques comme privées !

LES DROITS HUMAINS SONT SACRÉS.
NOTRE LIBRE-ARBITRE EST INALIÉNABLE
ET LA LIBERTÉ, UNE ET INDIVISIBLE.

Nous vous le signifions ouvertement au moins tous les samedis depuis la mi-juillet 2021. Ne vous en déplaise, la démocratie n’est ni optionnelle ni négociable. Les Droits de l’Homme et du Citoyen ne sont pas un supermarché dans lequel vous faites vos emplettes au gré de vos lubies. Les Droits naturels et les Conventions internationales ne sont pas des vieilleries à reléguer au musée des curiosités éteintes ou au rayon des doctrines surannées. Leur légitimité n’est pas activable ou désactivable selon vos caprices du moment. Et la liberté – a fortiori les libertés fondamentales et publiques –, la souveraineté et la dignité humaine ne sont pas – du moins pour nous – un sujet de plaisanterie et de divertissement… et moins encore un objet de chantage et de rétorsion !

Au secours ! Pétain est de retour !

Le fascisme nouveau est arrivé
Années 1940 – Années 2020
Une différence de degré, certes, mais pas de nature

Affiche Pét_ Inadmissible de placer

TAISEZ-VOUS et OBÉISSEZ !!!
Le papier jaunit. Pas la tyrannie.
Pas la propagande.
Pas les intimidations, pas les injonctions, pas les commandements… Pas le totalitarisme.
Comme il en va pour l’histoire des clous… un pétain/pékin chasse l’autre.
Les temps se suivent et se ressemblent.
« Obéir c’est trahir,
Désobéir c’est servir »
Sans autre commentaire

STOP ! IL SUFFIT ! CELA A TROP DURÉ ! VOS OUKASES S'APPARENTENT AUX CAPRICES D'UN ROITELET DE PACOTILLE.

Votre arrogance vous précède de cent lieues. Respecter autrui, c’est aussi se respecter soi-même. Que respectez-vous, qui respectez-vous, mister Vaxxine, hormis le fric – le nerf de la guerre –, le pèze, le flouze ? Ah ! la formidable puissance attractive du grisbi !! Un tropisme incoercible !

Vous qui, en vertu de votre haute et noble extraction, vous estimez d’étoffe supérieure au point de vous accroire légitime pour octroyer le droit de vie et de mort selon votre bonne fantaisie… regardez-nous bien en face, nous la piétaille, les tricards, les assignés à résidence, nous les bagnards, les forçats de la croissance, les résistants à la colonisation, les irréductibles de la globalisation, nous les déchus, les damnés de la terre, nous les méprisés jusqu’à l’infini ! Vous n’êtes pas sans connaître les jugements de cour et leur partialité douteuse, n’est-ce pas ? Il se trouve, figurez-vous, que nous aussi. Le baudet n’a déjà que trop encaissé ! Nous avons bon dos, nous le petit peuple, les gens de peu, les gens-d’en-bas, les sans-grades, les gueux, les montrés-du-doigt, les essentialisés, les humiliés, les ploucs, les beaufs, les pauv’cons, les écartés-de-la-vie, les loosers, les sans-dents, les sans-voix, les fainéants, les abrutis, les substituables, les invisibles, les inutiles, les nuisibles, ceux qui coûtent, les manants, les sans-le-sou, les croquants, les traîne-misère, les pouilleux, les va-nu-pieds, les infréquentables, les bons-à-rien, les vauriens, ceux qui ne sont rien – les riens tout court, et même semblerait-il les moins-que-rien… Dans l’attente d’un salutaire – libérateur ! – coup de sabot de la bête de somme malmenée à son régent tortionnaire(*)… à quand donc le tour du crevard, voire du… golem ?

(*) : Les ânes ne sont pas si bêtes. Patiente, la Mule du pape avait su attendre sept ans. Sept ans que son sabot lui démangea. Sept ans durant lesquels elle contint sa revanche. Sept ans à ronger son frein. Sept ans à ruminer sa vengeance. Sept ans à garder, émoudre, renforcir et tremper sa rancune. Le galopin, pourtant, ne perdit rien au change. Quel coup légendaire elle lui détacha ! Un coup de sabot si fulgurant, si terrible, si foudroyant… que bien que cette histoire se déroulât il y a fort longtemps déjà, l’Étoile polaire s’en ressouvient aujourd’hui encore… Ainsi en alla-t-il en Avignon à l’époque bénie du bon Boniface. Depuis les temps ont changé, certes, mais pas les mœurs des polissons, des gredins, des malotrus et des malandrins… ni le calvaire des braves gens. Aussi, toute ressemblance avec la réalité…
Mais, à tout bien considérer, qu’y a-t-il donc de fortuit en ce bas monde ?!

« L’ordre par le chaos » – Le jeu du repoussoir et de l’ostracisation
Des victimes expiatoires (cf. René Girard)

Revenons à nos moutons… – le bestiaire n’est pas clos –
Panurge les conduit habilement. Certes, la main qui les dirige sait manœuvrer et se faire passablement discrète mais il est patent surtout que les benêts sont bouchés à l’émeri et qu’ils y voient jamais que dalle. Le formatage des esprits opère à la perfection. Le coin – le germe de la nigauderie – s’enfonce jusqu’à la moelle de la candeur. – Une vieille affaire, la recette est usée jusqu’à la corde ! La sempiternelle dualité. – Bons citoyens contre mauvais citoyens, obéissants contre désobéissants, utiles contre inutiles, bienfaisants contre nuisibles, vaxxés contre non-vaxxés, vertueux contre complotistes, humains contre inhumains, progressistes contre régressistes, productifs contre improductifs, autochtones contre étrangers… la logique est claire, votre tactique s’avère des plus éculées. Elle se résume en toute limpidité – et pour garder les références latines ad hoc – au « divide et impera », aux « reductio ad paucos », « reductio ad unum » puis « reductio ad nullum » sur fond de l’inévitable – et pulvérulent – « reductio ad absurdum ». Et surtout pas de vagues ! – Circulez, y’a rien à voir ! – Voilà votre plan. Il est galvaudé. Ultra-galvaudé.
Et lorsque demain, après nous avoir privés de citoyenneté et condamnés à la mort sociale, comme par enchantement, vous nous aurez invisibilisés, faits disparaître du paysage, exterminés, réduits à néant comme vous en avez le secret, enterrés vivants, pulvérisés, gazéifiés, vaporisés, atomisés – par décence pour ses millions de victimes, nous vous épargnons le NN, une abominable tragédie, l’horreur absolue commise par de véritables monstres contre le genre humain –, à qui alors attribuerez-vous la faute de votre incurie ? Qui allez-vous alors « emmerder » ? Sur qui jetterez-vous votre funeste dévolu ? Sur qui alors cracherez-vous votre fiel ? Vers qui tournerez-vous alors vos exactions ? Qui seront, sur votre liste, les importuns suivants à abattre ? Qui seront, sur votre auguste chemin, les prochains fâcheux à dégommer ?

Ne mésestimez pas la puissance des mots. Vous en jouez allègrement et ils pourraient finir par vous brûler et vous consumer jusqu’à l’os. Il n’y a pas seulement que des paroles en l’air. Il y a surtout des intentions formulées à haute voix. La langue est un feu, met en garde une épître. Les mots peuvent tout. C’est leur magie. Avec des mots, l’on peut édifier des écoles, des routes, des ponts, des hospices, des logis, des cités, des jardins, des théâtres, des palais, des sanctuaires, des temples, des cathédrales… mais aussi, et là réside votre grande virtuosité, construire des murs, des prisons, des ghettos, des citadelles, des paradis fiscaux, des casinos, des palaces, des emmerdodromes, des galères, des bagnes, des lapidariums, des mouroirs, des bûchers, des tombes… en complément évidemment de tous les engins de combat pour mener à bien vos guerres hybrides, ouvertes ou larvées. Les mots peuvent dégénérer en maux, nous le savons tous. Une antique maxime nous avise qu’au travers de nos pensées, nos paroles et nos actes, de manière irréversible, forgent notre destin. Ce dernier se chargera de vous retourner et votre verbe insultant et vos manigances coupables. Gardez donc vos invectives et votre superbe pour vous. Vous êtes la risée du peuple libre. Poursuivre vos outrages vous retire le peu d’honneur qu’il vous restait à ce jour.

Il n’y a pas de liberté sans vérité

Jusqu’où faudra-t-il que monte la colère légitime du pays pour qu’enfin vous l’entendiez ?

Rupture du contrat de démocratie, rupture du contrat républicain et rupture du contrat social
La paix ne peut s’acheter

Point pourtant n’est besoin d’être grand clerc ou expert en heuristique pour prédire – en paraphrasant le titre d’un célèbre livre – que lorsque les masses silencieuses – toutes les inimitiés, les frustrations, les rancœurs et les colères accumulées en leur sein – se réveilleront – si elles se réveillent à temps(*) –, le pouvoir tremblera.

(*) : De la société de consommation à l’escapisme et aux paradis artificiels. Des camés et des cramés. Shit à volonté.
D’où, d’ailleurs – et cela n’est pas une digression inutile –, pour éviter une telle insurrection, pour devancer un tel soulèvement, tout l’encouragement et le succès de la florissante économie (licite comme illicite) de la sédation (la camisole chimique) et du jeu (la camisole psychique), le nouvel opium du peuple, le panem et circenses des Romains. Du soma à gogo ! faisant de la France, paradoxe pas si étrange, le pays par excellence des tranquillisés et des shootés. Une docilité confondante, renversante, qui fait peine à voir et qui n’honore pas l’humanité. Chimiocratie, ludocratie, tittytainment quand vous nous tenez, les Paradis artificiels nous ouvrent grand leurs bras et nous sourient bright de tout leur laudanum ! Ah, la tyrannie a de l’avenir ! Vite, ma dose ! Bad trip. Very bad trip.

Quand l’injustice devient loi, la résistance devient un devoir, vous connaissez l’adage.
Le constat n’est pas nouveau. Antigone, dans la tragédie grecque de Sophocle, déjà nous y invite. Face au despotisme – fût-il “éclairé” –, la révolte devient un impératif. « On n’est tenu d’obéir aux princes séculiers que dans la mesure requise par un ordre fondé en justice. Et c’est pourquoi, si les chefs ont une autorité usurpée, donc injuste, ou si leurs préceptes sont injustes, leurs sujets ne sont pas tenus de leur obéir, sinon peut-être par accident, pour éviter un scandale ou un danger. (…) » écrivait saint Thomas d’Aquin. Ce principe figure d’ailleurs aussi dans la Constitution du 24 juin 1793 – complétant la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 – qui stipule expressément dans son article 35 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. En ces circonstances dramatiques, ne pas s’insurger constitue donc une faute. Mahatma Gandhi, au siècle dernier, l’affirmait et l’illustrait à sa manière : « La désobéissance civile devient un devoir sacré quand l’État devient hors-la-loi ou corrompu ». Albert Einstein dira « Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l’État te le demande ».

Il ne peut y avoir de paix sociale sans justice sociale.
Ça rue, ça gronde et ça grogne dans les chaumières, au cas où vous ne le sauriez pas… Mais vous n’avez cure des alertes qui fusent de toutes parts.
Vos grossières diversions, vos manœuvres dilatoires, ne feront que retarder votre échéance. Intriguer et spéculer – sans doute un vieil atavisme -, simuler et dissimuler, diviser pour mieux régner, cliver pour opposer, fragmenter pour isoler, voilà des procédés éculés qui vous définissent remarquablement. À qui profite le crime, mister resident ? Vos discours aux relents électoraux ne nous mystifient pas. Vos accents d’extrême centre ne nous entortillent pas. Dresser les Français les uns contre les autres vous évite surtout qu’ils ne se soulèvent conjointement, et à bon droit, contre vous ! Pour de basses raisons de politique politicienne, pour parvenir à vos petites fins électorales, éhontément et avec un cynisme glaçant et criminel, vous tentez d’occulter vos échecs – patents, cuisants – en détournant, tel un bateleur de foire, l’attention des concitoyens pour la focaliser sur nous, les « antipass », « antivax » et autres « antitout ». Pourquoi, vil démagogue, vous évertuer avec tant d’acharnement à nous faire porter votre chapeau de despote ? À nous désigner à la vindicte publique ? Comptez-vous transformer chaque inoculé en soutien indéfectible ? Vous prenez un consentement arraché de force pour une adhésion spontanée, libre et pleine. Êtes-vous maboul ou juste malhonnête ? Verriez-vous dans le « succès » de la campagne vaxxinale, un plébiscite à votre endroit ? Espéreriez-vous secrètement que l’armée des injectés-décérébrés – à leur bienfaiteur, à votre bravoure reconnaissants – et le non moins vaste contingent des injectés-contraints – vaxxés à leur corps défendant – vous remettront en selle pour un nouveau tour de manège ?… Avec une licence indécente, avec une vergogne sans borne, vous nous prenez en otage. – Et je n’ose imaginer un autre scénario… – Perché sur votre impudence insensée, non seulement vous nous mettez crapuleusement au ban de la société, mais, de plus, vous attisez et canalisez sciemment l’agressivité sociale sur nous en nous présentant indûment comme des boucs émissaires. Vous nous stigmatisez. Vous nous employez comme boucliers vivants. Vous vous servez de nous comme l’on brandit un repoussoir. Qui escomptez-vous contenter ainsi avec votre immonde incitation à la haine ?

Mister resident, tout cela est totalement indigne de vos fonctions !

Vous ne cessez de parler au nom des Français mais vous n’avez toujours que votre ego à la bouche !

Gardez-vous des petits qui se voient grands ! dit un adage. Et le fabuliste de prévenir : le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages que la grenouille. Combien de fats en effet, combien de majestueuses grandeurs, à force d’inconsidérément se vanter, s’enfler, se gonfler, se gondoler, se bomber, se bedonner, se dilater, se boursoufler, se forcir d’hybris, se bouffir d’emphase et d’arrogance… et sans retenue aucune se faire mousser, ont déjà, tels de vulgaires ballons de baudruche, à la face du monde, avec fracas piteusement… PAF !!! éclatés – voire parfois implosés – dans un grand vent nébuleux ? Envolés dans une désintégration aussi comique que cosmique. Disparus comme une triviale enflure sans laisser de traces hormis l’image de leur pathos et la vacuité de leur démesure !
Les Français n’ont nullement besoin d’un monarque. Nous avons déjà connu, avant vous, un Roi-Soleil et même plusieurs empereurs – sans parler des autres despotes et tyranneaux peu ou prou passés à la postérité… ou à la trappe, et sans même évoquer davantage un certain souverain de la lignée des Bourbons – un de la série des Louis, le 16e, Louis Capet de son nom civil, si mes souvenirs sont exacts – qui perdit sa tête – qui fut durablement tranchée, radicalement séparée de son tronc… – et pour des méfaits moindres que les vôtres. Par conséquent, ne vous inquiétez pas outre mesure, l’on viendra encore, conformément à vos vœux, en temps opportun vous chercher – vous mander, pour être exact – pour qu’enfin vous puissiez, vous aussi, rendre les justes comptes que vous devez à la Nation.

L’Histoire, vous le savez pourtant, est pleine de chausse-trapes. Nous craignons que, dès le départ, quelque chose vous ait, à vous aussi, malencontreusement échappé… Assurément, vous n’êtes qu’un imposteur ! Oui, il s’agit là, nous semble-t-il, d’une terrible méprise de votre part… Rappelez-vous seulement des circonstances de votre intronisation “surprise”… Et puis, vous vous voulez grand, en effet, alors qu’en réalité vous êtes petit, tout petit, minuscule, ridicule. Chétif, malingre, diaphane, inconsistant, insignifiant même. Votre envergure eu égard aux nécessités de La fonction ? Soyons francs : vous êtes un prodigieux néant devant l’Éternité ! – comme, du reste, vos six prédécesseurs immédiats. Votre notoriété ? Des actions en capital… mais, bien plus sûrement que dividendes, coupons et bonis, rien que vent sec, sable et poudre aux yeux. Stratège ? Vous vous rêvez Empereur… Mais regardez-vous donc en pied. Dame ! ne voyez-vous pas que vous n’êtes qu’un coquelet encanaillé, qu’un godelureau en carton-pâte, qu’un petit chefaillon factieux pétri de morgue et enflé d’orgueil. Votre empire n’est que vanité, illusion, tyrannie. Vantard, bravache, vous voulez rivaliser avec les dieux alors même que vous n’arrivez pas aux semelles de ceux que vous défiez… Ah ! votre audace ? Elle se limite, pour tout fait d’armes, à vous montrer fort avec les faibles, et faible avec les forts ; intransigeant avec les humbles, complaisant avec les puissants ; rogue avec les pauvres, affable avec les riches ; charmant avec les grands, chien avec les petits. Le code du déshonneur accompli. Quelle hardiesse que voilà !… Magnanime ? Agioteur virtuose, vous jouez à vous prendre pour Chronos, le maître du Temps, en vous évertuant en tant que bon seigneur – pensez-vous – à régler nos vies entières sur votre tempo, sur votre partition, sur vos exigences, sur vos impératifs – ou, plus exactement, sur les oukases de vos puissants commanditaires et actionnaires. Que connaissez-vous au fait, vous dans votre haute tour d’ivoire, de la temporalité, de sa substance, de sa saveur lors qu’à ses pieds votre peuple, qui se paupérise de jour en jour, s’étiole et se meurt faute de subsistance ? Que jour et nuit il doit trimer pour espérer seulement survivre… Grandiloquent – le pompon ! –, vous ne manquez certes pas de culot – et surtout de ridicule ! – quand vous vous mesurez à Zeus… Si jusqu’alors vous n’aviez jamais éprouvé sa foudre, enduré sa colère ou subi son courroux, votre bonne fortune pourrait bien tourner – court – un beau jour… Pathétique, vous ambitionnez de tutoyer le Ciel et de toiser l’Olympe. Le Ciel, qui a déjà balayé maints empires comme fétu de paille, vous pulvérisera sans peine aucune vous aussi à votre tour. Vous rêvez d’immortalité mais jamais vous n’en connaîtrez la teneur. Jamais vous n’en goûterez la grandeur. Jamais vous n’en aurez les honneurs. L’Olympe ne manquera pas de vous remettre, tôt ou tard, à votre juste place de petit mortel arrogant et fourbe… c’est-à-dire pas même dans la poubelle de l’Histoire mais directement dans les limbes, dans l’inanité, dans le non-être, dans l’incréé, dans l’impensé, dans le rien, dans le Néant. La plus petite des petitesses, c’est la vanité, écrit fort à propos Victor Hugo. L’Histoire vous rattrapera. Le Destin se chargera de vous rendre la monnaie de votre pièce… avec possiblement un petit malus réglementaire en sus de vos charges et de la pléthore de forfaits à votre passif… De mémoire d’homme, la préséance est réglée, immuable. La Renommée vous effacera. Le Temps vous oubliera. Et l’Éternité ignorera jusqu’à votre existence même.

« Le véritable exil n’est pas d’être arraché à son pays ;
c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. »
(Edgar Quinet) (1803–1875)

LA MERDE DIRIGE LE MONDE

La guerre pour seul programme – Voudriez-vous ressusciter la Terreur ?
Moi ou le chaos !
Polémocratie

Oui, le merdeux, c’est bien vous ! Le goujat, c’est vous ! Le délinquant, c’est vous ! L’occupant, c’est vous ! Le belliqueux, c’est vous ! Le fauteur de guerre, c’est vous ! Le désastre, c’est vous ! La calamité, c’est vous ! La ruine, c’est vous !… Le chaos, c’est vous !
Savez-vous faire autre chose que la guerre ? Votre leitmotiv, votre fil rouge, votre obsession : FAIRE LA GUERRE. – Une des formes de destruction créatrice, certes, mais alors assurément son expression la plus martiale, la plus massive, la plus brutale, la plus noire, la plus macabre, la plus hideuse, la plus répugnante, la plus terrible, la plus abominable, la plus innommable qui soit. Oui, vous ne cessez de mener la guerre – à moins que ce ne soit elle qui vous mène… – sous toutes ses formes et sur tous les registres, de l’évoquer, de la glorifier, de la sanctifier. Décidément, cette funeste marotte vous collent rageusement à la peau. Son sceau frappe votre règne et le marque de son fer incandescent. Ce mot vous poursuit comme votre ombre… Au point peut-être qu’un jour prochain, à force de jouer inconsidérément avec le feu, vous finirez par réussir à allumer, dans notre pays, une guerre non plus – faussement – « sanitaire », comme vous l’avez fait, mais une vraie guerre civile cette fois-ci. Nous n’y étions d’ailleurs pas très loin – elle couvait à bas bruit avant de flamber – durant l’épisode des Gilets Jaunes – les galériens modernes – que vous avez copieusement insultés, traîtreusement éconduits, ignoblement matraqués, gazés, défoncés, mutilés en réponse à leurs légitimes aspirations.
Et c’est encore, à l’instar des guerres de religion d’antan, une quasi guerre civile « légale » que vous orchestrez depuis près de deux ans avec votre coup d’État sécuritaire, ses paSS nazitaires – un ostracisme délibéré – et ses sous-ressortissants indûment injuriés, discriminés, stigmatisés, vilipendés, psychiatrisés, diabolisés, ségrégués, excommuniés : les non-vaxxés. Voudriez-vous établir de nouveaux camps d’internement, un nouveau goulag, sous l’égide de l’Union Européenne cette fois, que vous ne vous y prendriez pas autrement. Le passé éclaire l’avenir et en recèle toutes les potentialités. Notre pays ne serait-il pas en passe de subrepticement se renazifier ou de se resoviétiser, pour ne citer que ces deux totalitarismes du siècle passé sur notre vieux continent ? Sans même évoquer la chinification patente de l’Europe. Que nous sachions, le nazisme n’a pas débuté avec les chambres à gaz tout comme le bolchévisme n’a pas commencé avec l’Holodomor. Ces régimes totalitaires ont-ils été vaincus depuis ? Ont-ils, à ce jour, vraiment disparu ?? Il semblerait bien que non, hélas. L’Europe occidentale est loin d’avoir été dénazifiée. – Des milliers d’experts ayant servi avec zèle le Parti national-socialiste (et donc le troisième Reich) furent même, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, opportunément recyclés, qui à l’Ouest, qui à l’Est. Les exemples en attestant abondent. – Le totalitarisme en marche n’a pas abdiqué. Il reprend de plus belle sa course à l’abîme. – À combattre des monstres, on peut soi-même devenir un monstre ; à trop contempler l’abîme, l’abîme nous contemple en retour, pour paraphraser Nietzsche. – Les vieux démons sont loin d’avoir été éradiqués, ils s’accrochent, se réinventent et perdurent. Leurs ferments historiques, leurs racines profondes, leurs doctrines venimeuses, leurs idéologies mortifères demeurent profondément ancrés dans notre société. Les attaches aux monstruosité passées n’ont toujours pas été rompues et extirpées – car inhérentes à la nature humaine – occasionnant, dès que les circonstances s’y prêtes, de folles résurgences çà et là. Par expérience, nous savons la pente de l’absolutisme extrêmement glissante. Les totalitarismes s’achèvent souvent dans d’effroyables bains de sang. L’Histoire en témoigne abondamment.

Comme vous, nous voyons nous aussi beaucoup trop de divisions dans notre pays et nous condamnons avec fermeté les forces maléfiques qui minent l’unité nationale. À quand l’ajout du statut vaccinal sur la liste des discriminations prohibées ? Aux yeux du progressiste que vous prétendez être, valons-nous moins que ces populations justement protégées des ségrégations ineptes ? Nous revendiquons le droit à une médecine plurielle et au respect de l’intégrité physique ET psychique des individus. La liberté thérapeutique et vaccinale doit devenir constitutionnelle. Mon corps, mon choix. Pourquoi nous dénier le droit de disposer de notre corps comme bon nous semble alors que par ailleurs vous vous affichez, vous le nihiliste affirmé, comme un chaud partisan de l’avortement et de la communauté LGBT+… par exemple ? Préfigurons-nous, en compagnie des autres « complotistes », des précaires, des chômeurs, des handicapés, des pauvres – des indigents disait-on naguère –, des infirmes, des vieux, des déshérités, des laissés-pour-compte, des ratés, des riens, des moins-que-rien… les incurables de la mondialisation, les naufragés de la globalisation, les inaptes au progressisme, les irrécupérables du transhumanisme… ?  En nous condamnant – auto-condamnant, corrigeriez-vous avec satisfaction – à vivre en marge de la collectivité, en nous promettant sans détour une « vie de merde », annonçons-nous les loques du néo-capitalisme, les rebuts du féodalisme 2.0, les « bouches inutiles » – ces fameux „useless eaters“ –, les Figuren du sanitarisme totalitaire, le lumpenprolétariat, les « Luftmenschen », la lie – la vermine – de la société dite moderne, les épaves du nouveau monde ? Dit autrement, augurons-nous de l’avènement des « Untermenschen » – des infra-humains – du XXIe siècle ?

Le pouvoir ou la force de l’illusion
Qui s’endort en démocratie se réveille en dictature. Nous voulions vous épargner la version populo mais nous nous ravisons. La voici donc car au fond elle ne dépareille en rien de nos propos : Qui s’endort avec le cul qui gratte, se réveille avec le doigt qui pue. Autrement dit… Négligeant et oublieux aujourd’hui… esclave et miséreux demain. « L’homme n’apprend rien de l’Histoire »… et celle-ci bégaye sans arrêt. Triste fatalité. Les leçons du passé sont vite oubliées. Il s’agit là d’une dialectique sans fin, d’un perpétuel recommencement, d’un éternel retour. Souvent, les fracas – les déflagrations – que connaît l’Histoire naissent petitement, tout petitement, imperceptiblement, dans le silence des huis clos, dans l’indifférence générale, dans l’insouciance la plus totale. Et parfois même dans le déni le plus absolu. 
La tête dans le sable. Motus et bouche cousue.
Pour enchaîner les peuples, on commence par les endormir (cf. Jean-Paul Marat, un fin connaisseur en Révolution)… puis subitement on les terrorise ! Sidération garantie. La mécanique de la machine totalitaire est huilée. Le scénario, rodé. Le pouvoir alimente le pouvoir. L’ambition nourrit l’ambition. Tandis qu’en face, engoncée dans son petit confort, gourmée dans son train-train quotidien, la lâcheté individuelle prépare le lit de la lâcheté collective, la peur se montrant d’ordinaire plus contagieuse que le courage, la fatalité n’étant finalement que l’autre visage de la complaisance, de la passivité et du laxisme. – Relevons que non seulement la peur tue l’esprit, mais il est notoire aussi qu’en perdant sa liberté, l’individu perd également sa vaillance. – Le conformisme, l’inconscience, l’apathie, la résignation des masses – le préalable de leur soumission et de leur exploitation – font le reste et achèvent la manœuvre, comme vous le savez – et en jouez à discrétion.
Rien n’est fortuit. Dans le dessous des cartes tout est soigneusement planifié, minutieusement organisé, méticuleusement arrangé. Comme petit à petit, l’oiseau fait son nid, petit dictateur ambitionne de devenir grand. Le despotisme ne s’annonce jamais tel d’emblée. Sous couvert de grands et nobles desseins, il rampe, il rôde, il jauge, il lorgne, il enjôle, il endort, il copine, il pérore, il magouille, il minaude, il occulte, il louvoie, il abuse, il leurre, il intrigue, il soudoie, il corrompt, il complote, il conspire… Et puis… Trop tard ! la réalité explose à la figure des somnambules ! Le ver a bouffé le fruit et déjà partout la gangrène s’étend. Car une fois dans la place, dopé, grisé, enivré, par son propre pouvoir, il se dilate, il se démasque. Il s’exhibe, il pavane, il parade. Il triomphe. Il règne. Il prend toute la place, il monopolise tout l’espace. IL DEVIENT L’ESPACE. IL EST L’ESPACE. IL EST L’AMBITION. IL EST LE POUVOIR. IL EST L’ABUS. IL EST L’ABSOLUTISME. IL EST LE TOUT. IL EST TOUT. Et pour l’éternité… Son mot d’ordre obsessif : j’y suis, j’y reste !! Et pour toujours, vous en déplaise !! Le pouvoir reste au Pouvoir. Cela est inscrit dans son ADN. La domination est la jouissance suprême. – Jubilatoire – Elle domine toutes les autres. Le pouvoir rend addict au pouvoir. Le Pouvoir n’a jamais assez de pouvoir. Il court après lui-même car il lui en faut toujours plus. Oui, le pouvoir a pour objet le pouvoir. Le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin. Il est La Fin. Et la fin justifie tous les moyens. La boucle est bouclée ! Et si on ne sait pas toujours avec précision quand s’installe une tyrannie, on sait en revanche quasiment toujours comment hélas elle finit. Aussi faut-il pourfendre les velléités dans l’œuf, enrayer et casser dès que possible l’engrenage fatal avant que le germe du totalitarisme ne s’affirme et prospère. Pour éviter donc tout débordement – intempestif ou non –, et pour revenir à nos affaires malodorantes, la coulisse doit être tirée à temps car ce n’est pas lorsque la culotte est pleine qu’il faut penser à serrer les fesses ! Nous voilà avertis.

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ?
Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »
(Françoise Giroud) (1916–2003)

Emmerder, et surtout s’ingénier – par tous les moyens – à emmerder autrui, expose à être emmerdé en retour. Car les rôles pourraient bien, un jour prochain, s’inverser. La sempiternelle histoire de l’arroseur arrosé. Qui, quel être sensé, quel humain apprécie de se faire emmouscailler ? Ne le sommes-nous déjà pas suffisamment par ailleurs, de mille façons, au quotidien, au long cours, à profusion, à satiété, par les conditions de vie insanes, démentes, que peu ou prou la société nous impose ? Nulle nécessité en conséquence d’en rajouter une couche ! Il n’y a peut-être guère que les gogols à briguer un encollage ou du moins à consentir à se faire enduire sans trop renâcler. Et encore. L’expérience atteste que les moins endurcis d’entre eux finissent également, au bout d’un moment, par rechigner à la chose. Et puis, justement, disons les choses comme elles sont : la merde a beau être présidentielle elle n’en reste pas moins de la merde. De la belle. De la vraie. De l’authentique. Nous pouvons en témoigner, nous qui avons le triste « privilège » de l’approcher, le déplaisir de devoir composer avec elle, le tourment de la supporter de près.

Nota bene : Quand on en a l’honneur on en a aussi le profit.

À l’instar de Rabelais, il nous faut donc, nous aussi, chier avant que de nous torcher le cul. – Ainsi sont faites les choses – et leur strict ordonnancement – qu’il ne faille point aller trop vite en besogne, ni verser cul par-dessus chemise, tout spécialement en matière de commissions hautement merdologiques. Au risque, sinon, de crûment se conchier. –
Autorisons-nous ici un petit aparté pour honorer César et lui rendre ce qui lui appartient !

Pour ne point le froisser, il est juste en effet de préciser qu’il ne s’agit ici pas de n’importe quelle merde, vous pensez bien ! Non, pas de la petite crotte vulgaire et monochrome comme en produisent en surabondance les gueux ! Pas de la merde ordinaire, plate, banale, insignifiante comme en fabrique à la pelle le commun des mortels, non ! Il existe – qui ne l’a jamais noté ? –, surtout dans la haute société stercoraire, un incroyable sérail, une vertigineuse collection, une extraordinaire palette de merdes en tout genre. Une stricte hiérarchie que se disputent d’ailleurs âprement les plus décorées d’entre elles. Nul doute que, venant d’un panier de chiures aussi haut placées, il ne peut s’agir là que de la qualité stercorale supérieure : la meilleure qui soit ! De la sélect. De la pure étronite ! De la massive. De la bigarrée. De la haute en couleur. De la version Grand luxe. Partant, de la rarissime. – À ce niveau-là de prestige merdique, l’emploi du singulier dans la description devient self-obvious tant leur production merdeuse est insolite, continue, soutenue, envahissante, corrodante, méphitique, repoussante, destructrice. – De celle de la business-class et de la jet-society. De celle qui profite à donf. À qui plus. De celle qui fait florès. De celle qui nous coûte une blinde et qui engrange un pognon de dingue. De celle qui proute dans la soie et cague dans le marbre. De celle qui taquine l’argenterie et fait chanter le cristal. De celle qui invite au lucre et au stupre. De celle qui fleure bon l’oseille des paradis. De celle qui joue à cache-cache et à chat perché. De celle qui secrète de l’or… et par tous les pertuis. De celle qui s’affiche sur papier glacé. De l’incarnée. De l’affairée. De la racée. De la sur-capitalisée. De la very high level ! De la V.I.S. [Ndlr : Very Important Shit]. De celle qui en jette et déchire. De celle qui décrète. De celle dont l’essence même – la vocation suprême – est de tartir. De celle qui se gave. De celle qui se goinfre. De l’insatiable. De l’impitoyable. De celle que d’aucuns vénèrent et collectionnent. De celle pour laquelle, si on a la bonne fortune de lui marcher dessus – mais attention ! à la condition exclusive de l’écraser du pied gauche –, la chance devient sinon assurée du moins promise. De celle qui n’arrête pas de causer au poste. De celle qui fait salon. De celle qui jase, babine, piaille, jacasse, cancane, jabote au long cours et braille et beugle à l’occasion. De celle qui ne se prend pas pour de la merde – et c’est peu dire. De celle qui ne se sent plus pisser – le comble, le must, pour une merde. De la fière, tel Artaban. De l’altière. De la mondaine. De l’imbue. De la hautaine. De la caustique. De la corrosive. De la répugnante. De celle de la famille Osetout-Écrasetout. De celle qui embaume l’Œufpourri de chez Roid. De celle qui pète plus haut que son cul. De celle qui se dresse sur ses ergots. De celle qui embrasse la fange. De celle qui se met en abyme. De celle qui ressortit à cette grande et solidaire communauté où l’on se tient – fraternellement – l’un l’autre fermement par la barbichette. De la plurivoque. De la polysémique. De la boyardisée. De la gonflée. De la dopée. De l’augmentée. De la décomplexée. De la martialisée. De la surpuissante. De la transhumanisée. De l’omnipotente. De l’omnisciente. De celle douée de voyance, de clairaudience et d’ubiquité. De celle qui se réplique à l’infini. De celle qui vit en cour et habite en château. De celle qui roule en convoi serré. De celle qui défile en forteresse gyropharrée. De celle qui vole en escadrille. De celle qui vogue en yacht. De celle qui appartient au cénacle des gros nazes. De la homardisée. De la pestilentielle. De celle des apparats et des protocoles. De celle qui voisine avec les « sommités ». De celle qui tutoie les « plus grands de ce monde ». De celle qui torche le fion de son créateur-actionnaire. De la poudrée. De la fardée. De la caviardée. De la grandiose. De la majestueuse. De la magnificient. De celle qui éclipse toutes les autres. De la hautement et richement faisandée. De la luminescente. De celle qui brille tous feux éteints. De celle qui étincelle dans la cuvette. De celle qui reflète les ors des palais. De la Parfaite ! De l’Absolue ! De celle qui lévite. De celle que l’on flatte et par devant et par derrière. De celle pour laquelle courtisans, flatteurs, caudataires, faux-culs, lèche-culs et flagorneurs de tout poil – s’agitant et se pressant comme une nuée de mouches autour d’une florissante merde – se confondent en d’amples génuflexions et larges courbettes… De celle dont nous nous serions bien passés. De celle qu’on eût préféré que jamais elle existât… De celle qui se moque du futur. De celle qui chie sur nos lendemains. De celle qui baise le monde et nique l’avenir… Plus prosaïquement – et bien sûr trivialement –, de celle, enfin, à qui l’on adresse volontiers sa révérence… avant que la chasse d’eau à jamais ne l’emporte… Du balai !!! Et vite !!!
Voilà, cher lecteur, la merde, la précieuse, l’auguste merde dont il est ici question. Elle mérite bien cette précision et ce petit détour, non ? À tout seigneur tout honneur – tout horreur – n’est-ce pas ?

Mais reprenons le fil… Donc enquiquiner, emmieller, s’amuser à généreusement emmieller les autres, laisse difficilement ses honorés indifférents et finit généralement par susciter quelque riposte salutaire. S’abaisser jusqu’à perfidement faire chier des millions et des millions de Français risque de légitimement en indisposer – indigner ! – un certain nombre – les non-décervelés tout au moins. Ce sont là des conduites provocatrices, minables, iniques, exécrables. D’ailleurs le bon sens, la sagesse populaire, qui nous mettent expressément en garde contre de telles turpitudes, ont édicté quelques préceptes simples et intemporels pour prévenir de telles velléités, pour servir de garde-fous à de tels possibles débordements. Pour seuls exemples : non seulement « Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse » – une règle d’or multimillénaire – mais encore plus explicite : « Qui sème le vent, récolte la tempête ».
À bon entendeur, salut.

Nous vous remmerdons donc vivement et promptement par retour. Avec conviction et fermeté, nous vous renvoyons à vos chères études ès scatologiques, à vos basses œuvres foireuses, à vos besognes merdologiques. Nous ne nous abaisserons toutefois pas à votre haut niveau de chiure. À défaut de viser à devenir résolument votre pire cauchemar, nous les emmerdés, nous saurons, en juste retour des choses, à notre petite échelle et selon nos ressources propres, vous mener la vie dure – jusqu’au bout – et il vous faudra invariablement, ne vous en déplaise, composer avec les réfractaires, les rebelles, les « anti » et les parias que vous avez générés. C’est ça la stratégie. Justice viendra et votre emmerdement aura un prix. Un prix certain. Et si cela se trouve, nous vous indiquerons même, un jour, avec grand plaisir, en sus de la note – salée – que vous aura coûté votre passage à la barre, la porte de sortie. Car si, conformément à vos propos « rien n’est obtenu si rien n’est sacrifié », alors, sans circonlocutions, la logique la plus élémentaire exige que ce soit VOUS, le sacrifié. Car, pour vous paraphraser, personne ne sera vraiment protégé tant que… vous ne serez pas viré.

Oui, notre maison brûle et vous regardez ailleurs

Elle devra attendre, la planète ! Ils devront crever, les pauvres !

L’apocalypse écologique sera autrement – incommensurablement – plus catastrophique et meurtrière que votre minable, ignoble, plandémie couillonavirale ! Par ailleurs, le cataclysme social en cours dans nos pays n’en est qu’à son prélude. N’avez-vous donc rien de mieux à faire que de nous enfermer pour une grippette – oui, pour une grippette (consultez au besoin les vrais chiffres) –, nous bassiner avec vos gestes barrières alakon, nous raser avec votre muselière – burka sanitaire – inefficace et néfaste de plus, de nous gonfler avec votre click & collect à la noix, nous barbifier avec votre doliprane bidon et nous faire chier avec vos vaxxins de mairde – vos injections über alles, votre fétichisme vaccinolâtre, votre folle monomanie vaccinocrate ! Votre politique de bourrin, obscurantiste et charlatanesque, nous répugne. Votre prosélytisme nous soulève le cœur. N’avez-vous pas plus crucial à faire que d’extorquer le consentement de nos compatriotes pour leur imposer vos inoculations “expérimentales” – futiles, nocives, absurdes – et de les racketter avec vos covitests débiles ? Vos doses et appels de doses et surenchères de doses nous indisposent et nous causent surdoses et overdoses. En place de nous emmerder inutilement, stupidement, odieusement avec vos injections oiseuses, mortifères, voire létales – dussent-elles, entre toutes les merveilleuses facultés dont vous les parez, nous conférer l’immortalité à perpétuité (sic !) –, n’avez-vous, dans votre mandat, nulles autres priorités ?! N’avez-vous rien de mieux à faire pour réellement et durablement œuvrer pour sauvegarder la planète, pour améliorer le sort de TOUS les Français – et pas seulement celui des plus riches – que d’adorer le dieu Vaxxin et de lui sacrifier le peuple Français, à commencer par ses forces vives ? Soit vous êtes grandement crédule et/ou manipulé, soit vous êtes spécialement de mauvaise foi. Il n’y a pas d’autre alternative et dans les deux cas de figure vos décisions s’avèrent scélérates et désastreuses. Vous jouez à l’apprenti sorcier, vous provoquez des forces, vous allumez des feux dont vous n’avez pas la moindre idée des conséquences qu’ils auront, que vous ne pourrez éteindre et qui au final vous emporteront corps et biens.

Au lieu de nous entraîner sans fin dans des belligérances à la mords-la-moi et nous charger d’un fardeau supplémentaire de plusieurs centaines de milliards d’euros de dettes covidiote – il a bon dos le corona, merci le mozart de la Finance ! –, balayez déjà devant votre porte et occupez-vous de vos propres oignons. Quelle ahurissante perte de temps ! Votre obstruction est criminelle ! Votre obscurantisme est criminel ! N’avez-vous à vrai dire, pour nos contemporains, rien de plus important et utile à faire comme, entre autres exemples emblématiques… relever le défi climatique – ou du moins limiter sa débâcle pour éviter le naufrage de notre planète –, atténuer l’effondrement de la biodiversité, enrayer – à défaut de stopper – l’érosion du Vivant, réduire les graves et innombrables pollutions environnementales… sans plus évoquer le fléau de la précarité et de la pauvreté galopante et l’impérieux établissement d’une justice sociale, le sévère dérèglement institutionnel et la nécessaire refondation de notre système politique (représentativité des citoyens, responsabilité pénale des gouvernants et des dirigeants, etc…), entreprendre l’incontournable rénovation de nos institutions républicaines (gangrénées par les conflits d’intérêts, rongées par la funeste proximité et consanguinité idéologique, etc.), restaurer la pérennité et l’efficience de nos hôpitaux publics (en faillite), de notre système de santé (pourri et à bout de souffle), de notre Éducation nationale (en déroute), de l’Institution judiciaire (dévoyée, vérolée, en plus d’être aux abois), juguler le délitement vertigineux des services publics, des transports collectifs (calamiteux), initier l’indispensable amélioration de la qualité de notre alimentation (devenue malbouffe, malsaine) et de notre eau du robinet (empoisonnée), le soutien massif aux valeureux et dévoués paysans – le plus noble des métiers devenu aussi le plus méprisé – et artisans qui nous nourrissent dans le respect de la nature et de ses lois immanentes (agriculture biologique et biodynamique, permaculture, agro-écologie, agroforesterie, agropastoralisme…), la préservation des terres arables, des exploitations agricoles à taille humaine, de nos cadres de vie, de la ruralité (à la dérive, pour ne pas dire en perdition), la rénovation énergétique des bâtiments (passoires thermiques), la liberté et la pluralité de la presse (réduite à peau de chagrin et mise sous camisole), etc. etc. ?! Un programme conséquent, non ?… Ah ! vous y travaillez !… Nous voyons le résultat – probant – de vos années d’efforts assidus et acharnés ! La France crève de vos directives. Cessez donc d’affairer, de gondoler et de louvoyer et le pays s’en portera déjà mieux.

Qui sont les (vrais) menteurs ? Qui sont les (vrais) ignorants ? Qui sont les (vrais) irresponsables ?

Oui, notre maison brûle, selon l’expression désormais consacrée, et vous aussi vous regardez obstinément ailleurs. Et non seulement vous détournez – délibérément – votre regard de la tragédie en cours, mais de plus, durant ce temps, vous vous amusez à harceler des millions et des millions de Français et de Françaises pour de sinistres, de funestes mobiles sans lien aucun avec les urgences planétaires, absorbé exclusivement que vous êtes par placer, répandre, diffuser et faire fructifier votre Merde ! Vous transsudez le scientisme, la folie extropique, celle d’une science falsifiée au service d’une idéologie hégémonique et mercantile. Vous êtes rivé à la technologie comme les moules sont accrochées à leur rocher. Vous dégoulinez des insanités transhumanistes, celles de l’homme augmenté – et de l’individu aliéné, voire broyé –, celles de la technique sacralisée – et de l’humanité diminuée –, celles de la servitude décuplée et de la souveraineté dépossédée… bref, de ces fadaises de technolâtres qui convoquent l’esclave nouveau, qui promeuvent sans fard l’homme-objet emboîté dans leur monde-machine.

« Nous devons notre liberté à des hommes qui ne plient pas,
ne s’agenouillent pas, ne se soumettent pas. »

(Winston Churchill) (1874–1965)

À petit président, petit esprit et petites idées… mais grand malheur pour le peuple. Décidément, vous manquez cruellement des indispensables qualités et aptitudes que requiert votre fonction. Vous n’êtes qu’un guignol ! Un fantoche ! Un usurpateur ! Un incorrigible bonimenteur ! Un cuistre ! Un parasite ! Un forcené de la croissance ! Une machine à broyer ! Un boutiquier à la solde du capitalisme spéculatif, extractif et prédateur ! Vous êtes un incendiaire ! Un invétéré pyromane ! D’un chef d’État vous n’avez, et de loin, ni l’étoffe ni la carrure ni la stature ni l’envergure. Vous n’en avez que le seul titre – arraché sur l’autel du vote-barrage. Vous n’en avez que les privilèges. Le costume est certes imposant et exigeant mais en l’occurrence son porteur est étriqué, bien trop borné, trop obtus, trop lacunaire, trop mesquin, trop carriériste, trop lié, trop empaillé, trop cornaqué, trop encordé, trop enchaîné pour l’endosser véritablement, assurer le rôle et redresser la barre. Vous n’existez et perdurez que grâce à vos complices – et ils sont légion. Sans eux, vous ne seriez rien ! Ou tout au plus un riche banquier. Ce qui, au final, revient strictement au même.
C’est un spectacle politique pitoyable que vous nous offrez. L’allure générale se rapproche plus du dealer, du chargé d’affaires associé ou de l’arriviste VIP que du meneur – ou du leader – dont vous vous rêvez et vous revendiquez. Mais la terminologie ne change rien à l’affaire. Lorsqu’on n’est pas à la hauteur, on est pas la hauteur, dirait monsieur de La Palisse. Tout simplement. Ce n’est pas la fonction qui fait l’homme, c’est l’homme qui fait la fonction, faut-il vous le rappeler ? Vous n’êtes ni visionnaire ni fédérateur et votre charisme – tout de façade – n’est que posture, bluff et suffisance. Vous êtes tout au plus un dévoué gestionnaire, un zélé tortionnaire, un diligent commissaire, un habile feudataire de l’oligarchie – synarchie – mondiale. Vous confondez allègrement la conduite d’une Nation avec le management de quelque banque ou société multinationale. Vous marchez complètement à côté de vos pompes. Vous êtes totalement déconnecté de la réalité, des préoccupations et des aspirations de la majorité des Français et des Terriens. Votre conception du monde intrinsèquement marchande, concurrentielle, matérialiste, vous aveugle. Vous ne le voyez que par la lorgnette du pouvoir et de l’argent. Le service de l’intérêt général, du bien commun et du plus grand nombre vous fait entièrement défaut. Le monde part à vau-l’eau et vous continuez à jouer votre petit air de pipeau affligeant et désuet ! Notre société – notre civilisation – court à sa ruine et vous ne trouvez rien de mieux à faire que de nous imposer coûte que coûte votre came frelatée qui en accélérera encore le cours ! Une catastrophe majeure se prépare pour la planète entière et vous vous complaisez dans le rôle de camelot – de dealer – de la haute finance, des opulents et des globalistes ! Comment peut-on ?! Quel culot ! Quelle indécence ! Mais quelle insolence !

Tout se vend, tout se monnaye, vous êtes sans doute bien placé pour le savoir. Et tout s’acquiert, s’achète, s’approprie pareillement. Même la merde se négocie dans le grand bazar des géhennes, des fléaux et des malheurs. Son marché florissant ne cesse de faire des émules, nous le constatons au fil du temps. Là où elle règne s’installent, pour longtemps, misère, détresse et désolation. Là s’invitent et prospèrent des conflits sans nombre et sans fin. Là, tôt ou tard, résonne le fracas des armes. Là sévit la souffrance. Là coulent à flot sang et larmes. En ce point s’abîme l’humanité. Là triomphe le néant. Et la guerre, élan d’inspiration infernale, sous ses infinies variantes et déclinaisons, appartient à ce décorum intemporel et universel qui jalonne la longue aventure humaine. Elle fait partie intégrante de ce maelstrom vorace et impitoyable, de ce moloch sans âme et sans pitié qui, jour après jour, brise les êtres – ses enfants – et engloutit le Monde.

PAROLES DE MAAASQUE

Mister Vaxxine, mister Secret, nonobstant vos affirmations péremptoires, vous appartenez bel et bien au passé, au vieux monde, au vieux système, aux vieux schémas, aux vieilles idées, aux vieilles rengaines, aux vieilles lunes… et il faudra qu’un jour vous compreniez que l’avenir s’écrira non pas avec davantage de vassalisation, moins de démocratie, moins de concertation, moins d’indépendance, mais – nécessairement –, au sein de notre grande communauté de destin, avec davantage de conscience, d’avantage de souveraineté, davantage de démocratie, davantage de spiritualité – osons le mot, nous n’en faisant pas mystère –, davantage de concertation, davantage d’indépendance, plus d’humanité, plus d’éthique, plus de sagesse, d’harmonie, de sobriété, de parité, de justice, d’équité, de fraternité, de proximité, de solidarité, de coopération, de partage – sans frontières –, d’éducation à la vie, de transparence, de décentralisation, de prévention, de respect des singularités et des particularités autant que des diversités et des pluralités… au sein de tous les écosystèmes – du plus petit au plus grand –, au sein de l’ensemble du Vivant… du microcosme jusqu’au macrocosme.
Ou alors, sous peu, nous irons tous dans le mur, nous roulerons tous vers l’abîme…

Mais à quoi bon poursuivre ! Tout à votre narcissisme et à votre mégalomanie, vous paraissez totalement sourd à toute idée un tant étrangère à votre to-do-list, à votre business-plan, à vos ambitions égoïstes. Nous vous laissons donc pleinement à vos pressantes – et semble-t-il plaisantes – occupations scatologiques.

Chier plus pour gagner plus ?
Enfin, permettez-nous cet ultime épanchement : évitez donc de salir davantage votre nom… Et si pour exister vous devez caguer, excrémenter, chier sur autrui, alors nous vous recommandons d’aller déféquer sur vos donneurs d’ordres ou alors de tout bonnement changer de métier. Au demeurant, il suffit, pour ce faire, de traverser la rue, vous nous l’avez suffisamment rabâché. Nul doute que vous trouverez sans difficulté à continuer à semer et à répandre votre bran bien au-delà du Faubourg Saint-Honoré.

-oOo-

Voilà un impromptu viscéral, un infime, un dérisoire échantillon de ce que votre emmerdement a pu produire sur nous, quelques confidences qui nous étreignaient jusque-là plutôt péniblement le cœur. Les partager en réponse avec vous nous allège la charge. Nous voilà soulagés, même si dans le secret de notre confession tant d’autres doléances vous attendent toujours. Nous n’aurons de cesse tant que justice n’aura pas été rendue et réparations versées.

Nous vous écrivons si rarement que notre réquisitoire a pulvérisé le quota de temps octroyé. Et nous nous en contrefoutons ! À votre image, nous avons cassé les codes et rompu les digues. Depuis un long moment, nous sentons monter en nous une impérieuse, une irrésistible logorrhée, relayée par une irrépressible, une incoercible graphorrhée. Et voilà qu’elle vous éclabousse ! Nous ne nous en excuserons cependant pas pour autant. Vous dénicherez bien un grouillot qui vous résumera cette missive en trois mots – votre temps d’écoute disponible –, voire qui les condensera en les cinq petites lettres magiques dont vous raffolez jusqu’à en inonder le monde… jusqu’à vous étouffer…
Au plaisir de tirer la chasse d’eau.
Nous vous en souhaitons d’ores et déjà bonne réception.

« À quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ;
l’inhumanité de fermeté ;
et la fourberie, d’esprit.
»
(Jean de La Bruyère) (1645–1696)

Nous ne saurions mieux dire.

CONCLUONS.

LES YEUX DANS LES YEUX

Il n’y a pas l’ombre d’un doute, vous vivez sur une tout autre planète que nous !
Votre réalité n’est pas la nôtre. Votre “vérité” n’est pas la nôtre. Votre projeeet n’est pas le nôtre.

Ainsi va, malheureusement, la France en Absurdistan
En marche – et en force – vers un nouveau totalitarisme – Un pouvoir politique scélérat
Le bruit et la fureur – laideur et noirceur – mènent le monde

Sa majestueuse grandeur, Son Arrogance, Ô Merdissime,

Savez-vous au moins, vous, l’obligé des oligarques, vous, le laquais des ploutocrates, vous, le commis des mondialistes, vous, le serviteur des rupins, ce que être « libre » signifie et implique ?
C’est au nom de notre Bien que vous voulez, imposteur ! nous museler ! C’est au nom de la Santé que vous nous servez, crapule ! la maladie ! C’est au nom de notre Sécurité que vous comptez, félon ! nous esclavagiser ! C’est au nom de la République que vous osez, perfide ! nous vendre au despotisme ! C’est au nom de la Démocratie que vous cherchez, scélérat ! à nous livrer au totalitarisme ! C’est au nom de la Liberté que vous tentez, traître ! de nous imposer l’absolutisme !

La plandémie – la Terreur – communément nommée Covid-19 est symptomatique de la guerre totale que vous livrez au peuple. Elle est une illustration saisissante de plus, si besoin en était, d’un odieux simulacre politique, d’une grotesque parodie de démocratie. Et alors quelle magistrale illustration !! Celle d’une maltraitance « républicaine » institutionnalisée séculaire. Celle d’un racket méthodique toujours plus brutal. Celle d’une tyrannie hideuse qui, avec la complicité crasse, abyssale, des Institutions et des merdias putassiers, ne dit jamais son vrai nom et qui se drape éhontément – en les usurpant sans vergogne, en les retournant, en les singeant jusqu’au paroxysme – des éternels et glorieux oripeaux du triptyque Liberté–Égalité–Fraternité !!

Oui décidément, un fascisme nouveau, un regain de totalitarisme est en passe de gagner le monde, de l’enlaidir, de l’enfermer, de l’emprisonner, de l’avilir, de le déshumaniser… de le trucider… de l’anéantir !
Voilà la triste, immense, impensable, insoutenable… réalité !!

LA FRANCE EST EN GRAND DANGER
Il devient urgent de désobéir
Français, Françaises, réveillez-vous ! Levez-vous contre la tyrannie ! Résistez ! Résistez ! Résistez !

Un mal profond ronge notre monde. Un mauvais sort s’abat sur nos communautés. Un étrange sortilège corrode nos viesSoyons lucides… C’est la démocratie que l’on tue. C’est une nation que l’on liquide. C’est un peuple que l’on assassine. Les années passent et les traîtres se succèdent à la tête de notre pays. Nous sommes tombés en grande sous-France ! En état de délabrement avancé. Notre société va mal… et chaque jour qui passe, un peu plus mal encore. Nous avons le cœur brisé. La France et l’Esprit français sont moribonds. Nous avons mal à notre Histoire ! Nous avons mal à notre France ! Vous l’avez macronée à l’envi. Vous l’avez rendue rance. Nous ne reconnaissons plus notre patrie ! Nous ne reconnaissons plus notre continent. Nous ne reconnaissons plus notre monde ! Nous ne reconnaissons plus une part notable de la – soi-disant – « Humanité » qui peuplait la Terre. Où donc est-elle passée ? Où est-elle partie ? Que diable est-elle devenue ?!
Que reste-t-il de notre devise républicaine ? Des larmes et du sang ! Où est passée la Liberté ? Où est passée l’Égalité ? Où est passée la Fraternité ?… Bon sang ! Et puis où est passée la Beauté ? Où est passé le Sacré ? Où est passée la spiritualité ? Où sont passées les valeurs morales ? Où est passée la gratitude ? Où est passé le respect ? Où est passée l’empathie ? Où est passée la tempérance ? Où est passée la responsabilité ? Où est passée l’humilité ? Où est passée l’honnêteté ? Où est passée la cordialité ? Où est passée la charité ? Où est passée la bonté ?… Disparues, envolées, évaporées, volatilisées… étouffées, assassinées, massacrées, anéanties par les Forces obscures qui gouvernent cette planète !!

La merde tombe sur le monde à grosses plâtrées et même par tombereaux entiers. Merde et misère vont de pair. Elles font toujours bon ménage. Passent les années, empirent nos conditions de vie. Au fil du temps, la France et nombre de pays européens sont devenus, sous les coups de boutoirs incessants de l’oligarchie mondiale, des États de non-droit et de véritables champs de décombres et de désolation. Devons-nous ainsi vous considérer comme une force d’occupation – hostile, il va sans dire – ?
L’humanité se trouve attaquée de toute part. Le mouvement d’extermination sociale se précise de jour en jour. La guerre, jusque-là secrète ou larvée, menée contre les peuples depuis des décennies a éclaté au grand jour. Le front perfide des violences institutionnalisées et des brutalités étatiques – qui se targuent systématiquement de légalisme et ne disent jamais leur vrai nom – ne cesse de s’étendre partout. Ce sont là clairement des opérations de sape, des harcèlements continus, des conflits d’usure, des guerres d’attrition et d’épuisement, des hostilités sans fin à l’encontre des populations. – Ne sont-ce pas là, en réalité, les véritables causes, les vrais virus, les germes authentiques qui indéfiniment ulcèrent, mortifient, menacent l’humanité dans son existence même ? – Nous nous défions davantage des soi-disant “humains”, et singulièrement des individus de votre engeance – pour rester polis –, de leurs fourberies et de leurs manigances que de tous les microbes de la Terre réunis.

C’est par la tête que pourrit le poisson, a-t-on coutume de dire. Nous pourrions ajouter : in capite venenum
Notre pays fait l’objet depuis des siècles d’un travail de sape méthodique et de destruction systématique à tous les niveaux. Il est aujourd’hui arrivé à un état de putréfaction avancée, la gangrène gagne partout et les saprophages abondent à tous les étages.
Il y a grand péril en la demeure. Des mesures exceptionnelles de salubrité publique s’imposent de toute urgence ! Un assainissement salutaire qui doit impérativement débuter au sein de la classe politique, de son sommet à sa base, et aboutir à une refonte profonde, à une refondation complète de notre Constitution et de ses Institutions.
– Notons que pour nettoyer comme il se doit cette gigantesque étable d’Augias à l’échelle du pays, le Kärcher à lui seul ne suffira pas. Tous les fleuves de France et de Navarre seront mis à contribution pour unir leurs efforts dans un immense et salutaire élan citoyen épurateur. Une opération capitale pour enfin nous débarrasser de la lie – de la montagne de lie ! – qui nous opprime, nous saigne et nous étrangle depuis bien trop longtemps. Vivement le Grand Ménage !!

Nous sommes tous de potentielles victimes de votre politique criminelle, nous sommes virtuellement tous la cible de vos procédés assassins mais nous ne nous laisserons pas étouffer, nous ne nous laisserons pas suicider pour autant – nous n’avons aucune appétence pour le suicide collectif ! Nous ne perdons aucunement de vue que dans ce bas monde on ne gagne pas une guerre sans batailler. Si nous n’y prenons garde, vous le savez pertinemment, nos lâchetés d’aujourd’hui constitueront nos défaites de demain. Chaque reculade, chaque once de liberté perdue, chaque pouce de terrain concédé nous rapproche de l’enfer. Nos indolences, nos tergiversations, nos dérobades présentes seront vos promesses de succès, vos assurances de victoires. – Ce contre quoi nous, citoyens de plein exercice, nous nous battons sans répit… mais, hélas, à armes très inégales.

UN MONDE CORROMPU – UN ENVAHISSEMENT TOTALITAIRE – UN CRIME D’ÉTAT CONTRE LA DÉMOCRATIE ET LE PEUPLE FRANÇAIS
Des procédés
dégueulasses et des finalités inadmissibles !!!

Visiblement, comme il en va pour tout bon tyran, vous ne supportez pas que l’on vous conteste et vous résiste… Faites-vous donc d’ores et déjà à l’idée que nous ne nous résignerons pas. Bien au contraire, sachez que nous vous résisterons – et vous combattrons – jusqu’au bout… et au-delà ! Nous ne suivrons pas votre agenda de merde ! Nous ne voulons pas de vos injections de merde !! Nous ne voulons pas de votre médecine de merde !! Nous ne voulons pas de votre politique de merde !! Nous ne voulons pas de votre société de merde !! Nous ne voulons pas de votre monde de merde !! NOUS N’EN VOULONS PAS !! NOUS N’EN VOULONS TOUJOURS PAS !! NOUS N’EN VOULONS TOUT SIMPLEMENT PAS !!! En quelle langue faut-il vous le dire pour que vous l’entendiez ?! En quels termes devons-nous vous l’écrire pour que vous le compreniez ?!

Cela fait maintenant des années que vous vous foutez de la gueule des Français.e.s… et somptueusement, royalement, jupitérieurement, impérialement !!! En permanence vous salissez la France ! Vous avariez tout ce que vous effleurez. Tout ce que vous touchez se transforme instantanément en merde. Comme au premier jour, votre immoralité – amoralité – nous sidère. Pour ceux qui ne l’auraient pas encore noté, vous n’êtes ni humaniste ni démocrate ! Nous ne vous blanchirons pas. Nous ne vous exonérerons pas de vos responsabilités. Vous avez éhontément volé la Liberté des Français et des Françaises et gravement attenté à leur santé, rien de moins. Vous avez piétiné leur Égalité. Vous avez piétiné leur Fraternité. Vous avez piétiné l’économie de leur pays. Vous avez piétiné leurs collectivités. Vous avez piétiné leur tissu social. Vous avez piétiné leurs rêves. Vous avez piétiné leur jeunesse. Etc… Et vous devrez payer pour cela aussi.
Foutez la paix aux Français ! Vous voulez nous user ? C’est nous qui vous userons ! Vous voulez nous museler ? C’est nous qui vous musellerons ! Vous voulez nous déchoir ? C’est nous qui vous qui vous déchoirons ! Vous voulez nous civiliser ? C’est nous qui vous civiliserons ! Vous voulez nous réinitialiser ? C’est nous, à la fin, qui vous réinitialiserons ! Nous resterons fermement libres et souverains… quoi qu’il VOUS en coûte.

Cessez de nous prendre pour des brêles ! La France debout vous exècre, la France libre vous abhorre, vous, vos semblables, vos comparses et vos sbires ! Nous sommes des millions à nous dresser contre la tyrannie. Nous avons notre dose de vos manigances, de vos exactions, de vos outrances ! C’est à un crime d’État contre la démocratie et le peuple français que vous vous adonnez. La France et les Français semblent être le cadet de vos soucis. Cela fait des années que vous leur faites la guerre. Oui, ce sont bien des monceaux de merde qu’à chaque instant vous charriez avec vous. Votre « programme » se borne à parachever la ruine de la nation. Vous mettez le pays à feu et à sang ! Vous le marquez d’un grand malheur ! Votre « révolution » nous mène droit à la faillite, au désastre, au néant ! Vous avez tout faux ! Vous n’êtes pas la solution, vous êtes le problème ! Arrêtez de nous bassiner avec votre évangile progressiste et technolâtre ! Vos envolées verbeuses nous hérissent ! Votre jactance offusque. Vos péroraisons indisposent. Vos logorrhées insupportent. Votre faconde horripile. Nous ne souffrons plus vos jacassages, vos caquetages, vos ramages, vos brassages d’air, vos simagrées, vos frasques, vos enfantillages, vos caprices, vos coups de menton, vos outrages. Nous ne supportons plus les bobards, babillages, baratinages, embobinages, enfumages, encodages, décervelages, foutages, magouillages… ! Même la décence élémentaire de vous taire lorsque les circonstances l’exigent vous fait défaut.

Employez-vous à vos affaires, nous nous employons aux nôtres. La France ne vous appartient pas ! Vous puez ! Dégagez ! Foutez le camp ! C’est, au bas mot, un monumental – et mémorable – coup de pied au cul que vous méritez ! Attendez-vous d’être destitué pour partir ? Faudra-t-il vous congédier pour que vous dégagiez ? Devrons-nous vous foutre dehors ? Faudra-t-il donc venir vous déloger, vous chasser sans ménagement du trône, vous expulser manu militari du palais ? Retournez d’où vous venez, c’est-à-dire en enfer ! Et que l’on ne vous revoit plus ! Que le diable vous emporte ! Puisse le Cornu à jamais vous y retenir par-devers lui dans son cercle infernal, dans son antre démoniaque, dans sa géhenne maudite !

# D E S T I T U T I O N

Article 68 de la Constitution

NI OUBLI NI PARDON NI IMPUNITÉ NI RÉCONCILIATION
La guerre c’est la merde… et la merde c’est la guerre

Allez vous faire… voir ! Nous n’avons rien à carrer de vos simagrées. La vie nous a déjà amplement vaccinés contre de multiples et incessantes formes de propagandes. Vous pouvez donc garder votre daube pour vous, nous sommes immunisés de ce côté-là au moins.
Certes, avec vos déjections putrescentes, avec votre immonde guerre excrémentielle vous nous emmerdez, c’est un fait établi. Et puisque vous nous faites la faveur de nous honorer de votre merde, à défaut de vous en remercier en vous merdant comptant, nous avons le plaisir, en guise d’accusé de réception, de déjà vous faire parvenir en retour quelques généreux effluves. Le remmerdement est chose bien trop sérieuse pour être négligée et différée. – Les politichiens, contrairement aux chiens-chiens, pour les éduquer il faut inlassablement leur mettre, leur remettre, leur fourrer et leur refourrer le nez dans leur caca. Sans quoi ils salopent tout, dévastent tout, vandalisent tout… à jamais. – D’autres copieux et capiteux relents suivront sans faute en gage de reconnaissance, dans l’attente de votre remboursement intégral, principal, intérêts et frais accessoires y compris. Nous ne sommes pas pingres et ne voulons laisser de dette. Souffrez donc qu’à titre prophylactique votre merde soit torchée à sa juste hauteur et sa bonne mesure… jusqu’au bout… du bout de la salissure.

Nous ne souffrons pas la médiocrité, et moins encore la déloyauté. Vous avez commis l’innommable, l’inqualifiable, l’injustifiable, l’impardonnable. Se souvenir est un acte de résistance. JAMAIS nous ne vous pardonnerons. AUCUNE circonstance atténuante ne peut dédouaner des criminels comme vous. Quel irrespect !! Quelle abjection !! Comment osez-vous ?! Vous n’avez aucune leçon d’exemplarité, de civilité ou de responsabilité à donner !! Aucune leçon d’aucune sorte ! Et d’autant moins encore avec le bilan de la honte qui est le vôtre !
Vous nous avez trahis ! Vous nous avez vendus ! Vous nous avez macronés jusqu’à la corde ! Vous avez sacrifié notre jeunesse ! Jusqu’où irez-vous dans l’injustifiable ? Jusqu’où porterez-vous l’inqualifiable ? Jusqu’où pousserez-vous l’innommable ? Votre coup de force est à gerber. Votre magister moral est à vomir. Votre infamie nous révolte. Votre vacuité et votre suffisance nous stupéfient. Votre outrecuidance n’a d’égale que votre mégalomanie. Votre ridicule se double d’absurde. Votre déni frise le délire. Vous avez perdu toute notion de raison, de civilité et même de civilisation. Vous êtes le cynisme incarné ! Vous confinez au tragique ! Avez-vous seulement un cœur ? Une parcelle d’humanité ? Une once d’altruisme ? Permettez-nous d’en douter.

Triste sbire ! Si quelqu’un devait être déchu de sa citoyenneté et de sa nationalité, vous seriez le premier à vous les voir retirer suivi de près par tous vos hauts complices mafieux ! Vous mentez comme vous respirez ! Vous mentez sur tout, partout, tout le temps ! Délibérément ! Vous êtes totalement indigne de vos fonctions ! Vous êtes méprisable. Vous n’êtes qu’un guignol ! Un bouffon ! Un désaxé ! Un pantoufleur – et rétro-pantoufleur – d’entre les pantoufleurs ! Un ignoble imposteur ! Un comploteur ! Un infiltré ! Un renégat ! Un scélérat ! Un pilleur ! Un belliciste, un fauteur de guerre doublé d’un profiteur de la peur ! Vous devriez déjà être aux arrêts ! Vous n’êtes pas irresponsable : vous êtes ouvertement responsable ET coupable ! Tout comme vos complices. – Raisons pour lesquelles, mister maréchalissime, vous êtes passible d’une Cour martiale pour haute trahison (motif pénal que nous rétablirons), crimes contre l’humanité et intelligence avec l’ennemi. Nous appelons à une sentence proportionnée à l’énormité de vos crimes et de vos nuisances.

Le vent se renforce et vous poursuivez, cahin-caha, votre pathétique fuite en avant. Mais vous ne pourrez pas éternellement nier les faits. La fin de vos mensonges et leur révélation est inéluctable. Vous pouvez faire taire des hommes ou des femmes mais vous ne pourrez jamais faire taire la vérité. Le choc de confiance arrivera quoi que vous fassiez pour l’empêcher. Même si la justice des hommes – ou plus justement, des appareils étatiques – recèle bien des défauts, un jour ou l’autre, l’heure des comptes sonnera. La force du réel vous rattrapera inéluctablement. La réalité ne manquera pas de venir frapper à votre porte. La vérité se fait toujours connaître. Elle ne varie pas. Elle est fondamentalement, intrinsèquement Une. Rien ne peut entraver sa marche. Infailliblement, elle réussira à se frayer un chemin à travers le maquis de mensonges érigés, au travers des ténèbres et des écrans de fumée dressés, pour jaillir de toute sa verdeur au vu et au su du plus grand nombre. La vérité finira, envers et contre tout, par sortir du puits où vous l’avez odieusement reléguée. Mais quand ? Et puis, l’impunité politique et étatique la plus scandaleuse, la plus révoltante, la plus insoutenable, sera-t-elle une nouvelle fois au rendez-vous pour l’accueillir – la cueillir ? L’avenir nous le dira.

PEUPLE DE FRANCE, RÉVEILLE-TOI ! DEBOUT !! LÈVE-TOI !! SECOUE-TOI !! LIBÈRE-TOI !!
Contre nous de la tyrannie…
Soyons des Consciences vigilantes, ingambes, dressées !

La peur doit changer de camp ! Le joug esclavagiste et totalitaire doit tomber ! Nous appelons solennellement tous les citoyens à une nouvelle Libération. Libérons la France des ingérences extérieures. Sauvons-la du délitement et de l’anéantissement programmé. La crise démocratique ne faisant que s’accentuer – et, avec elle, la défiance des Français envers la classe politique –, elle exacerbe d’autant plus notre aversion pour les traitres et les escrocs.

Personne n’est au-dessus des Lois, pas même vous. Vous aurez à répondre de vos actes. Nous vous donnons quitus de rien. Nous exigeons des comptes et nous vous ferons payer vos crimes et vos forfaits. Vous n’arriverez pas à tous les effacer tandis que nombre de vos victimes resteront marquées à vie jusque dans leur chair. Nous saurons vous rappeler à notre bon souvenir. Nous ne ferons pas de quartier. Nous serons sans pitié. Vous ne nous échapperez pas. La page ne sera pas tournée tant que justice ne sera pas passée. Nous n’aurons de cesse que lorsque TOUS les instigateurs, protagonistes et complices de cette imposture nazitaire, de ce hold-up pseudo-hygiéniste, auront été confondus et dûment punis pour leurs crimes. Vous devrez vous expliquer sur cette folie furieuse qui vous a saisi. Un crime est un crime. Et vous en avez de nombreux qui souillent votre blason. Il nous tarde de vous voir comparaître à la barre d’un Tribunal – populaire autant que possible car au fond c’est bien le peuple, que vous brutalisez et piétinez en continu, qui devra se faire justice et non une parodie. Vous devrez, tôt ou tard, rendre des comptes et nous avons très envie de vous voir répondre, quoi qu’il en coûte, le plus rapidement possible, de vos exactions et de vos crimes. Pour la peine, comptez donc fermement sur nous pour vous faire entrer au Panthéon… de l’Infamie.

Nous vous rendrons le chaos que vous semez. Et au centuple, s’il le faut. D’un trop-plein de misère et d’injustices naissent les révolutions. Comme mentionné plus avant, « la désobéissance civile devient un devoir sacré quand l’État devient hors-la-loi ou corrompu ». Nous ne servons – et servirons – pas l’Empire. Nous ne collaborons – et collaborerons – pas avec le parti de l’Étranger. Nous ne transigeons pas – et transigerons pas – avec l’ennemi. Ne vous déplaise, nous préférons être dans l’illégalité que dans l’immoralité. Une fois encore, répétons que le suivisme n’est pas dans notre nature. Nous ne nous commettrons pas. Nous n’entrerons pas dans la matrice ! Non, l’imposture ne passera pas par nous ! Non, nous ne serons pas vos complices ! Nous ne relayerons pas vos duperies. Non, nous n’oublierons pas ! Nous n’oublierons pas vos forfaitures. Nous n’oublierons pas vos mensonges, vos trahisons, vos crimes. Votre complot nazitaire entachera votre nom jusqu’à la fin de vos jours. Votre coup d’État sanitaire vous poursuivra jusque dans la tombe. Votre théâtre d’ombres est une abomination ! Vous corrompez jusqu’à l’air que vous respirez ! Vous nous écœurez ! Vous êtes répugnant ! Vous êtes le cancer de notre société ! Vous êtes une injure à la face du monde. Vous êtes un affront à l’humanisme, une offense aux valeurs humaines universelles. Vous le comprendrez peut-être mieux en langue anglaise, alors risquons-nous : shame on you ! Honte à vous ! Vous êtes le déshonneur du pays. Vous trahissez la Démocratie. Vous bafouez la République. Vous outragez la Nation. Vous souillez la France. Oui, vous nous donnez la nausée !… Et nous n’en dirons pas plus car, voyez-vous, nous sommes plutôt respectueux de la bienséance… et économes de notre mépris. Et si d’aventure vous échappiez à la justice – hautement corruptible ! – des hommes, vous n’échapperez assurément pas à la sentence – magistrale – de l’Histoire.

LA NUIT REVERRA LE JOUR
La vérité est en marche, rien ne l’arrêtera

Tel est pris qui croyait prendre. Le dénouement approche. La Bête chutera. Et lourdement. Bientôt le roitelet sera nu. Nu comme au premier jour. Nu comme un vermisseau, dépouillé du manteau de ses mensonges, débarrassé de l’écran de ses boniments, macroné de ses attributs, dévêtu du factice de ses intrigues, délesté des artifices qui lui tenaient jusque-là lieu d’armure et d’aura. Le vent du boulet ne vous épargnera pas. Vous tomberez. Tout comme vos complices. Votre autocratie sautera. Le dégagisme, indubitablement, vous rattrapera, vous emportera corps et biens. Justice et Vérité feront leur œuvre. Le voile tombera et la Libération adviendra. « Il n’est point de secret que le temps ne révèle » nous enseigne Jean Racine dans Britannicus. La roue tourne. Tout vient à point à qui sait attendre. La Vérité est en marche. Elle viendra en son temps. Le plein jour finira par arriver, et, inexorablement – bien que vous vous gaussiez à l’idée même –, la Lumière gagnera sur l’Ombre. Le gouffre, aussi vertigineux soit-il, finira par s’ouvrir à la Lumière. Elle supplantera les forces obscures du totalitarisme. La Lumière chassera les ténèbres pandémoniaques et balayera l’Empire du mensonge, des illusions, des impostures… et, dans le même élan, le long cortège des autocrates, des conspirateurs, des thaumaturges autoproclamés, de la nomenklatura, des intrigants, des hobereaux, des collabos, des sbires et des larbins qui le servaient. – Un aller simple pour le Schéol ou le bagne leur suffira amplement. Et peu nous chaut le flot de leurs récriminations, gémissements ou lamentations. Là-bas, pour alléger votre châtiment, il vous restera le loisir de plaider ou la folie ou la démence. Le stratagème flotte dans l’air vicié de ces temps passablement insalubres, putréfiés, souillés, profanés.

Quant à nous, nous resterons à la fois extrêmement vigilants, déterminés et fidèles à nos valeurs. Nous resterons des hommes et des femmes pétris de bonne foi et animés de bonne volonté. Nous resterons en quête de Vérité, de Paix, de Justice, de Liberté, de Fraternité. Nous resterons debout. Nous resterons des consciences ardentes. Nous resterons des sentinelles attentives et soucieuses de notre Humanité. Nous continuerons de donner le meilleur de nous-mêmes. Avec bonté et respect, nous continuerons de veiller et de prendre soin du monde et de nos semblables – et tout spécialement de la parcelle de vie qui nous a été confiée. Nous continuerons de rester solidaires avec nos frères et sœurs en humanité comme avec le prodigieux ensemble du Vivant. Nous resterons ouverts à l’Univers et à ses merveilles. Nous continuerons à exercer notre volonté avec dignité, réflexion et discernement. Conscience, Sagesse, Amour, Foi, Droiture, Courage, Lucidité, Gratitude… qui constellent avec bonheur notre Orient, nous accompagneront tout au long de notre voyage sur le chemin de Vie.
L’Avenir nous appelle de toutes ses forces et ses potentialités. Immanquablement, l
es temps changeront. Nous croyons fermement en notre bonne étoile. La Source infinie et toute-puissante nous portera encore et toujours. Nous vivrons, ne vous en déplaise ! Notre heure viendra. Une ère nouvelle s’ouvrira. Oui, demain adviendra sans faute et un jour nouveau et prometteur se présentera à toutes celles et à tous ceux qui auront les yeux dessillés et le cœur grand ouvert.

Monsieur Covid, mister Vaxxine, sa sinistrissime, sa majesté Defekator… ÇA SUFFIT !!! La souillure nationale, le fouteur de merde, l’irresponsable, le virus, le microbe, le parasite, l’infox… le connard, le sectaire, le narcissique, l’enfant-roi, le déséquilibré, l’indigne, le séditieux, le casseur, le voyou, l’enflure, le salopard, l’imposteur, l’oppresseur, le conspirateur, le psychopathe, le sociopathe, l’idéologue, le fanatique, l’incendiaire, le traître, l’ennemi, le criminel, l’intégriste, le terroriste, l’extrémiste… le scandale, la cabale, le tyran, le fossoyeur de la France, le profanateur de la nation, le démocidaire… le fléau, la guerre, le chaos, C’EST BIEN VOUS, vous, votre haut aréopage, vos complices et toute votre sinistre équipe dirigeante !

Liberté… nous écrivons ton nom.

Avec mon blâme et mon profond dédain

Un Gaulois réfractaire
à cette heure toujours libre de ses pensées.
Un objecteur de conscience
Un irréductible

Un amish de la Terre
Un de ces nombreux « riens » et « irresponsables »
… devenu, grâce à votre « révolution », « moins-que-rien »
et qui saura s’en souvenir longtemps

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