De l’inhumanité des petits hommes
Dans la série « Kovid alakon »
« L’art de la guerre, qui est l’art de détruire les hommes,
comme la politique est celui de les tromper. »
(Jean Le Rond d’Alembert) (1717–1783)
De la guerre et des hommes
La course à l’abîme
Quelle « humanité » ?!
Le problème de notre planète, c’est l’homme
HOMO DEMENS
Homo bellicus – Arès et les siens – La race de Fer… vésanique – Les Atrides et leurs enfants
La guerre perpétuelle – L’instinct martial, un cruel atavisme
La fureur du monde – Le prix du sang – Une tuerie continuelle
« Si tu veux la paix, prépare la guerre », « il faut forger ses armes avant la bataille » préviennent, lucides, les stratèges militaires. Avec ses récurrentes « guerres préventives », c’est hélas bien le seul domaine dans lequel le « Sapiens » excelle en matière de prophylaxie.
Toujours est-il que le sage d’entre les sages, lui, aura su éviter non seulement l’affrontement, le combat, mais le champ de bataille lui-même. Plutôt que de croiser le fer… la meilleure des guerres est celle que l’on n’a pas à mener. Les théoriciens et généraux de la guerre de 5e génération, ou guerre cognitive, ont particulièrement bien retenu cette leçon. Elle vise la conquête de nos cerveaux et renforce d’autant plus le côté caché, pernicieux et totalement asymétrique de l’affrontement.
L’histoire de Caïn et Abel nous indique clairement que le conflit et la violence remontent jusqu’avant Mathusalem. Selon une Loi immuable de l’Univers, le semblable attire le semblable. Ainsi, la force attire la force, la violence, la violence, la haine, la haine, la vengeance, la vengeance, les larmes, les larmes, le sang, le sang… N’avons-nous donc, nous prétendu genre humain, pas encore commis suffisamment de massacres, causés assez d’atrocités, perpétrés suffisamment de crimes depuis notre avènement ? C’est à se demander si à ce jour, au cours du déjà long règne de l’Homo sapiens, il existât sur cette Terre un seul jour sans que ne résonna quelque part le fracas des armes ou sans qu’en quelque lieu le sang ne coula ?
Et si enfin – enfin ! – nous décidions tous, une fois pour toute, de ne plus faire le « jeu » des va-t-en-guerre et, au besoin, de laisser les irréductibles belliqueux se torturer, s’entretuer, s’entre-égorger, s’exterminer par eux-mêmes ?! Alors la guerre mourrait – espérons pour de bon –, par extinction, faute de belligérants, de sa belle mort.
Que dit-on de plus vrai ?
Que les hommes sont méchants.
(Un akousmata pythagoricien)
De la Guerre et de l'Argent
LES GUERRES SE VENDENT SUR DES MENSONGES
Cf. l’Histoire rien que de ce premier quart de millénaire et sa longue série d’enfumages, de conflits, de guerres… de pays déchirés, ravagés, anéantis, de peuples martyrisés, de misères engendrées et de sang innocent versé.
Une digression incontournable – Accordons-nous un petit détour
L’Histoire : une succession de répétitions du même et du pire
Quelques éléments de polémologie
Avant de nous “pencher” sur la maladie virale qu’est la merde présidentielle, autorisons-nous cet aparté indispensable pour bien cerner symptomatique et problématique, tenants et aboutissants, causes et conséquences.
Une « bonne guerre » – comme disaient jadis les nostalgiques du « bon vieux temps » – pour accélérer la domination des peuples et parvenir au Great Reset prôné par les mondialistes.
Homo homini lupus est.
(Plaute…) (vers 254 av. J.-C. – 184 av. J.-C.)
Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre »)
De guerre en guerre, de revanche en revanche, de vengeance en vengeance – La frénétique course à la gloriette
Pour se battre, il faut être (au minimum) deux – Faire la guerre, c’est s’affronter soi-même
La démence des glébeux : vaincre avant de mourir
Une effroyable gabegie
Les guerres sont LA grande constante de l’Histoire. Elles ont pour principal – pour ne pas dire unique – mobile : l’ARGENT.
Bâtir des empires sur l’asservissement, la violence, la ruse, le mensonge, la cruauté, la destruction, la mort…
L’argent… soit les richesses, le pouvoir et la gloire(*) qui y sont associé, et plus largement leur contrôle sous toutes ses formes. Près de cinq siècles déjà avant notre ère, Héraclite le résumait ainsi d’un trait incisif : « La guerre est le père de toutes choses, de toutes le roi ». Socrate (470 av. J.-C.–399 av.) le confirmera à sa manière quelques décennies plus tard : « Toutes les guerres ont pour objet l’argent. »
(*) : L’argent, le pouvoir, la gloire… qui grisent, dévoient, corrompent, pervertissent… si souvent !
Au final, la paix n’est toujours qu’une éclaircie entre deux orages, une embellie entre deux tempêtes, une respiration (libre) entre deux conflagrations.
Mars ne nous a jamais quittés. La guerre n’agite-t-elle pas l’humanité(*) depuis l’avènement de ses premiers représentants, depuis que l’infâme race humaine encombre la Terre ? Il peut, hélas, au grand hélas ! suffire d’un seul ego surdimensionné, d’un seul exalté cupide, d’un seul fanatique belliciste, d’un seul va-t-en-guerre déterminé – un Homo bellicus(*) – pour corrompre la paix, mettre une communauté ou une société à feu et à sang, voire entraîner progressivement une planète tout entière dans un abîme sans fond et sans retour.
Et dans la liste interminable des conflits qui émaillent notre vieille Terre, les conflits fratricides ne doivent surtout pas éclipser la guerre matricide, la prédation primaire, l’offensive majeure, l’hostilité viscérale, l’agression foncière, intestine, continue, si répandue, si commune, si banale – et exponentielle ! – que l’homme, dans une inconscience dramatique, mène contre la Nature, contre son milieu de vie, contre sa terre nourricière, contre son propre Vaisseau… soit l’autodestruction pathologique, l’anéantissement domophagique aveugle, tragique, monstrueux, de sa propre Demeure. Quelle terrible démence ! Quel vertigineux décalage entre la puissance technologique du glébeux et sa minuscule tigelle de sagesse(*) ! Quel précipice entre notre évolution technique et notre barbarie atavique ! Une fatale erreur de la Nature ?
« Le chemin le plus court pour aller de la barbarie à la décadence passe par la civilisation ! » (Cf. le film L’aventure c’est l’aventure, de Claude Lelouch, 1972)
(*) : Le Sapiens pourtant, par définition sachant, dev(r)ait être sage. On aurait presque pu le croire. S’est-on trompé d’appellation lors de sa conception ou de gènes lors de sa fabrication ? Il eut certainement été beaucoup plus juste, plus avisé de qualifier notre race d’Homo bellicus eu égard à notre atavisme belliqueux, à nos sempiternels instincts guerriers, à notre incorrigible et morbide propension à traîner avec nous partout où nous allons, inséparables comme notre ombre, la cupidité et l’avarice, la haine et le fanatisme, la violence et la destruction.
« La guerre n’est que la simple continuation de la politique par d’autres moyens. »
(Carl von Clausewitz) (1780–1831)

Il est impossible, dans ce contexte empreint de guerres omniprésentes(*), baigné de conflits incessants, de faire l’impasse sur quelques aphorismes célèbres qui la définissent ou la caractérisent avec une savante économie de mots. D’innombrables formules ou maximes y renvoient. Dans cette très longue liste nous en avons retenu quelques-unes qui nous semblaient le mieux résonner avec l’époque que nous vivons.
(*) : Des psyops au harcèlement et à la guerre totale… Il existe des guerres sans bombes ni canons mais au final tout aussi dévastatrices que leurs homologues classiques. Toutes les guerres ne disent pas leur nom, loin de là – il en est même de profondément “silencieuses” –, mais toutes sont motivées, de près ou de loin, par la cupidité, la convoitise, la soif de pouvoir, l’abondance (ressources naturelles, matières premières…), les débouchés, la religion, etc. Guerres protéiformes, polymorphes, hybrides, plus ou moins latentes ou patentes, larvées ou aiguës, ouvertes ou secrètes, offensives ou défensives, curatives ou préventives, locales ou globales, militaires ou économiques, diplomatiques ou technologiques, biochimiques ou médiatiques, cybernétiques ou informationnelles (guerres de « 5e génération »)… guerres géopolitiques, sociales, ethniques, culturelles, monétaires (financières), judiciaires ou sportives… sanitaires, cognitives, etc… possiblement alternées ou cumulées… selon les époques, les pays… et le narratif.
Remarquons que la guerre informationnelle et médiatique occupe logiquement une place stratégique dans la panoplie guerrière. Les organes de propagande gouvernementeuse, les officines de désinformation mondiale et les services de presse des armées bénéficient de budgets colossaux… pour nous manipuler. Pour ces raisons notamment, défions-nous tout spécialement des guerres (dites) justes et des apporteurs de démocratie !
Que les naïfs ne s’y trompent pas davantage : le commerce n’est en rien étranger ou un rempart à la guerre ; il se trouve juste être son mode d’expression mineur. Il n’en est qu’un substitut au visage plus avenant… et plus sournois.
Enfin, ne nous y trompons pas, les compétitions sportives – fussent-elles olympiques – n’échappent pas aux antagonismes, aux rivalités, aux belligérances, à la guérilla… et donc à la quête frénétique d’Argent et de Gloire. Comme le précise à juste titre George Orwell, le sport c’est la guerre, les fusils en moins. Quant à Roger Caillois, il voit la guerre comme un carnaval noir, une forme noire de la fête, un sinistre et terrible exutoire.
« La guerre est l’impulsion, le commerce est le calcul. » (Benjamin Constant) (1767–1830) Aussi ces deux rôdeurs, ces deux complices ne sont-ils jamais très loin l’un de l’autre. Et pour cause ! Affaires très juteuses en perspective.
Bellum omnium contra omnes (la guerre de tous contre tous) selon le mot de Thomas Hobbes… Qu’elle soit militaire, sanitaire ou de quelque nature que ce soit(*), de basse ou de haute intensité, la guerre – et le chaos en résultant – profite toujours aux élites et aux affairistes. Et ce sont invariablement les peuples qui trinquent et en paient le prix fort – un prix exorbitant ! – par leur sang, leurs larmes et leur sueur versés.
Les empires ne tiennent que sur des guerres. En effet, les divisions, les guerres, la misère et le malheur sont les armes favorites de l’État profond pour avancer ses pions et parvenir à ses fins : dominer, posséder, régenter le monde dans l’absolutisme le plus total. Point barre.
(*) : Cf. plus haut quelques autres variantes.
« Les patries sont toujours défendues par les gueux, livrées par les riches. »
(Charles Péguy) (1873–1914)
(« mort pour la France » – selon l’expression consacrée – au tout début septembre 1914, à la bataille de l’Ourcq)

Tout pouvoir corrompt
L’argent, cet extraordinairement puissant outil de séduction, de corruption et de domination/soumission
Pointons de même que la florissante, innovante (pour ses actionnaires et ses bénéficiaires), polluante, funeste et ruineuse (pour les populations), industrie de la guerre – l’industrie de la dévastation massive, l’industrie de la mort –, qui ne connaît aucune crise, se trouve être l’un des plus puissants et rentables secteurs d’activité au monde… derrière l’industrie pharmaceutique. Encore un hasard, sans doute.
La guerre à l’échelle industrielle – Des exterminations de masse
Chaque année, chaque jour, chaque minute, les États, y compris les plus pauvres, engloutissent des sommes faramineuses dans cette perpétuelle course à l’armement. Ainsi par exemple en 2021, au niveau mondial, les États ont dépensé 2.113 milliards de dollars (soit 2,2 % du PIB total). Les cinq plus grands États en matière de dépenses militaires en 2021– États Unis (801 milliards de dollars), Chine (293 milliards de dollars), Inde (76,6 milliards de dollars), Royaume Uni et Russie – concentrent à eux seuls 62 % des dépenses militaires mondiales, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). Chiffres officiels qu’il convient d’ailleurs, pour avoir une vue plus juste de l’énormité de la paranoïa et de la mégalomanie militariste et sécuritaire – des velléités bellicistes à l’œuvre –, de retraiter en y incluant le budget du ministère de l’Intérieur (sécurité publique) ainsi que les autres dépenses connexes (publiques et privées) comptabilisées sous d’autres chapitres budgétaires. Et combien de milliards supplémentaires flambés en… cachette ?
Vous aurez également noté la militarisation croissante des forces de l’ordre dans de nombreux pays y compris ceux étiquetés comme “démocratiques” et dans ce domaine la France figure dans le peloton de tête. Quiconque a participé à une manifestation d’ampleur une fois ou l’autre l’aura forcément remarqué. Contestataires de tout poil, vous avez du souci à vous faire, la confrontation se trouve être de plus en plus asymétrique, grandement en votre défaveur. Suréquipées, l’armée de robocops, les brigades de cyborgs ne font pas de quartier. Des jours heureux en vue.
La guerre, une alternative aux calamités naturelles pour réguler la population humaine ?
(…)
Guerre de libération ou guerre de servitude : il n’y a pas de « guerre propre » !
(…)
Éros pour faire échec à Thanatos ?
Lorsque Vénus désarme Mars (Aphrodite vs Arès) – Les armes de l’amour au service de la paix : la stratégie de Lysistrata(*)
Faites l’amour, pas la guerre – Peace and Love
(*) : Cf. la pièce éponyme d’Aristophane (vers 445 av. J.-C. – entre 385 et 375 av. J.-C)
L’éloge de mœurs plus pacifiques. Tandis qu’Athènes et Sparte sont en guerre, l’Athénienne Lysistrata persuade les autres Athéniennes et femmes des cités grecques de faire la grève du sexe jusqu’à ce que les hommes reviennent à la raison et cessent le combat.
« Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris. »
Et si couper le robinet de la guerre – l’argent – ne suffisait pas pour faire déposer les armes, il reste encore, en ultime ressort, aux conjoints des belligérants à actionner le stratagème de Lysistrata : la grève du sexe pour alanguir, refroidir, détourner les ardeurs guerrières des combattants et surtout – surtout ! – pour stimuler leur libido, échauffer leur instinct génésique, les rappeler à de bien meilleures, pacifiques – et plaisantes – occupations !
Incitation qui n’aurait vraisemblablement pas déplue à Pierre Desproges (1939–1988), lui qui déclarait : « L’ennemi, c’est comme le sexe. Faut tirer dessus de temps en temps pour avoir la paix. »
(…)
„The World is a business (…) The World is a Corporation“
(Film Network, 1976)

Les Rois de la Guerre
Le complexe militaro-scientifico-médico-industriel sur tous les fronts
L’alliance du pouvoir et du savoir – Le mauvais génie des hommes – Le rêve prométhéen
De l’Orgueil et de l’Ego – Du chaos et des parasites
Lorsque la force légitime le droit
Sans développer les notions de guerres picrocholines ou intestines (guerres civiles, etc.)… Constatons par ailleurs que la guerre kaki(*) à grande échelle – à la dimension des armées et des pays – dispose de son pendant microscopique, biochimique, cellulaire, nanométrique, la guerre blanche… deux domaines, deux niveaux d’intervention et d’expérimentation par excellence. D’ailleurs, ces deux entités, l’institution militaire et le corpus scientifique – et notamment médical – ont, dans toutes les armées du monde, scellé des alliances pour le meilleur mais aussi, hélas, surtout pour le pire. L’histoire de la mise au point de la première bombe atomique est reléguée aux oubliettes. Honte à tous les contributeurs de telles horreurs !
(*) : Notons au passage que l’adjectif kaki – issu de l’hindoustani – signifie littéralement « couleur de poussière »…
Lorsque la capacité de faire surpasse la capacité de penser, le péril redouble (cf. Hannah Arendt)
Lorsque la passion l’emporte sur la raison – L’humanité souillée
La course à l’abîme
Lorsque soufflent les vents fous – À Hiroshima et Nagasaki, ils ne se posent plus de question…
Enfin, et pas le moindre… Ne nous leurrons pas, les guerres, de plus en plus, renvoient à de terrifiantes boîtes de Pandore. Les ouvrir est une chose, les refermer, une toute autre. Une fois ouvertes, elles échappent totalement à leurs protagonistes comme la créature, un jour ou l’autre, échappe fatalement à son créateur. Dès lors, elles deviennent, tout comme ce qu’il en jailli, incontrôlables. Elles semblent agir par elles-mêmes, animées d’un élan intrinsèque, mues par une dynamique interne monstrueuse. Le potentiel destructeur des puissances modernes est inouï. Ces portails de malheurs convoquent des forces infernales, ils allument des feux effroyables, ils déchaînent des pouvoirs épouvantables, ils libèrent des énergies chtoniennes dont personne, absolument personne ne peut avoir idée des terribles et incommensurables conséquences que leur ouverture – malencontreuse ou délibérée – aura mis en branle. L’Histoire du XXe siècle et de ce premier quart du XXIe ne nous le démontre-t-elle pas de façon frappante ?
Ne devraient pouvoir décider en dernier ressort d’une guerre que ceux qui, dépourvus d’esprit de revanche,
en ont déjà antérieurement souffert dans leur cœur comme dans leur chair et qui par la même occasion ont vu la mort en face.
Défendons avec courage le peu d’humanité qu’il nous reste
Résister vaille que vaille à la noirceur du monde
Bannir à jamais la guerre… ou disparaître pour de bon
Pour répondre à Charles de Montesquieu (1689–1755)… Lequel d’entre ces deux belligérants est le plus à blâmer : celui qui déclare la guerre ou celui qui l’a rendue inévitable ?
Debout l’Humanité !!
Et si nous gagnions la… paix ?!
Suivre la voie de la sagesse
La guerre n’est jamais une solution. Elle n’est qu’une triste, sinistre, catastrophique fuite en avant.
Et si nous essayions une fois la paix… ? Sincèrement ! Pacifiquement ! Joyeusement ! Pour infléchir et changer notre trajectoire funeste, pour supplanter les forces belliqueuses et destructives qui nous tiennent sous le joug, pour un avenir plus apaisé pour tous les habitants de la planète… peuples, nations, hommes et femmes de la Terre entière, unissons-nous, unissons-nous pour forger tous ensemble, avec lucidité, résolution, courage, les armes de la Concorde et de la Fraternité ! Unissons-nous avant qu’il ne soit trop tard. Avant que nous nous envoyions tragiquement en l’air. Avant le feu d’artifice final. Avant la descente aux enfers terminale. Avant la vitrification. Avant le Brasier de l’Apocalypse. Avant que nous nous autodétruisions collectivement… et notre si belle planète avec nous.
Le monde a d’énormes affinités avec le démon, ne l’oublions pas, cela est écrit sous nos yeux. Oui, sous nos yeux. Sous nos yeux.
« Une civilisation qui produit beaucoup de connaissances et peu de sagesse est vouée à l’extinction. »
(Isaac Asimov) (1920–1992)
À bon entendeur…

–oOo–
Qui terre a, guerre a.
(Proverbe)
« S’assurer une centaine de victoires en une centaine de batailles n’est pas se montrer très habile.
Le summum de l’habilité, c’est vaincre sans combattre. »
(Sun Tzu) (544–496 av. J.-C)
« La raison du plus fort est toujours la meilleure »
(Jean de La Fontaine, Le Loup et l’Agneau) (1621–1695)
« Voyez tout le sang que coûte un triomphe. Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes.
La vraie gloire, c’est de l’épargner ».
(Louis XV au Dauphin, au soir de la bataille – victorieuse – de Fontenoy, le 11 mai 1745)
« Depuis six mille ans, la guerre plaît aux peuples querelleurs,
et Dieu perd son temps à faire les étoiles et les fleurs. (…) »
(Victor Hugo) (1802–1885)
« On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels. »
(Anatole France) (1844–1924)
« La guerre est une affaire trop sérieuse pour être confiée à des militaires. »
(Georges Clémenceau) (1841-1929)
« La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens
qui se connaissent bien mais ne se massacrent pas. »
(Paul Valéry) (1871–1945)
« L’homme est partout l’ennemi de lui-même, son secret et sournois ennemi. »
(Georges Bernanos) (1888–1948)
« La guerre est le cœur de l’État capitaliste. »
(Jean Giono) (1895–1970)
« Si l’humanité ne met pas fin à la guerre, la guerre mettra fin à l’humanité. »
(John Fitzgerald Kennedy) (1917–1963)
« Pourquoi nous prendre par la force ce que vous pourriez obtenir par l’amour ? »
(King Wahunsinacook)
« Toutes les décisions qui engagent des vies humaines sont prises par ceux qui ne risquent rien. »
(Simone Weil) (1909–1943)
« Le courage est le prix que la vie exige pour accorder la paix. »
(Amelia Earhart) (1897–1937)
« L’ennemi est bête : il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui ! »
(Pierre Desproges) (1939–1988)

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Photo : Richard Heim
« La paix n’est pas dans le monde, mais dans le regard de paix que l’on porte sur le monde. »
(Jacques Lusseyran) (1924–1971)
Depuis six mille ans la guerre (V. Hugo) : https://www.poemes.co/depuis-six-mille-ans-la-guerre.html
(…)
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