« L’esclave se demande si c’est légal.
L’homme libre se demande si c’est juste. »

SOYEZ LIBRES !

Réveillez-vous !! Secouez-vous de votre torpeur !!
Sortez de vos prisons mentales ! Cessez de collaborer !
Cessez d’obéir à des ordres criminels !

Dans une démocratie digne de ce nom, la liberté est la règle, l’interdiction, la police, l’exception.

Les geôliers nous privent-ils de sortir ? Qu’à cela ne tienne. Libérons-nous ! Évadons-nous ! Et massivement ! Ils deviendront alors leurs propres gardiens. Les matons, les gardes-chiourmes, les cerbères de leur propre morgue – et morve. Les spectateurs de leur propre vanité. De leur propre médiocrité. De leur propre vacuité. De leur propre caducité. De leur propre nullité.

Un homme prévenu en vaut deux.

Que será será
Advienne que pourra, advienne que devra !
Bonne chance !… À la grâce de Dieu !… Mazal Tov !… Inch’Allah !…
Comme le cœur vous en dit.

Un citoyen sévèrement indigné par l’ampleur du covidiotisme

« Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »
(Étienne de La Boétie) (1530–1563)

Revenir d'urgence à la raison !

Défiez-vous de la peur – Raison fait force de loi
Rejetons la liberté de se taire et de se terrer !
Attention contremarche en route !!

Le seul droit – la seule liberté – nous restant serait donc, à entendre nos geôliers, de fermer not’ gueule, de nous plier à leurs diktats et de nous faire injecter… Montrons-leur de quel bois nous sommes faits !
J’engage vivement celles et ceux qui ne connaîtraient pas la Charte de Biderman (et ses huit critères de torture psychologique) à la lire d’urgence.

À propos du despotisme et de la tyrannie de la pensée unique, il faut inlassablement rappeler ces mots poignants de Martin Niemoeller, ministre du culte luthérien ayant connu les années noires de l’Allemagne nazie : « Ils sont d’abord venus pour s’en prendre aux communistes, mais je n’étais pas communiste alors je n’ai rien dit. Ensuite ils sont venus pour s’en prendre aux socialistes et aux syndicalistes, mais je n’étais ni l’un ni l’autre, alors je n’ai rien dit. Puis ils sont venus pour s’en prendre aux juifs, mais je n’étais pas juif, alors je n’ai rien dit. Et puis quand ils sont venus pour s’en prendre à moi, il n’y avait plus personne pour me défendre. »(*)
(*) : Mots repris par Franck Pavloff dans Matin brun que je vous invite à lire (qui n’a rien à voir avec l’histoire du chien de son homonyme (Pavlov)… quoique… ?)…
Et un beau jour, c’est moi qu’ils sont venus arrêter…. et personne n’a rien dit et rien fait non plus.

D’ailleurs, comment ne pas évoquer aussi, inévitablement, les troublantes et inquiétantes (!) conclusions des travaux du psychologue américain Stanley Milgram sur la soumission à l’autorité réalisés en 1963(*1)… qui entre autre inspirèrent Henri Verneuil pour son film I… comme Icare (1979). Le même concept a été repris – et vérifié – dans le faux jeu télévisé La Zone Xtrême diffusé en 2010 sur France 2(*2). Dans ce registre, mentionnons aussi l’expérience de Stanford (parfois aussi surnommée effet Lucifer), une étude – discutable – de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale. Voyez aussi les études de Gregory Bateson et de son école de Palo Alto (Californie).
Décidément, de quoi frémir et potentiellement regarder autrement votre sympathique voisin…
À rapprocher également de Fahrenheit 451 (François Truffaut, 1966) (adapté du roman de Ray Bradbury), ou d’Orange mécanique (Stanley Kubrick, 1971) (adapté du roman d’Anthony Burgess), etc, etc…

(*1) : Selon les conditions de l’expérience (maintes fois répétée), entre 63 % et 87,5 % (avec une moyenne de 71,2 %) des individus testés peuvent, en s’acquittant simplement de leur tâche, devenir les agents d’un atroce processus de destruction.
(*2) : D’après le documentaire Le Jeu de la mort. Plus de 60% des candidats ont accepté d’envoyer des doses mortelles à leur congénère ! Dans d’autres expériences le pourcentage grimpe à plus de 80% !

Csq obéissance ou désobéissance [Zinn]

Indignez-vous ! aimait à répéter feu Stéphane Hessel (1917-2013). Ressaisissons-nous !! Résistons !! On se doit de désobéir à des criminels.
Quand des lois sont iniques, les combattre est un devoir civique et citoyen. Comment respecter des consignes si évidemment contraires au bon sens, à l’éthique et à la morale ? Sortons des cages dans lesquelles les puissants de ce monde essayent de nous contraindre !

Rallumer le Phare de l’humanité et des Droits de l’Homme !

Faisons donc nous aussi, comme l’a fait avant nous Boris Vian [lors de la guerre d’Indochine], une lettre à Monsieur le Président… Et jetez aux orties vos muselières, vos gels, vos visières, vos pass et les injonctions à vous faire vaxxiner.
(Re)voici quelques extraits du Déserteur :

« Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps.

Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir.

Monsieur le président,
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens.

C’est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise [/ var. Les guerres sont des bêtises],
Je m’en vais déserter [/ var. Le monde en a assez].
(…)
Et je dirai [/ crierai] aux gens :

Refusez d’obéir
(…)
S’il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n’aurai pas d’armes
Et qu’ils pourront tirer. »

Serions-nous Francs pour rien ?!
Aurions-nous donc totalement oublié, nous Français et Françaises autant que nous sommes, que ce qualificatif – ainsi que le nom, l’appellation, l’étymologie de notre beau pays – vient de Franc(s)… mot qui signifie affranchi(s), LIBRE(S), hardi(s) ?! Une fraction du peuple, autant que l’Éducation Nationale et ceux qui nous dirigent semblent l’avoir depuis (très) longtemps oublié.

Résistons ! Tenez bon, ne cédez rien !
Pronunciamiento civil
Armez vos esprits – La résistance triomphera

« Qui veut vivre est condamné à l’espoir », témoignait un des très rares rescapés des camps de la Solution finale. Il est tout aussi urgent que vital de ne plus céder même un seul pouce de terrain aux despotes actuels. « Le verbe résister doit toujours se conjuguer au présent » confiait la célèbre résistante Lucie Aubrac (1912-2007). Du reste, le mot d’ordre de la Résistance française durant la seconde guerre mondiale n’était-il pas « Vivre libre ou mourir » ?

Défendons ardemment la liberté d’être une cheville ronde dans un trou carré. Selon le bon mot « Exister, c’est résister ». Alors résistons ! Résistons à ceux qui veulent nous enterrer vivants. Résistons avec douceur. Résistons avec ferveur. Résistons avec amour. Résistons avec sagesse. Résistons avec ardeur. Résistons avec plaisir. Résistons avec malice. Résistons avec finesse. Résistons avec élégance. Résistons avec panache ! Résistons joyeusement. Chacun à sa manière. Chacun à sa façon… Et profitons de l’aubaine pour faire de cette résistance un petit supplément de bonheur partagé quotidien !

Oui, la tenue du monde, c’est la tenue de ses habitants… La tenue de chacun de ses passagers. Chaque citoyen est acteur du destin de la collectivité. Chaque humain est dépositaire de l’avenir de l’humanité tout entière.
À l’instar des sages africains qui prient chaque soir pour inviter le soleil à renaître le lendemain matin, pour maintenir l’équilibre et l’harmonie du monde – sans cesse menacé par le chaos –, et comme l’écrivait merveilleusement bien Christiane Singer (1943–2007)… « Chaque matin, les hommes et les femmes qui prennent soin de la parcelle du réel qui leur est confiée sont en train de sauver le monde, sans le savoir. »
Oui, nous sommes ces garants du quotidien, ces veilleurs du Vivant, ces gardiens de la biodiversité, ces soigneurs de l’Existence, ces sentinelles de la néguentropie, ces défenseurs de la Liberté, ces protecteurs de l’Humanité et de la solidarité avec les autres formes de Vie. Nous sommes tous ces colibris. Nous sommes cet Espoir qui se lève. Nous sommes le changement d’ère. Nous sommes tous Le Monde. Il coule dans nos veines… Et, soyons sans craintes, quoi qu’il arrive, nous survivrons en Lui.
Brise tes chaînes ; seul est libre l’être qui a pu s’affranchir des illusions, prévient, sans ambages, le sage.

Sécurité vs liberté (cage oiseaux)

Citoyens, à vos scoubidous !

« Le peuple doit combattre pour sa loi comme pour ses remparts » avertissait déjà Héraclite (vers 544-541 av. J.-C.– 480 av. J.-C.) des siècles avant notre ère. « La désobéissance civile devient un devoir sacré quand l’État devient hors-la-loi ou corrompu » affirmait Mahatma Ghandi (1869–1948). « Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes », déclarait Martin Luther King (1929–1968) – Les deux leadeurs charismatiques ont d’ailleurs été assassinés… comme c’est bizarre ! Comme le furent du reste aussi, par exemple, Le Bouddha (?), Socrate, Sénèque… et tant d’autres libres penseurs, au fil des siècles – de même que, très récemment, Georges Wolinski, Bernard Maris, etc. – dont la vie fut également quelque peu… « abrégée »… par leurs acariâtres et sanguinaires contradicteurs, brûlés qu’ils le furent – physiquement ou symboliquement – sur le bûcher de leur prétendue – et prêtée – hérésie par les funestes tyrans de la pensée unique intolérante et fanatique.
Pour Albert Einstein (1879–1955), « Le droit de tout homme est d’écouter sa conscience et son devoir, d’agir selon ce qu’elle lui dicte. ».

Rappelons à ce propos que la Constitution du 24 juin 1793(*) – complétant la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 – stipule expressément :
– article 9 : La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent.
– article 25 : La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.
– article 31 : Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n’a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.
– article 33 : La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme.
– article 34 : Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.
article 35 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour  chaque portion du peuple, le plus sacré des devoirs et le plus indispensable des devoirs.

(*) : Hélas non reconnue par le Conseil Constitutionnel comme composant du « bloc de constitutionnalité ». La censure et la répression sont passées depuis l’écriture de ce texte.

Et puis…

Tremblez, tyrans et vous, perfides,
L’opprobre de tous les partis !
Tremblez ! Vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix. (Bis)
Tout est soldat pour vous combattre.
S’ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre.

Les plus avertis d’entre vous auront peut-être reconnu le 4ème couplet de la Marseillaise.

Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !


Et voici le septième, dit « couplet des enfants »

Nous entrerons dans la carrière,
Quand nos aînés n’y seront plus ;
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus. (Bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !

Rappelons aussi la première strophe du « Chant du Départ »

La victoire en chantant
Nous ouvre la barrière.
La Liberté guide nos pas.
Et du Nord au Midi
La trompette guerrière
A sonné l’heure des combats.
Tremblez ennemis de la France
Rois ivres de sang et d’orgueil.
Le Peuple souverain s’avance,
Tyrans descendez au cercueil.

Refrain :
La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.

(…)

… Et aussi la première strophe du « Chant des Partisans »

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne ?
Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme.
Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes
.

Il en va de notre avenir, de notre honneur, de notre dignité, de notre survie d’Homme, de notre humanité.

À Dieu va !
Hauts les cœurs, les amie(s) !

Puissent ces hauts idéaux nous inspirer l’action juste ainsi que le courage et la détermination de la mener à bien !
Les réinitialiseurs seront réinitialisés

À bon entendeur, salut.

Victor Hugo – encore… – Quel génie engagé !
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,
Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,

(…)

« Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action. »
(Victor Hugo) (1802–1885)

Tag d’un printemps confiné, muselé… volé. Tout y est dit !!
Immortalisation de la dinguerie sécuritaire. La mémoire demeure même si certains cherchent à l’effacer à tout prix.
Protestation graphique soigneusement supprimée – par les brigades de la Salubrité publique, selon toute vraisemblance – quelque temps après la prise de ce cliché. Question de « sssécurité », sans doute !

Crédit photo : Richard Heim

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