Dans la série « Kovid les poches »
« On ne peut rien comprendre à la politique si on ne voit pas
qu’on est gouverné par des traîtres »
(Étienne Chouard)
! RIDEAU !
Fermeture de mon cabinet
et suspension sine die de mes consultations
Les ravages du sanitarisme totalitaire

… pour cause d’idiocratie, de covidiotisme…
de prise en otage et de déferlement totalitaire
… EFFONDREMENTS EN COURS …
Voilà plus de quatre ans déjà (!) que je suis entré en grève – j’aurais pu écrire en guerre – totale et illimitée, en phase de résistance frontale et délibérée contre l’odieuse imposture sanitaire, contre l’ignoble mascarade covidiste, contre la tyrannie sécuritaire décrétée par nos gouvernants(*1). En effet, je ne peux – et surtout ne veux ! – en aucune manière cautionner ce qui se passe dans notre pays depuis quelques années et spécialement accepter le totalitarisme pseudo-sanitaire opportunément mis en place depuis le début de l’année 2020. J’affirme haut et fort que ce que l’enfumeur et emmerdeur en chef a réussi à nous imposer, avec la complicité – active ou passive – du gouvernement, du Parlement, du Conseil constitutionnel… de la justice, des forces de l’ordre, des corps intermédiaires… des médias et de (trop) nombreux Français, s’avère gravissime, immonde, criminel. Je suis profondément révolté par notre répugnante passivité collective(*2) devant cette ignoble forfaiture. Je comprends fort bien qu’il y ait des individus pressés et même très pressés de ”tourner la page” covid, de la chasser de leur mémoire, de l’oublier au plus vite(*3) – et pour cause ! – mais ce n’est pas mon cas. Il est hors de question pour ce qui me concerne de clore cette poussée totalitaire disruptive et dystopique, de boucler ce stupéfiant épisode coronaviral, aussi longtemps que Justice ne sera pas passée et tant qu’une réelle prise de conscience collective de cette folie ne se sera pas ostensiblement manifestée dans notre pays(*4). – Je ne lâcherai pas le morceau avant, je me battrai jusqu’au bout dans cette optique. – Par ailleurs, je ne reprendrai aucune activité en France tant que ces ordures(*5) seront au pouvoir(*6). Autant dire que je ne m’y réinstallerai pas avant longtemps… voire jamais !
Et si cette dictature s’accentue de plus belle… ça tombe bien, ma détermination aussi.
(*1) : Et, à compter du 15 septembre 2021, en soutien inconditionnel aux personnels (soignants, pompiers, militaires, etc.) ignoblement exclus de leur emploi en raison d’une obligation vaxxinale covid inique et totalement injustifiée.
(*2) : D’autant plus révolté que cela fait des décennies et des décennies que l’on nous mène allègrement en bateau et qu’une pantalonnade succède à une autre à un rythme effrayant sans que cela pose le moindre problème à l’énorme ventre mou, flasque, veule, de notre pays.
(*3) : Dont un nombre conséquent de dirigeants, de « responsables » et de relais covidiots afin de bénéficier quoi qu’il en coûte d’une amnistie – amnésie – collective !
(*4) : Il faut absolument pincer fort, très fort même, les instigateurs de la mise sous verrou du pays et ainsi dissuader l’État policier, la Société de surveillance – nos geôliers qui ne cessent de nous pousser dans cette direction – de toute velléité de récidive !
(*5) : Si ce terme vous gêne, vous pouvez, sans perte de sens aucune, le remplacer par « pourritures », le mot « fumiers » étant bien trop tendre et valorisant pour qualifier les crapules de cette espèce. Allez vous faire f****e, bande de truands !!!
(*6) : Étant donné l’état de déliquescence avancé, la démocrature sordide et le progressisme forcené qui règnent dans ce pays, plus le temps passe et davantage il se confirme que je n’y reprendrai plus aucune activité. Un constat malheureusement de plus en plus partagé par les forces vives émigrantes. À ce rythme extravagant, il ne restera bientôt en France plus qu’un ramassis de politichiens pourraves assisté d’une armée d’esclaves pour les faire exister. Bye-bye les malfrats et les benêts !!
Septembre 2020 – Mis à jour en novembre 2020
+ quelques ajouts ultérieurs
AU SECOURS ! NOTRE MONDE A TOURNÉ FOU !!
Mais dans quel monde infernal suis-je – sommes-nous – donc tombé(s) ?!
Un tsunami d’absurdités – Un déluge d’idioties – Kafkaïen !!
Une société devenue folle à lier – Lorsque l’absurde explose de partout
Grave dérive idéologique et totalitaire
Voici donc, comme promis, quelques nouvelles du front / d’une démocratie moribonde, fantôme / d’une dictature montante.
Stop ! N’en jetez plus !!
La saga covid, une ignominie sanitaire
Trop c’est trop ! Halte à la folie coronavirale !
Des mesures liberticides exorbitantes
La coupe est plus que pleine ! À gros flots elle déborde de tous côtés !
En marche – et en force – vers un nouveau totalitarisme
Une déferlante totalitaire
Vive protestation contre la dinguerie et l’oppression sécuritaire – Fi de la tyrannie et de la camisole techno-sanitaire !
En réponse à la violence de la dictature techno-médicale et de ses innombrables relais volontaires et involontaires
Nouvelles d’un covidé économique… et peut-être, très prochainement, social
L’inique politique de nos dirigeants et l’effarante soumission des populations me consternent !
Nous y voilà !!
Déjà vertement échaudé par les deux mois de CONfinement général despotique du printemps dernier [2020](*1) – non indemnisé pour ce qui me concerne(*2) – et durement impacté par le contexte anxiogène et économiquement dépressif / récessif qui l’a précédé et surtout qui s’en est suivi, je vous laissais entendre au début de cet été [2020] que je pourrais bien suspendre sine die mes consultations, fermer mon cabinet et prendre un congé sabbatique au long cours – façon grève totale, version débrayage illimité, mode boycott absolu – eu égard au délirant climat sécuritaire, en protestation contre l’invraisemblable surenchère dans les contraintes sanitaires et les mesures restrictives imposées par nos gouvernants(*3)…
Voilà chose faite. La coupe, en effet, a débordé. Beaucoup débordé. Beaucoup beaucoup débordé. Elle n’en finit d’ailleurs pas de déborder ! Chaque jour nouveau déversant ses tombereaux de motifs d’indignations et de révolte.
Je refuse catégoriquement de me plier à cette sinistre mascarade, d’exercer dans ces conditions absurdes et ne reprendrai pas mon activité tant que durera la dictature (sanitaire, sécuritaire, vaxxinale, numérique… ou quelle qu’en soit, en définitive, sa nature).
Et si tous les inessentiels de ce pays se donnaient la main… Si toutes les activités et professions déclarées péremptoirement non essentielles étaient solidaires entre elles et se mettaient en grève illimitée, nos gouvernants n’auraient pas d’autres choix que de CAPITULER rapidement !… Hélas cette synergie ne s’est à aucun moment produite et ne semble pas prête de l’être. Question d’individualisme ou d’égoïsme notamment ? À moins tout simplement que la peur soit en effet plus contagieuse que le courage.
Déjà bien instruit par l’épisode de la grippe A (H1N1) en 2009-2010, j’ai très vite compris début 2020 que nous ne sortirons pas de sitôt de l’auberge – de la fable – covidiote. Et mes mauvais pressentiments s’avérèrent rapidement fondés. Avec les capitaines guignols ad hoc que continûment nous connaissons à la barre, les fourberies, les coups bas et les traîtrises pleuvent en permanence sur le peuple comme les calamités et la misère sur le monde.
En cet automne 2020, les sombres perspectives d’évolution – officielles – de l’épidémie propagées par les merdias menteurs, le maintien de la ligne dure sanitaro-dictatoriale et le spectre de reconfinements à venir n’augurent hélas pas un redémarrage prochain de mon activité. Pour la plupart d’entre nous, le retour des jours heureux promis par les dents du bonheur risque d’attendre encore de longues lunes et la prospérité escomptée – et annoncée – aura toutes les chances d’être celle de la misère et de la désolation.
Quoi qu’il en soit, je ne reprendrai AUCUNE activité en France tant que durera la dictature techno-sanitaire – ou tant que planera une telle menace – et tant que la funeste clique actuellement au pouvoir dirigera le pays. Je subordonne la reprise de mes consultations à la levée complète et durable des restrictions sanitaires décrétées(**) par les pouvoirs publics – si tant est que ces mesures soient un jour (à une échéance raisonnable) assouplies à nouveau, que l’horizon politique et économique se soit substantiellement éclairci, ET que je sois à ce moment-là encore disposé à reprendre mon activité.
Autant dire que je ne suis pas sûr du tout de me réinvestir dans l’ouverture d’un cabinet dans ce pays en état de délabrement avancé où la chasse aux sorcières continue de sévir activement et où les conditions d’exercice sont devenues extrêmement contraignantes, dissuasives, pour ne pas dire impossibles.
(**) : Y compris l’infâme tyrannie vaccinale – assortie de son pass nazitaire –, tyrannie à laquelle je ne suis pas près de succomber n’étant foncièrement ni achetable, ni hackable, ni convertible !
Compte tenu de la monumentale dégradation de mes conditions d’exercice ces dernières années (cf. plus loin ci-dessous), il me faudra réussir à rassembler une grosse dose de courage, de motivation et d’abnégation pour renouer avec ma pratique. Dans cette conjoncture fâcheuse, je ne rouvrirai donc pas mon cabinet de si tôt – notamment si c’était à Paris – c’est-à-dire pas avant de longs, de très longs mois.
Je l’ai d’autant plus mauvaise que, compte-tenu de mon entrée tardive sur le « marché du travail », je n’aurai droit à une retraite à taux plein qu’à partir de l’âge de 67 ans… et qu’en conséquence j’envisageais de poursuivre mon activité libérale au moins pendant encore cinq voire six ans.
(*1) : Essentiels contre inessentiels. Mon activité – pourtant relative à la santé naturelle –, ayant elle aussi été commodément considérée comme « non essentielle » aux yeux des autorités, au même titre par exemple que les « petits commerces », les soins et les services à la personne(**), la culture et les lieux de vie recevant du public… – soit la société de voisinage, les lieux de convivialité et les métiers de la main et du cœur, bref, toutes celles et tous ceux – a priori – ne servant plus à rien dans notre monde individualisé, marchandisé, aseptisé, numérisé, formaté, packagé, mondialisé. Une preuve supplémentaire, si besoin en était, pour nous signifier clairement leur essentiel à eux. Corruption subtile du langage pour désigner ce qui d’après eux est « utile » ou « non utile » à l’aune de la seule production capitaliste.
(**) : Bien que cela les dépasse de très loin, n’en déplaise aux ayatollahs techno-sanitaires, les soins du corps sont aussi des soins de l’âme (même si nombre d’entre eux réfutent totalement l’existence de cette dernière).
Un petit aperçu de la « société de vigilance »(**) si chère à Macron et à ses patrons
(**) : Société de « vigilance » en novlangue, soit de « surveillance – flicage » en langue ancienne.
À ce propos, voici quelques situations vécues… Des trois mois et demi que dura la mise sous verrou du pays en 2020, la chasse au gibier n’a pas fermé du tout – ni d’ailleurs la traque aux contrevenants à l’enfermement –, ni même les courses et raids de quads et de motos-cross en forêt, les trafics en tout genre ou le brûlage de voitures en « zones sensibles » – sport oblige. J’en ai été témoin. Par contre les promenades sur les plages désertes ou sur les chemins de randonnée isolés étaient largement prohibées – sécurité oblige. Un artisan que je connais a été verbalisé au tout début du premier confinement car il était parti avec sa femme faire des courses (pour l’ensemble de la famille) ; motif de la contredanse : son épouse avec qui il partage sa vie – et aussi son lit – avait le tort – l’outrecuidance – d’être assise à côté de lui dans sa fourgonnette ! Par endroits, des promeneurs supposément délinquants – pour ne pas dire criminels – furent même traqués en hélicoptère ! Traverser la rue sans le papier ad hoc – l’attestation de déplacement dérogatoire ou auto-autorisation, si si ! – pour échanger quelques mots avec votre voisin d’en face pouvait vous valoir une prune ! Le grand jeu répressif, quoi ! Avec, summum de l’imbécilité, l’appui de collabos très zélés… comme au bon vieux temps.
Fort avec les faibles, faible avec les forts, intransigeant avec les humbles, complaisant avec les puissants, rogue avec les pauvres, affables avec les riches, charmant avec les grands, chien avec les petits… on ne connaît que trop bien la triste chanson.
Pire encore. Il se trouve que durant les confinements, jusqu’à sept appels sur dix reçus par la police et la gendarmerie dans les grandes métropoles françaises étaient des dénonciations en bonne et due forme !! Des « informateurs » très diligents : « Il joue encore au ballon en bas avec ses enfants ! », « Ça fait la deuxième fois aujourd’hui qu’elle va promener son chien ! », « Ils sont rentrés seulement à 20h06 ! » (soit six minutes après le début du couvre-feu) [Heure limite abaissée à 18h00 quelques semaines après.] Etc. Consternant ! Effarant ! Effrayant ! Qu’est-ce que cela donnera le jour où il y aura une carotte au bout de la délation ?! Je ne cesse de m’interroger sur la nature humaine. Et plus je m’interroge et plus elle me sidère.
La bienséance et la place ici disponible me retiennent de commenter plus avant ces inepties de collabos, de petits kapos, de chefaillons, de reîtres, de gangsters minables dotés ou non d’un uniforme et d’un carnet de verbalisation, d’épiloguer sur ces agissements de soudards, de voyous de bas étage imbus – grisés, ivres – de leur pouvoir d’emmerder le monde et surtout les honnêtes gens.
(*2) : Une véritable prise en otage. Deux mois de vacances forcées, arbitrairement assigné à résidence… sans encaisser le moindre sou mais avec toutes les charges fixes – dont les loyers immobiliers (à Paris) – à régler comme d’hab – et sans dérogation ! Deux mois pleins d’emprisonnement durant lesquels l’État d’exception m’a empêché de gagner ma vie, me suffisent grandement. Chat échaudé craint l’eau froide, dit-on. Dieu merci ! je ne veux même pas le quart d’un enfermement en plus, fût-il toujours jupitérien et gratos lui aussi. D’où ma décision de fermer mon cabinet au plus vite et de me mettre à l’abri de la tyrannie de nos gouvernants.
Effectivement, en raison de mon statut juridique et fiscal, je ne bénéficie d’aucune réduction de charges ni d’aucune mesure d’aide ou de soutien de la part des pouvoirs publics en compensation de l’interdiction d’exercer consécutive à l’enfermement strict et autoritariste décrété – et nous sommes nombreux dans cette déplorable situation. En effet, depuis que j’ai quitté, excédé par son incurie, le Régime Social des Indépendants (RSI) – un fléau institutionnel ! – j’exerce en « hébergement salarial » (« hors contrat » pour être très précis), catégorie professionnelle comptant des milliers et des milliers de travailleurs indépendants complètement exclus des indemnisations covid, en dépit des annonces – aussi arrogantes que mensongères et tonitruantes – des huiles rances qui nous rôtissent.
En revanche, y a-t-il seulement un seul politicien français – surtout en haut de la pyramide – qui n’ait PAS touché – palpé – rien qu’une fois – son salaire, son indemnité, ses émoluments ou ses primes en 2020 ?!
Peut-être publierai-je ici un jour prochain, pour illustrer l’absurdité du CONfinement et l’iniquité de la pression fiscale, le courrier que j’ai adressé à ce propos dès avril dernier [2020] à l’administration des Impôts (avec le Conseil Départemental et la rédaction de deux journaux régionaux en copie).
(*3) : Une inutile et contre-productive tyrannie sanitaire. Depuis le début, cette séquestration m’apparaît être une insulte à l’entendement, cette assignation à résidence, une offense à l’intelligence, ces injonctions, une déraison. De même que l’imposition systématique et inconditionnelle du port du masque 24h/24 7j/7 en maints endroits (cf. la contagion règlementariste frénétique de cette fin août 2020). Ainsi je refuse catégoriquement de vivre cloîtré, bâillonné ou muselé. Ou encore, par exemple, d’accueillir et d’aborder mes client(e)s avec des gants – fussent-ils médicaux et garantis hypoallergéniques -, visière en plexiglas rivée sur la tête.
À la bêtise de continuer de circuler activement et à la débilité publique de filer contre vents et marées son aliénation en ces mois de septembre et octobre 2020. Le cours des évènements, nationaux et mondiaux, en cet mi-automne 2020 – et notamment la perspective d’un reconfinement imminent – me conforte indiscutablement dans ma décision d’avoir totalement suspendu mes consultations.
À ce propos, le couvre-feu(*) (avancé à 18h00 en janvier 2021) s’apparente à un CONfinement masqué, à un régime carcéral de semi-liberté dans lequel votre journée se résume à métro-boulot-conso-dodo et qui concentre les foules sur des heures de pointe et une amplitude horaire réduite à seulement 9 heures (transports, commerces, services, etc.). Connaissez-vous en effet beaucoup d’individus prêts à avancer leur réveil de deux ou trois heures pour décaler en conséquence leur journée… plus est, l’hiver ? Dans ma profession où une large majorité de la clientèle concerne des actifs travaillant en journée, c’est le créneau horaire de la fin d’après-midi – début de soirée qui se trouve être, en temps normal, le plus demandé alors même qu’il nous est expressément demandé de fermer nos cabinets à 18h00 au plus tard. Soit une perte d’au moins deux heures d’activité, sinon trois (puisqu’il est demandé à la populace d’être calfeutrée chez elle dès 18h00).
(*) : Comme si le virus disposait d’une horloge intégrée lui permettant d’être plus agressif encore la nuit que le jour !
Nota bene : Il convient de bien garder à l’esprit que le vécu de la crise covid et son analyse peuvent s’avérer potentiellement très divergents selon que, durant le confinement, l’on a pu ou non poursuivre son activité professionnelle – ou à défaut, bénéficier du chômage partiel et/ou de mesures compensatoires – ou alors, au contraire, que l’on y a – souvent sans dédommagement aucun – perdu et son gagne-pain et son utilité sociale.
Probablement en va-t-il de même lorsqu’un, voire plusieurs, de ses proches ou de ses connaissances ont malheureusement succombé à l’épidémie virale, que le sars-cov2 en soit la cause directe ou non.
Toujours est-il que les décédés ne reviendront pas pour autant à la vie, et que la vie de dizaines, de centaines de millions, de plusieurs milliards de Terriens aura été durablement chamboulée par la psychose sécuritaire.
Et dire que si nous avions été suffisamment nombreux, dès le départ, à nous opposer au délire covidiste, le corona circus se serait très vite totalement dégonflé, désintégré… et le récit apocalyptique avec lui…
À celles et ceux qui se poseraient encore des questions…
« Signe de notre obsession productiviste, l’inessentiel, c’est la fête. » (Gaspard Koenig)
(L’évidence avait déjà été mise en lumière et analysée, au XIXe siècle, notamment par Karl Marx)

RÉSISTER OU CAPITULER
Vivre pour vivre… ou vivoter pour trimer et consommer (y compris des masques, des médocs et des vaxxins)
Je ne sais ce qu’il en est pour vous, mais en ce qui me concerne, j’ai mieux à faire que me confiner gratuitement, me masquer à longueur de journées, me distancier socialement, me geler les mains cinquante fois par jour, me couvre-feuer et me faire inoculer une chimère en attendant de très hypothétiques jours meilleurs ! Je suis fatigué d’entendre les politiciens prophétiser que grâce à leurs actions – et surtout inactions – nos lendemains se trouveront embellis car je n’ai jamais vu la couleur de mes jours s’améliorer de leur fait. Bien au contraire nous tombons à chaque fois de mal en pis ! Égoïsme ou pas, j’ai une vie à vivre MAINTENANT – aujourd’hui et pas demain – et, quoi qu’il en coûte, je ne laisserai personne – et moins encore un freluquet ampoulé et guindé, un godelureau barjo et mégalo – décider à ma place de ce que je dois faire ou ne pas faire, penser ou ne pas penser ! Je ne laisserai en aucune façon des technocrates – en prime vendus, cyniques et/ou débiles – me voler indûment quelques mois ou années de ma vie !
Pour vous proposer un « rendez-vous sûr et sans contact », je me mets en huit…
Je vais même faire mieux que digitaliser mon activité : je vais tout simplement la faire disparaître… et sous vos yeux ébahis !!
Chiche que je le fais !… Regardez-moi m’effacer…
Vous êtes prêts ?… Attention… Un… deux… trois… Abracadabra !!… Une dématérialisation expresse ! Un praticien disparu sans laisser de traces ! Une activité évaporée, des prestations évanouies, des soins perdus… avec le bonhomme !
Quel prestidigitateur !! Fortiche, le magicien !! Brillant, le bateleur, n’est-ce pas ?!! Et combien de dizaines, de centaines de milliers d’autres activités a-t-il réussi à volatiliser ainsi en un tournemain, à exterminer en un claquement de doigts, à pulvériser en une allocution télévisée… et cela au prétexte – hypocrite, fallacieux – de la sécurité de tous ?! Du grand ménage !! Voilà ce que d’aucuns appelleraient une guerre propre !! Je suis absolument subjugué par le procédé !
… Et maintenant démerdenzizich – démerden sie sich – !
Merci les innombrables béotiens et complices du royal bouffon !
Changement de vie
Vivre dans ce monde de fous(*) m’étant parfaitement, viscéralement, impossible, c’est donc un saut contraint dans l’inconnu que j’entreprends aujourd’hui. Mais privé de ce qui me fait vivre, comment vais-je pouvoir survivre ?! Il me faudra en conséquence me réinventer encore et encore. Me retirer dans mon monde pour avoir le moins possible d’interactions, de prises avec les dingos sécuritaires, les cinglés techno-sanitaires qui nous gouvernent et toute cette foule d’abrutis, de toutous zélés et d’idiots utiles qui – avec brio et niaiserie – les assistent si efficacement. De fait, je m’apprête, une fois de plus, à troquer de vie, à me transmuer, à changer d’air et d’ère.
(*) : La folie est non seulement une question de définition et de degré, c’est aussi une affaire de frontière et de point de vue, comme vous le savez. Qui est potentiellement le plus fou : celui qui s’échappe de l’enclos où il est contraint et rudoyé ou celui qui s’écrase sous la férule… parfois même en maugréant avec une servilité et une résignation pitoyable ?
En épilogue de ce paragraphe, je vous propose cette belle maxime de John Joos que j’ai récemment découverte et qui résume à merveille mes motivations de faire sécession : « Il vaut mieux se laisser exclure d’une société folle que de s’y intégrer en s’excluant de soi-même. »
Et vous ? Où se situe votre limite de tolérance à l’indécence gouvernementale, au foutage de gueule, à l’asservissement techno-fasciste ?
RÉVOLTE & SÉDITION
D’un trop-plein de misère et d’injustices naissent les révolutions.
La question est simple : combien de temps encore les Français vont-ils se laisser baiser par les escrocs du pouvoir en place ? – Puis par d’autres qui vont immanquablement remplacer les précédents ?… – La réponse l’est un peu moins.
Si la course folle de notre monde ainsi que les affairistes mafieux et la valetaille politichonne qui le régentent me frisent depuis belle lurette les nerfs, la « gestion » de la crise pandémique par les autorités publiques me fait aujourd’hui littéralement bouillir le sang.
Déjà bien avant l’épisode covid, je détestais la pègre politicienne, inutile de vous préciser qu’après la gestion sanitaire calamiteuse doublée d’un coup d’État, je l’exècre plus encore.
Est-il donc besoin de dire que je suis passablement vénère ?! Et même vénère grave ! Et que cette suspension – à durée indéterminée – de mes consultations induite par la tyrannie techno-sanitariste, au risque d’un naufrage économique et social(*1), se veut être, par l’opportunité qu’incidemment elle génère, un acte individuel radical – menu, dérisoire peut-être, mais caractérisé et résolu – de résistance au rouleau-compresseur mondialiste qui depuis bien trop longtemps nous asservit et nous écrase.
Oui, je proteste ! Oui, je suis colère ! Oui, j’accuse ! Oui, je tempête ! Oui, je suis révolté ! Oui, je fulmine ! Et, croyez-moi, pour le sanguin que je suis, ce ne sont pas là de vains mots.
Ne me considérant pas, ni à titre personnel et moins encore au titre de mon activité professionnelle, comme une simple variable d’ajustement – de plus, taillable, corvéable et justiciable à merci –, je manifeste ainsi ma vive désapprobation à l’encontre de la politique despotique et mortifère menée(*2) par nos dirigeants et prends en conséquence mes responsabilités et mes dispositions pour, quitte à faire concomitamment désertion plus sécession, préserver ma liberté et ne plus être affecté une nouvelle fois par pareille mésaventure(*3).
Quant au reste, adressez-vous au Palais de l’Élysée ou à l’Hôtel Matignon où résident les instigateurs et décideurs de cette funeste politique. Et si d’aventure ces prestigieux lieux du pouvoir divin et mythique vous impressionnaient par trop de pompe et de magnificence, trop de lustre et de mondanité, trop de phraséologie, de tartuferie et d’exubérance, à défaut, leur représentant territorial, à savoir votre député(e), se fera certainement un grand plaisir de vous raconter le CONfinement express de sa pensée et de vous renseigner sur son mutisme fulgurant, sa joyeuse débandade et sa capitulation éclair. N’hésitez pas à le solliciter ! Il vous saura gré de votre sympathie et adorera votre prévenance. J’en suis intimement persuadé.
Remerciez donc dûment menteurs, voleurs, confineurs, museleurs et tueurs de ma part. Congédiez-les. Limogez-les. Faisons-leur payer le prix de leurs crimes et de leurs forfaitures. Ce ne sera ni de trop, ni d’ailleurs volé.
Et plus nous serons nombreux à le faire, et plus les monocrates et autocrates de ce pays devront comprendre – par la force des choses, le seul argument qu’ils soient encore en mesure de capter –, que nous ne sommes, pour le signifier très clairement tout en restant polis, ni des quiches ni des poires, ni des toutous ni des moutons, ni des cobayes ni des pigeons.
Ils se paient ouvertement nos têtes en nous prenant pour des billes. J’espère qu’un jour pas trop lointain, la Justice leur serrera le kiki et qu’ils auront à payer le prix juste de leurs exactions, leurs clique, souteneurs et complices de tous ordres y compris. Pour la salubrité publique, n’attendez plus pour vider les poubelles et jeter ces ordures malfaisantes. Virons ces pourritures ! Dégageons-les ! Balayons-les ! Et vite ! Il est grand temps, pour notre salut et celui de la planète, de rompre le charme et l’aboulie maléfiques dans lesquels nombre de Français (et de Terriens) se trouvent plongés. Pour remettre la République(*4) (et le monde) à l’endroit, restaurer notre souveraineté en débarquant tout ce beau monde vérolé jusqu’à l’os et en le mettant enfin hors d’état de nuire.
Qu’on se le dise et se le répète à volonté et à l’infini.
(*1) : Un sacrifice avant tout personnel. En suspendant ainsi mes consultations je me prive de l’essentiel de mes ressources pécuniaires. Mon activité requiert la présence physique et ne se prête donc aucunement aux téléconsultations – au systématisme desquelles par ailleurs je ne souscris pas davantage.
(*2) : Je suis très conscient que l’art est difficile et la critique facile. Il n’empêche. Errare humanum est, perseverare diabolicum. Quelle excuse peut-on raisonnablement formuler pour défendre la gente politicienne eu égard à leurs bilans catastrophiques et à leurs casseroles méphitiques sur le demi-siècle écoulé ? Aucune. Strictement aucune, de mon point de vue, tant leur degré de compromission s’avère énorme et impardonnable.
Je m’exprime d’autant plus librement que, de toute ma vie civique, je n’ai jamais apporté le moindre suffrage à l’un quelconque de ces traitres à la nation qui depuis quatre décennies régentent – saignent, détruisent, ruinent, mettent à feu et à sang – notre pays. Maigre consolation, amère satisfaction, j’en conviens.
(*3) : En quête d’un royaume de quiétude. Devrai-je un jour quitter la terre qui m’a vu naître pour aller quérir refuge sous d’autres cieux ?? À vrai dire, au vu de la tournure sociétale, l’hypothèse ne me paraît plus farfelue. Mais ce ne sera toutefois pas dans la catégorie des « exilés fiscaux », n’allez pas rêver ! Le problème est que l’éventail des destinations possibles, contrairement aux paradis fiscaux, précisément, se réduit comme peau de chagrin. Je m’établirais bien sur la lune par exemple. Au sein peut-être, tant qu’à faire, de sa mer de la Tranquillité ou de sa mer de la Sérénité. Ou mieux, sur sa face cachée. Non seulement pour échapper à la folie de ces étranges petits êtres vantards, querelleurs et pillards qui s’autoproclament « hommes » – et se qualifient, au demeurant fort curieusement, de « sages » – mais aussi pour ne plus voir le gigantesque saccage et carnage qu’ils opèrent contre leur propre planète et contre leurs semblables. Mais j’ai entendu dire qu’il n’était – condition sine qua non de mon émigration – hélas pas possible d’aménager sur notre satellite un petit coin de nature paisible, un arpent de campagne verdoyante et tranquille. Quel dommage ! Mais quel dommage !…
Pas de regret cependant car même réalisable, ma quiétude y aurait été brève car voilà que le mauvais drôle s’apprête à retourner sur l’astre de nos nuits pour venir le grignoter inexorablement de ses monstrueuses machines excavatrices et pour y entreposer ses montagnes de déchets et d’ordures – tourments qu’il fait déjà largement subir à notre pauvre Terre-Mère. Il me faudra donc pousser beaucoup plus loin dans le vide sidéral pour m’abriter suffisamment de la démente inconscience de ces glébeux dégénérés, pour me préserver assez de l’effroyable délire mégalomaniaque de ces Terriens, bipèdes de malheur.
(*4) : Le mot « République » : marotte, lubie, incantation, mot fétiche dont se gargarise – et se moque – à l’envi le jupitérion de service tout comme ses quatre ou cinq avatars précédents et tout le clergé jacobin réunis. Ne soyez pas dupes. Rappelez-vous les leçons de George Orwell et de Jacques Ellul(**), par exemple.
Idem pour la devise(***) de notre République historique : celle des origines et non son ersatz frelaté et en trompe-l’œil que lui a, au nez et à la barbe du peuple(****), subrepticement substitué la haute finance en en gardant plus que l’étiquette.
(**) : L’incantation d’une valeur, la glorification d’une vertu ne font que masquer sa déficience, sa carence, son absence, sa disparition. On ne célèbre plus que des mots vides – vidés de leur sens -, des phrases devenues creuses, etc.
(***) : Le triptyque Liberté, Égalité, Fraternité. Valeurs pourtant encore inscrites dans la Constitution de 1958.
(****) : Pour faire court et simple, je fais pleinement mienne cette formule générique et fonctionnelle de Michel Onfray : « Le peuple, c’est l’ensemble de ceux sur lesquels s’exerce le pouvoir et qui ne l’exercent jamais – les petits, les sans-grades, les modestes, les gens de peu. » J’ajouterai simplement, pour la circonstance, qu’il n’est pas constitué seulement d’une juxtaposition d’individus mais qu’il forme une communauté d’intérêt et de destin. [Un « philosophe » loin d’être sage ! Cf. ma remarque désabusée sur ce « philosophe » au – prétendu – noble esprit (page « Complotisme »).]
« La colère est le propre de l’homme qui reste debout. » (Patrick Amine)
À ce propos, j’ajouterai que de plus…
Dégradation vertigineuse des conditions d'exercice de mon activité
- Même si le constat n’est pas nouveau, je suis exaspéré d’être taxé à hauteur de 68 % de mes honoraires (TVA à 20 % + cotisations sociales patronales et salariales)(*), l’impôt sur le revenu et toutes les autres charges en sus. La santé naturelle et préventive continuant à être tarifée comme une vulgaire marchandise. Rançonner ainsi les travailleurs indépendants prestataires de services – les activités de pure main d’œuvre, plus est à destination des particuliers – constitue une incongruité rebutante. Sans même compter l’inflation des tracasseries administratives et comptables. Combien de ces régisseurs scélérats qui nous accablent de leurs lois stupides ont-ils été, ne fût-ce qu’un seul jour, à leur propre compte pour expérimenter toute l’injustice et l’imbécilité de leurs réglementations ?
D’ailleurs, point n’est besoin d’être grand clerc pour comprendre que le Trésor – alias le Fisc –, de moins en moins public et de plus en plus privé et vorace, n’est qu’une monstrueuse pompe aspirante qui soutire l’argent des populations – à commencer (en proportion) par les plus modestes – pour le reverser à de très puissantes sociétés financières qui dominent le monde. Idem pour une bonne part des cotisations sociales – et spécialement de la fraction “Maladie” – qui filent droit vers la Pharmafia et Big finance.
(*) : Un taux de TVA, par ex., totalement déloyal par rapport aux autres professions de santé.
- Je déplore la continuelle guerre idéologique et culturelle menée contre les médecines « non conventionnelles », leur marginalisation si ce n’est leur démolition. Je dénonce vivement l’annexion larvée (OPA rampante), le grignotage insidieux, l’obstruction, le réglementarisme grandissant, les restrictions croissantes imposées progressivement et sournoisement par le législateur – sous la pression des lobbies pharmaco-chimiques – visant à restreindre de plus en plus le registre des techniques et la palette des remèdes phytothérapiques et des compléments alimentaires autorisés à l’exercice du naturopathe : exclusion de certaines plantes ou formes galéniques (pourtant utilisées traditionnellement depuis des siècles sans incidents), réduction des posologies autorisées à des doses ridiculement faibles en dehors de toute action physiologique, ergotages sans fin sur le vocabulaire admis, etc., etc. Tout est fait pour contrarier, entraver, leur exercice et leur couper systématiquement l’herbe sous les pieds.
Si les autorités publiques voulaient à terme faire passer entièrement les compléments alimentaires sous le giron de la chimie, elles ne s’y prendraient pas autrement(*). Si elles ne visent pas, carrément, à les étouffer à petit feu… et de surcroît, les médecines naturelles – ses tradipraticiens – ET l’information « alternative » des consommateurs dans leur sillage. Ainsi, le troupeau entier sera ramené au bercail des droguistes, à l’ombre du monolithe de la pensée unique chimiocratique, et les ouailles et la pâture seront bien gardées.
(*) : Souvenons-nous, à ce propos, des velléités appuyées que manifestait l’Union Européenne (une autre fumisterie sans nom !), au début des années 2000, de conditionner la vente de simples vitamines à… une prescription médicale ! Voilà qui en dit suffisamment long sur leurs intentions véritables.
- Je me reconnais de moins en moins dans une profession en pleine mutation où l’offre progresse sensiblement plus vite que la demande, une profession que la démarche mercantile corrompt et qui est devenue, malgré elle et nombre de ses praticiens désemparés (pour ne pas dire écoeurés), le nouveau « Far-West » du moment. En conséquence, je me dissocie complètement de ce domaine d’activité qui prend distinctement des allures de champ de foire, qui tourne malheureusement, à plus d’un titre, de plus en plus à la (mauvaise) plaisanterie, à la farce, au marché de dupes.
Une profession où la déqualification massive guette – merci la grouponïsation et l’ubérisation !! –, et qui semble être devenue un eldorado pour les opportunistes, tartufes et imposteurs de tout poil. Des intrus, des faussaires, des escrocs, imbus de leur petite personne, roulant – pitoyablement – les mécaniques et prêts à tout pour se faire mousser et attirer – ferrer – le chaland. Une profession qui verse et se perd dans le mercantilisme et le consumérisme (j’en ai été incidemment témoin à plusieurs reprises) et dans laquelle une part maintenant majoritaire d’individus – pas plus embarrassés par l’éthique que par les principes fondateurs de leur académie ou par l’engagement de leurs pairs dans les combats environnementaux et pour le libre choix thérapeutique – délaissent complètement les fondamentaux de la santé naturelle et les règles de base de l’hygiène de vie au profit du seul commerce et des fariboles en vogue. Une profession qui aujourd’hui succombe corps et âme aux mirages du solutionnisme numérique et qui fait totale allégeance aux Gafa & Co. Bref, une profession à présent profondément coupée de ses racines multimillénaires – mais en contrepartie devenue outrageusement moderne, il est vrai –, siphonnée, phagocytée, révolutionnée de l’intérieur par la nouvelle génération montante, geek (technologiste) et affairiste au possible, aux antipodes de ses aînés.
Nec plus ultra de la série, comme si tout cela ne suffisait pas encore, cerise – gâtée – sur le gâteau, l’emblématique collège de naturopathie qui m’a formé est devenu il y a peu (2019), avec le passage de relai de son directeur-fondateur, l’annexe fringante d’une école de commerce !
Or il m’est avis que c’est justement le trio infernal technologisme, affairisme et numérisme qui gangrènent dangereusement la planète. À cet égard, je refuse catégoriquement, pour pouvoir continuer à exister et rester visible sur le web, de me renier, de me compromettre, de succomber à une pseudo – une fausse – gratuité empoisonnée, de me laisser asservir, de passer sous les fourches caudines des géants du Net(*) et de leur ignobles oukases, de me laisser assujettir par des voleurs, des vendeurs de vent – marchands d’illusions -, des indésirables, des écornifleurs, des contrefacteurs et autres parasites de tout acabit… En un mot : je ne me plierai pas, de quelque manière, à la cyber cour des miracles. Et si d’autres sont suffisamment cons pour le faire, ça les regarde personnellement ! Le revers de la situation étant qu’ils impactent et plombent ainsi une part significative de l’humanité dans leur choix inconsidéré mortifère.
(*) : Soit les instruments subversifs de notre propre domination et de notre oppression par ces mastodontes. À commencer par Face-de-bouc (Fake-book), Gogole & EnTube, BoboLib et autres centrales et plateformes similaires de prise de rendez-vous. Qu’attendez-vous pour boycotter radicalement, impitoyablement, définitivement tous ces censeurs et esclavagistes ?!
À ce sujet, la pétition mise en ligne début novembre 2022 contre l’exclusion prochaine par BoboLib des praticiens en médecines non conventionnelles est pathétique. En effet, au fil des ans, un nombre croissant de ces praticiens s’y sont égarés, fourvoyés ou, plus exactement, compromis. Se voulaient-ils plus malins que les autres ? Cette excommunication était prévisible dès le départ et je me suis personnellement demandé dès le début combien de temps cette cohabitation malsaine allait durer. Maintenant le piège se referme sur eux. C’est leur affaire s’ils se font jeter ! Les voilà Gros-Jean comme devant. J’applaudis – des deux mains et des deux pieds – à leur éviction. Bien fait pour leur gueule ! Qu’ils ne viennent pas pleurer ! Que cela leur serve au moins de leçon – je suis pourtant loin d’en être sûr. Par définition même ils n’avaient – et n’ont toujours – tout simplement absolument rien à foutre – c’est le terme approprié – sur un site promouvant à fond l’allopathie, la médecine pétrochimique et le vaccinalisme de Big Pharma, le consumérisme médical, l’industrie de la consultation microminutée, le commerce – le vol – des données personnelles, la discrimination et la censure des médecines naturelles, etc., au même titre que tous les autres Gafam.
Viennent s’adjoindre à ces mutations les tonnes de livres, la surenchère de revues, de journaux, et puis le déluge de documentaires, vidéos et lettres d’information « santé » qui inondent le marché et l’Internet de leurs savoirs universels et de leurs conseils profus.
Dans cette même veine – Entre horoscope et voyance. Le bon plan e-santé ! Pour illustration allégorique de cette dérive mercantile… Il est même, depuis quelques temps, de petits malins – « de vrais arnaqueurs » serait beaucoup plus adéquat – qui ont flairé un filon et vous proposent de réaliser votre bilan naturopathique en ligne ! Vous imaginez-vous, dans un domaine connexe, faire votre bilan médical complet, installé(e) dans votre canapé, en répondant simplement à… un QCM sur votre tablette ?! Concevez-vous la puissance de l’algorithme ?! Celui qui sait ce qu’est (ou devrait être) un tel bilan de santé (établi dans les règles de l’art), et qui en réalise couramment dans sa pratique, ne peut que mesurer l’ampleur de la tromperie, le faste de la supercherie. En effet, comment seulement, pour ces deux exemples parmi des dizaines, peut-on relever les paramètres physiques – incontournables – de la vitalométrie ou prendre les pouls énergétiques à distance – sans même évoquer toute la richesse signifiante du non-verbal transparaissant dans une interaction humaine ?! Le gogo, lui par contre, n’y verra que du feu. Oui, cette promesse – mensongère – est une totale aberration ! Le made by AI technology. Vive la cyber omniscience ! Le triomphe du « Do it yourself ». L’apogée de la hâblerie. L’apothéose du sabotage.
Peut-on réellement (complètement) se passer de spécialistes et de leurs recommandations personnalisées ? Même si l’intention paraît louable, ces facilités peuvent-elles vraiment se substituer à une vraie consultation – en face à face – avec un vrai professionnel de la discipline considérée ? Nombreux pourtant sont celles et ceux à le croire fermement et… bien naïvement… à leurs entiers dépens.
Désolant ! On ne voit hélas que trop bien où tout cela mène.
- J’en ai ma claque de voir planer en permanence au-dessus de ma tête, à l’instar de tous les praticiens en médecine naturelle, le spectre de l’Inquisition, l’ombre de la Police de la pensée, les intimidations iniques du scientisme excommunicateur.
Une spécialité bien française. Ras la casquette de continûment sentir les relents des traqueurs de sectes et des renifleurs-dépisteurs en quête d’hérétiques et de « charlatans » à jeter en pâture à l’enragé clergé médico-chimique et à ses fidèles adorateurs et ardents souteneurs. Fatigué par les fourberies, les diatribes, les braillements, les délires, les vociférations des professionnels du discrédit, les infâmes amalgames établis ou suggérés. Las de leurs insinuations récursives, de leurs jugements péremptoires, de leurs procédés de voyous, de leurs exécrables lettres de cachet. Non seulement, ils exigent le monopole de la Médecine mais de plus ils revendiquent aussi celui de la Science ! J’en ai assez de constater que notre métier soit sans cesse en butte à d’odieuses chasses aux sorcières(*), chasses d’autant plus systématiques et abjectes que nous cumulons les registres, ultra sensibles et stratégiques pour le Pouvoir en place, de l’écologie et de la santé.
Ce n’est pas à une croyance de juger une autre. Ce n’est pas à une religion de condamner une autre. Allez au diable, les limiers de l’imposture ! Ne vous en déplaise, tout est croyance. Y compris vos dogmes et vos salmigondis insanes prétendument « scientifiques ».
Notons au passage que les « assises des dérives sectaires » se sont enrichies de la chasse au « complotisme » et qu’une énième liste de « pratiques de soins non conventionnelles » à éradiquer vient d’être placardée (07/2023) par l’Ordre pétainiste de la Honte… Une nouvelle aubaine pour la Police de la Pensée, les obsédés sectaires, la religion techno-scientiste !
Il est grand temps que ces intimidations, ces dérives autoritaristes, ces interminables cortèges d’insinuations, de médisances, d’injures et d’agressions de toutes sortes soient connues du grand public et, surtout, que ces ignobles machinations cessent enfin !!
(*) Notamment par le biais d’une obscurantiste et arbitraire cellule gouvernementale – officine étatique – anti-secte qui rappelle de bien mauvais souvenirs d’un temps qui semblait révolu. Secte toi-même ! Grande trouvaille – ou plutôt redécouverte – française, politbureau intégriste, procureur des consciences, disposant du droit – exorbitant, discrétionnaire – de diffamation associé à une scandaleuse immunité juridique ! La panoplie parfaite pour échapper à toute poursuite et mener tranquillement et impunément ses basses missions censoriales et inquisitoriales.
– Je sais de quoi je parle pour connaître nombre de procès en sorcellerie intentés, au fil des décennies, contre des praticiens « non conventionnels » et pour avoir personnellement été, avec 70 autres confrères et consœurs, injustement inquiété une fois au moins il y a de cela quelques années (2014) ; mise en cause collective toutefois restée sans suite pour la quasi-totalité d’entre nous (y compris pour moi). Dans cette affaire, selon toute vraisemblance, pas loin d’un million d’euros – une bagatelle pour les contribuables que nous sommes ! – aura été engloutis au passage par le lourd appareil – le mammouth – judiciaire pour accoucher finalement d’un infime et dérisoire souriceau – tout juste une poussière. La justice n’a-telle pas d’autres priorités ? Pas d’autres chats à fouetter ? Pas d’autres torts à redresser ?
À titre de comparaison – et pour l’anecdote -, dans la foulée, cette même année-là, j’ai été l’objet d’une usurpation d’identité auprès de ma banque avec tentative d’extorsion de fonds (d’un montant conséquent – 4 chiffres). J’ai donc porté plainte en fournissant le RIB délictueux de l’escroc à l’appui. Et devinez quoi ?… Je n’ai jamais eu AUCUNE nouvelle de la justice suite à ces actions.
Scandaleux !
Exercice légal de l’empoisonnement versus Exercice illégal de la guérison
Rappelons ici que la iatrogénèse constitue, après les maladies cardio-vasculaires et le cancer, la troisième cause de décès dans les pays développés. Les seul(e)s erreurs et accidents médicaux tueraient ainsi de 30.000 à 50.000 de nos concitoyens chaque année et occasionneraient plus de 130.000 hospitalisations pour ce qui concerne les seuls hôpitaux publics français.
La France des charlatans s’avère fortement à la traîne. Un vrai pays de malades et des coûts de « santé » exorbitants. Non seulement nous sommes LE – sinon l’un des premiers – pays d’Europe à totaliser proportionnellement le plus de malades mais nous sommes aussi largement les champions du monde dans la consommation de médicaments (dont les somnifères, anti-dépresseurs, anxiolytiques, etc.). Les raisons en sont-elles géographiques, physiologiques, climatiques, culturelles… ou simplement… législatives (c’est-à-dire politiques) et commerciales ? La « meilleure médecine au monde » a sacrément du plomb dans l’aile ! Elle se trouve dans une totale impasse. Et ce n’est pas en crachant son fiel sur les approches naturelles – dites non conventionnelles – qu’elle se sortira du guêpier dans lequel elle s’est fourrée toute seule !
De qui émanent donc en vérité les pratiques « charlatanesques » ? Soit les décideurs français présentent un gros retard intellectuel, soit ils souffrent d’un gros déficit intentionnel, ou peut-être bien cumulent-ils les deux tares à la fois. Toujours est-il que le pays de Pasteur cultive de longue date une affinité rare et des accointances spécialement troubles avec l’industrie chimique et tout particulièrement avec Big pharma (comme évoqué plus haut). À quand la laïcité médicale dans nos pays ?
Les plus grandes sectes, non seulement ont pignon sur rue, mais elles sont devenues tellement énormes – et/ou tellement camouflées – que le commun des mortels n’arrive même plus à les voir. Oui, l’obscurantisme n’est pas là où on le cherche communément. D’opiniâtres et séculaires pannes de courant continuent de nous plomber gravement en France ! Décidément, les Lumières semblent bien loin derrière nous… et, de surcroît, définitivement éteintes dans notre pays se prétendant pourtant si éclairé ! Éteintes et piétinées tout comme les valeurs originelles de la République, Liberté, Égalité, Fraternité.
Sur cette thématique sectaire, cf. les pages Pensée unique, Non au projet de loi Protéger la santé (12/2023) et Dérives gravissimes de la secte G (02/2024).
- Sans compter la méprisable censure numérique qui poursuit les mêmes funestes desseins : étouffer toute voix dissonante, invisibiliser tout ce qui n’est pas conforme à la doxa. Censure de moins en moins larvée et de plus en plus agressive : moteurs de recherche biaisés, contrôles de délivrabilité des mels, shadow banning (invisibilisation par les algorithmes), suspension voire suppression de comptes pour non conformation à l’idéologie régnante, etc. Une montée inquiétante du techno-féodalisme.
- Tributaire du chemin de fer pour me rendre à mon cabinet, je ne supporte plus les retards et suppressions de trains intempestifs et endémiques(*) – qui m’obligent à prendre, en supplément de la durée du trajet, des marges de sécurité de plus en plus importantes et extravagantes –, sans compter les grèves récurrentes dans les transports publics. – « Services » ferroviaires pour une grande part indignes d’un pays “développé” (ou prétendument développé). Mon exaspération est telle que j’ai renvoyé cet été ma carte d’abonnement TER avec un gentil courrier explicatif. Dans la missive, j’évoquais également la possibilité de poursuivre mon geste de protestation et de renvoyer par la suite ma carte d’électeur, ma carte Vitale de la Sécurité Sociale (une des premières sectes de France) ainsi que ma carte d’identité à leurs émetteurs respectifs. La question ne semble plus tant de savoir si je vais ou non les retourner, mais quand je le ferai.
(*) : Pour l’anecdote… Rien que sur les trois derniers allers-retours que j’ai effectués fin juillet 2020, j’ai cumulé près de 7 heures de retard (la durée normale d’un trajet étant de 25 à 30 minutes). Je vous laisse apprécier la haute performance du service…
- Je n’en peux plus de devoir endurer le stress, l’insalubrité et les multiples et omniprésentes pollutions – véritables agressions – de la Capitale. Paris ex ville Lumière devenue invivable, triste mégalopole, jungle urbaine postmoderne crasseuse qui torture tous mes sens : air vicié et insalubre, odeurs incommodantes, vacarme, saletés, ordures, crottes et étrons, encombrement et circulation sur les trottoirs (devenue une course d’obstacles, la simple déambulation se transforme en parcours du combattant), déprédations en tout genre, brouillard électromagnétique, etc. Un douloureux retour aux siècles passés, les pollutions technologiques – dont les redoutables « particules fines » cumulées à l’électrosmog – et les innombrables scories du consumérisme en prime du progrès et de la modernité.
- Je suis excédé par les légions d’incivilités – par distraction ou par volonté délibérée –, d’absences totales de savoir-vivre en collectivité, de goujateries et de mufleries, d’“autisme” narcissique – aux limites de la délinquance – que je croise au quotidien et qui atteignent aujourd’hui les sommets de l’inacceptable. Nombre – une proportion croissante – d’habitants de ce pays se comportent en véritables –malotrus. Plus d’une fois, ne me dégonflant pas facilement lorsqu’on me marche sur les pieds, j’ai eu maille à partir avec l’un ou l’autre de ces pléthoriques fauteurs de troubles. Aussi nombreuses que diverses et variées, commises en tous lieux et en toutes circonstances, ces impolitesses m’ont toujours insupportées au plus haut degré. Comportements inadmissibles reflétant bien le niveau élevé et inquiétant de déculturation, de désocialisation – d’ensauvagement ou de réensauvagement, diraient d’aucuns –, dans tous les cas, de déliquescence, de « décivilisation », de déshumanisation et de violence brute de notre société si hautement matérialiste et technologiquement avancée, fichtrement butée, gravement délitée et incorrigiblement égocentrée.
- Enfin, dernier désenchantement en date, et non le moindre… J’aurais tellement aimé que mes instances professionnelles eussent consacré(*) autant d’effort, d’énergie, d’ardeur à dénoncer l’imposture politico-sanitaire de la plandémie et à valoriser la primauté d’un bon « terrain biologique » et tout l’intérêt des approches naturelles comme protection efficiente – et, de plus, si bon marché ! – contre la covid que ces mêmes instances ont en mis à sottement surjouer, à déployer servilement et à recancaner à l’infini l’indigente vulgate sécuritaire. Une attitude absurde !! Une carence et une insanité qui me chagrinent passablement et me conduisent dès aujourd’hui à prendre mes distances avec ces institutions. Dont acte… conclu illico : non renouvellement, dans la foulée, de mon adhésion au Syndicat professionnel.
(*) : Pour éviter le désormais devenu barbare « consacrassent ».
- Etc., etc., etc.
Soit une expérience personnelle incomparable, comme vous pouvez le constater par vous-même ! Un cahier de doléances fourni.
Engagé dans « la grande démission »
Arrivé tout au bout du supportable
Fin du sacerdoce
Autant de tracasseries permanentes, lassantes, éreintantes, vous l’aurez compris, et j’en passe d’autres, le reste étant à l’avenant !
Depuis des années, peu ou prou, le bât blessait. Une période délicate débouchant sur une période difficile (comme par exemple dernièrement avec les grèves de décembre 2019 et janvier 2020 dans les transports publics, ou encore la longue grève perlée – 36 jours en cumulé sur trois mois – à la SNCF en 2018) et ainsi de suite sans aucune réelle perspective d’embellie. À l’inverse : tout, dans notre société, se dégrade à vue d’œil.
Contrariétés quotidiennes insolubles auxquelles se surajoutent maintenant une activité estimée « secondaire », un confinement imposé et non indemnisé, un télétravail impossible… Mais que diable suis-je venu faire dans cette maudite galère ?! Je suis devenu gravement allergique à la modernité que nous connaissons. M’acclimater à cette géhenne, vivre dans cette société de facticité, de mensonge, de lâcheté, d’ombre, m’est devenu impossible… Je suis las de ce monde barjo ! J’étouffe grave dans ce pays de cinglés !
Alors, devant cette vertigineuse dégradation des conditions d’exercice de mon activité, qu’à cela ne tienne si en définitive je suis coupable de
n’être pas essentiel… autant sauter du wagon toquard, prendre la tangente et, de ce pas, me recentrer sur l’essentiel ! Ce sera tout bénef pour moi et dans la manœuvre vos percepteurs n’y gagneront pas un kopeck, bien au contraire.
Aujourd’hui, puisque les bornes, pourtant larges, de mon tolérable sont outrageusement franchies et que le cœur n’y est malheureusement plus, je mets, empreint de résignation, un terme à cette galère insensée en dématérialisant totalement mes services (comme je l’avais annoncé plus haut). In fine, côté positif de la situation, cet épisode coronaviral m’aura encouragé à me libérer d’un imbroglio au fil du temps devenu pénible et oppressant.
Terminé, je ne veux plus donner – je ne donne plus ! Je rends mon magistère. Cette mascarade sécuritaire a littéralement explosé mon seuil de tolérance aux nuisances civilisationnelles – et aux perfides nuisibles qui les commandent. Le choix s’avère radical : devenir l’esclave des mondialistes… ou bien prendre la poudre d’escampette. Ce sera, sans hésiter, la poudre d’escampette !
Me voilà donc, pour tenter de vivre mieux, autrement, tombé tout entier dans le détravail !
Corolaire directe et inévitable de tout ce qui précède, assumant ma part de citoyenneté, c’est le cœur serré que j’ai fermé durablement mon cabinet en guise de protestation contre ces politiques criminel(le)s. Je ne puis donc, tout au moins jusqu’à nouvel ordre, vous recevoir en consultation et en suis absolument désolé.
Quel cruel crève-cœur ! Quelle amère potion ! Quel choix cornélien ! C’est un dur sacrifice que je concède, un lourd tribut que je verse pour préserver ma bonne santé et ma chère liberté, mais pour l’instant de meilleure solution je n’ai trouvée. Si jusque-là je versais déjà fortement dans la dissidence, aujourd’hui, en raison des orientations sociétales, ma sécession est définitivement consommée ! Je me retire de cet invraisemblable burlesque auquel je ne veux plus avoir affaire. Je m’extirpe de ce chaos inextricable et putride. Je décampe de cette effarante dinguerie sociétale non pour y vivoter en marge mais pour vivre pleinement au grand large.
D’aucuns considéreront peut-être ce retrait comme une forme d’égoïsme ou d’abandon. D’autres encore verront en cette page le fiel craché par un vieil aigri. Il leur est tout à fait loisible de le voir ainsi. À vous d’en juger. Moi seul suis dans mes pompes. Vous, vous êtes dans les vôtres.
Quoi qu’il en soit, je sais qu’avec la cessation de mon activité je ferai hélas beaucoup de déçu(e)s et en suis profondément peiné. De plus, avec cet arrêt, voilà que se produit dans mon paysage professionnel une nouvelle – une énième – érosion de la diversité des profils en exercice, surtout en tant que praticien homme, ultra minoritaires en ce milieu, (très) rares dans cette discipline.
Permettez-moi de ne pas faire étalage de détails personnels superflus pouvant être possiblement interprétés comme prétentieux ou superlatifs – je ne suis pas du genre ramenard –, mais je pense toutefois ne pas m’engager de manière trop hasardeuse en vous soufflant qu’il s’agit là d’un énorme gâchis – un « gâchis monstrueux » confieraient mes proches. Tant pis ! Ainsi va la vie. Ce ne sera ni le premier, ni hélas le dernier. N’est-ce d’ailleurs pas le propre de ce monde que d’être prodigue à la folie ?
Comme le déversement subit du contenu d’un tonneau faisant instantanément déborder un vase, comme la rupture d’une digue entraînant une crue soudaine en aval, l’affligeant épisode covidiot – ou, plus justement, l’ahurissante dictature / imposture / mystification sanitaire – venant se cumuler à tous ces désagréments et difficultés du quotidien, aura, en me décourageant de venir travailler à Paris, eu durablement raison de ma patience et de ma bonne volonté – pourtant par ailleurs spécialement robustes. Comme du reste, il aura au final réussi à entamer mon profond attachement pour mon métier et ma clientèle.
Vieillirais-je ou deviendrais-je misanthrope ? Peut-être y a-t-il bien, à l’aube de ce IIIème millénaire, un peu des deux dans ces pesanteurs contrariantes, irritantes, urticantes, ressenties en provenance de ce monde tourmenté.
But life must go on.
Halte au feu !
La trahison des élites : un constat récurrent à toutes les époques et sous toutes les latitudes
On ne peut pas empêcher la bêtise(*) de se manifester mais on peut tout au moins éviter de la soutenir.
Pour ne pas finir « vieux con » ou « vieux schnock »
(*) : Humaine, par définition, les autres règnes étant passablement épargnés par cette tare plutôt anthropo-spécifique.
Quarante ans d’engagement citoyen ont arraché mes illusions, érodé ma politesse, épuisé ma patience.
Nous sommes hélas devenus un pays de mougeons et de moutruches / bien pantouflards, ronflards, shootés, décérébrés / laissant le champ complètement libre à tous les affairismes, malversations, corruptions possibles et imaginables. Le bétail a l’instinct grégaire et il finit invariablement, comme chacun le sait, à l’abattoir. Sautez donc dans l’abîme, si ça vous tente, mais ce sera sans moi ! Poursuivez votre tittytainment abrutissant, persistez, si cela vous chante, dans votre aliénation mais ce faisant n’hypothéquez pas la planète pour autant ! Persévérez donc, avec tout l’acharnement et l’abnégation qui vous caractérisent, à faire l’autruche, à regarder ailleurs pendant que notre maison brûle, mais n’accusez point la fatalité de vous molester ou l’adversité de vous cramer.
Le progrès, c’est l’asservissement, faut-il comprendre. Je n’en ai déjà que beaucoup trop vu. Non merci ! cette révolution – absurde – se fera sans moi. – Et cela ne changera, évidemment, strictement rien au cours de l’Histoire. Je suis libre et mourrai libre. Je n’ai, dans ces présentes conditions de vie déplorables, nullement l’idée de jouer les prolongations, nullement l’intention de m’attarder céans, nullement l’envie de faire de vieux os. Dans le Monde d’Après, j’aurai, fort heureusement, tiré ma révérence d’ici-bas. – Et à maints égards, compte tenu de la mauvaise figure que prennent les évènements, j’en viens à me dire parfois que le plus tôt même sera le mieux… voire à me demander si je n’aurai pas, un jour, pour des raisons entièrement extrinsèques, à devancer l’appel.
Pour le reste, avisé des paroles des stoïciens – comme Épictète ou Marc Aurèle –, je commence graduellement à me rallier à la sagesse empirique du « après moi, le déluge »… ou encore, un degré plus loin, « … les mouches » et à envisager de m’en laver – de m’en taper –, pour rester courtois, gaiement les mains. Sinon à m’en tamponner – nonchalamment bien sûr – le coquillard ou les bibelots, voire, pour parler comme les d’jeuns et les gens proprement in, à m’en battre les c…
« Let it snow. » Se glisser dans la foule profuse et se laisser porter par son courant et son indolence, voilà qui est tentant, non ? Après tout, pourquoi s’enquiquiner à agir différemment de la masse. À nager perpétuellement à contre-courant. À réinformer sans cesse. À s’évertuer à tirer les sonnettes d’alarme. À s’efforcer de secouer les torpeurs. À s’échiner à réveiller les consciences.
Rêvons un tantinet… Laissons-nous entraîner. Fondons-nous dans le troupeau, mêlons-nous à la tourbe, coulons-nous dans la nasse, roulons-nous dans la mollesse, vautrons-nous dans l’égocentrisme, dissolvons-nous dans la narcose… et, surtout, surtout – LE maître-mot de l’époque – … PROFITONS !! PROFITONS !! PROFITONS !! Et grassement ! Grassement ! GRASSEMENT !! Profitons sans aucun scrupule ! Profitons sans aucune entrave ! Profitons sans aucune limite !… L’AVENIR ATTENDRA !! – Et puis, au final, j’m’en balance totalement !! … Bye bye stupides zappiens !
– Non, non, mon ami, là tu divagues ! Tu délires, mon vieux ! Tu cauchemardes ! Reprends-toi s’il te plaît !
– Euh… Tu as raison. Revenons sur Terre.
« Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles. »
(Christian Bobin) (1951-2022)
Défendre et entretenir sa parcelle de Liberté et d'Humanité
Ni otage ni complice du Système – Appel à une véritable insurrection des consciences – Au-delà de la résistance, une sécession complète
Sortir de la matrice
Ajoutons notre grain de sable, multiplions les grains de sable, agrégeons nos grains de sable
C’est pour quand la civilisation du cœur ?
Une nuée de colibris – Les miracles de l’intelligence collective(*) – Refondons le monde
Et si nous reprenions tous et toutes nos vies – notre destin – en main ?
(*) : À l’intelligence artificielle, répondons par l’intelligence collective.
Le combat des Essentiels n’est pas terminé ! Il ne fait en réalité que commencer ! La liberté, tout comme l’égalité et la fraternité, ne sont jamais définitivement acquises, elles doivent être défendues et réactivées chaque jour. L’avenir est dans le boycott, si ce n’est dans la révolution. Souvenez-vous, unis, nous avons le pouvoir de changer les choses.
Insurrection ou soumission, résistance ou allégeance : il n’y a pas de demi-mesure. RÉSISTONS ! L’effet domino ou l’effet papillon nous démontre chaque jour qu’une seule personne peut amener à faire bouger les choses, à bousculer les lignes, à faire changer le monde. Soyons des grains de sable inventifs, créatifs, subversifs, dans la machine à broyer planétaire. Investissons-la. Bloquons-la. Réinitialisons-la. Transformons-la. Soyons, chacun, chacune, au quotidien, des papillons, des colibris, des donneurs d’espoir, des changeurs de monde !
(…)
Vers des lointains inconnus
Expérimenter la vie d’ermite ou de Robinson Crusoé
En quête d’un royaume de quiétude – Émigrer d’urgence en Zone libre
Je ne peux raisonnablement conclure ce texte sans rappeler cette lucide, lumineuse, vibrante, magnifique, pensée d’espoir de Georges Bernanos (1888–1948) [même s’il se fut un temps égaré…] : « La plus haute forme de l’espérance est le désespoir surmonté. (…) L’espérance est un risque à courir, c’est même le risque des risques. L’espérance est la plus grande et la plus difficile victoire qu’un homme puisse remporter sur son âme… On ne va jusqu’à l’espérance qu’à travers la vérité, au prix de grands efforts. Pour rencontrer l’espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu’au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. Le démon de notre cœur s’appelle « À quoi bon ! ». L’enfer, c’est de ne plus aimer. Les optimistes sont des imbéciles heureux, quant aux pessimistes, ce sont des imbéciles malheureux. On ne saurait expliquer les êtres par leurs vices, mais au contraire par ce qu’ils ont gardé d’intact, de pur, par ce qui reste en eux de l’enfance, si profond qu’il faille chercher. Qui ne défend la liberté de penser que pour soi-même est déjà disposé à la trahir. (…) Le grand malheur de cette société moderne, sa malédiction, c’est qu’elle s’organise visiblement pour se passer d’espérance comme d’amour ; elle s’imagine y suppléer par la technique, elle attend que ses économistes et ses législateurs lui apportent la double formule d’une justice sans amour et d’une sécurité sans espérance. »
(…)
Nous ne pouvons, durablement et sans dommages, vivre sous la contrainte, sous la servitude, dans une perpétuelle fuite en avant. N’oublions pas qui nous sommes. Réveillons-nous, émancipons-nous, retrouvons notre souveraineté, ouvrons nos consciences et agissons en conséquence. Nous sommes, à la base, des êtres fondamentalement libres, souverains, transcendants. Notre essence nous porte au-delà de la binarité simpliste – la dualité du Bien et du Mal -, vers l’Unité fondamentale.
En attendant de meilleurs jours – pour ne pas dire un meilleur monde –, je vais pouvoir « aller à la pêche » – comme d’autres iraient à la plage –, vivre de l’air du temps – pas fameux du tout ! –, goûter immodérément aux joies et aux délices du farniente et des sentiers buissonniers. Et puis aussi, lot de consolation, je disposerai de tout mon temps pour entièrement me consacrer à la musique et à l’écriture, deux autres de mes passions séculières qui, avec complicité et bonheur, occuperont ma solitude. Au surplus, un peu de jardinage et quelques promenades me tiendront heureuse compagnie. Au moins je serai en accord avec moi-même, congruent avec mes valeurs, et n’aurai pas à vivre muselé et injecté ni à me sentir complice, par quelque aspect que ce soit, d’une société devenue tout à la fois cruellement sotte, insane à lier et ouvertement suicidaire – « société » dont je me désolidarise totalement – ni à me montrer complice de quelque façon de ce pouvoir scélérat, fondamentalement illibéral, illégitime, corrompu.
Carpe diem
Faire un nouveau pas de côté, amorcer une esquive, prendre la tangente, esquisser une pirouette, fondre en dérobade, pour ainsi mettre ces malfaisances le plus à distance possible, tel est désormais mon dessein. Éloigner ces importuns, éconduire ces fâcheux, écarter ces nocuités, sans ménagement aucun les bouter hors de portée de nuisance et loin, loin, du champ de mon existence. Me créer, à défaut de pouvoir m’exiler sous des cieux plus amènes et cléments, un havre de paix, me ménager un petit sanctuaire de tranquillité à l’écart du bruit et de l’agitation de ce monde, me bâtir une parcelle d’éden, me constituer un coin de paradis – fût-il minuscule – à l’abri de la folie furieuse et de la tragique démesure de cette société d’étranges petites créatures vénéneuses, insatiables et décérébrées, irréfléchies et irresponsables, orgueilleuses et bruyantes, égoïstes et ingrates, retorses et cupides, belliqueuses et cruelles, que l’on appelle communément – et, au demeurant, fort mal à propos – des « Hommes ».
Un Amish de la Terre
éco-terroriste
dissident sécessionniste
désobéisseur civique
résistant au mondialisme
objecteur de la croissance destructrice
et boycotteur de la dette kovidrice
Richard Heim
Ah ! j’allais oublier… et bien sûr aussi…
charlatan, sectaire, complotiste, populiste,
platiste, anarchiste, extrémiste, ésotériste, kabbaliste, soucoupiste, cycliste, pianiste, modéliste, spiritualiste…
entre autres innombrables et irrémissibles tares…
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