Politique sans éthique,
Science sans conscience
Commerce sans morale…

Nb : Les pages de cet onglet sont spécialement corrélées, imbriquées, intriquées.

« Un pour tous, tous pourris ! »
(Coluche) (1944–1986)

AU BONHEUR DES BONIMENTEURS

De la fiction démocratique – Les élections, immense marché de dupes
Théâtrocratie (cf. Platon)
Formidables élections chocolat

Ou comment la puissante illusion démocratique maintient les populations sous le joug de l’ultra-classe hégémonique

Quelques mots sur LE TRUCAGE UNIVERSEL

De la propagande des urnes – Du savant art de bourrer les crânes comme de bourrer les urnes
De la goualante du politichien – Les forts en gueule – Les maîtres démagogues – Les grands brasseurs d’air – Les champions des moulinets

On ne ment jamais tant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse, déclarait en fin connaisseur des affaires politiques et militaires, Georges Clemenceau.

La démocratie institutionnelle : une parodie de démocratie, la dictature de la “majorité” (en vérité, une infime minorité très agissante)
Le théâtre – la tragicomédie – politicard(e), théâtre des collusions et des crimes, théâtre de boulevard tout autant que de cour… théâtre total, pur spectacle – Pas un pour relever l’autre

Les très officiels Jeux du cirque. Un déni de démocratie. Un immense jeu de dupes, une gigantesque farce, un vaste et grossier simulacre de “démocratie”… où le peuple – dans « le secret de l’isoloir » (son inconscience) ! – fait tout juste office de simple figuration. La participation, en chute libre, en atteste pleinement…

Servir… ou se servir ?

« Les hommes politiques sont marrants. Encore que je ne pense pas qu’ils nous feront un jour autant marrer qu’ils nous emmerdent. »
(Coluche) (1944–1986)

La république des copains, des coquins et des larbins
L’État, la République, c’est moi !! braille le tyran. Vive la démocrassie !! Garantie pour les puissants – la race supérieure, les êtres élus – d’accroître plus encore leur pouvoir et de perpétuer leur empire.
Les sophistes de la Gueuse – La « démocratie parlementaire » : une blague, une supercherie, une imposture, une mystification, une cabale institutionnelle… Soit rien de plus qu’une nouvelle féodalité !

Le terrain de jeu de prédilection des bonimenteurs ; les élections, une religion, une tradition, une coutume, une distraction, un divertissement servant de caution démocratique à un système politique qui ne l’est, en réalité, pas même pour deux sous. Mais voilà, le folklore, la kermesse, les foires à l’andouille et aux neuneus, la grand-messe ripoublicaine, son résident, ses sinistres du culte, ses prélats, ses célébrants, ses officiants, ses combinards, ses baillis et ses sénéchaux, ses banquets, ses servants et serviteurs, ses prétendants, le cortège de leurs aréopages et de leurs cours, son cérémonial, sa liturgie, ses homélies, ses sermons, ses troncs et ses étrons, ses ouailles, ses dévots, ses bigots, ses reporteurs empressés, ses couvertures merdiatiques, l’éclat des projecteurs, le tapage, le tohu-bohu, la récréation festive, l’esbroufe qui les accompagnent… impressionnent et illusionnent toujours autant les benêts, et davantage encore lorsqu’ils sont en foule. Et c’est bien là l’essentiel recherché par les organisateurs. Ne manquent plus que la buvette, les saucisses-frites et la fanfare – la zizique, ses zartistes et ses flonflons – pour rallier, rassembler, fédérer tout ce beau monde, bras dessus, bras dessous, poussant la chansonnette (…), une bonne bière à la main, sous la même bannière affriolante : Plus on est de fous, plus on rit ! Constatons.
E in avanti, il circo!!

« Les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera,
ni pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons,
l’électeur [cet « inexprimable imbécile »] nomme son boucher et choisit son bourgeois. »

(Octave Mirbeau) (1848–1917)

Cynisme, malhonnêteté, collusion et corruption endémiques aux plus hauts niveaux
Un cruel atavisme, le mensonge dans les gènes
De l’oppression et de la traitrise des prostitués de la ripoublique – Des zélites [copains] comme cochons
Les bourreaux des Français, les fossoyeurs de la France

Les chevaux de Troie modernes – Une caste de parasites sans vergogne menant grand train aux crochets de la population, à commencer par les classes laborieuses. – On comprend qu’ils puissent à bon escient pérorer et se gausser à volonté de l’idiotie de leurs administrés. – Merci, la nuée de pigeons !! Merci, le troupeau de moutons !! Merci, le cheptel de bêtas !!
De juteuses prébendes – Gouvernance ininterrompue du double parti unique pour la fortune insolente de ses actionnaires

Un guignol (aux ordres) chasse l’autre. Pour qui roulent, en vérité, nos politichiens ? S’il est une chose qui les qualifie unanimement, c’est leur propension infinie à la traitrise. À force de prendre les Français pour des gens-bons, des idiots, des demeurés, il finira par y avoir aux scrutins davantage de candidats que de votants ! Lorsque la consultation est libre et régulière, le taux d’abstention est l’étalon-or de la marque démocratique. Il reflète le niveau d’adhésion de la population au système politique – et son corollaire : son degré de rejet. – Vous savez mieux que nous que les « élections » (jeux à somme négative ou nulle, plus est pipés à la base) ne sont qu’un moyen de diviser, de fracturer, d’opposer le peuple (cf. le diviseur) et vous en jouez avec maestria ; d’où l’utilité des partis politicards (qui partitionnent) et de leurs chefs guignolots (qui guignolent… les électeurs en se vendant à l’encan). Une mascarade bien ordonnancée, une singerie rituelle, un opium orthodoxe. La véritable opposition aux gouvernants ne se trouve pas dans les hémicycles mais dans la rue. –
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient, me direz-vous. Et puis, il est bien connu que les promesses font le bonheur des fous, n’est-ce pas ?

Peu de nos concitoyens se rendent comptent qu’ils vivent à demeure dans une prison politique tant leurs sens sont brouillés et leur conscience anesthésiée. À maints égards une geôle à ciel ouvert dont semble s’accommoder une large majorité de la population. Tout est bon pour blouser, pigeonner, couillonner le gogo. Des dés pipés dès l’entame, un processus électoral biaisé de bout en bout. Sans même détailler les nombreuses mal-inscriptions… Entre mode de scrutin, présélection – cooptation – des candidats, visibilité médiatique manipulée, enfumage des foules, sondages falsifiés, démagogie crasse, jobardise des nigauds, découpage électoral, magouilles et ratatouilles politicardes, portes-tournantes, élus marionnettes-girouettes, contrôle et domestication des oppositions, fausse dissidence, immunité judiciaire révoltante et impunité scélérate organisée des dirigeants (une blanchisserie parfaite !), opportunités de “fraudes au compteur” massives(*1), etc., le Père noël électoral dispose de beaux jours devant lui ! Parions que les faiseurs de rois continueront longtemps encore d’étroitement chaperonner l’opinion publique et de régenter le monde en faisant et défaisant princes et monarques à leur guise. Selon l’éternel triptyque séduction/élection/trahison, gageons que le manège infernal continuera son bonhomme de chemin – et le piège d’engluer inlassablement le peuple – tellement tout fonctionne en full automatic. D’autant que le décompte des bulletins blancs et nuls ainsi que la “subtilité” du quorum donnent quitus aux médiocres et aux malfrats. Au besoin, en l’état actuel, les prédateurs mondialistes, les serviteurs du totalitarisme, les politocards cyniques qui dirigent ce pays sont fort capables de rendre le vote obligatoire – rappelant en cela les injections plandémiques – mais la tambouille consultative, la sélection des postulants, les promesses foireuses, les programmes bidons, les campagnes promotionnelles, les cadeaux bonux, les trucages, bidouillages et magouillages, l’ineptie du vote utile, des consignes de vote – OPA en règle sur le corps électoral –, l’inanité du vote frontiste (!)(*2) se poursuivront selon des modalités inchangées. Pure forme pour cacher un fond pourrave jusqu’à l’os. L’insane course à l’échalote persistera. La pantalonnade perdurera. Et cette fois-ci avec le soutien forcé – la complicité imposée, cocasse, perverse – de la populace. Loufoque ! Vaudevillesque ! Scandaleux ! Débile ! Abject !
… « So what? / Et après… ?! » – Comprenez : « cause toujours, imbécile ! », « ferme ta gueule et obéis !! » ponctué d’un doigt/bras d’honneur large comme notre hexagone – Combien de siècles… Combien de millénaires encore ??!
Faites vos jeux à la Française des Gueux ! dégoise, campagne après campagne, la Triche Électorale. Une association de malfaiteurs digne du Groland, rubrique Farces & Attrapes.

(*1) : Tripatouillage des procurations, dépouillement, décompte et agrégation des résultats [la plage horaire 18h00-21h00 s’avère toujours fatidique pour la démocratie !], et surtout essor des scandaleuses « machines à voter » – machines à tricher, machines à frauder, machines à truquer –, boites noires à berner les veaux, la voie royale vers le bidonnage numérique.
(*2) : Le club des Castors, le cartel des barragistes, le bouclier anti-démocratique, la sottise instrumentalisée du barrage prétendument “républicain” ! Ah ! tant que la sousoupe est bonne, l’« union sacrée » e(s)t l’obscénité de la comédie des désistements.

« Il faut toujours prendre en considération l’avis des imbéciles, car ils sont majoritaires. »
(Léon Tolstoï)
(1828–1910)

Les élections, fabrique de tyrans… le bureau de vote, antichambre de despotes.
Ils sont « démocrates » comme les hyènes, les vautours ou les chacals sont végétariens
Le collège des élus mafiosi – Des permis pour opprimer – D’inadmissibles
blancs-seings J’y suis, j’y reste !
Choisir son oppresseur ou choisir son émancipation – D’élus à… maîtres il n’y a qu’un tout petit pas si vite franchi.
Vice manifeste du consentement

L’élection se montrant en réalité – par essence même – anti-démocratique (partout les preuves abondent !), la SEULE procédure respectueuse de la volonté populaire se trouve être le tirage au sort (pour tous les mandats électifs publics) accompagné d’un contrôle étroit et strict à tous les niveaux. Pas étonnant que les voleurs de pouvoir s’y opposent de toutes leurs forces, de toute leur duplicité, de tout leur cynisme.
La démocratie ne se réduit certainement pas au seul droit de vote (plus est sur la base de candidats soigneusement présélectionnés, adoubés par l’oligarchie). Un système politique donnant les pleins pouvoirs et permettant à des (soi-disant) « représentants » de faire ce qu’ils veulent une fois élus – sans avoir le moindre compte à rendre à leurs électeurs et ne pouvant être révoqués – et qui par ailleurs interdit aux citoyens d’organiser des référendums à volonté ne peut en toute logique pas être qualifié de « démocratique ». « Tout homme tend à aller jusqu’au bout de son pouvoir », ne l’oublions pas (cf. Thucydide). Donc déléguer sans sûreté et sans restrictions son pouvoir revient tout bonnement à confier à demeure sa souveraineté à des mafieux. L’abstentionniste lui au moins ne se rend pas complice de la fraude électorale institutionnalisée dans laquelle le système essaie à tout prix de le maintenir.

En résumé, rien ne sert de voter… sauf à entretenir la mystification générale. Que vous votiez ou que vous ne votiez pas, que vous votiez pour l’un ou que vous votiez pour l’autre, que vous votiez pour ou que vous votiez contre, que vous votiez du pied droit ou que vous votiez du pied gauche, que vous votiez comme on vous dit de voter ou que vous votiez comme on vous dit de ne pas voter, que vous votiez comptant ou que vous votiez pas content, que vous votiez avec illusion ou que vous votiez sans illusion… vous laisserez toujours d’autres décider à votre place. Cornélien ! Consolons-nous donc comme nous pouvons : le moindre mal consiste certainement à boycotter le grand carnaval électoral, en vérité, le seul, le vrai, l’authentique barrage au foutage de gueule. Et à largement manifester son refus de souscrire au canular national, à généreusement afficher son refus de participer à la bananerie républicaine. Tout en renvoyant les cyniques moralisateurs à leurs stupides leçons d’incivisme, tout en les laissant à leurs débiles admonestations. Faire et laisser dire. Le toupet des sots est sans borne.
Voter, c’est renforcer le système. Le boycotter, c’est l’affaiblir.

Le parti d’en rire comme le parti d’en pleurer n’en ont pas fini avec le parti affairiste et le parti d’en jouir par nature rivés au Pouvoir !!
Du grand guignol donc ! De purs votes-spectacles. L’illusion démocratique continue d’égarer encore et encore les foules. Élection – et pas seulement abstention –, piège à cons. Élisée Reclus avait parfaitement raison : « Voter, c’est abdiquer ». C’est céder tous ses droits. C’est renoncer. Veauter, c’est capituler.
Si voter changeait quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit.
Vous connaissez sans doute la remarque d’Emma Goldman reprise par Coluche.

A voté ! A fauté !!
À quand l’apposition sur tous les bulletins de vote de la mention – obligatoire – « Voter est dangereux pour votre avenir » ?
La grève des urnes vous sauvera !

-oOo-

« Ça fait beaucoup marrer les gens de voir qu’on peut se moquer de la politique,
alors que, dans l’ensemble, c’est surtout la politique qui se moque de nous. »
(Coluche) (1944–1986)

La bien-pensance ne se limite hélas pas aux seules élections, elle est omniprésente dans nos sociétés et nous poursuit toute notre vie durant…

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