– Pour sacrifier à un concept désormais solidement établi –

Autoportrait

en forme de truisme
gauchement isomorphique

 

À traits raccourcis

Après un parcours universitaire et de Grande école suivi de quelques années d’immersion professionnelle, je me suis, au tournant du siècle – et du millénaire –, recentré sur mes valeurs fondamentales en effectuant le cursus de naturopathie du CENATHO(*1) sous la direction de Daniel Kieffer. Formation validée en 2004. Dans la foulée, certification auprès de la FÉNA(*2) la même année.

(*1) : Collège Européen de Naturopathie Traditionnelle Holistique (école privée).
(*2) : Ex Fenahman – Fédération française des écoles de naturopathie.
N.b. : Fin 2022, trois écoles de formation (dont le Cenatho) ont quitté cette structure pour fonder un autre organisme fédérateur, l’AFNAT (Alliance pour la Formation professionnelle en Naturopathie).
(…)

Parmi bien d’autres enseignements reçus – dont je ne souhaite pas faire étalage ici –, il me faut néanmoins citer ceux de Joël Savatofski et d’Alexandro Jodorowsky (rencontrés respectivement au milieu des années 1980 et au tout début des années 1990) qui contribuèrent de manière notoire à mon inflexion professionnelle et à l’orientation de mes choix de vie.

Installé durant 15 ans en tant que praticien de santé naturopathe.
J’ai cessé définitivement toute activité en France pour cause de covidiotisme, de terrorisme sanitaire… de totalitarisme tout court.

À traits tirés

 

Dans le souci de l’honnêteté et de la vérité

Remarque liminaire

Longtemps j’ai considéré cette rubrique comme totalement inutile, superflue, farfelue. Et je dois dire que sur le principe, au départ, je l’ai même jugée un brin prétentieuse, un tantinet présomptueuse(*), estimant, en l’occurrence, qu’en filigrane de toutes ces pages je parlais déjà beaucoup trop de moi. Je ne souhaitais donc pas y ajouter d’élément biographique supplémentaire. D’autant que ce genre de précisions peut facilement virer à la suffisance, promptement tomber dans le narcissisme, voire parfois carrément sombrer dans l’exhibitionnisme.
(*) : Je ne cherche pas la reconnaissance. Elle m’indiffère. Je pense d’ailleurs ne l’avoir jamais visée.

D’abord pour tout dire, je n’aime pas parler de moi, et moins encore écrire sur mon compte… Mais, au final, ne fait-on(*) jamais autre chose que parler de soi ?… Et ensuite par où seulement commencer ?!… Et sous quel angle signifiant aborder ce « soi », ce « moi », ce « je » ? Comment donc l’appréhender de l’extérieur ? Et puis, parler de soi, c’est inévitablement aussi – par contraste, en creux, en miroir, en filigrane – parler des autres…
(*) : Le « on » s’étendant à tout son être, englobant signifiant et signifié, conscient et inconscient, forme et fond, substance et essence…

Mais trêve de questions, assez d’introspection, fi des conciliabules !… Lançons-nous !

C’est tout à la fois parce que je ne suis pas – du moins je l’espère – un être abstrait, une créature factice, un fantôme du net, une entité purement virtuelle, une intelligence artificielle, un zélé cyber-robot – cloné assurément – tombé d’outre-espace, mais aussi parce que je ne veux pas me retrancher derrière le commode et confortable paravent de l’anonymat, que je vous communique ci-après, pêle-mêle, quelques données autobiographiques supplémentaires pour, au besoin, attester, en ce début de XXIe siècle tellement « moderne », « progressiste », « normalisateur », d’une authentique vie personnelle, pour témoigner d’une existence factuelle, bien réelle, d’humain incarné, fait de chair et d’os – normalement, si communément, si banalement, si trivialement, si extraordinairement « normal » (!) s’entend(*).
(*) : Normal mais non normé, je précise cependant, la nuance étant de taille.

Je m’applique donc, en toute simplicité et logique, non seulement à mener ma vie comme je l’entends et à exercer mon art avec distinction, tact, probité, sobriété, mais également à faire en sorte que la forme reflète fidèlement le fond – et vice-versa – et ose espérer que ces pages, à l’instar, traduisent et représentent loyalement cet être incarné – et largement perfectible ! – qui les a imaginées et réalisées.

Objecteur… Vous avez dit « objecteur »…

J’ai fortuitement appris, au détour du changement de millénaire, que l’heureux « trouble »(*1) qui me titillait et me travaillait le corps et l’esprit des années auparavant déjà portait un nom, et même un savant nom anglais !… En effet, j’ai l’honneur de vous apprendre que je suis un career shifter(*2)… Dit autrement, dans la langue de Molière ou de Voltaire (c’est comme vous l’entendez), un bifurqueur, un mutant professionnel, une sorte de reconverti professionnel intentionnel, un réorienté volontaire, un genre d’objecteur de carrière.
En l’occurrence, un esprit libre, un libre penseur par dessein loin des modes et de la bien-pensance. Un franc-tireur, libre – par définition – de tout sérail, indépendant de toute chapelle. Une espèce de réfractaire, d’allergique, de rebelle au culte de la croissance(*3), du consumérisme et de l’accumulation… Un dissident de l’affairisme et de la consocratie. Un contempteur du mondialisme et des puissances de l’argent. Un résistant – joyeux et décalé – à la marchandisation du Vivant, à la domestication de la vie, au normalisme obsessionnel rampant, à la course au gigantisme, au productivisme – et utilitarisme, progressisme, modernisme, performisme, rentabilisme… – forcenés. Un contrevenant et contrecarrant à la technocratie et au technoscientisme. Un détracteur de la pensée unique ou formatée. Un frondeur, un technocritique, un contradicteur de la technolâtrie, un désadapté de la société des machines, un opposant à l’empire – et à l’emprise – du machinisme et à la déshumanisation du monde… Un défenseur du Vivant, des sans-voix, des terroirs, des individualités, des singularités et des diversités. Un adepte de la multiplicité, de la pluralité, de la pluriversité, de la pluriversalité, en toutes choses. Un partisan d’une société ouverte, éthique, respectueuse des libertés fondamentales – dont le libre choix thérapeutique(*4) –, prônant une réelle solidarité et tendant vers une vraie égalité – au-delà des sempiternels et stériles discours de façade.

(*1) « Trouble » finalement, à regarder autour de moi, très courant, commun, banal même, possiblement d’origine psychique, bien que certains spécialistes estiment que la racine du « mal » remonte à beaucoup plus loin…
(*2) : Ou encore, selon des dénominations plus récentes, un attardif, un late-bloomer.
(*3) : Personnellement, j’ai commencé très tôt dans ma vie ma « décroissance », la limitation-réduction de mon empreinte écologique, ma sobriété économique, énergétique…
(*4) : Libre choix thérapeutique assorti de la liberté vaccinale, il va sans dire.

Et voilà comment je suis tombé tout entier dans le détravail et la sobriété heureuse.

Mais pourquoi donc se compliquer la vie ?!
Par besoin surtout – justement – de vivre et de laisser vivre. Par besoin de liberté, tout simplement. De liberté d’être, de liberté de penser, de liberté d’agir… Par volonté de ne pas servir des intérêts contraires à mon éthique, à ma conscience, à ma morale. Par résolution de ne pas soutenir et relayer des valeurs qui ne sont pas miennes. Par souhait de ne pas cautionner des procédés que par ailleurs je réprouve et dénonce. Par désir d’être en cohérence, en congruence avec moi-même. Par souci d’aligner, le mieux possible, conscience, éthique, paroles et actes. Histoire d’assumer mes convictions en conformité avec mes actions(*1). Pour contribuer, fût-ce de façon infinitésimale, au bien-être commun, au bien-vivre collectif.
Dans cette même logique, j’encourage vivement chacun et chacune à se poser régulièrement cette question essentielle : est-ce que, par ma façon de penser et de vivre, ou par le métier que j’exerce, je participe des solutions ou, au contraire, je contribue aux problèmes de notre monde.
Dans la vie, il faut choisir son camp, et le mien est depuis longtemps très clairement affirmé et désigné. Un engagement authentique souffre difficilement les compromissions au monde. Ainsi, entre capitaine – ou même simple soldat, petit fantassin – de l’empire capitaliste, mercenaire de l’oligarchie prédatrice… et veilleur du vivant, petit artisan de l’écologie émancipatrice, page, écuyer ou chevalier de l’ordre Humain(*2), colibri(*3) défendant à sa modeste mesure une infime parcelle d’humanité et de biodiversité, mon parti fut vite pris. Et à cet égard, je confesse ici publiquement, en toute humilité et sans retenue aucune, que je fais partie de ces « fous qui font l’amour aux arbres »(*4).

(*1) : Psst ! Entre nous… À ce propos, je me demande parfois si l’emblématique Loup apparaissant dans la fable de La Fontaine, Le Loup et le Chien, n’était pas, lui aussi, potentiellement, en puissance et jusque dans l’âme, un impénitent… career shifter… Encore un qui a, sans hésiter, préféré la (vraie) liberté à la (fausse) sécurité… Un loup, certes, mais alors un loup tout rempli d’humanité… Rien donc à voir avec un loubard, un lourdaud, un loufoque, un loufiat, un loukoum, un loupé, un loupiot, ou encore un loustic… pour exemples [et j’en passe]… Mais… chut !… il est dit que messire Loup court encore…
(*2) : Si je puis me permettre – malgré ses accents aujourd’hui déclamatoires – cette belle et ancienne désignation empruntée à Jehan de Vézelay (1042–1119).
(*3) : Allégorie, métaphore, qui, ipso facto, peut me faire étiqueter, cataloguer, par certains détracteurs de l’écologie comme idiot utile – voire inutile. J’en suis supérieurement conscient, le supporte sans aucun scrupule et suis même ravi de leur renvoyer gracieusement le compliment. À chacun ses croyances, à chacun ses considérations, à chacun ses maîtres, à chacun son honneur, n’est-ce pas !
(*4) : En écho à un discours prononcé à Rome, en ce début février 2020, par une politicienne bien française lors d’un colloque sur le « Conservatisme national ».

Toutefois rassurez-vous, bien que cet esprit frondeur de l’objecteur de carrière, ce caractère mutin des décalés de l’emploi puisse se révéler en certaines circonstances contagieux, en règle générale la crise générée, l’accès de fièvre consécutive, touchant presque toujours les plans professionnels et personnels, débouche plutôt sur une issue favorable, sur une évolution positive. Avantageuse à la fois au et pour le « malade » lui-même, et possiblement pour son entourage !
Et peut-être bien, lorsque nous serons suffisamment nombreux à avoir attrapé cette salutaire remise en cause individuelle et institutionnelle, cette saine et revigorante grippe vitale – et y avoir survécu ! –, la bonne « maladie » initiatique pourrait-elle également – j’en formule ardemment le vœux – ouvrir la voie à une transformation salutaire de notre société tout entière. Espérons-le du moins. Je croise les doigts. Que je sache il est toujours permis de rêver. Et de faire aboutir ses rêves.

« Être » ou « Avoir » ? La sempiternelle question.

La religion(*) de la nature chevillée au corps : écologiste par nature (et non pas par intérêts ou par calcul)
(*) : Au sens originel du terme, c’est-à-dire relié (et non au sens d’idéologie, de dogme).
Pour un monde libre, écologiquement sûr et socialement juste
En quête d’une société plus sobre, plus respectueuse, plus résiliente, plus solidaire, plus démocratique, plus juste, plus égalitaire

Enfant de la campagne, et même, j’aime à dire, enfant de la Terre, je suis né et ai grandi – jusqu’à mes dix-huit ans – dans un joli petit village du Nord-Est de la France blotti aux confins de la Lorraine, à un tire-d’aile du Palatinat allemand et des portes de l’Alsace tout proche, dans une contrée plutôt méconnue – mais des siècles durant convoitée, disputée, écartelée –, passerelle séculaire entre deux cultures juste aux pieds des premiers contreforts, tout au Nord de la ligne bleue des Vosges.
Je ne suis pas entré en Écologie, j’y suis né ! Profondément – viscéralement ! – sensible à l’environnement, lié, attaché, dévoué à la nature depuis mon jeune âge, engagé(*1) dans et pour l’écologie(*2) depuis mon adolescence, il ne m’a pas été difficile, dans ce contexte, vous l’imaginez aisément, de devenir par la suite – et sans réserve – objecteur de croissance. Objecteur d’autant plus affiché et déterminé que mon cursus de formation supérieure ultérieure puis mes expériences professionnelles consécutives m’y ont rapidement mis les pieds… en plein dedans (cf. ci-dessous).
Pour l’humaniste attardé et impénitent que je suis, pour le libertaire invétéré, le libre penseur, l’universaliste affirmé, le souverainiste inconditionnel – idéaliste pragmatique ou pragmatique idéaliste, je ne saurais dire exactement –, cet engagement de toujours pour un monde plus respectueux, plus sobre, plus apaisé, cette quête d’une société meilleure, plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus durable m’a par ailleurs conduit – après moult hésitations… – à me présenter, pour contribuer à mieux faire connaître ce courant de pensée alternatif original(*3), à plusieurs consultations politiques nationales (dont trois élections législatives et une élection régionale), successivement sous la bannière de la France En Action (originellement La France d’en bas) (Jean-Marc Governatori) et de l’Alliance écologiste indépendante (id.) à laquelle la FEA s’était entre-temps ralliée.
Candidatures dans 475 circonscriptions – quand même ! – (avec déjà la parité H/F) aux élections législatives de 2007. 369 circonscriptions aux législatives de 2012(**). Et 341 (avec le Mouvement 100% et toujours avec la parité H/F) aux élections législatives de 2017.
(**) : Projet politique soutenu notamment par Albert Jacquard (1925-2013), biologiste, généticien, ingénieur et essayiste français.

(*1) : Engagé mais non encarté. Mon seul parti est celui de l’Humanité !
Le triomphe des opportunistes et des écolos « bobo » – Les néo-tartufes, les grandes gueules de l’« écologie-spectacle »
Petite précision / mise au point
Pour le dire clairement, l’écologie a été, ces dernières années, largement infiltrée, infestée, phagocytée – voire sabordée – par la peste wokiste.
En cette fin d’année 2019, j’ai bien conscience de ne plus être très original dans ce combat pour la défense et la survie du vivant sur Terre – et pas seulement pour la sauvegarde de l’humanité seule.
L’époque est au prestige et à la gloire de l’écologie dite « souriante » : celle des salons dorés, des palais de la république et des dîners mondains. La période est à l’“écologie” profitante, plus à l’écologie militante. L’heure est à l’écologie avenante, policée, scientifique, rationnelle, comme si elle ne l’était pas auparavant, ou ne pouvait pas l’être. Dans le même élan, l’éco-fascisme oligarchique pointe aussi le bout de son nez. Chouette alors !
L’écologie coincée entre optimisme béat et catastrophisme sévère. À part le mouvement citoyen démonstratif, disruptif, mondial, initié par les jeunes (pour dénoncer avec raison les perpétuelles paroles creuses de nos politiciens, leurs trahisons récurrentes, leur cynisme éhonté et en les exhortant à agir enfin efficacement en faveur du climat), la mode est à une néo-écologie surtout communicante et clinquante et beaucoup moins militante, parfois même factice et affairiste, affichée par un certain nombre de nouveaux arrivants institutionnels savamment infiltrés. Elle est à l’irruption sur le devant de la scène médiatique de personnages haut en couleur tout frais émoulus de la 25ème heure, opportunistes et racoleurs à souhait, dont les desseins me paraissent relever beaucoup plus du sabordage en règle de l’écologie que d’une quelconque promotion de son rayonnement. Avisons des suites que nous réservera cette (més)aventure.
L’écologie politique, depuis quelques années, me semble filer un très mauvais coton. Les infiltrations, usurpations, dévoiements, détournements se multiplient. Je me dois de préciser que je suis, entre autres, scandalisé par l’appropriation du mot « écologie » par un parti politique, en l’occurrence Europe Écologie-Les Verts(**) – parti politique avec lequel je n’ai d’ailleurs jamais eu la moindre accointance(***) ! Comme je suis outré de constater la dérive wokiste et totalitaire manifeste de ces soi-disant
nouveaux « écologistes », que ce soit au parlement français comme européen(****) ! La sortie vaccinolâtre de Jadot m’a stupéfié et proprement horrifié – il s’est déclaré pour l’obligation vaxxinale anti-covid (2021). Quel progressiste !? Quel humaniste ?!… Et surtout quel tartufe ! Mais quel tartufe !! Mais quel tartufe (pour rester poli) !!! Quel cynique ! Quel individu méprisable ! Quel personnage abject !!
Gardez toutefois à l’esprit que même s’il peut se prétendre comme tel – et s’en réclame sans aucune vergogne -, il est tout aussi difficile à un politicien conventionnel de devenir écologiste qu’à un lièvre de devenir hérisson ou qu’à une carpe de devenir hirondelle !
(**) : Je ne conçois pas que l’on puisse s’approprier, privatiser ainsi des mots ! Idem pour la préemption du substantif « républicain » par le parti politique éponyme (anciennement UMP…).
(***) : Et ce au moins depuis le tournant des années 2000. Les débordements – faut-il ajouter outranciers –, les incartades, les diatribes, les vociférations de Dany-le-bandit – et pas que ! – m’ont toujours au plus haut point insupportés.
(****) : Cf. pour seuls exemples, respectivement, le vote de l’article 4 du projet de loi Protéger la santé (02/2024) ou le refus d’exiger la transparence sur les contrats des vaxxins Pfizer signés en catimini par la présidente de la Commission Européenne.

(*2) : Mon engagement public dans l’écologie politique date du milieu de mes années de collège, à l’occasion notamment d’un exposé fait sur les énergies renouvelables (libre choix du sujet) (thématique déjà brûlante dans les années 1970). Militance en dehors cependant du stérile – et absurde – clivage politique Droite-Gauche, ou Gauche-Droite (ou blanc bonnet-bonnet blanc ou kifkif bourricot) et sans sectarisme ni fanatisme… je préfère le préciser. Tout comme je signale que je me situe bien davantage du côté des écologistes biocentrés (focalisés sur le respect et la sauvegarde de la nature – biosphère – dans son ensemble) qu’anthropocentrés (préoccupés avant tout par la survie des hommes – figure de proue inconditionnelle des bobos ma chère et autres planeurs à diffraction hélicoïdale).
Notons aussi que l’on peut s’élever contre la mondialisation et la globalisation – spécialement comme elles sont conduites actuellement – tout en étant pourvu d’une authentique conscience planétaire. Cela n’a absolument rien d’antinomique, bien au contraire.

(*3) : Écosophie, vrai projet de société équitable et pérenne prônant une écologie holistique, intégrale (≠ intégriste), émancipatrice, sensible, généreuse et ouverte – et non seulement environnementale, minérale, bureaucratique et punitive – décliné(e) aux plans sanitaire, éducatif, relationnel, économique, social, environnemental, démocratique, éthique, financier, et fiscal. Une orientation solidement ancrée, fondée sur des valeurs de spiritualité, d’écologie et de solidarité, donc.
Au risque – assumé – de paraître complotiste, projet hélas complètement censuré – sinon dénigré, étrillé, torpillé – par les principaux médias nationaux aux ordres du Politburo mondialo-capitaliste, je le regrette vivement. Messieurs les journalistes, l’écologie ce n’est pas la contrainte, c’est La Solution ! Et puis il n’y a pas de petits candidats. Il n’y a que de petits mesquins, de petits étriqués, de petites vues, de petits bornés, de petites enflures, de petits scribouillards, de petits politicards. Il n’y a pas de petites gens. Par contre il y a de petits esprits. Des esprits étroits, obtus, chétifs, malingres, rabougris, terriblement bridés, épouvantablement confinés. Et ils ne manquent pas, ceux-là. De forts petits esprits, au demeurant. Non seulement dramatiquement bas de plafond, mais plus est, petitement câblés, chichement dotés, piètrement éclairés… Et puis alors, en revanche, quelle protubérance, quelle boursouflure, quelle turgescence ils affichent ! et quelle attraction pour le despotisme et la censure ils montrent ! Indéniablement, ce qui leur fait défaut en être et en substance, ils le surcompensent sans compter en frime et en arrogance. Bref, des caboches pleines de… shit.

À ce propos, n’avez-vous jamais remarqué combien les arrivistes, qui grimpent haut socialement, rapetissent, implosentcollapsent humainement de façon d’autant plus dramatique ? Des humainement creux. Des humainement vides. Des humainement pourris. Des humainement morts ? Des intelligences sans conscience. Des ordinateurs sur pieds. Combien de sales cons – de vrais connards – peut-on ainsi croiser ?

« L’utopie est simplement ce qui n’a pas encore été essayé. »
(Théodore Monod) (1902–2000)

Après une formation universitaire pluridisciplinaire initiale complétée par le M.B.A. d’une Grande école de renommée internationale, j’ai travaillé un temps dans le monde de l’entreprise(*1) avant de bifurquer assez rapidement vers une reconversion professionnelle totale.
Oui, j’ai connu moi aussi – à l’insu de mon plein gré ! – ma période « con » et – Dieu merci ! – je ne suis pas tombé dans le système(*2). Je me suis ressaisi à temps et en suis revenu – du moins je l’espère ! En effet, n’ayant pas encore été, de mon jeune temps, tout à fait déniaisé, il me restait quelques illusions quant au fonctionnement de ce monde, et, poussé par la réussite scolaire, j’ai candidaté et fut admis au concours d’entrée d’une (« grande ») École bien connue. Fort heureusement – et vu rétrospectivement -, ce passage nigaud fut plutôt bref et j’en sortis certes diplômé ___ [je vous laisse libre de compléter la zone laissée blanche / vide] mais embringué sur une fausse route et un tantinet dégrossi, décrotté, et même désappointé à l’issue de mes premières expériences professionnelles.

(*1) : Et spécialement dans des structures « en crise », côtoyant là – pour le côté anecdotique – quelques personnalités bien connues du milieu des affaires et de la politique… tout comme aussi de patentes ordures… que dis-je ?! … de parfaites pourritures… Les premières se reconnaîtront sans difficulté. Les secondes idem – sauf par elles-mêmes (par défaut atavique de réflexivité) –, la bonification des années évidemment en prime de la tare initiale.
(*2) : Il me faut souligner que j’avais pour moi l’avantage notable de n’avoir pas fait partie du sérail.

Ne trouvant cependant vraiment pas mon épanouissement dans ces métiers, activités ou domaines-là – même si globalement ce furent là des expériences positives et enrichissantes –, la désillusion ou, plus exactement, le déniaisement restant à accomplir, par chance, ne tarda pas trop longtemps à se réaliser. Devant l’évidente divergence d’intérêts, constatant la persistante incompatibilité des valeurs respectives – et parfois aussi, gnnfff ! grrrr grumph ! ha ha ha !! des humeurs… –, j’ai repris le « chemin de soi », et cette réflexion m’a ensuite amené – au bout de quelques années, études et formations supplémentaires – à opérer une scission franche, à quitter le confort d’une carrière prometteuse pour entamer une bifurcation radicale, pour revenir à mon inclination première, bien davantage en adéquation avec mes aspirations de vie profondes, seyant sensiblement mieux aux traits de ma personnalité.

Et de fait, une fois mon « diplôme » (certificat) de naturopathe obtenu (CENATHO)(*1), plus motivé que jamais pour rallier mon « Orient », pour promouvoir mes convictions, je suis allé exercer mes talents autrement, ailleurs, à d’autres fins, à une autre mesure, à l’aune d’autres valeurs, plutôt aux antipodes – et à plus d’un titre ! – de mes fonctions précédentes(*2)
Oui effectivement, pour paraphraser le titre d’un livre récemment paru, il y a plus d’une vie dans la vie d’un naturopathe… Et même une vie bien réelle au-delà…

(*1) : Reconversion financée entièrement sur mes propres deniers. Pour d’aucuns, le détail peut revêtir quelque importance.
(*2) : Alors, lorsqu’il arrive parfois, au cours d’une consultation ou au détour d’une conversation, que l’un ou l’autre de ces aspects vienne à être abordé ou partagé…

Pour moduler un tant soit peu les lignes précédentes… J’estime utile de préciser ici qu’hormis le calcul, la lecture et l’écriture, les rudiments d’histoire(*1) et les grandes notions de géographie(*2), tout ce que dans ma vie j’ai appris – de ce que je considère – comme essentiel, vital, fondamental, me vient de mes chers parents – à qui je suis infiniment redevable de qui je suis –, de mes expériences personnelles, de mes rencontres, de mes lectures, de mon cursus extra-scolaire, extra-universitaire, de mon parcours non académique(*3). On ne nous apprend pas, à l’école (dite) de la République, ou alors si peu, l’essentiel – c’est-à-dire l’essence de la vie, la quintessence du vivant –, mais seulement – et, de plus, si laborieusement ! – l’accessoire et l’inutile… plus est, sous une forme ossifiée et même notablement fossilisée.
Et ce n’est vraisemblablement pas le programme de l’École maternelle – à laquelle fort heureusement j’ai échappée – qui changera foncièrement la donne. Plus grave encore, trop souvent on nous maintient dans une ignorance crasse… si toutefois l’on ne nous ment pas, tout bonnement… parfois en toute bonne foi, directement ou indirectement, par action ou par omission, effrontément ou ingénument, délibérément ou « sagement ».
Plus largement, l’« Éducation Nationale » est-elle au service de l’élève ou bien est-ce ce dernier (l’apprenant) qui est au service de la première (l’Institution) ? Idem pour la créativité, l’épanouissement, la liberté, la coopération, la solidarité, le partage, l’empathie, etc… Je laisse à chacun le soin de formuler sa réponse selon sa propre expérience.

(*1) : Les récits de L’Histoire – légende dorée – ne sont toujours que des narrations de points de vue (de loin ceux des vainqueurs). « Tant que les lapins n’auront pas d’historiens, leur histoire sera racontée par les chasseurs. » dit un adage [Howard Zinn ?]. Les programmes d’histoire – scolaires notamment – ne traitent que du conjoncturel, du superficiel, de la façade épidermique des choses. Ils privilégient quasi systématiquement l’histoire événementielle – apparente, simplement glossatrice – au détriment de l’Histoire profonde, révélatrice, explicative, elle, des lignes évolutives fondamentales, des courants structuraux obscurs, des champs de force « telluriques », constituant, animant, secouant l’épopée humaine. Le Roman national professé – culte, hymne à la Guerre (elle triomphe de bout en bout)… – copieusement édulcoré, récit abondamment mythifié (à commencer par “nos ancêtres les Gaulois“, la “Révolution française de 1789”, etc. ), biaisé, falsifié(**), qu’on nous rabâche à l’infini – à des fins plus que douteuses – nécessite d’être impérativement corrigé en l’épurant du folklore qui le travestit, en l’expurgeant des nombreux maquillages et en le complétant des coupables omissions et occultations. Histoire enseignée dont, du Cours Préparatoire jusqu’en Terminale, année après année, impitoyablement on nous tartine et gave toujours des mêmes rengaines jusqu’à l’overdose, jusqu’à l’écœurement total.
(**) : « Il y a deux histoires, l’une que l’on enseigne et qui ment, l’autre que l’on tait parce qu’elle recèle l’inavouable. » (Honoré de Balzac) (1799–1850)
« Croire à l’histoire officielle consiste à croire des meurtriers sur parole. » (Simone Weil) (1909–1943)

(*2) : Soit en gros, les matières sanctionnées par le Certificat d’Études Primaires… Oui, j’ai encore eu la possibilité de passer le Certif’ – juste pour le fun – et de le valider, chant et récitation y compris. J’eus également le privilège, durant mes toutes premières années d’école, d’être de celles et ceux qui écrivaient encore… en trempant la plume dans un encrier !… Mais il me faut – très benoîtement – avouer que c’était au siècle – que dis-je ?! – au millénaire ! pââssé. Souvenirs, souvenirs d’un autre temps.
(*3) : Pour le détail et la petite histoire, autant d’années de formation et d’apprentissage – scolaire et extra-scolaire –, toutes – sans exception – réussies.

À ce propos, permettez-moi une petite digression, fruit de mon expérience…
L’intelligence n’est pas dans le diplôme. Sans grande instruction ne signifie pas (nécessairement) sans jugeote ou sans profondeur.
Pour lire la suite, cf. la page « L’intelligence n’est pas dans le diplôme »

Revenons à notre propos principal…

Puisque, comme indiqué un peu plus haut dans le texte, je pense avoir, tout bien considéré, avantageusement échappé, jadis, au péjoratif label « jeune con », j’espère tout autant avoir la chance d’éviter son équivalent sénior ou vétéran, à savoir ne pas finir « vieux con » ou « vieux schnock » et en conséquence fais mon possible pour ne pas verser dans un tel naufrage devenu si commun. Cela dit, nous sommes malgré tout, tous exposés, à un moment donné ou à un autre, à être le « con » de quelqu’un. Fût-ce à être le « con » de quelque autre con…

De nature quelque peu anticonformiste, non-conventionnel, « à contre-courant », radical(*1), un brin facétieux, vous l’aurez peut-être remarqué si vous avez préalablement consulté d’autres onglets de ce site – ou alors le remarquerez-vous éventuellement au fil de ces pages –, j’apparais fort probablement aussi, j’en suis éminemment conscient, à d’autres yeux, comme « old school », « anti-progrès », « khmer-vert »(*2), etc.… et cela m’est parfaitement, intégralement, diamétralement, équilatéralement… égal !(*3) J’assume en effet pleinement mes positions d’empêcheur de croître en rond, de trouble-fête altermondialiste, de rabat-joie iconoclaste face à l’affairisme débridé…, en un mot : d’enquiquineur des chantres de la croissance, du consumérisme, de l’accumulation, et de l’asservissement sauvage qui leur est lié. Pour être clair, je me balance, me contrebalance, me fiche, me refiche et me contrefous des modes plus encore que de ma première chemise : impérialement !
Et pour dissiper tout malentendu… Je suis résolument partisan de la modernité, mais pas de n’importe laquelle. De celle qui émancipe, libère et élève. Pas de celle qui abrutit, appauvrit, empoisonne, écrase, aliène, asservit.

(*1) : Radical au sens de proche de la racine, qui tient de / à / l’essence, au principe, à la nature profonde (d’une chose, d’un être, etc.) et non au sens (péjoratif) d’extrémiste. Pointons expressément que la radicalité n’est aucunement synonyme de dualité, de manichéisme, de dogmatisme, d’intolérance, d’affrontement, de violence, etc. et qu’elle n’empêche nullement l’intelligence, la nuance, la complexité, la finesse, la subtilité… tout comme le dialogue, le débat d’idées et le respect de la diversité des opinions.
(*2) : La machine à discréditer et à diaboliser, croyez-m’en, j’en connais un large rayon !
(*3) : Et je vous confie tout cela non seulement avec un grand sourire intérieur mais aussi avec son écho aux lèvres… même s’il est aujourd’hui ringard d’afficher sa bonne humeur et que pour coller aux valeurs de notre temps il vaudrait bien mieux afficher un bright smiley de façade – copié-collé, figé, normé, cloné hollywoodien – ou bien tirer la tronche et afficher une mine renfrognée et boudeuse… Oui, force est de constater que notre monde « moderne » n’inspire plus beaucoup l’authenticité, la joie et le plaisir de vivre, mais plutôt le factice, l’artifice, la contrariété, le désarroi, la tristesse, si ce n’est pas franchement la peur ou la colère.

Et puisqu’en se positionnant pour – et par – certaines orientations, l’on se définit donc a contrario, ipso-facto, également contre, ou à l’opposé d’autres. En voici une dernière : je ne suis pas (trop) numérisable !
… Ne les cherchez pas… je n’en ai pas ! Aussi utiles, commodes, indispensables… puissent-ils être, je ne dispose effectivement ni de compte Facebook(*), ni de compte Twitter – maintenant devenu X(*) –, ni de compte d’aucune autre de ces sortes et facilités, n’en ai jamais eu, et n’envisage pas plus d’en ouvrir, même si c’est « très pratique », « high fash’ », « juste capital » d’en avoir au moins un.
(*) : Les « Richard Heim » que vous pouvez actuellement trouver sur ces réseaux sont tous de parfaits homonymes et, pour moi, d’illustres inconnus. J’en aurai cependant bien connu un : un cousin germain de ma mère auquel j’adresse, au passage, ma gratitude et un fraternel, chaleureux salut, là-haut.

À propos de « numérique » et « digital », permettez-moi ici, faute d’un emplacement plus approprié sur ce site, une dernière parenthèse…

LES RÉSEAUX SOCIAUX : UNE SAVANTE INGÉNIERIE SOCIALE
Réseaux sociaux ou bien Réseaux humains ??

À médias de masse, abrutissement de masse
Le mantra des réseaux soziaux : « I love me »
Cognitive warfare – Plus les écrans progressent, plus l’intelligence humaine, particulièrement des plus jeunes, régresse

Numérique, tablettes, smartphones(*)… : bombes à fragmentation mentale – La fabrique de crétins digitaux
La dramatique paupérisation des cerveaux hyperconnectés – et donc devenus hyper-dépendants.
La voracité des écrans : ces monstres aguicheurs qui dévorent impitoyablement notre temps de cerveau disponible, annihilent notre discernement… et engloutissent même nos vies tout court.
(*) : Ces faux amis qui ne vous veulent pas que du bien…

TOUT A UN PRIX. RIEN N’EST GRATUIT dans notre monde !! À part peut-être l’amitié et l’amour, lorsqu’ils sont sincères ET totalement désintéressés. Ce qui n’est pas vraiment le cas dans ces cyber réseautages. Sans que vous le sachiez expressément, ces fournisseurs, ces entremetteurs digitaux, subrepticement vous infiltrent, vous espionnent, vous manipulent, vous trompent, vous parasitent et éhontément se paient sur la bête(*1). Comme le résume excellemment la formule popularisée par Bruce Willis, « Si c’est gratuit, c’est toi le produit. » En effet, le but véritable – et caché – de ces gestionnaires consiste d’une part à observer, collecter, valoriser, monnayer les données personnelles de leurs utilisateurs et d’autre part à maximiser la dépendance – l’addiction, l’enfermement – de ces derniers à leur égard. Il n’y a là aucun bon sentiment, aucune empathie, aucune générosité. Seul l’argent les intéresse ! Ce ne sont en aucune manière des philanthropes mais de richissimes entrepreneurs du capitalisme de surveillance et de contrôle. Point barre.
On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, dit-on.
Pourquoi diable y a-t-il si peu de boycott de ces plateformes insolentes d’abus et d’emprise ? Leurs utilisateurs semblent hélas totalement captifs de ces inquisiteurs. Nous ne sortirons pas du système qui nous désinforme, nous piège et nous opprime tant que nous utiliserons ses instruments d’asservissement.

Quitte à passer pour un arriéré profond, je ne twitte – et maintenant X – pas, ne like pas, ne follow pas, et plus généralement, ne google pas, n’amazon pas, ne whatsapp pas, ne tiktok pas, n’uber pas, ne deliveroo, ne netflix pas davantage, etc., etc.… Et inversement. – Ce sont là, à mon sens, ni plus ni moins, les patelins instruments de notre totale servitude.
En somme, je ne Gafam pas. Ne l’ai jamais fait et ne le ferai sans doute jamais. Et tant pis pour tout ce que je rate – et aussi ne rate pas ! C’est un choix délibéré. Je m’empresse néanmoins d’aussitôt préciser que je n’en veux bien sûr aucunement à celles et ceux qui utilisent de tels « réseaux sociaux »(*2), de tels prestataires de « services », de telles appli(cation)s.
Pour vous donner une petite idée de mon degré d’arriération, désespérément irrattrapable : cela fait maintenant plus de deux décennies que je n’ai plus de téléviseur – il ne m’aura en définitive possédé que quelques petites années seulement ! N’est-ce pas tout dire ?!
(*1) : Une « petite » entourloupe découverte récemment : en quoi vos photos personnelles intéressent-elles l’éditeur d’une application de liseuse ?! Ou encore, pourquoi devoir partager vos photos et vos vidéos avec le fabricant de votre smartphone ou le développeur de son système d’exploitation ?!… Oui, vous savez, je fais ici allusion à ces imbitables Conditions Générales – que l’on lit si rarement et – que pourtant l’on doit obligatoirement accepter avant de pouvoir enfin – enfin ! – savourer la nouvelle appli !
(*2) : Ou prétendument sociaux. Et du reste, nettement plus psychologiques et narcissiques que sociaux. Et parfois même – l’anonymat aidant – franchement asociaux, lâchement immoraux, profondément amoraux, violemment haineux, me semble-t-il.

Les écrans coupent de la réalité, fragmentent la pensée, atomisent la réflexion. Les écrans volent nos vies, et particulièrement celles de nos jeunes ! Les réseaux sociaux envoûtent les plus assidus d’entre nous. Les écrans séparent davantage qu’ils ne rapprochent. C’est l’éducation qui sauvera le monde. Pas la technologie.
Qu’on se le dise et se le répète.

On ne voit que ce que l’on veut bien voir. En réalité, on voit ce que l’on croit. On ne voit bien qu’avec le cœur, confiait à juste titre Antoine de Saint-Exupéry.
Chacun(e) est libre de ses options de vie, ou du moins aurait intérêt à l’être et à les prendre en toute conscience et connaissance de cause. Et ce n’est pas parce qu’ils sont particulièrement nombreux à plonger dans le marigot ou à se jeter dans l’abîme que je vais y sauter moi aussi. Loin de là !

Enfin, dernière petite précision, le français n’étant pas ma langue maternelle, mais plutôt ma première langue étrangère – menue illustration de la biodiversité et de l’identité plurielle – et ne disposant, par ailleurs, pas non plus d’une formation littéraire ou linguistique, quelques erreurs / fôtes (!!) (orthographe, grammaire) ou tournures de phrase malencontreuses, voire manifestement incorrectes ou totalement inintelligibles, peuvent encore subsister ici et là dans le texte malgré mes nombreuses, persévérantes et fastidieuses (!) relectures… Puisse le lecteur compréhensif bien vouloir me les pardonner.
Merci

Richard Heim

« Que seulement je fasse de ma vie une chose simple et droite
comme une flûte de roseau que l’on peut emplir de musique. »
(Rabindranath Tagore) (1861–1941)

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